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passons la citadelle et allons vers le port. Nous croisons la statue de Jean Baptiste Trystram (voici le texte de Wikipédia :
Autodidacte, J.B. Trystram est devenu, par son opiniâtreté et un sens inné du commerce, l’une des grandes figures bourgeoises et républicaines du département du Nord. Conscient de l'intérêt de développer le port, il emploie ses mandats de député puis de sénateur à obtenir les textes législatifs et réglementaires pour obtenir les crédits nécessaires à l'extension du port dans le dernier quart du xixe siècle. Le nom de cet industriel et homme politique flotte encore aujourd'hui sur Dunkerque et sur son port ; sa statue redorée en 2000 a pris place devant la Chambre de commerce où lui et son fils Jean-Baptiste Trystram (fils) ont eu comme principaux objectifs de constituer et de défendre le troisième port de France. 
Dunkerque et sa région possède plus de 80 ponts et passerelles ! . Pour accéder au port, vous devez passer des écluses. Elles ont bien sûr le nom des personnes illustres qui se sont intéressées à la ville. M. Trystram, M. Wattier, M. Guillain ....)
A peine passés, la sirène retentit ! le pont va se lever. Les barrîères de circulation s'abaissent pour arrêter les voitures et le lourd contre-poids bascule lentement...
mais nous, nous avançons vers la deuxième écluse. Un Britanny Ferry est en réparation dans le dock flottant. Principe de ce dock réf wikipédia :
Le dock flottant est une structure particulière servant principalement à la réfection des bateaux. Contrairement à une cale sèche (ou forme de radoub), il s'agit d'une superstructure qu'on immerge pour y faire entrer les bâtiments, puis qu'on élève au-dessus de l'eau pour mettre le navire à sec. Le système repose sur le principe des ballasts. Le dock flottant ne dispose pas de système de propulsion, il peut par contre être déplacé d'un endroit à un autre à l'aide de remorqueur(s). Les sociétés de classification en contrôlent la construction ainsi que le suivi périodique. Inventé dans les années 1840 par les ingénieurs américains Staddort et Gilbert; ils permettent de réparer des navires dans des lieux ne disposant pas de cale sèche. 
vous êtes à l'entrée du port (vous êtes au petit carré orange en haut et à droite) et vous allez en direction de l'Ecluse De Gaulle..au premier carré n° 32
nous longeons le chenal ... tiens ! une réunion de cormorans sur les vestiges de l'ancienne jetée...
le grèbe huppé, dans sa tenue d'hiver, fait le clown pour nous faire rire avec son cou décalé et les plongeons en looping ! c'est un champion du genre ! ....
mais regardons où nous mettons les pieds ! évitons d'écraser ce champignon
ou cet autre....
voilà nous arrivons en vue de l'écluse Wattier ..comment savoir l'ordre des écluses ? j'ai un truc : Trystram vient, comme dans l'alphabet, avant Wattier !
ces structures sont impressionnantes et à côté d'elles, on se sent tout petit....
regard vers la mer et découverte d'un "loch ness" jaune ! une énorme chenille qui aspire le sable pour l'utiliser ailleurs...
le temps est brumeux et gris et les balises sont allumées...
pas d'autres humains en vue, les avocettes se sont regroupées sur le bord, la marée est haute...
bien sûr, comme chaque fois, à notre approche, c'est l'envolée....
en cette saison, presque plus de fleurettes, mais les oyats sont bien là !
nous n'irons pas aujourd'hui jusqu'à l'écluse De Gaulle ni sur la digue du Break, nous serions de retour trop tard. Un regard sur le site Arcelor et les portiques qui chargent le minerai...et demi- tour ....
les cormorans laissent leurs grandes plumes joncher le sol...
nous ne sommes pas loin et pourtant la vile est tout là-bas ....
passons les écluses en sens inverse pour voir l'école de voile partir en mer pour une leçon ... dériveur rose...
dériveur bleu....
le pont du môle 2 est toujours emballé ....
nous approchons de la citadelle...
pour nous retrouver au Terre Plain Guillain d'où nous étions partis ...
(Florent Antoine Guillain ou Antoine Guillain, né le 7 février 1844 à Paris et mort le 19 avril 1915 à Paris 16e, est un ingénieur des ponts et chaussées et un homme politique français. Il est chargé en 1868, à sa sortie de l’École des Ponts et Chaussées, du service du premier arrondissement maritime (qui couvre les ports des départements duNord et du Pas-de-Calais), il réalise de grands travaux pendant les treize années où il est en fonction à ce poste, notamment à Dunkerque, Calais et Boulogne-sur-Mer. Il mène parallèlement une carrière d'homme politique : De 1893 à 1906, il est élu Conseiller Général du Canton de Dunkerque-Est puis de décembre 1896 à1910, il devient Député de la 1er Circonscription de Dunkerque. - source Wikipédia) 
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les 15 commentaires
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ce n'est pas ma recette, mais en hiver je la fais toujours avec beaucoup de succès...
