Les blogs
du village
chez Séo and Co

chez Séo and Co

Deguemer mat ! lieu de partage & d'échanges

S'inscrire à la newsletter du village

Statistiques
Nombre de visites : 6 003 624
Nombre de commentaires : 1 911
Nombre d'articles : 2 079
Dernière màj le 10/11/2023
Blog créé le 06/12/2009

S'inscrire à la newsletter du blog

S'inscrire au fil RSS
Bienvenue sur mon blog !
Ravie de vous accueillir sur notre blog 100% femmes
0 complexe avec une pincée de créativité, un soupçon de fantaisie, quelques cuillères d'originalité...
des recettes à partager au fil des jours & aux grés des saisons.
Nous pouvons aborder tous les sujets qui vous tiennent à coeur, dialoguons ensemble partageons nos moments de vie en laissant vos coms, pour la plus grande joie de nos papilles & pupilles !
nous vous souhaitons bonne lecture...
au plaisir de vous lire,
on
vous encourage à commenter notre blog une fois la visite terminée.
Séve&Coco au plaisir
 (^_^)
<< 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 >>

les trois arbres

 23/12/2020
Il y a longtemps dans la forêt de Huelgoat, trois arbustes rêvaient à ce qu’ils voudraient devenir quand ils seraient plus grands.
Un jour, le premier regarda les étoiles qui brillaient comme des diamants au-dessus de lui.
— Je veux abriter un trésor, dit-il. Je veux être recouvert d’or et rempli de pierres précieuses. Je serai le plus beau coffre à trésor du monde.
Le deuxième arbre, lui, regarda la petite rivière d'argent qui suivait sa route vers l’océan.
— Je veux être un grand voilier, dit-il. Je veux naviguer sur de vastes océans et transporter des rois puissants. Je serai le bateau le plus fort du monde.
Le troisième petit arbre regarda les maisons où des hommes et des femmes s’affairaient.
— Moi, je veux pousser si haut que lorsque les gens s’arrêteront pour me regarder, ils lèveront les yeux au ciel et penseront à Dieu. Je serai le plus grand arbre du monde.
Les années passèrent. Les pluies tombèrent, le soleil brilla et les petits arbres devinrent grands. Un jour, trois bûcherons s’approchèrent d’eux.
Le premier bûcheron regarda le premier arbre et dit :
— C’est un bel arbre. Il est parfait.
En un éclair, abattu d’un coup de hache, le premier arbre tomba. "Maintenant, je vais être un coffre magnifique, pensa le premier arbre. J’abriterai un merveilleux trésor".
Le deuxième bûcheron regarda le deuxième arbre et dit :
— Cet arbre est vigoureux. Voilà ce qu’il me faut.
En un éclair, abattu d’un coup de hache, le deuxième arbre tomba. "Désormais, je vais naviguer sur de vastes océans, pensa le deuxième arbre. Je serai un grand navire digne des rois".
Le troisième arbre sentit son cœur flancher quand le bûcheron le regarda. "N’importe quel arbre me conviendra", pensa-t-il. En un éclair, abattu d’un coup de hache, le troisième arbre tomba.
Ils furent ensuite embarqués sur un bateau où ils restèrent à fond de cale jusqu’à ce qu’ils arrivent dans le pays de Palestine qu’ils ne connaissaient pas.
Le premier arbre se réjouit lorsqu’on l’apporta chez le charpentier, mais le charpentier était bien trop occupé pour penser à fabriquer des coffres. De ses mains calleuses, il transforma l’arbre en mangeoire pour animaux. L’arbre qui avait été autrefois très beau n’était pas recouvert d’or ni rempli de trésors. Il était couvert de sciure et rempli de foin pour nourrir les animaux affamés de la ferme.
Le deuxième arbre sourit quand on le transporta vers le chantier naval, mais ce jour-là, nul ne songeait à construire un voilier. A grands coups de marteau et de scie, l’arbre fut transformé en simple bateau de pêche. Trop petit, trop fragile pour naviguer sur un océan ou même sur une rivière, il fut emmené sur un lac, un grand lac certes, mais seulement un lac. Tous les jours, il transportait des cargaisons de poissons morts qui sentaient affreusement fort.
Le troisième arbre devint très triste quand on le coupa pour le transformer en grosses poutres qu’on empila dans la cour.
— Que s’est-il passé ? se demanda l’arbre qui avait été autrefois très grand. Tout ce que je désirais, c’était de rester dans ma forêt.
Beaucoup de jours et de nuits passèrent. Les trois arbres oublièrent presque leurs rêves. Mais une nuit, la lumière d’une étoile dorée éclaira le premier arbre au moment où une jeune femme plaçait son nouveau-né dans la mangeoire.
— J’aurais aimé pouvoir lui faire un berceau, murmura son mari.
La mère serra sa main dans la sienne et sourit tandis que la lumière de l’étoile brillait sur le bois poli.
— Cette mangeoire est magnifique, dit-elle.
Des rois vinrent se prosterner devant le bébé que le premier arbre protégeait, et soudain, le premier arbre sut qu’il renfermait le trésor le plus précieux du monde.
D’autres jours et d’autres nuits passèrent, mais un soir, trente-trois années plus tard, un voyageur fatigué et ses amis s’entassèrent dans la vieille barque du pêcheur. Tandis que le deuxième arbre voguait tranquillement sur le lac, le voyageur s’endormit. Soudain, l’orage éclata et la tempête se leva. Le petit arbre trembla. Il savait qu’il n’avait pas la force de transporter tant de monde en sécurité dans le vent et la pluie. Le voyageur s’éveilla. Il se leva, écarta les bras et dit :
— Paix !
La tempête se calma aussi vite qu’elle était apparue. Et soudain, le deuxième arbre sut qu’il était revenu en Armorique pour que le personnage capable de commander aux éléments puisse voir sa grand-mère Anne. L'arbre comprit alors que l'humain qu'il transportait était un des plus importants du monde.
À quelque temps de là, un vendredi matin, le troisième arbre fut fort surpris lorsque ses poutres furent arrachées à la pile de bois oubliée. Transporté au milieu des cris d’une foule en colère et railleuse, il frissonna quand les soldats clouèrent sur lui les mains d’un homme. Il se sentit horrible et cruel. Mais le dimanche matin, quand le soleil se leva et que la terre toute entière vibra d’une joie immense, le troisième arbre sut que l'homme qui était mort sur lui était maintenant ressuscité et que le monde entier allait changer.
Dieu dans le ciel avait manifesté sa puissance sur terre. Il avait rendu le premier arbre beau. Il avait rendu le second arbre fort. Et à chaque fois que les gens penseraient au troisième arbre ils penseraient à Dieu. Voilà qui était beaucoup mieux que d’être le plus grand arbre du monde.
Quand vous vous réveillerez
hier ira de l'avant
et demain sera aujourd'hui
d'ici-là bonne nuit à toutes & tous !



