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Blog créé le 06/12/2009

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au plaisir de vous lire,
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Paroles de Greenwashing
On veut du green (6x) washing

on veut des tours d'avions
des airbus, du diesel
des mandarines toutes les saisons
des grands voyages dans le ciel
du high tech à la maison
de la nouvelle technologie
on veut pouvoir dire pardon et
soulager son esprit

on veut d la viande d'argentine
d la bidoche à tous les repas
de la work-food dans la cuisine
on veut du sucre, on veut du gras
on veut moin cher on veut meilleur
on veut toujours un peu d'ailleurs
on veut la mer, on veut l'été
même en hiver on veut bronzer

on veut du green (6x) washing
c'est nous les as les pinnochio du marketing
on veut du green (6x) washing

on les galets sous le sable
on veut des plages de sable blanc
du réseau pour nos portables
on voudrait 4barres tout le temps
des orgies résonnables
des grands échangeurs de béton
et des amis toujours joignables
on. veut des bals et des ghettos

on veut du green (6x) washing
c'est nous les as les pinnochio du marketing
on veut du green (6x) washing

on veut de l'eau toujours qui coule
et des rides un peu moin creusées
on veut de la jeunesse en poudre
on veut de la neige en été
des grands buildings sous le soleil
des monuments pharaonniques
on veut partout partout pareil
delà wi-fi du numérique

on veut du green (6x) washing
c'est nous les as les pinnochio du marketing
on veut du green (6x) washing

on veut des lessives sans phosphate
du shampoing tout organique
des forêts pour nos 4x4
du charbon dans nos cosmétiques
des slogans abusifs "plus blanc que blanc" "plus vert que vert"
mascaras écologique pendant qu'on se shoot au nucléaire

on veut du green (6x) washing
on veut du green (6x) washing
on veut pouvoir dire pardon, soulager son esprit
on veut du green (6x) washing
on veut la mer on veut l'été on veut bronzer
on veut du green (6x) washing
on veut des bals et des ghettos
on veut du green (6x) washing
c'est nous les as
on veut du green (6x) washing

(Merci à Benjamin G pour les paroles)



Un homme a planté une forêt pendant 30 ans, à lui tout seul, un arbre après l’autre.

Depuis 1979, Jadav Payeng a replanté à lui tout seul une forêt entière de plus de 550 hectares. Soit une superficie plus grande que le Central Park de New York ! Et le plus fou, c’est qu’il a fait tout cela avec ses mains comme seul outil, sans aide extérieure… et en plantant un arbre à la fois.

L’île de Majuli se trouve dans le nord de l’Inde. Il s’agit d’un banc de sable géant qui abrite p...rès de 150 000 habitants et qui est l’une des plus grandes îles fluviales dans le monde. Sur cette île, on trouve la forêt de Molaï, une forêt des plus étrange, unique au monde et pour cause : Elle a été plantée par un seul homme.

Là-bas, cet homme, on l’appelle « Forest man ». Et ces arbres sont l’aventure d’une vie, le résultat de 30 années de travail intensif.

Voici l’histoire, digne de Jean Giono, de cet homme qui plantait des arbres.

À cause du manque d’arbres pour stabiliser le sol avec leurs racines, l’île de Majuli a perdu plus de la moitié de sa surface au cours du dernier siècle, à cause de l’érosion. La faute à d’énormes digues qui ont été construites dans les villes en amont du fleuve, ce qui a profondément modifié le flux de l’eau. À ce rythme-là, Majuli aurait pu disparaître totalement d’ici 15 à 20 ans.

Mais c’était sans compter sur Jadav Payeng, qui pour remédier au problème s’est mis à planter des milliers et des milliers d’arbres et de plantes. Jour par jour, année après année, il lui aura fallu une patience incroyable pour mener à bien cette tâche herculéenne.

