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Blog créé le 24/09/2011

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Bienvenue sur mon blog !
blog de la gentillesse et de la bonne humeur, voulez vous m'aider à semer des graines de sucre dans ce monde qui a besoin de chaleur et d'amitié ?
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voilà, nous sommes à nouveau sur le plancher des vaches pour une visite des logements des gardiens...

situés de part et d'autre de l'escalier, ces petits appartement accueillaient le gardien et sa famille


Bien sûr les logements n'étaient pas de cette couleur... on remarque cependant les étroits placards et l'agencement qui permettait de perdre le moins de place possible.
le panneau consacré à la vie des gardiens relate ceci : 
"Gardien d'un phare en mer en Normandie,  René Legueltel souhaitait travailler dans un phare à terre. Entre Marseille et Dunkerque, il a préféré la cité de Jean Bart où il est arrivé en 1939 avec sa femme et deux enfants. Il y est resté jusqu'en 1965.



Au début il vivait dans les deux pièces de l'entrée, puis devenue gardien chef, il a pu emmenager dans ce logement qui compte une pièce de plus. A six, Michel et Lucienne étant nés entre temps, l'espace resté compté !"...  


"Pendant la nuit il y avait en permanence un gardien en veille près de la lanterne. L'un travaillait du coucher du soleil à 1 heure du matin, son collègue prenait la relève de 1 heure du matin jusqu'au lever du soleil. Lors des deux jours de repos hebdomadaire, un gardien auxiliaire prenait la relève. "


"En 1954, des commandes et alarmes furent installées dans le logement de René Legueltel et dès lors ; il n'y eut plus qu'un gardien en poste au phare. Il fallait néanmoins monter en haut du phare pour assurer l'entretien, et au minimum deux fois par jour : le matin pour fermer le rideau qui protégeait l'optique des rayons du soleil, à la tombée de la nuit pour l'ouvrir."



Aujourd'hui, ces locaux retracent leur histoire et la vie du phare...


le journal 'le phare" existe toujours... il paraît une fois par semaine.

Bien sûr quand nous étions petits, nous y étions allés chacun de notre côté lol !
Inattendue, cette visite nous a enchantés... maintenant quand on passe au pied de l'édifice, nous pouvons dire... nous y sommes montés !



aujourd'hui pas de vent, pas de vertige... profitons pour nous régaler les yeux !

la plage de sable fin à perte de vue jusqu'à la côte Belge... un petit clic sur les photos pour les détails !


la jetée et le chenal qui mènent à la pleine mer...


nous nous déplaçons le long de la rambarde... la ville à nos pieds...


rapprochons nous un peu pour mieux voir le centre ville... sur la gauche le tout nouveau quartier "grand large" sur l'emplacement des anciens chantiers navals...


et zoomons encore pour les détails... notre appartement se situe entre les deux tours de gauche...


tournons encore... vers la zone industrielle...


et le Terminal sucrier...


le tour est complet avec la réparation navale qui nous ramène à la jetée...


et il faut bien amorcer la descente ... attention allez-y lentement c'est raide ! nous nous retrouverons en bas pour la visite de la maison des gardiens...



Après l'histoire (ici !) il fallait bien que nous y remontions un jour... 3 avril,  jour de vacances de printemps, beau temps, ciel d'azur, pas de vent... tout était réuni pour tenter l'aventure...


en prenant son temps pourquoi pas... 55 mètres de haut... 276 marches... allez courage vous êtes déjà à la 70ème ! au début on regarde les chiffres et puis... on oublie et on continue !




Philippe était parti devant et moi ... je profitais de l'excuse de faire des photos pour monter à mon train de sénateur lol !!


première étape une plate forme où des explications permettent à la fois de se documenter et surtout... de reprendre son souffle...


allez encore un petit effort...la seconde plate-forme... courage, le gardien y montait quatre fois par jour !!!


j'apprécie le travail du carreleur !


voilà voilà vous y êtes !! le dernier escalier n'est plus accessible, c'est celui qui mène à la lanterne...

baissez la tête sous la pierre qui indique la date de construction et ... régalez-vous du paysage... çà vaut la montée ...



les bâtons de rhubarbe étaient fins, longs, rouges et tendres... alors bien sûr pour ce week end, la tarte à la rhubarbe était de mise ...


j'ai réalisé la pâte brisée légère de Mamy Gigi (ici !) je vous la conseille, elle est légère, fine et tient bien à la cuisson,. J'avais mis un peu de poudre d'amandes dans le fond, la rhubarbe, un mélange yaourt, un oeuf et du sucre de canne...nous nous sommes régalés...



trois cartes postales le même jour ! un vrai moment de plaisir... les découvrir et apprécier les petits mots... merci à Chantal, Fanfan et Marie-Claude qui ont pensé à moi !



la lune rousse

 28/04/2016
Elle dure du 7 avril au 6  mai
chouette c'est bientôt fini ;-)) !
période de froid et de gelées, moment difficile pour les plantes...

Rustica (ici !) nous explique ce phénomène...