Je suis ravie de vous annoncer que l'on sais retrouvées dès ce lundi dans Tous en Cuisine saison 3,
 pour réaliser vos menus de fêtes de cette fin d'année 2020 les copinautes de la team fait maison !



POUR 2 ADULTES ET 2 ENFANTS,
prépa 30 mns, cuisson 20 mns.


Hamburgers
• 2 escalopes de foie gras de canard de 50g
• 2 cuil. à soupe de graines de sésame
• 360g de viande hachée de bœuf
• 100g de viande hachée de porc
• 1 cuil. à café de sel de céleri
• 1 cuil. à café de cannelle
• 1 cuil. à café d’anis sauvage en poudre
• ¼ de botte de persil haché finement

Echalotes caramélisées
• 4 échalotes épluchées et ciselées très finement
• 20g de beurre
• 1 cuil. à soupe de sucre

Sauce okonomiyaki
• 4 cuil. à soupe de ketchup
• 4 cuil. à soupe de sauce Worcestershire
• 1 cuil. à soupe de sauce huître
• 1 cuil. à soupe de miel

• 4 pains burger coupés en 2 (prêts à toaster)
• 4 cuil. à soupe de mayonnaise dans une poche sans douille
• 1 morceau de cheddar vintage
• 2 feuilles de romaine en morceaux
• 25g de beurre demi-sel
• Huile neutre
• Sel fin et poivre du moulin
Dans une petite sauteuse, versez un trait d’huile et ajoutez le beurre, déposez les échalotes et laissez-les caraméliser. Salez et ajoutez le sucre. Réservez de côté dans un bol.

Mélangez dans un bol le ketchup, la sauce Worcestershire, la sauce huître et le miel. Réservez de côté.

Dans un saladier, déposez la viande de bœuf et la viande de porc, ajoutez les ¾ d’échalotes confites, les épices et le persil haché, assaisonnez de sel et poivre. Formez des steaks à l’aide d’un emporte-pièce de la taille du pain burger puis aplatissez légèrement la viande. Réservez de côté dans une assiette.

Dans une poêle chaude, déposez les 2 escalopes de foie gras préalablement salées, colorez-les sur toutes les faces. Enroulez-les dans les graines de sésame et laissez-les reposer quelques minutes dans une assiette sur un papier absorbant.
Pendant que les escalopes reposent, dans la même poêle chaude, versez quelques gouttes d’huile et déposez le beurre demi-sel, laissez-le colorer, déposez les steaks et laissez-les colorer des 2 faces, puis cuisez-les selon la cuisson souhaitée. Arrosez à la cuillère du beurre de cuisson.