En 1979, à la suite d’importantes inondations, des centaines de serpents d’eau s’échouent sur l’île et meurent d’épuisement. Jadav explique au Times of India que cela a été l’élément déclencheur de son incroyable aventure :

« Il n’y avait pas d’arbres pour protéger ces serpents. Alors je me suis assis, et j’ai pleuré. J’ai contacté le ministère des Forêts et je leur ai demandé s’ils pouvaient planter des arbres. Ils m’ont répondu que ça ne servirait à rien d’essayer, que rien ne pousserait jamais de toute façon. Comme j’ai insisté, ils m’ont dit que je n’avais qu’à planter des bambous.
Ce fut dur mais je l’ai fait.
Et tout seul. »

Pendant les 30 ans qui suivirent, Jadav s’est attelé à la tâche et s’est mis à planter des milliers de plantes… dont 300 hectares de bambous !

Et bien lui en a pris : le travail et le dévouement de Jadav a eu pour effet de fortifier l’île de manière significative et durable. Double effet kiss-cool : sa forêt fournit un habitat de choix à de nombreux animaux en voie de disparition, qui sont retournés s’installer dans la région. Un troupeau d’une petite centaine d’éléphant, des tigres du Bengale, et même une espèce de vautour qui semblait avoir disparu depuis plus de 40 ans !

Voilà de quoi nous redonner un peu d’espoir dans l’humanité…




Jardin et compagnie

 17/05/2015
Notre jardin se veut respectueux des plantes et de la terre qui les accueille en favorisant la biodiversité. Ce sont les plaisirs de cultiver, d'observer et de savourer de bons produits qui entretiennent ma passion "dévorante" pour le jardinage. Ici je partage aussi des images, des coups de coeur, des recettes, des causes à défendre, des astuces, des bonnes idées, des essais...... et ma belle Bretagne .



combien doit on laisser d'espace entre chaque plan de pomme de terre et combien d'espace doit on laisser entre chaque rang en prévoyance du buttage ?

les pommes de terre  à une distance de 0.50m et 1 mètre entre chaque rangs ,si tu peux .Moi, perso, je plante toujours un peu plus serré par manque de place et ça marche quand même pour les tomates, je les mets à 80 cm sur le rang et 1mètre entre chaque rang sinon bonjour la jungle... lol




Le principe d’associations est de mettre côte à côte des espèces de types et de familles différentes afin qu’elles ne se concurrencent pas. Il existe 4 types de légumes (à feuilles, racines, fruits ou fleurs) et 13 familles de légumes:
Alliacées, Apiacées, Astéracées, Brassicacées,
types de légumes... vert=feuille ,orange=racine, jaune=fruit, rouge=fleur.
Chénopodiacées, Cucurbitacées, Solanacées, Valérianacées, Fabacées, Lamiacées, Poacées, Polyganacées,



Une bonne terre de jardin doit être riche en matère organique. Elle doit donc être grumeleuse, foncée.

Pour mieux connaitre la votre, faites le test de la poignée de terre:

Serrez une motte dans votre main, si la boule s'effrite, votre terre est sableuse.

A vous les fraises les asperges les aromates!

Vous devrez arroser plus souvent, mais moin à chaque fois, et ajouter autant de matière organique que possible.

Si vous arrivez à façonner un boudin qui ne brise pas, vous avez une terre argileuse.

a vous les roses !

Dure à travailler en hiver, il faut surveiller le moment où elle devient friable, pour planter.Maintenez-la toujours bien paillée pour qu'elle ne croûte pas.





Bon pour la santé et pour le moral, le jardinage est une pratique en plein essor, en campagne comme à la ville. Que vous soyez un jardiner néophyte ou expérimenté, découvrez l'ensemble des bienfaits procurés par le jardinage.




Le jardinage est un passe-temps qui séduit de plus en plus. Aujourd'hui, 9 foyers français sur 10 disposent d'un espace de jardinage : jardin d'agrément, jardin potager, terrasse ou balcon. Sans plus attendre, faisons le point : en quoi le jardinage est-il bienfaisant ?



