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Blog créé le 06/12/2009

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Ravie de vous accueillir sur notre blog 100% femmes
0 complexe avec une pincée de créativité, un soupçon de fantaisie, quelques cuillères d'originalité...
des recettes à partager au fil des jours & aux grés des saisons.
Nous pouvons aborder tous les sujets qui vous tiennent à coeur, dialoguons ensemble partageons nos moments de vie en laissant vos coms, pour la plus grande joie de nos papilles & pupilles !
nous vous souhaitons bonne lecture...
au plaisir de vous lire,
on
vous encourage à commenter notre blog une fois la visite terminée.
Séve&Coco au plaisir
 (^_^)
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"J'aimerais tant pouvoir une fois m'abandonner complètement dans les bras de quelqu'un qui me soutient de sa force aimante :
cela me permettrait de goûter une fois la détente complète de tout mon être... Mais je n'ai jamais trouvé ces bras-là..." me dit-elle, les yeux emplis de la tristesse d'une vie en laquelle son aspiration n'a jamais pu se vivre.
Avec douceur, je lui dis qu'il est possible qu'elle se dépose dans les bras d'une Vivante, si aucun être ne peut lui offrir les siens.
Elle me demande alors "Mais où sont-elles ?"

Comme elle, d'autres interrogent :

"Où sont les bras d'une Vivante ?"
demande celle qui n'a jamais reçu
le tendre soutien de la mère.

"Où sont les bras d'une Vivante ?"
demande celui qui n'a jamais reçu
la force soutenante du père.

"Où sont les bras d'une Vivante ?"
demande celle qui n'a jamais reçu
le regard aimant de sa  compagne.

"Où sont les bras d'une Vivante ?"
demande celui qui n'a jamais reçu
l'accueil bienveillant de sa compagne.

Moi-même, j'ai longtemps cru
que je ne pouvais me laisser aller, m'abandonner,
parce que je ne trouvais pas en face de moi,
celui ou celle qui avait la force, l'amour, la capacité,
de me tenir, de me soutenir, de me contenir,
de m'offrir cet espace où je pourrais
en toute sécurité,
me poser,
me déposer,
me reposer,
enfin...

Puis, un jour, allongée sur le sol,
dans un champ,
regardant le ciel,
j'ai vu passer toutes mes pensées,
et j'ai choisi, juste là,
de lâcher toute idée que
je dois faire,
je dois gérer,
je dois porter,
je dois tenir bon...

À l'instant même
de tout mon corps,
de tout mon coeur,
de tout mon être,
je me suis laissée aller,
je me suis abandonnée sur le sol...
De chaque fibre de mes muscles,
de chaque cellule de mon corps,
je me suis donnée le droit
de ne plus me soutenir moi-même,
de ne plus rien porter de moi...

Là, pour la première fois de ma vie,
j'ai senti les bras d'une Vivante qui m'entouraient,
qui me portaient, me soutenaient, me câlinaient
et j'ai entendu la voix d'une Vivante qui murmurait à mon oreille :
"Tu ne peux sentir mon soutien
que lorsque tu cesses de te tenir.
Tu ne peux sentir que je te porte
que lorsque tu cesses de vouloir porter.
Tu ne peux sentir que je t'entoure
que lorsque tu cesses de me chercher ailleurs
qu'en la sensation globale de tout ton corps.
Je suis toujours là.
Tu es toujours dans mes bras.
Depuis toujours.
Pour toujours.
Pour un instant,
perçois-le..."

Puisse ce jour permettre à chacun-e de goûter, pour un instant, la détente de se déposer dans les bras d'une Vivante...




"Vivre pour soi-même" est une phrase qui fait peur à beaucoup de personnes. Les risques de ce style de vie sont bien connus :
le vice, la dépravation et la perte de son identité. Autrement dit, gâcher sa vie… Pourtant, un jour, j’ai réalisé que ma vie ne m’appartenait plus.

Il y avait beaucoup trop de "Je dois " et très peu de "Je veux". Mes responsabilités écrasaient mes rêves et je me consolais en cherchant des prétextes et des excuses.

C’est à cet instant précis que j’ai pris la décision de crier  : " Ça suffit ! ". J’en ai eu assez de mettre de côté mon âme et ma vie pour une poubelle à déchets radioactifs. J’en ai eu assez d’expliquer timidement comment j’osais faire passer mes intérêts avant ceux des autres. C’était l’heure de vivre pour moi-même. Choisir le bonheur, et non l’auto-hypnose. Vivre par amour, et non par obligation.

Et c’est comme cela qu’a débuté une année de ma vie, ingrate, asociale, à base d’égoïsme pur et dur. "Pur“"ou plutôt "réfléchi", petite nuance qui me permet d’échapper à l’image d’une rebelle ou d’une faiseuse de troubles. En effet, la plupart des gens pensent que la vie se résume à souffrir d’abord, et ensuite, pourquoi pas, à vivre pour soi avec les " restes ". Ils n’y voient là aucun problème.

Mais moi j’ai commencé à vivre au triple galop.