Toastez les pains burger.
Dressez les 2 hamburgers pour les petits en commençant par le pain puis une cuillerée de sauce okonomiyaki, ajoutez par-dessus la romaine, puis le reste des échalotes confites chaudes, le steak, versez une seconde cuillerée de sauce, râpez le cheddar, ajoutez quelques traits de mayonnaise, terminez par le chapeau du pain burger. Pour les grands, répétez les étapes sans le fromage et en terminant avec l’escalope de foie gras sur le dessus.

du chef Cyril Lignac !



POUR 4 VERRINES, prépa 15 mns .

• 6 grosses noix de Saint-Jacques de 4cm de diamètre (si elles sont plus petites prenez-en 2 de plus, ne prenez pas le corail pour cette recette)
• 30g de jus de clémentine Corse
• 10g de jus de citron jaune
• 50g d’huile d’olive
• Quelques feuilles d’aneth
• Quelques graines de Sobacha ou sésame torréfié
• 1 clémentine Corse
• Fleur de sel
• Poivre blanc ou noir
Lavez sous un filet d’eau froide vos noix de Saint-Jacques pour retirer les excédents de sable et de coquilles que le poissonnier aurait laissés. Déposez les noix dans un linge propre. Coupez-les ensuite en cubes pas trop gros et mettez-les dans un saladier.
Dans un saladier, mélangez les 2 jus de fruits avec l’huile d’olive.
Vous pouvez garder les coques de clémentines, elles vous serviront de verrines.
Assaisonnez le tartare de Saint-Jacques avec la vinaigrette, salez à la fleur de sel et poivrez. Mélangez et déposez dans des petites verrines ou dans les coques de clémentines, ajoutez quelques graines de Sobacha ou de sésame torréfié, décorez de feuilles d’aneth et d’un zeste de clémentine.
S’il vous reste de la vinaigrette, vous pouvez la conserver au frais quelques semaines dans une bouteille.

du chef Cyril Lignac !



pour 4 pers, prépa 10 mns, cuisson 10 mns.

Sablés :
• 150g de farine
• 116g de poudre d’amandes
• 50g de sucre roux
• 1 cuil. à soupe de cannelle en poudre
• 1 zeste d’orange non traitée
• 1 pincée de sel fin
• ½ sachet de levure chimique
• 3 cuil. à soupe de purée d’amandes blanches
• 2 cuil. à soupe d’huile d’amande
• 84g de lait
• Farine pour le plan de travail
Glaçage :
• 60g de sucre glace
• 1 jus de citron jaune
Dans un saladier, versez la farine, la poudre d’amandes, le sucre, la levure chimique, le sel, la cannelle et le zeste d’orange râpée. Mélangez.
Ajoutez l’huile d’amande et la purée d’amandes. Mélangez de nouveau. Formez comme une poudre et ajoutez le lait pour faire une boule.
Farinez votre plan de travail et étalez votre pâte, formez les dessins que vous souhaitez à l’aide des emporte-pièces. Déposez les sablés sur la plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Enfournez à 180°C pendant 10 minutes. Sortez les sablés et laissez refroidir.
Mélangez le jus de citron avec le sucre glace pour obtenir le glaçage, versez dans la poche. Décorez les sablés.

du chef Cyril Lignac !



pour 4 pers, prépa 20 mns, cuisson 20 mns.

Foie gras mi-cuit :
• 1 lobe de foie gras de canard cru entier de 500g à 600g
• 2cl de cognac
• 2cl de porto rouge ou madère
• 7g de sel fin
• 1g de poivre du moulin fraîchement moulu
• Fleur de sel
• Graines de poivre
Chutney de dattes :
• 2 poires lavées et épluchées et coupées en cubes
• 4 figues sèches et coupées en petits cubes
• 8 dattes Medjool dénoyautées et coupées en petits cubes
• ½ oignon épluché et ciselé
• 25g de miel
• 25g de vinaigre de Xérès
Sur votre plan de travail bien propre, déposez un plateau avec votre lobe de foie gras, puis retirez le petit lobe du gros lobe. Commencez à le déveiner par l’intérieur à l’aide d’une cuillère, selon la technique expliquée par le Chef. Retirez les veines principales et écartez bien les chairs sans trop casser les chairs extérieures, salez et poivrez, assaisonnez de cognac et porto rouge ou madère. Déroulez le film sur votre plan de travail et posez le foie gras dessus. Roulez-le dans le film et formez un généreux rouleau sans trop le compresser, il faut qu’il soit de la longueur du foie gras mais qu’il reste serré.
Déposez le rouleau sur une assiette et enfournez-le au micro-ondes 1 minutes 30. Sortez-le, puis, à l’aide du couteau d’office, faites 3 points pour chasser l’air, enroulez de nouveau dans une feuille de film et plongez-le dans un bain d’eau glacée 30 minutes. Puis déposez-le au frais. Vous pouvez le laisser au réfrigérateur jusqu’à 5 jours.
Taillez les poires en cubes pas trop gros.
Dans une sauteuse, versez le miel et le vinaigre, formez un caramel blond, ajoutez l’oignon ciselé puis les cubes de figues, de dattes et de poires. Laissez cuire 15 minutes. Au terme de la cuisson, débarrassez dans un petit bol et réservez au frais jusqu’au moment de servir avec les tranches de foie gras.
Sortez le foie gras du frais quand il est bien dur et défilmez-le. Retirez l’excédent de gras si vous le souhaitez. Trempez votre lame de couteau filet de sole dans une eau très chaude, cela évitera de casser les tranches de foie gras. Coupez ensuite les tranches et déposez-les dans les assiettes. Parsemez un peu de fleur de sel et de graines de poivre. Servez avec le chutney et du pain grillé, vous pouvez également ajouter quelques fruits frais.

