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Je l'avais vu sur un blog de certiferm mais je n'ai pas réussi à retrouver l'article de la personne qui nous en avait parlé, vous vous en souviendrez sûrement !
voici le lien pour le tuto que j'ai trouvé du coup sur internet avec d'autres idées bien sympathiques : http://www.youtube.com/watch?v=YD33w-awxYk j'ai donc essayé et cette année, deux sapins de taille différente ont décoré notre table du jour de Noël. 
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les 14 commentaires
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ce serait bien de rester zen pour attaquer la nouvelle année et que çà dure bien au delà !
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du courrier, c'est quelqu'un qui pense à vous. du courrier c'est un peu de l'univers des autres. Du courrier c'est une pensée, une intention quelque chose de gentil et qui fait plaisir...
Lisette... 
Chantal....
Cath !
merci pour vos voeux, pour vos cartes et vos messages ! 
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connaissez-vous le village du Père Noël ? et bien nous l'avons découvert cette année.. venez ....
vous arrivez à la gare... oh que cette gare est curieuse !!! le chef de gare est un ours en peluche et les aiguilles de la pendule fonctionnent à l'envers.... 
chez nos petits amis c'est le moment du déjeuner... tout est animé, même le gentil chiot qui caracole devant ...
voici la forge... çà ne rigole pas, il y a du travail avant le soir de Noël !!....
chhhhuuuttttt... Ici bébé dort .... pas de bruit.....
et voilà le théâtre où les marionnettes font rire petits et grands....
Il faut penser à tout et le linge est presque tissé....
les musiciens répètent pour le grand soir ....
et les enfants de l'école sont sages .... des cadeaux les attendent....
l'horloger règle ses pendules, il ne faudrait pas rater l'heure....
les artisans du bois s'affèrent... tous les jouets doivent être prêts....
pour que oh merveille... dans sa bulle magique, le Père Noël puisse distribuer du bonheur aux petits enfants !
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pour 6 personnes à préparer la veille
ingrédients 1 tôle à four, beurrée et farinée 4 oeufs 1 pincée de sel 100 g de sucre roux 110 g de farine 2 cuil à soupe de cacao amer une boîte de cerises confites 20 cl de crème semi-épaisse 30 g de beurre fondu 100 g de chocolat noir à cuire 1 c à dessert de kirsch 1 pot de confiture de griottes avec des griottes entières (bonheur la confiture achetée sur le marché est préparée avec de la cannelle !!!) décorations sucrées 
faites chauffer votre four à 200 °
tous vos ingrédients doivent être prêts. dans un saladier, au batteur, fouettez vos blancs en neige avec une pincée de sel. quand le mélange est bien mousseux, ajoutez sans cesser de battre du sucre roux. Ensuite, avec un fouet à main, ajoutez délicatement les jaunes d'oeufs, la farine et le cacao amer. Veillez à bien soulever la masse sans trop brasser la préparation. Etalez la pâte sur votre tôle beurrée et farinée et faites cuire 6 minutes. Sortez du four. Disposez votre gâteau sur un torchon humide et roulez-le dedans. 
préparer la ganache :
faites fondre votre chocolat, à la casserole, au bain-marie ou au micro-ondes. dans une casserole faites chauffer la crème fraîche puis mélangez-la au chocolat. Ajoutez le kirsch. dépliez alors votre gâteau et enduisez l'intérieur avec votre préparation. Disposez sur cette crème des cerises confites coupées en deux (conservez-en deux ou trois pour la déco) et roulez le tout sur lui-même. Placez au réfrigérateur jusqu'au lendemain. 
le lendemain, sortez votre gâteau du réfrigérateur.
étalez votre confiture de griottes sur le biscuit, disposez quelques cerises confites. Décorez de garnitures en sucre, un petit sapin, un sujet de Noël et le tour est joué ! bon appétit ! 
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cette année, les commerçants ont réalisés des merveilles pour leur vitrine... courageux celui-ci qui fait un sapin décoré à l'extérieur ...je suppose qu'il le rentre le soir....
le magasin de vêtements : pulls, écharpes, bonnets....
les bijoux de l'artisanat ...
l'opticien...
un autre opticien....
le libraire...
et enfin, le traiteur... bravo et merci pour ces décorations....!