1. Le jardinage pour être en forme

Bêcher, biner, arroser, tailler, pailler... Le jardinage est une activité physique alliant endurance et souplesse. Comme tout exercice, il permet de diminuer l'hypertension et de limiter le développement de maladies cardiovasculaires. Veillez toutefois, pour éviter les douleurs pouvant être occasionnées par certains gestes, à porter une ceinture de maintien lombaire si besoin.



2. Le jardinage pour déconnecter

Etre à l'extérieur, au contact de la nature, permet de se ressourcer et de se vider l'esprit. Le jardinage a également deux vertus intéressantes : celles de nous apprendre à être patients et à être persévérants (face à d'éventuels échecs).



3. Le jardinage pour chasser le stress

Le jardinage, en diminuant les tensions nerveuses et musculaires, balaie l'anxiété. Activité pratiquée au grand air dans un havre de paix, il calme les fluctuations du mental. C'est un puissant anti-dépresseur naturel !



4. Le jardinage pour favoriser l'estime de soi

Cultiver des plantes, les couper, les arroser, les voir grandir... Le jardinage, parce qu'il offre des résultats visibles, procure une énorme satisfaction au jardinier. C'est une pratique réconfortante et valorisante pour l'individu.



5. Le jardinage pour manger de bons produits de saison

A l'heure où nous souhaitons tout avoir tout de suite, le jardinage nous permet de retrouver le sens du rythme naturel et de respecter le temps. A la clé : des produits de saison savoureux dans nos assiettes qui amélioreront notre alimentation !



6. Le jardinage pour éveiller les enfants

Apprendre aux enfants à jardiner, leur expliquer le cycle de vie d'une plante, les faire participer à la culture, à la récolte puis à la dégustation des fruits et légumes sont de très bons moments à partager avec eux. Le jardinage est ouvert à tous les âges, profitez-en !
Exercé de manière régulière, le jardinage est hautement bénéfique. Source de plaisir et d'épanouissement, il stimule nos sens et nous maintient en forme, physiquement et mentalement. Le bonheur se trouverait-il dans le jardin ? Selon un vieux proverbe chinois, "Si tu veux être heureux toute ta vie, fais-toi jardinier".



Qu'en pensent les copinautes d'iTerroir ?

Résultats du sondage soumis aux lecteurs d'iTerroir en mai 2014 :

Votre potager, vous le cultivez avant tout
pour manger frais et sain : 37 %
pour retrouver le vrai goût des produits : 31 %
pour le plaisir : 26 %
pour faire des économies : 4 %


Le jardin thérapeute

 17/05/2015

Qui n’a jamais joué les apprentis jardiniers en enfouissant un noyau d’avocat dans un pot ? Ou, plus chanceux, a été initié à l’art d’arroser les fleurs ou de récolter des carottes en aidant ses grands-parents ? C’est avec le même bonheur que nous tentons de cultiver du basilic sur le rebord d’une fenêtre ! Car tout en sollicitant les sens, le jardinage nous réinscrit dans notre histoire. Et cela profite à notre santé comme le montre l’hortithérapie.

Balbutiante en France, bien que fondée dès la fin du XVIIIème siècle par le psychiatre américain Benjamin Rush, cette discipline s’appuie en partie sur cette fibre émotionnelle pour accompagner le traitement de l’autisme, des migraines, de la dépression profonde, de l’épilepsie ou pour soigner les personnes âgées. Le dernier plan Alzheimer oblige d’ailleurs les unités à se doter d’un jardin de préférence « thérapeutique » où les patients, leur famille et le personnel hospitalier se réunissent pour biner ou désherber. Jardiner ainsi est « susceptible de prévenir l’émergence de certains troubles ou d’une dépendance, d’infléchir le cours de certaines pathologies (neurologiques, psychiatriques), d’améliorer les conditions de vie », résume Denis Richard, chef de service à l’hôpital Henri Laborit à Poitiers.