du chef Cyril Lignac !




Vous êtes plus galette ou couronne des rois ? Dans notre bretagne, on a fait notre choix pour l’épiphanie : ce sera la galette des reines poires chocolat. En espérant qu’elle connaisse un meilleur sort que celle de ketty avec séverine !



pour 8 pers,cuisson 20 à 25 mns.



  • 2 pâtes feuilletées
  • 2 poires
  • beurre
  • 70 g de sucre
  • 50 g de beurre ramolli + 10 g pour la poêle
  • 2 oeufs
  • 100 g de poudre d'amandes
  • 50 g de pépites de chocolat
  • 1 fève
  • 1 jaune d'oeuf
 Pelez, ôtez le coeur et coupez les poires en cubes. Faites-les revenir à la poêle, dans un peu de beurre. Réservez.

 Dans un saladier, mélangez le sucre avec le beurre. Incorporez les oeufs et la poudre d’amandes.

 Etalez une pâte feuilletée sur une plaque à pâtisserie. Répartissez la crème d’amandes en laissant un bord et ajoutez 1 fève. Répartissez les poires et les pépites de chocolat. Couvrez la galette avec la deuxième pâte. Repliez les deux bords pour bien les souder. Avec un couteau, faites de légères incisions en forme de quadrillages pour décorer la galette.


 Badigeonnez le dessus de la galette avec le jaune d’oeuf battu avec une cuillère à soupe d’eau. Enfournez 20 à 25 min dans le four préchauffé à 180°C. Servez tiède ou froid.

le délice de ketty ! 



Vous êtes plus galette ou couronne des rois ? Dans le Sud, on a fait notre choix pour l’épiphanie : ce sera la couronne des rois provençale aux fruits confits. En espérant qu’elle connaisse un meilleur sort que celle de Mehdi avec le chef  Emmanuel !
(!! attention 5 h de repos au total pour la pâte !!).

pour 4 pers, prépa 30 mns, cuisson 15 mns.



  • 250 g de farine
  • 75 g de beurre
  • 50 g de sucre
  • 2 oeufs
  • 1.5 cuillère d’eau de fleur d’oranger
  • Levure de boulanger un cube (40g)
  • Zeste d’orange râpé
  • Fruit confit en petits cubes
  • Fruit confit entiers pour la garniture


  1. (!! attention 5 h de repos au total pour la pâte !!).
  2. Délayer la levure dans un peu d’eau tiède avec 50 g de farine et une pincée de sucre. Laisser reposer 1 h dans un endroit tiède.
  3. Dans un saladier mettre le reste de farine, le sucre, le beurre fondu et refroidi, les oeufs entiers battus, l’eau de fleurs d’oranger, le zeste d’orange râpé. Bien mélanger l’ensemble et rajouter le levain de façon homogène et battre l’ensemble avec la paume de la main pendant au moins 5 mn.
  4. Mettre la pâte en boule dans un saladier, recouvrir d’un torchon et laisser gonfler 3 h au tiède.
  5. Reprendre la pâte et mélanger rapidement les fruits confits coupés en cubes.
  6. Séparer la pâte en 2 boules régulières. Enfoncer le poing au milieu d’une boule pour faire un trou et agrandir le trou en étirant la pâte de façon à former un boudin cylindrique.
  7. Poser sur une plaque huilée et laisser reposer encore 1 heure.
  8. Dorer à l’oeuf battu et faire cuire à four préchauffé à 150°C pendant 15 à 20 mn, avec un bol d’eau pour humidifier l’air du four. Surveiller la fin de la cuisson.
  9. Garnir le gâteau froid de fruits confits entiers que l’on peut laquer avec du sirop de sucre (mais ce n’est pas obligatoire), on peut aussi saupoudrer de sucre cristallisé.
  10. Ne pas oublier de glisser une fève et un sujet dans le dessous du gâteau et de prévoir les couronnes


le délice de corinne !