il vous faut pour 6 personnes (préparation 10 mn, cuisson 30 minutes) 500 g de fruits secs (pruneaux, abricots, figues, raisins) 100 g de beurre fondu 20g de beurre pour le moule 100 g de farine 100 g de sucre roux 25 cl de lait 1 oeuf + 2 jaunes d'oeufs 2 cuil à soupe de rhum 1 pincée de sel 
préchauffez votre four à 180 °
coupez vos fruits secs en petits morceaux Etalez tous les fruits dans un plat bien beurré. Dans une jatte, fouettez les jaunes d'oeufs et l'oeuf entier avec le sucre. Lorsque le mélange blanchit, ajoutez le beurre fondu. Mélangez soigneusement pour obtenir une pâte lisse Incorporez la farine, puis le lait, le rhum et le sel. 
Versez la pâte sur les fruits et faites cuire dans le four pendant 25 à 30 minutes.
A la sortie du four, vous pouvez saupoudrez de sucre (au choix) Laissez tiédir et servez dans le plat de cuisson ...à ne pas faire l'été, sinon çà tourne ! 
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je vous avais parlé de ce merveilleux petit livre. L'auteure sélectionne des photos qu'elle reproduit sur quadrillage. Ensuite, elle choisit ce qu'elle souhaite ôter pour avoir à minima un tableau à réaliser au point de croix... Pour moi c'est comme de l'aquarelle à l'aiguille !
Esquissé et cependant si réel. Je vous conseille la vidéo qui nous fait mieux comprendre comme y arriver...sur le site "le temps apprivoisé" rubrique "carte blanche" (cliquez sur le nom en vert)
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Monsieur Lamartine a été député maire de Bergues (à 9kms de Dunkerque). Bien sûr, de nombreux édifices portent encore son nom ...
ce bâtiment a été construit vers 1912/1914 à la place de l'hôpital général détruit en 1909. Le céramiste Bigot y a laissé son empreinte très particulière....
La façade en briques rouges est agrémentée d'un décor de grés flammé polychrome. 
Imposant, il est un des très rares bâtiments a ne pas avoir été anéanti lors des bombardements en 1940....
vers les années 2000, ces constructions gênaient le projet de centre ville et le collège a failli disparaître. Une manifestation conduite par l'Adelfa a réuni plus de 3000 personnes pour que ces "témoins du passé" soient sauvegardés....
aujourd'hui, agrémenté d'une annexe, ce collège qui abritait au départ et jusqu'en 1970, une école maternelle et primaire, un pensionnat et le collège de jeunes filles de la ville, accueille depuis 1987 et encore pour le moment une annexe de l'université...
voici la porte principale ....
ornée de son fronton ...
Quel sera son avenir ? ... affaire à suivre ....
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juste un regard sur ce personnage aux yeux fermés et aux narines prononcées ...
mon pull over s'amuse ce soir !
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et ce navire comment évolue-t-il ? il se structure petit à petit....
il prend forme et se dessine dans l'espace....
la proue....
la poupe ...
"Sous Louis XIV, un vaisseau peut mesurer plus de soixante mètres de long sur vingt de large. Un vaisseau de premier rang exigeait alors pas moins de 2.000 à 4.000 troncs et une frégate environ un millier ! Il n'est alors pas exagéré de considérer qu'un tel bateau est une forêt flottante. A cette époque, les chantiers européens consomment des centaines de milliers d'arbres. En France, dès le XVe siècle, l'usage du bois pour la navigation a d'ailleurs été réglementé pour répondre aux besoins des chantiers. La politique forestière française et sa sylviculture découlent directement des besoins de la marine. La réforme la plus importante est celle de l'ordonnance initiée par Colbert et promulguée par Louis XIV en 1669 qui instaure un contrôle afin de permettre aux chênes « de vieillir pour la marine ». Ils sont ensuite conjointement sélectionnés par les forestiers et les charpentiers de marine. Le Code forestier de 1827 reprendra les règles édictées sous l'Ancien Régime..." la suite passionnante de l'histoire de ces vaisseaux des mers, alliance du bois des forêts et de la mer vous pouvez la retrouver en cliquant sur ce lien : bâteau est une forêt flotttante ! (site de l'Office National des Forêts) Vous saurez tout de la forêt à la mer ..... 
souhaitons bonnes voiles à ce projet et aux autres projets européens ....projet d'hommes pour les hommes...à suivre ....
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Tourville ce n'est pas seulement la construction du navire c'est aussi toute une infrastructure qui se met en place progressivement....
sur ce vaste chantier, il y a l'atelier des maquettes...