Seule contre tous

Au début, j’avais un peu peur et je n’étais pas sûre de moi. Il me manquait des arguments idéologiques. Je basais tout sur une vague mais puissante détermination que je faisais les choses comme il le fallait. J’avais le sentiment que je commençais un voyage autour de la planète sur une simple bouée gonflable. Je ne savais pas si je pourrais me battre contre tout un tas de "devoirs" ou d’espoirs et de projets lointains. Je ne voulais pas me métamorphoser en marginale et être mise dans la case "égoïste" . Mais malgré ça, je sentais bien qu’il s’agissait là de la seule voie vers la liberté.

Pour les autres personnes, mon plan était d’une inimaginable insolence. Car je sortais des règles du jeu qui interdisaient la défense d’une vie à soi. J’ai arrêté de m’excuser de mes désirs et de mes plans, de me justifier, de me sentir coupable d’être heureuse, tranquille et d’être la maîtresse de mon temps.

Non aux plaintes

La première chose que j’ai faite, a été de fermer le robinet qui remplissait ma vie de plaintes, de pesants monologues, de gémissements et de discours de haine. Je chéris mes parents, j’adore mes amies, je valorise mes collègues de travail et je respecte mes voisins du troisième âge. Mais cela ne veut pas dire pour autant que leurs infinies confessions à base de "quelle vie horrible", "ce sont tous des imbéciles et il n’y a que moi qui m’en rende compte", "tu imagines que ce crétin a osé me rappeler", doivent faire partie de ma vie.

J’ai enlevé la pancarte " Bureau des plaintes, disponible 7 jours 7 24h/24 ". Et ce geste est apparu comme un acte de désobéissance sociale. " Comment ? Tu ne souhaites pas entendre les détails de la vie de tes voisins ?
Leurs maladies, leur dépression, ou leurs projets de conquérir le monde ?
Tu ne souhaites pas écouter le disque rayé de ta meilleure amie à propos de ses peines de coeur (pour la énième fois) ? Méchante sorcière ! On devrait te brûler vive ! "

Petit à petit, mais avec énormément de conviction et de volonté, j’ai commencé à couper court aux plaintes avec ces simples mots :

" Je pense que ce sujet n’est agréable ni pour toi ni pour moi. Pourquoi tu ne me raconterais pas plutôt… ? ".

Je sentais mon coeur arrêter de battre, de peur d’être jugée. Je pensais recevoir des critiques et des offenses. En réalité, j’ai été surprise de me rendre compte que ma capacité à écouter de bonnes choses me permettait à mon tour de pouvoir en parler. C’est comme cela que peu à peu, l’habitude de se plaindre a disparu. En effet, en refusant d’écouter des histoires déprimantes, je n’avais pas non plus envie d’en raconter.

Oui, je suis bien en train de te dire que " non "

Vint ensuite la partie la plus compliquée. Commencer à utiliser l’étrange et indigne mot "Non".

En général, je disais oui à tout. Ma timidité renforcée par la peur d’offenser, me contrôlait complètement. Je me sentais mal de détruire l’image que je m’étais forgée aux yeux des autres. Mais, quand pour la première fois, un "non " sérieux sortit de ma bouche, je ne pus plus m’arrêter. Mes proches étaient aussi surpris que si j’avais avalé un éléphant entier devant leurs yeux.

Je rêvais toujours de mille et une choses mais je finissais toujours par faire ce que les autres attendaient de moi. Je remplaçais mes collègues de travail, je faisais des allers-retours pour dépanner les autres, je gardais les enfants de mes amies qui allaient faire la fête, j’arrosais les plantes des voisins, je promenais leur chien. L’enfant dévoué peut bien facilement se transformer en esclave professionnel. Mais j’ai dit " non " à cette jolie carrière.

Avec le temps, j’ai appris à séparer la paille et le foin : les requêtes sincères et les simples manipulations de parasites. Un " non " bien senti et utilisé à propos s’est transformé en ma meilleure arme pour ne pas me laisser marcher dessus et ne pas m’oublier.

Nous sommes tous libres !!!

L’affirmation " personne ne doit rien à personne " est bien jolie mais peu probable dans la vraie vie. Rejeter le rôle de l’éternelle redevance n’a pas été aussi difficile que d’arrêter d’exiger et de violer le droit de respecter la volonté de chacun. Chaque fois que je me rendais compte que je tendais à dominer la vie de quelqu’un, je m’arrêtais sur le champs.

Mes relations aussi restaient pleines de dettes. Elles disparaissaient peu à peu sous les reproches tels que "Moi je te donne tout, mais toi ne me donnes rien ". Les attentes et les exigences peuvent tuer aussi bien l’amour que l’amitié. J’ai résolu ce problème comme je résous les problèmes de maths. J’ai accepté les conditions comme non négociables et suffisantes. J’ai cessé de demander des petites récompenses pour combler mon égo, et j’ai cessé de me fâcher lorsque ma conjointe ne jouait pas exactement le scénario que j’avais écrit. Un beau jour, le gardien de le paix arriva sur le champ de bataille de nos égos en furie. Nous avons parlé toute la nuit, nous avons bu trois litres de café, et nous avons discuté avec toute la sincérité qui soit. Nous avons alors trouvé un accord : avoir le droit d’être qui nous sommes. C’est ainsi qu’on s’est échappé du scénario du drame éternel sur le chemin de la liberté.