Et si comme Mehdi, nous trouvions notre recette signature autour d’un millefeuille ? Pour se différencier du jeune apprenti , le nôtre sera à la fraise (ou framboise selon vos goûts). Vous nous suivez dans la recette ?


pour4 pers, prépa 10 mns , cuisson 20 mns.


  • 250 g de pâte feuilletée (plutôt de forme rectangulaire)
  • 200 g de crème pâtissière
  • Framboises ou morceaux de fraises pour la garniture
  1. Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6).
  2. Placer la pâte feuilletée sur une plaque, sur un papier sulfurisé.
  3. Poser une deuxième feuille de papier surfurisé dessus et une autre plaque plus petite sur cette feuille. Le but est que la pâte cuise sans gonfler.
  4. Passer au four 15 minutes.
  5. Couper la pâte cuite en 4 dans le sens de la longueur et en 3 dans celui de la hauteur.
  6. Placer les rectangles sur la grille et le saupoudrer de sucre glace, puis faire caraméliser 5 minutes au four poussé à 210°C (thermostat 7).
  7. Laisser refroidir et garnir : 1 rectangle de pâte, de la crème (éventuellement quelques framboises ou morceaux de fraise), 1 autre rectangle, de la crème, le troisième et dernier rectangle.
  8. Et voilà quatre millefeuilles prêts à régaler les amateurs de pâtisserie !
  9. et ici tout commence !



Béarnaise....sauce

 22/12/2020
Un classique pour accompagner vos viandes :
la sauce béarnaise !
Attention à mettre assez d’herbes dedans si, comme Greg, vous ne voulez pas vous faire reprendre par la cheffe Clothilde  !


pour 6 pers, prépa 20 mns, cuisson 10 mns.



  • 2 jaunes d’oeuf
  • 5 cuillères à soupe de vin blanc
  • 3 cuillères à soupe de vinaigre de vin
  • 3 cuillères à soupe d’estragon frais ou séché
  • 1 échalote émincée très finement
  • 150 g de beurre
  • Poivre
  • Sel
  1. Dans un poêlon, verser le vin blanc, le vinaigre ainsi que 2 cuillères d’estragon, sel, poivre ainsi que l’échalote émincée.
  2. Faire cuire +/- 10 minutes afin de réduire un peu.
  3. Retirer du feu et attendre quelques minutes. Ajouter les 2 jaunes et fouetter.
  4. Remettre sur le feu doux et mélanger sans arrêt pour monter la béarnaise. Attention les jaunes d’oeufs cuisent à 70° donc bien mélanger et surveiller la cuisson.
  5. Dès que le sabayon est pris, retirer du feu et ajouter le beurre bien froid coupé en petits morceaux (morceau par morceau)
  6. Bien mélanger au fouet.
  7. Rectifier l’assaisonnement et ajouter l’estragon restant.
  8. et ici tout commence !



Vous organisez un Réveillon de dernière minute ?
Pas de soucis !
Voici quelques canapés frais d’apéro, tout droit sortis de frigo d'ici. Ils feront parfaitement l’affaire … accompagnés d’une coupe de champagne !
Bonne année à toutes & tous !

pour 4 pers, prépa 5 mns,cuisson 0 mn.


  • 4 tranches de pain de campagne
  • 1 carré frais
  • Tomates cerise
  • 1/2 concombre
  • 4 tranches de jambon cru


  1. Couper le pain à toasts en carrés ou en rond.
  2. Tartiner de Carré frais, en couches relativement bien épaisses.
  3. Déposer dessus, une rondelle de concombre, une volute de jambon cru et une petite tomate cerise.
  4. et tout commence ici !