 

Jardins et bien-être

Mais l’hortithérapie s’inscrit aussi dans une démarche de bien-être. « Les plantes et les gens ont en commun le cours de l’existence », rappelle le pédopsychiatre Dominique Sauvage (inHorticulture et programmes thérapeutiques de la psychiatrie et du handicap, mai 2009). Germination, croissance, maturité, vieillissement, mort... le lien que nous établissons avec l’être vivant que nous protégeons des intempéries et des maladies nous renvoie à notre condition. Or, certaines plantes « peuvent réchapper d’un cataclysme et pousser à nouveau », poursuit-il. Une métaphore à méditer !

« Ça maintient en éveil intellectuellement », constate de son côté Anne Chahine, 70 ans dont quarante de jardinage, et qui préside l’association Jardins et santé. « On n’a jamais fini d’apprendre comment les plantes et les insectes interagissent. On rem- place les espèces, on taille autrement un buisson. Un jardin est toujours en mouvement. » L’aménager stimule effectivement les fonctions cognitives. Il faut savoir se repérer dans le temps et dans l’espace, mémoriser les noms des végétaux... École de patience et de frustration, jardiner permet également de renforcer son tissu relationnel et la confiance en soi, car les amateurs s’échangent des conseils et reçoivent des compliments. Et puis, cultiver ses propres fruits et légumes garantit des produits « frais et sans pesticides » ! De quoi faire le plein de nutriments.

 

Jardiner pour garder la forme

 

Seul bémol : ce loisir fait mal au dos. « Mais aujourd’hui on ne bêche plus, on utilise une grelinette ! », rétorque Anne Chahine. L’outillage moderne tente de réduire les douleurs et la fatigue. Et en veillant à varier les positions et à ménager sa colonne vertébrale, tenir un arrosoir, tondre ou défricher tonifie tout le corps. Ratisser ou tailler travaille l’équilibre et la souplesse. Rempoter entretient la mobilité articulaire, y compris sur des gestes fins. « Un individu peut brûler autant de calories en 45 minutes qu’en 30 minutes d’aérobic », promet Denis Richard qui préconise cette activité trois fois par semaine pour garder la forme. Faire des exercices de fitness en entretenant un espace vert ? Il fallait sans doute être anglais pour l’inventer ! Cela s’appelle la « green gym ». Hélas, ce jardinage sportif, collectif et écolo né en 1998 tarde à traverser la Manche.

A lire

Quand jardiner soigne
de Denis Richard Delachaux et Niestlé, 2011.




"LE RÈGNE VÉGÉTAL"

 17/05/2015

Atlas iconographique de 1870 !


"LE RÈGNE VÉGÉTAL" par F. Herincq et Frédéric Gérard. Publié en 1870 par L. Guérin. Archives du The LuEsther T Mertz Library, the New York Botanical Garden archive.

Divisé en : ...
* Traité de botanique,
* Flore médicale, usuelle et industrielle,
* Horticulture théorique et pratique,
* Plantes agricoles et forestières,
* Histoire biographique et bibliographie de la botanique.

Version livre numérique
-> https://archive.org/stream/horticulturejard12hr…
-> plusieurs versions accessibles (dont pdf) en téléchargement gratuit dans le lien ci-dessous..



>> http://https://archive.org/stream/horticulturejard12hr#page/n5/mode/2up

SCIENCES & VIE

 17/05/2015

 Gestion holistique des limaces
" J'aime les limaces ... depuis que j'ai compris qu'elles sont indispensables!
Pourquoi est-ce qu'on assassine les limaces ? Il y a un principe dans la vie, quelque chose de très important que vous devez vous rappeler tout le temps. C'est que la vie est belle ! Pourquoi assassiner des limaces ? Si nous sommes obligé d'assassiner des choses pour vivre... C'est qu'il y a quelque chose qui ne va pas ! "
- Hervé Coves

Conférence d'Hevé Coves : Gestion holistique des limaces
Université Populaire de Permaculture
Plufur Session Printemps 2014



>> http://https://youtu.be/DQ3Da73IGtw

recherher les saveurs des herbes sauvages ...qui ne pousse pa où l'on souhaite !