Dorénavant, lorsque je me sens vexée ou offensée car une personne ne m’a pas prêté l’attention que j’attendais, ou qu’elle n’a pas satisfait mes attentes, je me répète comme un robot : " Nous sommes tous libres. "

Des liens, pas des chaînes

Le désir d’être accepté et la peur d’être rejeté sont deux choses bien trompeuses. Durant toute ma vie, je me suis entourée d’amies et de connaissances comme une protection contre le froid de la société. Et très vite, j’ai senti que je ne pouvais plus respirer. Elles m’étouffaient, elles ne me laissaient pas bouger. Et je ne savais pas comment m’en séparer car elles étaient toute très gentilles et adorables. Mais un égoïste réfléchi ne se cache pas dans les jupes d’un nombre infini de faux-amis. Quand on me demande "Combien d’amis as-tu sur Facebook?", sans aucune honte je réponds : "5"

Sois ton meilleur ami. Deviens une personne intéressante, inspirante et utile. Car en vérité, nous sommes tous seuls. Mais c’est encore pire si tu ne t’appartiens même pas à toi-même.

Espace personnel

Pour dire vrai, en commençant mon année "égocentrique" j’étais préparée à être seule aussi bien dans la vie réelle que virtuelle. Les soupirs de mépris qui soufflaient sur mon passage : "égoïste ! " voulaient bien dire que les gens ne me comprenaient pas. Je m’éloignais de plus en plus d’eux, et ma nouvelle vie devenait bien plus déserte et spacieuse. Cependant, la nature, elle, elle n’aime pas le vide. Très rapidement, elle s’est remplie de sujets et de personnes avec qui j’ai commencé à partager avec grand plaisir ma nouvelle essence, que j’ai eu tellement de mal à revendiquer.

Tout ce temps que je ne passe plus dans des obligations inutiles et des relations parasites, je l’offre à des personnes qui en ont vraiment besoin. Il ne s’agit en rien d’une oeuvre de charité. C’est aussi de l’égoïsme. Car je le fais d’abord pour moi et pour mon âme. Je soupçonne qu’un égoïste réfléchi devient par la suite un humaniste éclairé. Moi je ne suis qu’au début de la mutation, mais j’ai déjà perdu ma première couche.





Elle est perdue dans ses pensées
Elle est seule.....
Tant de choses doivent la perturber...

Elle a un regard transperçant...bouleversant.
Elle aurait tant de choses à raconter.

Mais elle est seule, seule avec ses pensées...
le monde autour d’elle ne la voit même pas,
elle se retourne et s’aperçoit que personne
.... ..... N'est la ... ... 

Si seulement on prenait 5 mn pour l'écouter,
On en serait récompensé ,
Elle a tant de choses a raconter et
De sourires a donner .

Mais non .... ... seule, elle est ... ....
Solitude quand tu nous tiens ... ...

Pourtant, il est si bon d’entendre de doux mots
Pour gonfler notre cœur d’un amour bien plus fort.
Ces paroles apaisent chacun de nos maux
Et notre âme a si soif de l'entendre "ENCORE "

D’un sourire ou d’un geste, on repart plus serein,
Transmission de gaieté qui croît au fond de nous.
On se dit c’est si bon de se tenir la main,
"JE " n’est rien comparé à ce précieux " nous ".

Offrir ce que l’on a de plus cher, notre amour,
Donner sans limites, sans attendre en retour.

Aimer et se sentir aimé … eh bien voyez vous ...
...  ... Ça nous fait exister … ...




Ca résume bien ce que ma femme SUBIS depuis plus de 20 ans ! Et encore, depuis quelques années elle bois UN PEU (+/- 0.5 L / an).

Perso, quand on insiste, je décline TOUTES les raisons de ne pas boire :

- Par goût, par envie
(c'est un droit, pas un crime, non ?!?)

- Parce qu'on est ancien alcoolique (a-t-on vraiment envie de pousser un abstinent à re-sombrer dans l'alcoolisme ??)
- Parce qu'on suit un traitement (antibiotiques...), une trithérapie, etc (a-t-on le droit d'exiger que quelqu'un "avoue" qu'il est séropo, diabétique, sous chimio, etc ??)
- Parce qu'on est enceinte (et une femme peut avoir 36 raisons valables de ne pas le dire), ou parce qu'on souhaite l'être prochainement
- Parce qu'on a connu / subi des alcooliques (parents, etc)
- Parce que c'est cher (c'est un crime d'être pauvre ?)
- Parce que c'est TRÈS calorique (diabétiques, personnes sous régime...)
- Pour raison religieuse (et on n'a pas à s'en justifier)
- Parce qu'on conduit, qu'on raccompagne les autres en voiture
- Parce qu'on a déjà bu suffisamment voire trop ce soir-là...
- Parce qu'il y a des sulfites (toxiques) dans les vins

La prochaine fois qu'un idiot insiste pour vous faire boire ou pour faire boire quelqu'un, demandez-vous ce qui le gène lui, dans le fait qu'on refuse un verre !


 
 
Braises ravivées
Jetez une poignée de gros sel sur les braises permet au feu de reprendre vigueur très rapidement.
 
Bouchons réutilisés
Ne jetez plus les bouchons en liège des bouteilles de vin : ils serviront d'allume-feu si vous les gardez dans un récipient rempli d'alcool ménager.
 