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Nous avons eu deux grands branches de sapin, que Philippe a découpé ...et une belle branche de houx garnie de boules bien serrées....
Il a garnit les paniers et nous avons mis le houx dans un vase transparent....
les petites branches ont trouvé leur place aussi.. déco de cette année...
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comme un chemin, il faut avancer et monter de plusieurs degrés pour entrer dans le choeur de l'édifice....
la porte est imposante et le passage étroit....
l'harmonie des sculptures nous retient tout d'abord...
il ne faut pas seulement regarder devant soi et si vous n'avez pas le vertige ... levez les yeux au ciel... pour admirer ce plafond aux voûtes en éventail, vous êtes juste au centre de la Tour Bell Harry...
Au centre, indique le dépliant que nous avons reçu en entrant, l'insigne rond qui arbore l'ancien blason du prieuré est une trappe qui servait au passage des matérieux de construction et de la cloche qui est au sommet de la tour...
voilà ! vous avez passé la porte et même à cet endroit, vous avez encore l'impression que çà ne finit pas ...
voici la salle capitulaire, les moines s'y réunissaient pour y discuter des activités quotidiennes et lire un chapitre de la règle bénédictine....
mais, me diriez-vous, n'y a-t-il pas eu un meurtre dans cette cathédrale ? et vous auriez raison.
Nous approchons du lieu du meurtre... lisons les explications : Canterbury considéré comme l'un des plus importants centres de pélerinage d'Europe est inextricablement lié au meurtre de son plus célèbre archevêque, Thomas Becket, en 1170....
Lorsqu'à la suite d'une longue dispute, le roi Henri II aurait demandé "qui va me débarrasser de ce trublion ?",
quatre chevaliers seraient partis pour Canterbury afin d'y assassiner Thomas à l'endroit où brûle la bougie...
sous cet emplacement, se trouve la crypte qui est la partie la plus ancienne de la cathédrale. Elle date du XIème siècle.
Elle abrita le tombeau de Thomas Becket de 1170 à 1220 avant qu'il ne soit déplacé dans la chapelle de la Trinité qui se trouve au-dessus.
Ici règne, une atmosphère particulière...
les colonnades se terminent en arcs de plein cintre de style roman (normand)... et les chapitaux des colonnes sont tous différents. On ne peut qu'admirer, en silence, parce qu'ici, à la lumière filtrée du jour, on a juste envie de s'asseoir et de méditer... Voilà, c'est ici que se termine cette visite. Nous espérons vous avoir fait un peu voyager et peut être aurez-vous l'envie d'y aller un jour ..... 
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éloignons nous un peu de la structure pour nous intéresser aux "trésors de la cathédrale"... et tout d'abord les fonds baptismaux ....
tant de choses à voir qu'on oublierait de regarder ce travail magnifique de sculpture ....
de couleurs et de décoration....
qu'on oublirait de regarder les rares statues ....
ou cette dentelle d'albâtre...
ce "tablier d'autel" entièrement brodé et rebrodé de fils d'or, d'un poids hors du commun et témoin de milliers d'heures de travail.... là aussi .... enseignement par l'image...
cette chapelle où les gisants occupent tout l'espace, où les étendards rappellent le passé glorieux ...
où progressivement nous nous dirigeons vers le coeur de cet édifice où l'atmosphère est différente... ou les voix baissent le ton, où l'on sent que ce n'est pas comme ailleurs....
Tout autour du coeur, les gisants nous rappellent l'histoire, leur histoire....
par exemple, voici le tombeau de l'archevêque Henry Chichele (archevêque en 1425, tombé réalisé 18 ans avant la mort de ce dernier !)... fallait pas avoir peur de mourir ;... 
et le détail des ornements sculptés autour de son tombeau....
et celui du Prince Noir Edouard de Woodstock, fils aîné du roi d'Angleterre Edouard III (1376). les "habits de son ensevelissement" sont exposés non loin...ce gisant est particulier, ce n'est pas un éclésiastique... la représentation le figure en armure et l'exposition de lumière lui confère une solennité particulière....
dans le dernier article, nous accéderons au coeur du sanctuaire et à la crypte....... 
