chez Séo and Co

Il ne faut jamais dire jamais.
Même là, serait-ce vraiment jamais ?
Ces jamais à ne jamais dire…
Parce que ces dires vont venir.

Certains jamais existeront.
S’ils existent, où sont les jamais ?
Qui nous faisaient dire ces jamais ?
Et qu’un jour nous regretterons.

Jamais… cette affirmation sure.
Si sure, qu’ici nous en doutons.
A jamais d’en être si sure.

Oui, je retire tous mes jamais.
Donc, serais-je sure d’avoir raison ?
A tout jamais de ces jamais ?

Je n’ai jamais vu autant de jamais,
sur un aussi petit espace,
d’expressions sur ces jamais, que jamais au paravent,

je n’avais, jamais osé penser.
Jamais je n’oserais dire de tels jamais,
sur un tel sujet de jamais,

 parce que jamais plus ces jamais
ne seront jamais
 aussi sure d’être des jamais.

Ah, des haïkus…
Jamais ces jamais,
N’oseront être des jamais,
Faits de vrais jamais.

Jamais pour toujours,
Toujours être nullement,
Autre que des jamais.

Serait-ce compliqué
D’oser taire tous ces jamais ?
Ceci à jamais ?

Jamais ça semble drôle,
En l’entendant prononcer,
Sachant le contraire.

Un dernier jamais ?
Sûr… jamais plus de jamais.
Jamais pour toujours.

Pour les viandes

Boeuf : 3 heures

Viande de mouton : 2 heures 15

Volailles : 1 heure 30

Pour les légumes

Carottes, navets, pois chiches secs : 1 heure

Choux blanc, courgettes : 40 minutes

Courge : 30 minutes

ASTUCES

Les pois chiches secs : sont gonflés dans un bol

d'eau froide avec une cuillerée de

bicarbonate de soude (plus digeste), quelques heures.

La courge : lavez la peau et la conserver pour la

cuisson, cela évite à la cuisson d'avoir une purée.

l 'escalier du phare D'ECKMUHL

la lentille du phare

Pont-Aven

C'est un professionnel qui a suivi une formation universitaire (il est donc entraîné à une démarche scientifique) et, dans de nombreux cas, une formation personnelle (développement personnel sous la forme d'une « analyse » ou d'une psychothérapie). Ce qui n'en fait pas un être parfait, mais quelqu'un de prudent ayant développé de l'empathie. Ni « professionnels de santé » ni « auxiliaires médicaux », les psychologues forment une profession en soi, bien qu'ils se distinguent entre eux par leurs champs d'intervention et leurs « théories de référence »

2/. Le psychiatre :

C'est un médecin ayant fait une spécialité en psychiatrie. Entre autres compétences, il prescrit des médicaments (ce que ne peuvent pas faire les non-médecins) agissant ainsi sur la biologie du cerveau pour induire une amélioration psychologique et, en conséquence, comportementale. Il n'est pas psychologue ni psychothérapeute, sauf s'il a suivi une formation dans ces disciplines. 

3/. Le psychothérapeute :

Il est souvent un psychologue, un médecin, ou un psychanalyste (attention, certains ne sont ni l'un ni l'autre !). Il a suivi une formation théorique et surtout pratique (au minimum en psychopathologie clinique) lui donnant une compétence pour l'application de méthodes psychothérapiques spécifiques. Cette formation est, normalement, associée à un « travail sur soi » et à une « supervision » auprès d'un professionnel expérimenté. L'usage de ce titre est réglementé.  

4/. Le psychanalyste :

C'est une personne ayant suivi une psychanalyse (freudienne, lacanienne ou jungienne). Il propose à ses clients une « analyse » de plus ou moins longue durée sur le divan (dite « classique »), ou en face à face. Il doit être régulièrement enregistré dans l'annuaire d'une association psychanalytique et être « supervisé » par l'un de ses collègues. Parmi eux, certains sont psychologues, médecins et/ou psychothérapeutes.

Les théories qui cherchent à expliquer l'origine des émotions sont nombreuses. Selon l'une d'elles,toute émotion surgirait à la faveur d'une perturbation, c'est à dire de la manifestation d'un phénomène nouveau, interrompant le cours prévisible des choses. 

La réaction à pareil phénomène perturbant est automatique et échappe totalement à la volonté du sujet, au moins pendant quelques secondes. Elle se manifeste par diverses réponses neuro-végétatives qui peuvent s'apparenter à celles engendrées par le stress. Les symptômes qui en découlent sont :

- Le coeur bat plus vite,

- le foie stimulé par les hormones sécrète plus de glucose,

- la respiration se modifie de manière à oxygéner davantage l'organisme,

 - l'estomac et les intestins se contractent,

- les pupilles se dilatent,

- la bouche devient sèche,

- la transpiration abonde,

- le sujet a la chair de poule...

Très rapidement, le cerveau enregistre tous ces phénomènes physiologiques. L'étape suivante, la réaction de l'esprit, dépend entièrement de la culture et des souvenirs de chacun. Le même évènement peut déclencher une émotion très vive chez une personne et en laisser une autre totalement indifférente. 