Détachant magique
Mettre un comprimé de Spasfon dans le tambour de la machine en même temps que le linge. Les pires taches ne résistent pas
 
Feutres ressuscités
Vos enfants laissent systématiquement leurs feutres décapuchonnés? Pour les raviver, trempez les mines dans du vinaigre.
 
Fruits
Mettez des bouchons de liège dans votre corbeille pour empêcher qu'ils ne s'abiment
 
Gelée express
Cette recette est super et je vous la recommande : Faites bouillir 4 mn 75 cl de n'importe quel jus de fruits (du vrai) avec 1 kg de sucre. C'est tout et c'est génial.
 
Guêpes
Pour éloigner les guêpes de l'endroit où vous êtes, écrasez sommairement quelques clous de girofle, et mettre dans une ou plusieurs soucoupes sur la table. Elles ne supportent pas l'odeur et s'éloignent.
 
Gros glaçons
Vous avez besoin de gros glaçons ?
Remplissez chaque moitié des emplacements d'une boite à œufs en plastique avec de l'eau.
 
Lessive citron
Une tache de café macule votre belle nappe ?
Mettez dessus du jus de citron et lavez-la comme d'habitude.
 
Mouches
Pour chasser les mouches noires de votre plat de fruits:
Conservez les bouchons de liège de vos bouteilles de vin et mettez-les dans le panier de fruits.
 
Noir ravivé
Ajoutez quelques feuilles de lierre à la lessive de vos vêtements noirs : elles vont raviver le noir sans frais !
 
œufs parfumés
Pour donner aux œufs un goût particulier, il suffit de les enfermer quelques jours dans une boîte hermétique avec, au choix : basilic, curry, estragon, lard fumé, ail, truffe...En effet, l'odeur passe à travers la coquille !!!
 
Omelette : Alléger une omelette
Versez une cuillère à soupe d'eau (ou de lait) par jaune d'œuf dans votre omelette. Cela va l'alléger et la rendre plus digeste.
Utilisez la même méthode pour les œufs brouillés, ce qui offrira les mêmes avantages
 
Pâtes : Cuisson des pâtes
Le sel que vous mettez dans vos pâtes retarde son ébullition et cela consomme plus d'électricité et de gaz. Il suffit de ne mettre le sel qu'au moment de l'ébullition juste avant de mettre vos pâtes.
 
Rosbif durée de cuisson
Un doute sur le temps de cuisson d'un rosbif ? Avant de l'enfourner, mesurez sa circonférence avec un mètre de couturière.
Son "tour de taille" vous donnera son temps de cuisson : 20 cm pour 20 mn.
Rôti : Dorer un rôti
Avant la cuisson, arrosez votre rôti de jus de citron.
Cela vous permettra d'obtenir un rôti bien doré et parfumé grâce au jus de citron.
 
Taches de vin
Du vin sur un tapis ? Pas de panique, versez immédiatement dessus de l'eau gazeuse et absorbez la avec une éponge.
 
Tarte aux fruits
Pour cuire vos tartes aux fruits sans risque que les fruits détrempent la pâte au cours de la cuisson, il suffit de pré cuire la pâte un quart d'heure environ dans le four préchauffé, 180°C - Th. 6. Vous pouvez aussi verser sur votre pâte de la poudre d'amande ou de noisette juste avant de placer vos fruits.
Pour parfaire la cuisson de votre tarte, et rehausser le gout des fruits, faites chauffer dans une casserole un peu de marmelade de fruit que vous étalerez sur votre préparation à laide d'un pinceau
 
Verres rénovés
Donnez un coup de neuf à vos verres : frottez-les avec un chiffon doux et un peu de dentifrice : les éraflures vont disparaître et les verres retrouver leur éclat.
 
On fait suivre à sa family, à ses zam zame, les astuces, ça se transmet ...



 Je ne pourrais pas être plus d’accord. J’avais plutôt tendance à être un peu "bordélique " et j’ai donc dû prendre de nouvelles bonnes habitudes pour gagner en tranquillité d’esprit.
Je trouve qu’une pièce claire, propre et bien rangée me permet de rester concentrée plus facilement et me met de meilleure humeur.
Elle contribue aussi à un mode de vie plus organisé et moins stressant… même quand on a des enfants....

Voici quelques astuces simples qui vous aideront à mettre de l’ordre dans votre maison – et dans votre vie – en moins de temps que vous ne l’auriez imaginé ! ! !
 Allégez votre pièce à vivre
Ce qu’il y a de mieux en faisant du tri, c’est que l’on finit par ne conserver que les choses qu’on aime vraiment… Ce qui est toujours un gage de succès pour un mode de vie plus simple qui reflète votre vraie personnalité. Jaugez votre pièce à vivre avec honnêteté et trouvez une nouvelle place pour tous les bibelots un peu vieillots, ceux qui ne servent à rien et ceux qui ne vont vraiment pas avec la décoration générale. Ce n’est pas parce que vous aimiez quelque chose il y a dix ans que vous devez encore l’apprécier aujourd’hui.

 Rendez votre salle à manger plus fonctionnelle
Dans une salle à manger, il ne devrait y avoir que de bons repas et des conversations sympas. Les coins repas minimalistes peuvent être tout aussi chaleureux et accueillants que les pièces traditionnelles, à condition de bénéficier d’un éclairage adapté. Retirez toutes les choses qui ne vous sont pas essentielles et libérez de l’espace autour de la table pour circuler plus facilement.