“L'abondance est un état naturel ! François Couplan, éthnobotaniste”



>> http://https://youtu.be/VUVE3z_c3hc

Les plantes sauvages

 17/05/2015
2 vidéo amatrices  vous expliquent comment reconnaitre certaines plantes sauvages ...Cool

>> http://https://youtu.be/lBxGkeC7uMg

L’intérêt d’avoir un poulailler chez soi est indéniable. Economique, gustatif, écologique, éducatif, sympathique et relaxant… les poules ont tout à vous apporter.

En plus de fournir de bons œufs frais, elles allègent considérablement la poubelle. D’autre part, un poulailler est un sujet de curiosité qui ravit les enfants… et les parents, car l’intérêt éducatif que représente un poulailler est grand. C’est un vecteur pédagogique excellent pour sensibiliser les enfants sur des sujets aussi variés que :
  • une alimentation saine
  • la préservation de l’environnement
  • les dépenses
  • l’autoproduction alimentaire
  • la protection et soins aux animaux

De bons œufs à la coque…

Quel bonheur de pouvoir servir des œufs à la coque à la maison quand on veut. Les enfants adorent. En plus de la fraîcheur garantie, sa saveur est digne d’un œuf fermier et dépasse de loin tous les œufs que vous trouvez dans le commerce! Même vos crêpes et vos gâteaux seront meilleurs avec vos œufs « maison ».

Une poule pond entre 200 et 300 œufs par an. Le prix des œufs a doublé en dix ans, aujourd’hui le prix de 6 œufs fermiers avoisine les 2 euros, soit plus de 30cts l’œuf. Deux poules vous fourniront quelques 500 bons œufs frais chaque année, c’est une économie de 150 euros directement déduits du prix du chariot de courses. C’est plus rentable que n’importe quelle carte fidélité!

oeuf en or

150euro par an !

De plus les poules mangent 150 à 200 kilos de déchets alimentaires en une année (restes de repas, épluchures, fruits). En France, les coûts moyens de gestion globale des ordures ménagères à la charge des collectivités se situent aux alentours de 180 euros/tonne.

Quand vos poules se seront bien régalées de vos restes et épluchures, elles auront soulagé votre poubelle de quelques 150 kilogrammes chacune, 300 kg pour deux poules en un an! Rapportée au coût du traitement à la tonne, l’économie réalisée par la commune est de 54 euros.

Les poules sont à la mode

Les économies pour la collectivité ne sont pas négligeables. Certains l’ont bien compris. On voit depuis quelques temps, des communes proposer à leurs habitants d’adopter un couple de poule pour une somme souvent modique (1 ou 2 euros).

Autre preuve de cet engouement, l’enseigne de jardinerie spécialisée Truffaut confie avoir vendu près de 20.000 poules et poussins l’an dernier et avoir constaté un doublement de ses ventes chaque année depuis 2009.

Bien nourrir ses poules

Autant le dire tout de suite,  300 kg de déchets organiques dans l’année : ça fait beaucoup! Surtout si vous vivez seul ou sans enfant. En effet cela représente pas loin d’un kilo de restes de repas et épluchures par jour. Seule une famille avec enfants peut  produire autant de déchets.

Pour les autres, il faudra se tourner vers ses voisins ou amis. La distribution de pain sec et de graines peut être augmentée.

Les poules ont besoin de 130 grammes de céréales – blé et maïs concassé – par jour. Soit sur une année, pour deux gallinacées : près d’un quintal de graines (95 kilos). Vous trouvez le blé et le maïs facilement à la ferme ou en animalerie. Méfiez-vous des sacs  « aliments pour poules » plus chers à l’achat.

En se débrouillant un peu, on trouve des petits exploitants agricoles qui vendent des mélanges de céréales pour les poules à 20 euros les 50 kilos. Vous en repérerez certainement un près de chez vous grâce à cet annuaire de recherche (annuaire.agencebio.org).