ébauche en bois de la figure de proue ...rappel du dauphin qui était à l'époque de Jean Bart représenté de cette façon, large face un peu "dragon des mers" ...
d'après l'ébauche en plâtre...
autre sculpture en préparation....
dans cet atelier, voici une maquette à l'échelle, d'un usinage de canons, le vaisseau en comportera plus de 70 !
voici une maquette des canons qui seront fondus suivant le modèle pour être mis à bord....
outre cet atelier d'autres constructions sont en gestation... une boulange qui fera de bons pains à l'ancienne...
la saurisserie, presque terminée, qui "fumera" harengs et anguilles suivant la tradition ancestrale. L'anguille fumée a disparu de nos étals et Tourville va faire renaître cette activité. Tourville c'est aussi l'insertion et la remise à l'honneur de savoirs anciens...
un navire sans les vents n'est pas un navire et ainsi nous retrouverons le chantier dans un quatrième épisode pour envisager... demain !
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Bonne Fête à Sylvie du blog "les bons restaurants" et à toutes les Sylvie.
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bien sûr le cirque ce sont les clowns, la ménagerie, le spectacle ... mais... derrière tout çà, il y a un équipement colossal et....
quelquefois, il y a autant de rêve dehors que dedans !
Il y a la vie de ces gens du voyage....leur véhicule à la taille disproportionnée...
qui sont aussi leur habitation...
presqu'un rêve américain...
on se sent tout petit à côté !
le rêve de la route sans fin, le rêve des plaisirs d'enfants, le rêve de monter à bord d'un de ces engins hors du commun....
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Vous souvenez vous des vaches colorées et rigolotes de Chantal (cliquez ici) ?
et bien j'ai trouvé un specimen à Dunkerque dans un restaurant du centre ville ! Elle est bien accompagnée et je pense que je ne serai pas la seule à avoir envie de la photographier ! 
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Après être arrivés sur le site, (cliquez ici) , voyons le beau travail du bois... celui-là avait 168 ans !
celui-là devait avoir le même âge ou pas loin....
quand un chêne arrive sur le chantier, il est examiné de bout en bout pour en tirer le meilleur profit ....
ensuite vient la découpe longitudinale pour en extraire soit une pièce maîtresse, soit des pièces annexes tout aussi importantes....
ce qui nous semble un "morceau" est taillé entièrement dans l'ensemble de l'arbre...
et petit à petit le navire prend forme....
les gabarits permettent la découpe au cm près...
et grâce au dallage au sol, identique à celui de l'ordinateur, les découpes sont exactement aux dimensions voulues....
ainsi nous passons de çà ....
à çà ! ...
ou çà ....
le prochain article sera consacré aux évolutions du navire ....
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Il vous faut :
une pâte feuilletée toute prête 1 grande boîte d'abricots au sirop 2 oeufs 75 g de poudre d'amandes 75 g de sucre roux 1/4 de litre de lait 1 petit verre de liqueur (kirsch ou mirabelle) 
posez votre pâte feuilletée dans votre plat. Allumez le four à 180 °.
Egouttez vos abricots. Dans un saladier, mélangez la poudre d'amande et le sucre. ajoutez les oeufs et mélangez bien versez doucement le lait pour que la préparation devienne fluide. ajoutez le verre de liqueur. Disposez vos abricots dans le fond du plat et versez la préparation dessus. enfournez pour 35 minutes.. comme c'est Halloween je vous ai ajouté une petite déco faite avec une écorce de mandarine ;-)) 
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que faire pour s'oxygéner sans aller trop loin... passer par le jardin du Laac où la tempête a soufflé ...
regarder les canards ...
le plan d'eau si calme...
les couleurs des plumes...
et les couleurs de l'automne...
arriver en bord de plage. C'est rare on voit nettement au loin, les constructions de la côte Belge ...
flâner pour observer les façades de ces anciennes malouines...
Hautes, aux décorations si différentes...
où cette structure moderne ...
goûter un dernier plaisir estival ... chocolat, banane, speculoos...
ou pour Philippe : banane, pistache, violette !
heureusement me direz-vous que nous dépensons nos calories !
un pêcheur de crevettes courageux...
et des chercheurs de vers de vase, bien entourés...
où va ce cargo ? Qui sont ces hommes à bord ? ... ils sont arrivés et repartis ...
le soir descend sur la plage devenue déserte... il faut rentrer.
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après la tempête... le calme et un peu de soleil. Mais les vents sont encore bien sud-ouest, ce qui nous amène des masses nuageuses importantes...
et ces beaux reflets dans l'eau. (cliquez sur la photo) 
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ce coup-ci ... surprise ce n'était pas un oiseau mais une libellule.
Cet insecte ailé fait partie des demoiselles. Ce n'est pas vraiment une libellule... 
L'équipe qui pose les petites boîtes va essayer de rétablir un certain éco-système autour des canaux...souhaitons leur de réussir !
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