Il m'a coûté très cher
Ça, c’est une grosse motivation. Si vous êtes au milieu d’un grand nettoyage, je ne vous conseille pas d’essayer de revendre vos objets pour quelque raison que vous ayez. Premièrement, cela va probablement vous ralentir. Deuxièmement, si vous avez le sentiment d’avoir gâché de l’argent sur quelque chose qui ne vous a pas servi, le produit de la revente n’en enlèvera probablement pas le sentiment d’amertume. Cela peut sembler paradoxal, mais la façon la plus positive de réagir est de laisser tomber et de tourner la page. C’est un paradoxe : plus on laisse tomber, plus on gagne en contrôle.
 
Au bout du compte, là est le cœur du sujet : prendre le contrôle sur sa maison et ne pas être soumis à ses objets. Pour certains, quand on parle de minimalisme, cela évoque des images d’intérieurs austères, l’idée de ne pas avoir assez et d’être dépossédé de ses objets.

Pour moi, le minimalisme est l’idée d’avoir ce que l’on aime, mais pas plus que ce qu’on peut garder en bon état. Son aspect final dans votre intérieur en sera différent de l’aspect dans le mien. Cela revient à créer la demeure que nous désirons. La vie, comme l’art, est une question de vide et de transformation de l’espace pour faire de la place à ce que l’on désire et ce qu’on aime vraiment.


Faites du tri dans votre salle de bains
La salle de bains est souvent encombrée par trop de bouteilles de shampooing, de gel douche et autres bains moussants ; du coup on perd très vite de vue l’endroit épuré dont on rêve et dans lequel on aimerait se nettoyer l’esprit en même temps que le corps. Choisissez des serviettes et des accessoires coordonnés – souvent, le blanc est le meilleur choix – et rangez tout ce qui n’est pas absolument nécessaire dans un placard ou un tiroir.

Profitez-en aussi pour faire du tri dans votre salle de bains et vous débarrasser de toutes les choses que vous n’aimez pas vraiment. Ne gardez que les savons dont vous aimez vraiment le flacon et le parfum, en plus de ceux que vous utilisez au quotidien, et vous sortirez de la douche frais et dispos tous les matins.

Supprimez tout ce qui n’est pas essentiel de votre chambre
Une chambre où l’on se sent bien est avant tout une chambre où l’on peut se reposer et donc une chambre bien ordonnée. Prenez l’habitude de ne rien laisser sur les tables de nuit, à part le livre que vous êtes en train de lire – bon, moi j’en garde toute une pile à côté de mon lit, mais je ne suis pas forcément un exemple – et efforcez-vous de ne pas garder plus de choses que ce qui pourrait tenir dans un tiroir. Avec des tables de nuit comme celles-ci, vous êtes sûrs de réussir – il n’y a tout simplement pas la place d’y ranger autre chose que ce dont vous avez absolument besoin.

Suivez la règle d’Oprah Winfrey et votre penderie se triera toute seule : à chaque fois que vous portez un vêtement, rangez-le au bout de la tringle. Au bout de six mois, vous aurez une bonne idée des vêtements que vous avez une chance de remettre et de ceux dont vous pouvez vous débarrasser ou donner à une œuvre de charité.

Faites le vide sur vos plans de travail
Si votre cuisine dispose d’un placard suffisamment profond pour vos appareils électroménagers, rangez-y non seulement le mixer et le robot, mais aussi la bouilloire et le grille-pain. Si vous ne disposez pas de ce type de placard, pensez au nombre de fois où vous utilisez un appareil avant de lui donner une place sur votre plan de travail. Si vous vous en servez rarement, rangez-le.

Aménagez un bureau qui donne envie de travailler
Si à chaque fois que vous voulez vous mettre au travail vous passez dix minutes à ranger votre bureau, c’est que quelque chose ne va pas. Un bureau minimaliste vous aidera à rester concentré. Pour y parvenir c’est très simple : rangez tout ce qu’il y a sur le bureau et prenez de bonnes habitudes : installez un système de classement pour les factures et les autres papiers quotidiens, rangez les casiers de classement dans le bureau au lieu de sur le bureau. En un mot, ne laissez qu’un ordinateur sur votre bureau pour avoir un espace de travail parfaitement optimisé.
Je ne sais pas exactement ce que c’est, mais c’est peut-être important !
Il y a quelques mois, je rangeais un tiroir dans mon bureau et j’ai trouvé une vis par hasard. Elle était grosse et longue ; je savais qu’elle allait quelque part. C’est alors que j’ai reconnu la vieille sensation familière se former au fond de mon estomac à cette pensée : "Garde-la ! Garde-la ! Tu en auras peut-être besoin ! ".
Je suis heureuse de vous apprendre que je me suis alors souvenue d’avoir survécu au fait d’avoir tout perdue (dans un incendie)
Et je n’allais pas me laisser impressionner par un vulgaire vis.

Donnez de bonnes habitudes à votre enfants dès le plus jeune âge
La première chose à faire pour donner à son enfant l’envie de ranger sa chambre, c’est de prévoir assez d’espace de rangement pour toutes leurs affaires – on n’a jamais trop d’espace de rangement. Ensuite, inscrivez chaque semaine le rangement de sa chambre sur leur liste de corvées. S’ils ont besoin d’un petit encouragement pour s’y mettre, récompensez-les après, mais ne les punissez pas. C’est toujours plus simple de prendre de bonnes habitudes quand elles ne sont pas associées à une punition.