Il faut également leur donner des coquilles d’huîtres de temps à autre. Les coquilles d’œuf vont aussi mais je conseille plutôt l’huître à consommer en famille puis vous broyez grossièrement les coquilles avant de les distribuer

famille puis vous broyez grossièrement les coquilles avant de les distribuer.

Le poulailler

Il faut envisager un hébergement pour deux poules minimum. Seule, madame s’ennuie, déprime et ne pond plus.

Les adeptes de la récup et du recyclage trouveront certainement de quoi faire un poulailler avec quelques palettes et du grillage. Personnellement, j’ai acheté quelques tasseaux bruts (les moins chers que j’ai lasurés) et deux rouleaux de 10 mètres de grillage à poulailler/clapier. Nous avons construit, avec les enfants, un super poulailler 3 étoiles pour quelques dizaines d’euros.

Pour les autres, des solutions toutes faites sont disponibles en animalerie, les prix varient beaucoup selon les modèles.

Je vous ai regroupé quelques photos de poulaillers sympas. On trouve facilement d’autres idées sur le net.

D’excellents conseils sur : http://www.300oeufs.fr/

 

un modèle pour une famille peu nombreuse

un modèle pour une famille peu nombreuse

Le poulailler façon yourte mongole

Un poulailler un peu plus grand

 

Classique et de taille moyenne
Une
 forme originale
Un intérieur
 digne d'un camping-car!

 

Intérieur douillet
Un très original et
 grand...
Un poulailler
 dans une voiture...de poulet :)
Nous avons  choisie l'enclo et non la liberté pour 2 raisons
protéger les fleurs, le potager (et puis pour retrouver les oeufs )....
de plus ayants des chats et chien elles sont sur de ne pas être déranger...
nos gentilles poules....

source ; Renault mars 2015.




La méthode du potager en carrés

Développée dans les années 1980 aux Etats-Unis par Mel Bartholomew. Son idée était de cultiver des légumes, des fleurs et des plantes aromatiques en les associant et en les répartissant de manière harmonieuses dans de petites surfaces de culture carrées. Si plusieurs variantes ont vu le jour, on considère aujourd’hui la version avec 9 carrés de 40cm x 40cm, élaborée par la française (cocorico!) Anne-Marie Nageleisen comme la plus efficace.

L’idée derrière le potager en carrés est de recréer un environnement et un mini-écosystème naturel favorable au développement d’espèces et de variétés complémentaires. On cultivera ainsi du thym à côté des tomates, des poireaux à côté des radis, etc. L’idée est de ne pas mettre côte à côte d’espèces de la même famille et de faire tourner les cultures afin de ne pas appauvrir le sol.

Les avantages de la méthode du potager en carré sont nombreux :
•C’est une méthode adaptée aux petits espaces urbains, une planche de culture de 9 carrés ne mesurant en effet que 1m20 par 1m20
•C’est une méthode écologique reposant sur la préservation de la biodiversité et l’association des cultures
•Elle permet de cultiver une grande variété de légumes tout au long de l’année, la planche de culture pouvant accueillir 9 espèces différentes sur une même période
•La surface réduite et la planification des cultures permettent de limiter les travaux d’entretien à l’essentiel, et la surélévation du potager en facilite la tâche et permet d’éviter le mal de dos
•Enfin, pour les plus sensible au côté esthétique, le mélange des légumes, des fleurs et des herbes aromatiques donne un visuel autant coloré que diversifié!

Le principe de la planification des cultures

L’objectif du potager en carrés est de récolter, sur le minimum de surface, la plus grande diversité de légumes. La planification des cultures sert donc à optimiser l’espace, à calculer et à gérer justement le nombre de carrées disponibles et l’emplacement de chaque espèce.

Dans le potager en carrés, la planification des cultures repose sur deux grands principes : les associations et la rotation des cultures.