La psychiatrie a d'abord associé le rire à un éxutoire pour l'agressivité et l'hostilité. Les taquineries et les blagues auraient été des moyens de contourner les interdits ou de mettre en scène des pulsions antisociales. Aujourd'hui, on tend plutôt à penser que l'humour et le rire constituent d'abord des outils d'équilibre social, ne serait-ce que parce qu'ils permettent aux individus de se détendre et de mieux accepter les situations nouvelles. 

D'après les experts, c'est l'imprévu qui constitue l'essence même du comique. On s'attend à un évènement, et brusquement, il s'en produit un autre. L'humour modifie les situations, les attitudes et les comportements,  pour les faire apparaître sous des angles imprévus. L'image ainsi produite, s'oppose aux normes sociales en vigueur.

Le rire apparaît très tôt chez l'enfant. Le comique revêt facilement un caractère universel. Pourquoi l'imprévu fait rire ? Un homme qui traverse en courant et qui d'un seul coup trébuche provoque le rire de bien des passants (pas tous) ! Bergson écrivait "Ce n'est pas son changement brusque d'attitude qui fait rire, c'est ce qu'il y a d'involontaire dans le changement, c'est la maladresse."

Comme une ville qui s'allume

Et que le vent vient d'embraser,  

Tout mon cœur brûle et se consume,  

J'ai soif, oh ! j'ai soif d'un baiser.

Baiser de la bouche et des lèvres  

Où notre amour vient se poser,  

Plein de délices et de fièvres,

Ah ! j'ai soif, j'ai soif d'un baiser.

Baiser multiplié que l'homme

Ne pourra jamais épuiser,

Ô toi, que tout mon être nomme,

J'ai soif, oui j'ai soif d'un baiser.

Fruit doux où la lèvre s'amuse,

Beau fruit qui rit de s'écraser,

Qu'il se donne ou qu'il se refuse,

Je veux vivre pour ce baiser.

Baiser d'amour qui règne et sonne

Au cœur battant à se briser,

Qu'il se refuse ou qu'il se donne,

Je veux mourir de ce baiser.

Il y avait la mer et le sable,

le mouvement de l'horizon

et c'était TOI.

Ta main pressait la mienne

dans la main du vent,

ta bouche courait sur moi

dans l'attouchement du soleil.

Tu me tuais à n'être nulle part

et partout,

à déferler sur moi comme la mer,

à glisser sous mes paumes comme le sable.

Se familiariser pour décompresser

La nouveauté est souvent source d’appréhension, c’est pourquoi il est important de se préparer aux changements bien avant le jour J. Pourquoi ne pas s’approprier ensemble le nouveau chemin de l’école, préparer ses nouveaux cahiers et décorer son cahier de texte ? Cela permettra d’adoucir l’approche du grand jour ! Vous pourrez aussi aller faire quelques boutiques, histoire de renouveler sa garde robe et de mettre à l’aise avec son image (important s’il rentre dans un nouveau cycle).

Équipé pour bien travailler

Vous transpirez à l’idée d’aller chercher les fournitures scolaires de vos têtes blondes ? No stress ! Avant de foncer au supermarché, vérifiez tout d’abord ce qui n’a pas été utilisé l’année précédente. Un cahier avec quelques feuilles utilisées (à détacher proprement) pourra lui convenir une nouvelle fois. Proposez-lui de le décorer d’une autre façon ! Prévenez-le à l’avance que vous ne dévaliserez pas le rayon de ses héros préférés. Un stylo plume ou un cahier de texte Twillight fera l’affaire pour lui redonner le sourire, mais ne vous ruinez pas en achetant la gamme intégrale (la qualité n’est pas meilleure) ! Par contre, si l’on peut choisir un paquet de feuilles premier prix, il ne faudra pas lésiner sur la qualité des stylos (qui peuvent sécher trop rapidement).

Bonne rentrée à tous !

Dans un monde rempli d’@ et de www, on aurait presque l’impression que le blog a toujours existé.
L’air de rien, il a déjà près de 20 ans !
Baptisé « Blog » de part la contraction des mots « web » (internet) et « log » (journal), le mot BLOG s’est décliné en verbe « bloguer » et a fait sa place dans le dictionnaire français.

Un blog, c’est quoi au juste ?

C’est un site internet personnel accessible à tous les internautes, que le créateur décore, anime et gère à sa façon. Alors que certains s’en servent pour donner leur avis sur l’actualité ou partager leurs passions, d’autres racontent leur vie, leurs expériences, leurs émotions, faisant de leur blog un vrai journal intime interactif, un carnet de bord de vie.
Bref, le blog est un espace personnel d’expression, ouvert sur le monde entier.
Ses atouts ? Il est simple d’utilisation, générateur d’échange et permet d’être une star à sa manière.

Une vraie tendance

Phénomène de société sans précédent, le blog semble avoir trouvé sa place dans le quotidien des français, quelle que soit la tranche d’âge. Contre toutes attentes, les cyber-ados de moins de 20 ans représentent seulement 20 % des utilisateurs, alors que 50 % des blogueurs ont entre 21 et 35 ans, et tout de même 7,1 % ont plus de 50 ans.

Et saviez-vous qu’il existe plus de 120 000 000 blogs sur le net et que 120 000 blogs se créent chaque jour ? C’est fou !