Une sous-catégorie pourrait en être :

C’est un héritage familial
Même si la valeur en est seulement sentimentale, à combien d’objets vous accrochez-vous parce qu’il appartenait à votre grand-père, votre tante, ou la cousine du dentiste ? Ma chère amie shane a hérité du service de porcelaine de sa mère. Le côté positif est qu’il était très beau, de grande valeur, et venait d’un membre aimé de la famille. Le côté négatif, c’est que ce n’était pas vraiment le style de Shane, et cela lui rappelait des scènes pénibles de son enfance. Elle décida qu’il y avait de meilleures façons de se souvenir de sa mère, enveloppa le service dans une grande boîte, et le donna à un ami commun qui en fait la collection et pour qui ce fut une vraie belle surprise.


Après notre incendie, nous avons été inondés de cadeaux. Les premières semaines, j’ai trié des cartons entiers de choses que les gens nous avaient données. J’étais tellement reconnaissante de leur générosité incroyable, et en même temps, il y avait tellement de choses qui n’entraient pas dans le cadre ou dont nous n’avions pas besoin. Cela n’a pas pris beaucoup de temps pour calmer tout scrupule à en faire profiter diverses organisations caritatives. Maintenant, je suis convaincue qu’un cadeau m’appartient et que je peux en disposer comme il me plaît.

 Ça peut toujours servir
Dans un large éventail, cela peut aller de l’achat excessif d’articles de consommation à la récupération de meubles supplémentaires. C’est probablement la plus grande motivation et, au fond, c’est parce qu’on a peur.

ET VOUS ?
Êtes-vous naturellement ordonné ou luttez-vous au quotidien contre votre tendance bordélique ?

Racontez-nous vos bonnes et vos mauvaises habitudes dans les commentaires ci-dessous et profitez-en pour nous donner vos trucs et astuces les plus efficaces pour avoir une maison bien rangée



Allez maman, viens on joue" BLANC. "Mamaaaaaaan alleeeez" SOURDE OREILLE. Tu vas encore te dire que je suis une mauvaise mère mais voilà, j'avoue que parfois jouer avec mon enfant, ça ne m'amuse pas du tout. Désolée.
Parce que :

1 / Elle ne comprent rien aux règles du jeu et s'énerve.

2/ Elle invente les propres règles et ça devient un grand   bazar.

3/ Elle  est mauvaise perdante et je suis obligée de la    laisser gagner ce qui ne m'arrange pas et ne l' émeu point.

4/ Si je perds vraiment je me fais humilier "haha, t'est trooooooooooop nulle maman !"

5/ Je me rends compte que j'ai vieilli : à mon époque au Monopoly on achetait la rue de la Paix pour 1000 FRANCS. Maintenant c'est 150.00 EUROS. #Loose.

6/ Je réalise que ma gosse est une vrai  tricheuse et ça m'inquiète pour l'avenir.

7/ Je suis celle qui est obligée de tout ranger. (j'adore ramasser les cartes à quatre pattes...)

8/ Je ne peux pas répondre au téléphone "maman t'es pas drôle, tu es toujours obligée de faire autre chose. Tu veux pas te concentrer un peu là ?!"

9/ Elle s'assoit contre moi comme une malfaiteuse. Cette fois c'est sûr elle veut ma mort.

10/ Les parties n'en finissent pas...et j'ai autre chose à faire MOI !

Enfin ...

Je voudrais lui dire que grâce à elle j'ai compris le sens de l'expression , "l'amour d'une maman ne se divise pas, il se multiplie" et que lorsque je vois ma fille, je n'ai plus de doute sur l'amour que l'on ce porte.Toujours avec Amour, Humour et Bienveillance ! ! ! 





pour 4 pers
  • 350 g de filets de cabillaud
  • 150 g de riz long
  • 3 c-à-s d' aneth
  • 2 c-à-c de moutarde
  • 1 citrons bio
  • 2 échalotes
  • 2 concombres
  • 2 c-à-s d' huile de tournesol
  • 300 ml de bouillon de légumes
  • 100 ml de crème légère liquide
  •  poivre noir
  •  sel fin
Temps de préparation: 60 min.
  1. Cuire le poisson dans une casserole d’eau bouillante salée pendant 5 minutes. Le laisser égoutter et l’émietter avec une fourchette.
  2. Cuire le riz dans de l’eau bouillante légèrement salée selon les instructions figurant sur l’emballage. L’égoutter.
  3. Hacher finement l’aneth.
  4. Mélanger 150 g de riz (maintenir le reste de riz au chaud), le poisson, l’aneth, 1 c-à-c bombée de moutarde et le zeste de la moitié du citron. Assaisonner avec du sel, du poivre et un peu de jus du citron pressé.
  5. Peler les échalotes et les hacher finement.
  6. Peler les concombres, les couper en deux dans la longueur et enlever les graines. (couper encore en deux les gros concombres). Hacher la chair et la faire suer avec les échalotes dans une grande poêle huilée. Mouiller avec du bouillon. Saler et poivrer.
  7. Garnir les concombres avec la farce de poisson et de riz. Les disposer dans la sauce, couvrir et laisser mijoter 12 à 15 minutes.
  8. Retirer les concombres et les réserver au chaud. Ajouter la crème à la sauce, faire chauffer et réduire en purée. Ajouter le reste de moutarde et quelques gouttes de jus de citron. Si nécessaire, laisser épaissir légèrement la sauce.
  9. Servir avec les concombres et le reste de riz.