Le principe d’associations est de mettre côte à côte des espèces de types et de familles différentes afin qu’elles ne se concurrencent pas. Il existe 4 types de légumes (à feuilles, racines, fruits ou fleurs) et 13 familles de légumes:

Familles des Légumes
On évitera ainsi de placer deux légumes de la même famille côte à côte car ils ont les mêmes besoins nutritifs, sont sujets aux mêmes maladies et attirent les même insectes nuisibles. Un exemple d’associations réussies pourrait être la planche de culture ci-dessous, chaque couleur représentant une famille différente.

Mais alterner simplement les familles de légumes ne suffit pas… Il faut également les associer de la meilleure façon possible. Il faut ainsi prendre en compte les besoins en ensoleillement ainsi que la hauteur des différents végétaux, les plus grands faisant en effet de l’ombre aux plus petits. On orientera par exemple les tomates ou les aubergines côté sud afin qu’ils bénéficient d’un maximum de soleil, et devant les laitues ou les radis qui apprécieront leurs ombres. Ainsi on réorganisera la planche de culture précédente de cette façon :
•La tomate, le thym et le concombre sont exposés coté sud pour être ensoleillé au maximum.
•les poireaux sont au centre car ils ne nécessitent pas un gros entretien et ils seront parfois à l’ombre de la tomate et du concombre.
•les radis et l’oseille supportent bien d’être à l’ombre.

En revanche, certains légumes ne s’intègre pas dans la culture en carré car ils ont un développement trop volumineux ou nécessitant trop de carrés pour obtenir une récolte significative : asperge, fraisiers, moutarde, lentille, rhubarbe, salsifis, topinambour, etc. La pomme de terre nécessite quant à elle de retourner la terre pour la récolte, ce qui aurait pour conséquence d’endommager les cultures voisines. Cultivez donc de préférences ces espèces à part.
Lancez-vous !
a- Définissez vos besoins et vos envies

N’avoir qu’à se pencher pour récolter vos propres fruits et légume vous fait envie ? Vous avez décidé d’opter pour la méthode du potager en carrés ? Avant de vous précipiter, commencer par déterminer vos envies et vos besoins de légumes et essayez de les quantifier afin de déterminer le nombre de carrés dont vous aurez besoin.

Une fois votre liste idéale établie avec les quantités, préparez l’organisation de votre potager en représentant les planches de cultures vides (sur papier ou ordinateur) et en positionnant chaque légume choisi selon les codes couleurs (une couleur par famille) et selon les besoins et préférences de chacun d’eux.

Souvenez-vous :
1.Pas de légume d’une même famille à coté
2.Placez les légumes selon leurs besoins d’ensoleillement. Les légumes du soleil (tomate, aubergine, concombre, melon et poivron) doivent être exposés plein sud. Ils ont la priorité sur les autres légumes lors du choix de l’emplacement tant ce critère est essentiel à la bonne récolte.

La planification obtenue à partir de la liste des principaux légumes va être la référence pour toute l’année. Il est donc important de la préserver ou de la sauvegarder.

Suite à cette projection, il va être facile de répartir les cultures et d’organiser les mois précédents et les suivants. La rotation des carrés se fait plus ou moins rapidement selon les espèces, certains carrés restent occupés pendant plusieurs mois, d’autres seulement quelques semaines.

b- Choisissez le bon emplacement

Ca y est, vous avez fini de planifier vos cultures pour toute l’année, il est temps de passer à l’opérationnel, en commençant par choisir le bon emplacement pour votre potager en carrés.

Vos plantes ont en effet besoin de lumière et d’une température adéquate pour pouvoir bien grandir et se développer. Le choix de l’emplacement de votre potager en carrés est donc important. Outre l’espace nécessaire pour pouvoir y poser la planche de culture, il devra être ensoleillé pendant 6 à 8 heures par jour minimum.