Nolwenn

 21/12/2020
Nolwenn habitait dans un petit village des montagnes noires. Ses parents, des paysans farouches, n’avaient jamais pensé à l’envoyer à l’école, ni au catéchisme d’ailleurs. C’est pourquoi Nolwenn n’avait jamais pensé à la religion. Elle ne savait même pas ce que c’était. Cela ne l’empêchait pas d’avoir un cœur d’or.
Sa famille était si pauvre qu’elle habitait dans une vieille cabane de rondins grossiers au milieu d’une clairière isolée dans la forêt.
Nolwenn n’avait pas de lit pour dormir, à peine quelques vêtements pour se vêtir et du pain de châtaignes pour manger.
Elle songeait souvent que le monde entier les avait abandonnés, elle et sa famille. Personne ne venait jamais jusqu’à leur clairière, accessible uniquement par un sentier à peine visible dans les hautes herbes.
Cependant, ils parvenaient quand même à survivre grâce à la débrouillardise de la jeune fille qui trouvait toujours quelques châtaignes, quelques champignons, quelques épis de blé sauvages récoltés çà et là.
Lorsque sa récolte dépassait leurs besoins, elle descendait au village pour les vendre, ou les échanger contre un peu de viande.
C’était le cas aujourd’hui. Nolwenn vit tout de suite que quelque chose n’était pas comme d’habitude : les arbres de la place avaient été décorés de lumières multicolores. Des mots composés de lettres scintillantes avaient été accrochés au-dessus des rues sans qu’elle ne comprenne ce qu’ils signifiaient.
Tous les magasins rivalisaient de merveilles exposées dans leurs vitrines. Comme c’était beau !
En cherchant le meilleur emplacement pour poser son panier, Nolwenn rencontra une vieille femme qui lui dit :
— S’il te plaît petite fille, donne-moi quelque chose à manger, j’ai si faim.
Nolwenn qui avait un cœur d’or lui donna aussitôt des châtaignes. Elle fit même un feu pour réchauffer la vieille et les faire cuire.
— Mille mercis, jeune fille, lui dit la vieille femme. Sans toi, je serais morte de faim.
Nolwenn poursuivit son chemin et arriva près d’une fontaine au milieu d’une petite place. L’endroit était calme et tranquille… Au fond du bassin se trouvaient des pièces de petite monnaie que des gens avaient jetées pour faire un voeu. Nolwenn en remplit son panier puis se désaltéra avec l’eau fraîche de la fontaine. C’est alors, qu’elle entendit des petits gémissements… Elle fit le tour du bassin et découvrit deux enfants qui pleurnichaient. Apeurés, ils reculèrent et se serrèrent l’un contre l’autre contre le rebord en pierre de la fontaine
— N’ayez pas peur les petits ! Je ne vous ferai pas de mal. Mais pourquoi pleurez-vous ainsi ?
— Nous…nous…nous sommes perdus, bégayèrent les enfants entre deux sanglots.
— Mais où habitez-vous?
— Oh, très loin, répondirent les enfants, mais nos parents sont ici pour le marché de Noël. Ils logent chez madame Le Goizec, la couturière.
— Calmez-vous, je sais où elle habite et vais vous indiquer le chemin. Mais prenez ces châtaignes encore chaudes, elles vous réconforteront.
Et Nolwenn indiqua la route aux enfants puis reprit son chemin dans le village. Déjà, le pâle soleil d’hiver se couchait. Elle se mit alors à ramasser tout ce qu’elle put trouver pour le feu, car les nuits sont parfois très froides sous le ciel de Bretagne et on avait du mal à colmater les « jours » entre les rondins dans les murs de la pauvre cabane !
Alors qu’elle s’apprêtait à rentrer, Nolwenn entendit une faible voix qui appelait. Elle vit alors un vieillard tout grelottant, étendu sur le chemin. Aussitôt, Nolwenn le couvrit avec son châle et s'inquiéta:
— Mais que faites-vous là, par terre, à cette heure?
— Ah petite! Il y a longtemps que je suis étendu ici… J’étais venu faire quelques courses alors que le soleil était encore haut. Mais voilà, je suis tombé et je n’arrive pas à me relever tant ma jambe me fait mal.
— Attendez, je vais vous soigner!
Nolwenn avait justement un peu de plantain avec elle. Elle couvrit la plaie du vieillard et lui fit un solide bandage avec le morceau de drap qui traînait dans sa poche. Elle aida alors l’homme à se relever puis à rejoindre sa petite maison, dans le village, au pied des montagnes noires. Là, elle fit un bon feu avec ce qu’elle avait ramassé afin de réchauffer le vieil homme.
— Oh, merci, chère petite! s’exclama le vieillard. Tu as vraiment un cœur d’or! Dieu te le revaudra, j’en suis sûr!
Nolwenn ne comprit pas ce qu’il voulait dire mais maintenant, il faisait nuit. Elle se hâta de rejoindre sa mère qui devait s’inquiéter. Certes, elle n’avait plus de fruits à manger, ni de châle pour se réchauffer, mais elle se sentait si heureuse d’avoir rendu service. Malgré le froid de la nuit, régnait une douce chaleur au fond de son cœur. Cependant bientôt Nolwenn se retrouva seule, perdue dans ce bois qu’elle ne connaissait pas… Elle tâtonnait dans le noir, essayant de repérer les collines qu’elle parcourait chaque jour, lorsqu’elle entendit une voix qui murmura:
— Toi qui n’avais rien, tu as tout partagé. Toi qui te sentais abandonnée, tu as soulagé les autres… Suis maintenant le chemin des étoiles et garde confiance!
C’est alors qu’une multitude d’étoiles éclairèrent la route de Nolwenn. Elles formaient un chemin et brillaient de plus en plus pour guider les pas de la jeune fille. Nolwenn croyait rêver tant le chemin était illuminé. C’est alors qu’elle aperçut un être aux bois de cerf tout auréolé de lumière qui s’approcha et lui dit :
— N’aie pas peur, jeune fille! Je suis Cernunnos, dieu de la forêt, des trésors et de la fécondité. J'ai vu ton cœur d’or et je souhaite te récompenser. Continue de suivre les étoiles.
À nouveau les étoiles semblaient former un chemin comme pour indiquer la route… Nolwenn les suivit de nouveau. Elle ne trébuchait plus, tant leur lumière l'éclairait.
Lorsqu'elles s'arrêtèrent, la jeune fille réalisa qu'elle était dans une clairière au centre de laquelle se trouvait un énorme dolmen à l'intérieur duquel quelque chose brillait.
Nolwenn s'approcha. La terre s'ouvrit devant elle et une tribu de Korrigans en sortit pour commencer à danser autour d'elle.
« Voilà Nolwenn, chantaient-ils, la jeune fille qui a de l'or dans le cœur. Comme elle ne peut pas voir celui qu'elle a à l'intérieur, il nous faut lui en donner à l'extérieur ! »
D'autres korrigans apportèrent alors un vieux chaudron rempli de pièces plus brillantes les unes que les autres.
Ils le déposèrent aux pieds de la jeune fille qui n'osa pas y toucher, effrayée qu'elle était par ces petits êtres noirs aux yeux rouges.
« C'est pour elle, c'est pour elle » chantèrent les korrigans, puis ils retournèrent sous la terre.
Ce ne fut que lorsque le silence retomba sur la clairière que Nolwenn osa s'approcher. Elle toucha d'abord le chaudron pour vérifier qu'il était réel, alors, constatant que c'était le cas, elle se décida à le prendre.
Une brise se leva qui fit bruisser à l'unisson tous les arbres de la forêt en une mélodie douce de clochettes et de grelots, parfaitement adaptée à cette nuit de Noël.
Lorsqu'elle revint chez elle, elle montra le chaudron à ses parents et voulut leur donner la moitié des pièces qu'il y avait à l'intérieur, mais ô miracle : le chaudron ne se vidait pas.
Nolwenn et sa famille restèrent à l'abri du besoin jusqu'à la fin de leurs jours. Chaque soir ils purent s'endormir le ventre plein et l'esprit confiant en l'avenir.
Quand vous vous réveillerez
hier ira de l'avant
et demain sera aujourd'hui
d'ici-là bonne nuit à toutes & tous !