Régalez-vous !

Conseil : utiliser une cuillère parisienne pour évider les concombres.




Temps de préparation: 25 min.

 
  1. Mélanger le beurre mou avec ½ c-a-c de sel, l'eau de vie de prune et une généreuse quantité de poivre moulu jusqu'à ce que le mélange soit crémeux.
  2. Avec un morceau de papier de cuisson, former un rouleau de beurre, puis réserver au frais.
  3. Laver les rumsteaks, les essuyer, saler et les faire griller de 3 à 4 minutes de chaque côté au barbecue.
  4. Dresser sur des assiettes puis découper le beurre au poivre en tranches et les déposer sur les steaks en laissant fondre.

Régalez-vous !

L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.          

pour 4 pers
  • 125 g de beurre mou
  • 1 c-à-s d' eau de vie vieille prune
  •  poivre aux cinq baies
  • 4 rumsteaks à griller
  •  sel fin



pour 4 pers

  • 800 g de pommes de terre
  • 300 g de petits pois surgelés
  • 6 oignons nouveaux
  • 1 bottes de basilic
  • 90 g de beurre mou
  • 400 ml de bouillon de légumes
  • 200 ml de crème entière liquide
  • 50 g de crème épaisse
  • 8 œufs
  •  poivre noir
  •  sel fin

Temps de préparation: 40 min.

  1. Éplucher les pommes de terre et les couper en dés. Les cuire dans de l’eau bouillante salée pendant 10 minutes.
  2. Ajouter les petits pois surgelés et laisser mijoter à feux doux pendant 10 à 15 minutes.
  3. Pendant ce temps, nettoyer les oignons nouveaux et les couper en rondelles.
  4. Effeuiller 2/3 de la botte de basilic, le hacher grossièrement et réserver.
  5. Couper le basilic restant avec les tiges, le laver et laisser égoutter. Le faire revenir avec les oignons nouveaux dans 40 g de beurre.
  6. Mouiller avec le bouillon et la crème, porter à ébullition et laisser mijoter 5 minutes. Réduire en purée, puis saler et poivrer.
  7. Plonger les œufs délicatement dans de l’eau bouillante et laisser cuire pendant 7 minutes. Les retirer et enlever la coquille.
  8. Ajouter le basilic haché à la sauce. Égoutter les pommes de terre et les petits pois, faire une purée grossière, ajouter le reste de beurre et la crème. Goûter et, si nécessaire, rectifier l’assaisonnement.
  9. Servir avec les œufs mollets et la sauce.

Régalez-vous !




pour 4 pers
  • 600 g d' haricots verts haricot vert
  • 2 c-à-c de piment moulu piment moulu
  • 2 c-à-s d' huile de colza
  • 150 ml de lait de coco
  • 1 c-à-c de curry
  •   jus de citron
  • 1 oignon rouge
  • 1 poivron rouge
  • 3 c-à-s de noix de coco rapée
  •   sel fin
Temps de préparation: 30 min.

+ temps de la marinade (1 heure)

  1. Nettoyer les haricots et les cuire 15 à 18 minutes dans de l’eau bouillante salée. Une fois cuits, les verser dans une passoire, les passer sous l’eau froide et les égoutter.
  2. Faire chauffer le piment dans l’huile pendant 1 minute. Ajouter le lait de coco, le sel et le curry, puis laisser cuire 1 minute. Rectifier l’assaisonnement avec le jus de citron et, si nécessaire, un peu plus de curry. Ajouter les haricots verts.
  3. Peler l’oignon, le couper en deux puis en fines tranches.
  4. Nettoyer le poivron rouge, l’épépiner et le couper en petits cubes.
  5. Ajouter l’oignon, le poivron et la sauce à la noix de coco aux haricots. Laisser mariner au moins 1 heure.
  6. Avant de servir faire dorer légèrement dans une poêle sans matière grasse la noix de coco râpée. Vérifier l’assaisonnement de la salade et saupoudrer la noix de coco râpée sur la salade.

Régalez-vous !




Les pickles sont un condiment ultra-facile à préparer, qui s’adapte à n’importe quel plat : sandwich veggie, salade fraîcheur, tartine marine, omelette aux herbes, ou encore viande braisée. Un délice 100 % vegan dans lequel les légumes marinent simplement dans un mélange bouillant à base de vinaigre, de sucre, de sel et parfois d’eau, avant refroidissement. Il suffit ensuite d’égoutter les légumes à la saveur aigre-douce, avant de les croquer ou de les glisser dans une autre préparation.

 

On vous explique étape par étape comment préparer simplement ces pickles de légumes.

Etape 1 : la préparation des légumes

Concombre, oignon, betterave, haricot vert, radis, chou-fleur, carotte, courgette, tous les légumes ou presque (et même les fruits !) se prêtent à la préparation des pickles. Si pour la plupart, on les utilise crus, certains seront précuits avant d’être recouverts de vinaigre, comme les pommes de terre, qu’il suffit de cuire à l’eau avant de les utiliser. Pour la découpe, on peut détailler les légumes en rondelles (concombre, radis), en fleurettes (chou-fleur), en morceaux (carottes), mais aussi les laisser entiers comme pour les haricots verts.