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Comment regarder partout ? il faut bien faire des choix ... commençont par le vitraux ....Ils sont soit d'origine, soit modernes puisque la guerre est passée là ...
modernes ....
ou anciens....
ils sont tous remarquables....
et jouent avec la lumière pour mettre en valeur ce tablier d'autel brodé de fils d'or....
le regard est partout, en levant le nez, en baissant la tête vers ces pierres tombales d'anciens archevêques de la Cathédrale, ensevelis là et dont l'histoire est à jamais taillée dans la pierre....
cette lourde porte pourrait nous raconter l'histoire de ceux qui vivant là au fil des siècles ont passé son porche....
Dans l'article suivant : les gisants et les Trésors de la Cathédrale.... 
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çà à soufflé ... bien soufflé jeudi dernier.... eh non ce n'est pas un jeu de dames, ni de palets.... c'est ou c'était le revêtement de la digue....
alors bien sûr le dimanche dernier, nous sommes allés voir .... la mer est allée comme bien souvent au-delà de la digue...
c'est un endroit renforcé et à raison !!! et cependant, la nature a eu raison de la construction de l'homme ! il y avait les débris que l'on retrouve à marée basse près des habitations.... des caves ont été inondées mais çà, pourrait-on dire c'est habituel en cas de fortes marées....
la nature vous offre tous les scénarios.... la mise à nu comme ici ... et des moments inoubliables comme dans le prochain article : à marée extrêmement basse....
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Après le marché de Noël,
après la rivière Stour, après la ville, après l'enceinte de la cathédrale, vous pouvez cliquer sur ces noms pour retrouver le lien.... nous vous emmenons à l'intérieur : premier contact, saisissant de grandeur autant en profondeur qu'en hauteur .... 
même les travées semblent se perdre à l'infini ....
Il faut regarder partout pour aussi voir les fonds baptismaux...
apercevoir le coeur de l'édifice comme une terre promise ....
sans pour autant délaisser les côtés tout aussi intéressants ....
et ne pas oublier de regarder aussi là-haut !!!!
comment tout voir ? la même impression au retour qu'à l'aller... que nous n'en finissons pas de tout découvrir ....
que la lumière est diffuse mais partout ....
que l'édifice raisonne comme de la musique ...
la suite nous fera lever le nez vers les vitraux et le ciel .... 
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Ingrédients :
3 gris oeufs ou 4 petits 125 g de beurre + un peu pour le moule 140 g de sucre roux 180 g de farine le jus d'un petit citron 1 pincée de bicarbonate la valeur de deux grandes tiges de rhubarbe 60 g de cranberries 60 g de cerneaux de noix un peu de sucre glace quelques fruits pour la déco 
Faites chauffer votre four à 180°. Epluchez la rhubarbe, la couper en petits morceaux.
Faire fondre doucement votre beurre dans une casserole. beurrez et farinez votre moule à cake dans un saladier, mélangez le sucre roux et le beurre pour obtenir une pâte lisse. Ajoutez les oeufs un par un. versez la farine, mélangez bien, puis le jus de citron et la pincée de bicarbonate. ajoutez les cerneaux de noix en morceaux, les morceaux de rhubarbe et les cranberries et mélangez à nouveau pour bien les incorporer. versez dans le moule et tapotez le pour faire bien descendre la pâte. Faites cuire 45 à 50 minutes au four. Si le dessus brunit, couvrez d'un morceau de papier alu. Vérifiez la cuisson avec un couteau à lame plate. Plantez-le au milieu, s'il ressort sec, le cake est cuit. Laissez ensuite poser 10 minutes four éteint. Après refroidissement, démoulez, décorez de sucre glace et de quelques cranberries et noix. 
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Nous vous présentons l'Ophiure ! à la surface du sable, nous l'avons sauvée du soleil, en la mettant dans le fil de l'eau. De la famille des Echinodermes, son disque central ne fait que 3 cm. (pour échelle l'empreinte du talon d'une botte).
Elle s'enfouit dans le sable et laisse seulement dépasser les bras où viennent se coller de minuscules particules vivantes ou inertes... C'est une lointaine cousine de l'étoile de mer. Il est maintenant rare d'en découvrir et ce n'était du qu'à la marée extrêmement basse en cette saison... 
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