Caroline nous a donné la recette de son gâteau au chocolat !
Rien de tel pour raviver ses souvenirs d’enfance et en créer d’autres avec vos proches.
Et comme chez la famille de Caroline, il permettra peut-être aussi d’enterrer la hache de guerre !


pour 6 pers,prépa 10 mns, cuisson 30 mns.


  • 125 g de chocolat noir (min 55%cacao)
  • 230 g de sucre
  • 125 g de farine
  • 4 oeufs
  • 200 g de crème fraîche
  • Beurre pour le moule


  1. Faire fondre le chocolat, cassé en morceaux, au bain-marie.
  2. Pendant ce temps, fouetter au batteur électrique, les oeufs et le sucre pendant 4-5 minutes.
  3. Ajouter la farine, la crème et le chocolat fondu, tout en battant.
  4. Verser dans un moule à manqué beurré et fariné.
  5. Enfourner pour 30 à 40 mn à thermostat 6: une croute se forme mais l’intérieur doit rester moelleux.
  6. Démouler encore chaud et renverser le gâteau sur une assiette: la croûte se ramollira. Déguster froid.

  7. et ici tout commence !



Plus savoureuse que la bûche du chef Emmanuel et plus  gourmande que la bûche duo de chocolat de Noémie et Maxime,
notre bûche trois chocolats ravira vos convives pour le repas de Noël !
Toute  trois nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année !


Attention : Cette recette se réalise sur 2 jours.
pour 10 pers, prépa 10+30 mns, cuisson 360 mns.


Pour le biscuit :

  • 4 oeufs
  • 100 g de farine
  • 80 g de sucre
  • 2 cuillères à café de levure chimique
  • 50 g de chocolat en poudre (pour petit déjeuner)

Pour la mousse :

  • 25 cl de crème liquide
  • 120 g de chocolat blanc à cuisiner
  • 40 g de beurre

Pour le croustillant feuillantine :

  • 200 g de pralinoise
  • 60 g de crêpe dentelle (natures ou au beurre salé)

Pour le glaçage miroir :