 

Etape 2 : la marinade au vinaigre

Si le vinaigre blanc, de cidre, ou de riz, sont plébiscités pour cette préparation, on peut aussi utiliser du vinaigre balsamique blanc ou rouge, ou de vin, en fonction de la recette. On le fait simplement chauffer avec du sucre et du sel, et on porte à ébullition jusqu’à la dissolution complète du sucre. On peut aussi ajouter des aromates comme du laurier.

Etape 3 : la finalisation des pickles de légumes

On place les légumes dans un bocal avec éventuellement des herbes fraîches (aneth, estragon), ou des épices (poivre, moutarde, curcuma, cumin, coriandre, gingembre, anis, cannelle) en fonction de notre goût, et on verse dessus la marinade bouillante. On ferme et on laisse totalement refroidir avant de réserver au frais. Idéalement, il est préférable de laisser mariner deux ou trois jours pour un mélange de saveurs idéal. Ne reste ensuite qu’à les croquer !

Pickles de concombre au vinaigre de cidre

Pour 2 bocaux de 50 cl

700 g de concombres bien fermes
3 gousses d’ail émincées
1 c. à café de graines de coriandre
1 c. à café de cumin entier
25 cl de vinaigre de cidre
15 g de sel
25 g de sucre

Lavez les bocaux soigneusement.
Epluchez et épépinez les concombres, coupez-les en bâtonnets qui tiendront debout dans les bocaux, laissez un espace de 2 cm entre les concombres et le haut du bocal.
Répartissez l’ail et les épices dans les 2 bocaux. Disposez les concombres en serrant bien.
Portez le vinaigre, le sel, le sucre et 25 cl d’eau à ébullition, et versez sur les concombres en laissant 1 cm de marge en haut.
Refermez, laissez refroidir complètement et mettez au frais. Attendez deux ou trois jours avant de déguster ; les pickles se garderont quelques semaines.




Astuces et conseils de I terroir

Tout est vide sans toi, mon cœur se serre quand tu t'en vas. Je suis si heureuse en regardant tes yeux, si heureuse en sentant tes mains, en entendant le son de ta voix. Chérie, comme j'ai envie d'être avec toi, ne respirer que par toi. Je t'aime mon bel amour, je t'aime comme une folle jusqu'à en mourir.Citation de Édith Piaf 
Mon amour bleu
(2011)
ccebab17


Les beaux jours arrivent, et avec eux leur lot d'apéros entre copains, d’after work, de barbecues arrosés d’un petit rouge, de fêtes de village avec buvette, bref, quelles que soient les occasions, la fêtarde que vous êtes savez déjà que l’alcool va couler à flot !

Il est possible que vous ayez un petit préféré, ou que vous ne juriez que par les cocktails…
Mais avez-vous seulement une idée des petites bombes caloriques que les verres d’alcool que vous avez enchainés toute la soirée peuvent être ? 
mon Bikini remet les pendules à l’heure et vous donne un petit classement d’alcools du moins calorique au plus calorique, et idem pour les cocktails… Vous aurez peut-être des surprises !

Alcools

Bière 4-5° 37,3 kcal / 100g

Bière brune 40,7 kcal / 100g

Vin blanc sec 55,9 kcal / 100g

Vin rouge : 67,3 kcal / 100g 

Rosé : 71,5 kcal / 100g

Champagne : 81,7 kcal / 100g

Saké : 133 kcal / 100g

Muscat : 147 kcal / 100g

Eau de vie : 228 kcal / 100g

Vodka : 231 kcal / 100g

Whisky on the rocks : 249 kcal / 100g

Ricard / Pastis : 274 kcal / 100g

Cocktails

Mimosa : 73 kcal / 100g
(champagne et jus d’orange)

Sangria : 85,1 kcal / 100g
(vin rouge cuit, fruits marinés et eau pétillante)

Kir vin blanc : 91 kcal / 100g
(vin blanc et sirop)

Kir royal : 96,6 kcal / 100g
(champagne et sirop)

Bloody Mary : 123 kcal / 100g
(vodka, jus de tomate, jus de citron, sauce Worcestershire et Tabasco)

Gin tonic : 140 kcal / 100g
(gin, Schweppes)

Mojito : 160 kcal / 100g 
(rhum, jus de citron, feuilles de menthe, eau gazeuse, sirop de sucre de canne)

Punch : 162 kcal / 100g
(rhum, jus d’orange, jus de pamplemousse, jus d’ananas, sirop de sucre de canne)

Piña Colada : 174 kcal / 100g
(rhum blanc, rhum brun, crème et/ou lait de coco, jus d’ananas) 

Sex on the beach : 185 kcal / 100g
(vodka, liqueur de pêche, jus d’ananas, jus de cranberry)

Cosmopolitan : 194 kcal / 100g
(vodka, triple sec, jus de cranberry, jus de citron vert)

Long Island Ice Tea : 274 kcal / 100g
(vodka, gin, rhum blanc, triple sec, tequila, jus de citron, Coca-Cola)

Cela va-t-il vous aider à faire votre choix ?

 

 

 
 
 



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