Avant de vous lancer, prenez donc le temps d’observer votre environnement, quitte à faire un croquis de votre espace et d’y dessiner les zones d’ombres en début de matinée et en fin de journée. En théorie, l’exposition sud est la plus ensoleillé mais si vous êtes en ville, du fait de l’urbanisme et de l’architecture des bâtiments alentours, il se peut que le coté sud ne soit pas la meilleure solution.

Autre point important si vous faites un potager sur votre balcon ou votre terrasse, vérifiez bien la solidité et la capacité de portance du bâtiment. A titre indicatif, une planche de culture de 1m20 x 1m20 x 50cm peut facilement peser autour d’une tonne (en fonction du type de terre)…
c- Installez le contenant et la terre

Selon la variante préconisée par Anne-Marie Nageleisen, le contenant idéal est un carré de 1m20 par 1m20, divisé en 9 carrés de 30cm de côtés. En hauteur, il peut mesurer 15 à 20cm de haut s’il est posé directement sur le sol dans un jardin, ou 50 à 60cm dans sa version «surélevée».

Vous pouvez réaliser vous-même votre planche de culture en utilisant des planches de bricolages que vous clouerez ensemble ou alors l’acheter directement avec des matières et des dimensions selon votre convenance. A choisir, privilégiez un bois naturel non traité (du pin ou du douglas dont les essences conviennent bien par exemple). Vous pouvez également choisir un contenant plus léger en textile comme un Bacsac ou un smartpot :


Une fois que votre contenant est prêt, vérifiez qu’il soit posé bien droit sur le sol afin que l’eau ne s’écoule pas que d’un coté, et remplissez le d’un mélange de terre et de compost mûr ou directement de terreau, jusqu’au ras des bordures. Délimitez ensuite les 9 carrés de la planche de culture à l’aide de ficelles tendues ou en utilisant des petites branches bien droites posées à même la terre.

d- Plantez, et faites tourner !

Tout est prêt, il ne reste plus qu’à faire vos premiers semis et à commencer vos cultures !

Rappelez-vous : il est important de ne pas se faire succéder des légumes d’une famille ou d’un type identique sur un même carré. Même s’il n’est pas toujours possible de suivre les principes de rotations, il faut le faire au mieux sans rigidité. Si un carré est trop sollicité, la terre exprimera elle-même ses faiblesses : les semis lèveront difficilement, les plantes auront une croissance plus lente, des carences sur le feuillage et seront fragiles face aux maladies.

D’une année sur l’autre, conservez vos grilles de cultures en mémoire pour respecter le temps de rotation de chaque légume : la tomate ne revient pas dans le même carré avant 4ans, les laitues avant 1an, etc.

Pour en savoir plus vous pouvez suivre le lien du blog.

Livres:
•Le guide pratique du potager en carrés : Tout pour planifier et cultiver, Par Anne-Marie Nageleisen
•L’art du potager en carré, Par Jean Paul Collaert et Eric Prédine
•All New Square Foot Gardening: Grow More in Less Space!, Par Mel Bartholomew

Sites internet
•http://www.potagerencarres.info/ : le site officiel du potager à la française d’Anne-Marie Nageleisen
•http://www.squarefootgardening.com/: le site officiel de Mel Bartholomew (en anglais)
•http://www.jardin-bio.net/:un site d’information sur le potager en carrés en français
•http://www.autourdupotager.com: un blog sur le potager en carrés

*photo protégé

du jardin de la roche




La jardiniere

 16/05/2015
 

Elle choisit terreau et semences
Elle pense déjà "parfums, nuances"
Son alliée, c'est la patience
Et pour cela, elle attend

Quelques jours ou quelques semaines
Avant qu'elles éclatent les graines
Elle ne ménage pas sa peine
Et toujours, elle attend

Enfin, ce sont les pleines brassées
Qui s'offrent au soleil, à l'ondée
Son talent vert est révélé
Son jardin la surprend

Les feuilles jaunissent, rougoient, puis chutent
Contre la nature, peu de lutte

...     ...     ...    ...     ...     ...     ...

La vie reprendra au printemps
Elle le sait ...      ...     Elle attend.




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