  • 210 g de sucre
  • 75 g d’eau
  • 70 g de cacao amer
  • 145 g de crème liquide
  • 8 g de gélatine (3 feuilles)
  1. Génoise au chocolat au lait, mousse chocolat blanc, croustillant praliné (facultatif), glaçage miroir chocolat noir.
  2. La veille, préparer la mousse :
  3. Mettre la crème et un saladier au frigo (voire au freezer).
  4. Monter la crème liquide préalablement refroidie en chantilly, dans le saladier également refroidi. Mettre au frigo. Faire fondre le chocolat blanc (très doucement ; il cuit vite). Mélanger doucement la moitié de la crème en chantilly au chocolat blanc fondu. Ajouter le reste de la chantilly en 2 ou 3 fois doucement pour ne pas casser la chantilly. Mettre au frigo.
  5. Préparer la génoise :
  6. Préchauffer le four à 240°C (thermostat 8).
  7. Dans un saladier, battre les jaunes d’œufs avec 60 g de sucre. Battre les blancs en neige dans un deuxième saladier (j’y mets les 20 g de sucre restant quand les blancs sont bien montés). Ajouter la levure à la farine et bien mélanger. Ajouter les blancs d’œufs montés en neige au mélange jaunes-sucre. Alterner avec le mélange farine-levure en tamisant. Verser la pâte sur un moule à génoise, environ 40 cm x 25 cm. Bien égaliser avec une spatule.
  8. Mettre au four pendant 6 min.
  9. Retourner le gâteau sur un torchon mouillé, enlever le moule et rouler dans le sens de la longueur. Laisser refroidir.
  10. Préparer le praliné feuilleté :
  11. Faire fondre la pralinoise au bain-marie, laisser tiédir, écraser les crêpes en grosses paillettes, ajouter les gavottes à la pralinoise fondue.
  12. Monter le roulé :
  13. Étaler la mousse sur toute la surface, en commençant par le bord qui sera au milieu, et rouler le gâteau sur lui-même au fur et à mesure. Essayer d’avoir une couche d’égale hauteur partout. Sur les 3 cm restant, étaler une fine couche de croustillant praliné. Couper les deux bouts en biseau. Mettre au frigo.
  14. Préparer le glaçage :
  15. Tremper la gélatine dans de l’eau froide. Dans une casserole faire bouillir l’eau et le sucre à une température de 103°C. (Le mélange reste sous les 103°C un certain temps ; bien attendre). A 103°C et hors feu ajouter le cacao en mélangeant bien.
  16. Faire chauffer la crème liquide au micro-ondes. Égoutter la gélatine. Mélanger-la à la crème chaude. Mélanger au chocolat.
  17. Laisser refroidir. Utiliser le glaçage à 30°C.
  18. et ici tout commence !



On vous propose aujourd’hui la recette de l’incontournable chapon de Noël farci ! L’astuce d’Eliott pour fourrer le chapon si l’opération vous rebute ? Le faire avec sensualité !

pour 8 pers, prépa 30 mns, cuisson 128 mns.



  • 1 chapon d’environ 3 kg
  • 1 botte de persil
  • 1 échalote
  • 1 gousse d’ail
  • 1 grosse poignée de pain
  • 15 cl de lait
  • 200 g d’épinards frais
  • 50 g de Foie gras mi-cuit
  • 1 oeuf entier
  • Foie du chapon ou 100 g de foie de lapin (ou de volailles)
  • Poivre du moulin
  • Sel
  • Huile
  • Beurre
  1. Ôter les éventuelles plumes restant sur le chapon. Hacher le persil, la gousse d’ail et l’échalote finement.
  2. Pocher les épinards 8 min dans de l’eau bouillante salée, et bien les essorer sur du papier absorbant.
  3. Tremper rapidement la mie de pain dans le lait et l’émietter grossièrement.
  4. Hacher le foie du chapon, couper le foie gras en petits morceaux.
  5. Mettre tous les ingrédients dans un grand saladier, y compris l’oeuf, saler et poivrer à votre convenance. Bien mélanger, mais surtout ne pas utiliser de mixer, tout doit être haché grossièrement.
  6. Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6). Farcir le chapon et le coudre. Penser à trouver une âme charitable pour vous aider !
  7. Huiler la bête avec un pinceau (ou amoureusement avec les mains); le déposer dans un plat en déposant sur le dessus de fines lamelles de beurre (pas trop, c’est déjà assez gras comme viande).
  8. Couvrir avec de l’aluminium, et enfourner pour 1 heure de cuisson, en l’arrosant régulièrement et en remettant bien l’aluminium à chaque fois.
  9. Au bout d’une heure, ôter l’aluminium, et faire dorer le chapon sous toutes les coutures en le retournant et l’arrosant tous les 1/4 pendant encore 1 h… Ça fait 2 heures en tout.
  10. Vérifier que le chapon est bien cuit partout, et servir sans attendre accompagné de fagots de haricots verts et d’une cuillerée de farce par personne, et éventuellement de pommes duchesse pour faire joli
  11. et ici tout commence !



<< 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 >>

 

J'invite un ami à créer son blog
 
Votre prénom :
Prénom de votre ami :
E-mail de votre ami :
 
Message :