Monique nous a photographié l'escalier que les pélerins montent à genoux à Braga Bom Jesus Do Monte (ici) ... dans le même ordre d'idée voici le labyrinthe de la cathédrale d'Amiens ... comme les déambulatoires des églises, ce cheminement pour atteindre le coeur permettait aux moines et aux fidèles de cheminer en soi pour trouver le chemin... Cette photo date de 1978 quand j'ai visité la cathédrale...

Voici ce qu'en dit Wikipédia :

"Selon la mythologie grecque, le premier labyrinthe a été construit dans l’île de Crête par l'architecte Dédale.

Fait de zigzags et d’entrelacs, ce labyrinthe servit de modèle pour dessiner les pavages des palais et des cathédrales. Il est devenu un symbole religieux pour les chrétiens.

Les labyrinthes d'église sont des pavages polychromes symbolisant la montée du Christ au Calvaire. Les fidèles les suivaient à genoux comme pèlerinage symbolique ou pour gagner des indulgences. C'était une substitution au pèlerinage en Terre sainte.

Au XVIIIe siècle, on détruisit un grand nombre de labyrinthe d'églises comme à Arras, Auxerre, Poitiers, Sens..."

Le labyrinthe d’Amiens a la forme d’un octogone et sa pierre centrale est une copie de celle conservée au Musée de Picardie.

Long de 234 mètres, le chemin du labyrinthe devait être suivi à genoux par les fidèles ce qui constituait pour eux, une sorte de succédané de pèlerinage en Terre sainte. Le centre du labyrinthe était nommé « paradis » ou « Jérusalem Céleste ».

Un labyrinthe semblable se trouve sur le sol de la nef de la basilique de Saint-Quentin. On trouve des labyrinthes dans plusieurs autres cathédrales françaises : celui de Chartres a une forme circulaire, le dessin de celui de Reims, détruit en 1779, sert de logo au service des Monuments historiques..."
 

 




Gigi nous a communiqué sa délicieuse recette de flan aux poires (ici !).
 
pour nous...  voici le flan avant la garniture...


et après...

mon moule aurait pu être un peu plus haut mais... c'est tout de même très très bon ! 



mais bel et bien en France et merci à Sylvie et Marc pour cette jolie carte aérienne !



j'ai reçu ce petit livret en cadeau et avant-hier j'ai choisi cette recette...


il vous faut pour  4 personnes 
700 g de cabillaud (vous pouvez utiliser un autre poisson blanc)
3 pommes de terre
3 oeufs
1/2 bouquet de ciboulette
1/2 bouquet de persil plat
10 feuilles de basilic
1 oignon nouveau
1 gousse d'ail
10 olives noires dénoyautées
2 c à soupe d'huile d'olive (1 m'aurait suffit !)
100g deparmesan râpé
sel, poivre



faites cuire les pommes de terre  20 mn puis écrasez-les, laissez refroidir.
faites cuire le cabillaud 15 minutes après l'ébullition. Emiettez-le

Préchauffez le four à 180 °C (th 6)... ciselez les herbes ainsi que l'oignon et hachez l'ail et les olives...

Dans un saladier, mélangez les pommes de terre, le poisson, les oeufs, les herbes ciselées, l'oignon émincé (tige comprise), l'huile d'olive, l'ail haché, les olives hachées. Mélangez bien le tout, salez, poivrez...


et formez des  boulettes. Roulez-les dans le parmesan.


et faites-les cuire au four dans un plat huilé 20 minutes...

Personnellement j'ai cuit 10 minutes au four puis 10 minutes sous le gril mais elles sont restées pâles et auraient pu être un peu plus relevées. Alors n'hésitez pas à bien relever la préparation avec les épices et fines herbes.
Je les ai passées le lendemain à la poële adhésive sans gras, elles étaient encore meilleures, plus dorées aussi !



pas plus facile d'être en haut qu'en bas quand on n'y voit pas à 10 mètres, quand la mer vous chahute de tous bords, qu'il fait nuit et que vous tournez en rond... (croquis sur le bateau...)


le moteur ramène ou déroule l'imposante chaîne ...


le radio transmet les données maritimes...  relie ces 8 hommes aux autres hommes en mer... indique les données météorologiques...


dans l'étroite cabine de pilotage... le matelot de veille se réfugiait parfois... on y entreposait les fanions de signalisation...


"Le phare portait à 25 milles nautiques (puissance de la lampe 1 500 watts alimentée en 110 volts), son feu équipé d'une lentille de Fresnel était parfaitement identifiable (éclat blanc toutes les cinq secondes). Le Sandettié était par ailleurs très visible sur les écrans radar des navires grâce à son transpondeur Racon (RAdar beaCON). Par mauvaise visibilité, il faisait entendre sa corne de brume, mauvaise visibilité qui augmentait les risques de collisions auxquelles ce navire captif ne pouvait échapper alors que les fortes tempêtes pouvaient le faire dérader." (source Wikipédia)...


souvenir de mon enfance : ma mère n'aimait pas entendre ce son triste lancinant et morne par temps de brouillard... son frère était marin de la marine marchande... cette corne de brume fait partie de l'histoire d'une époque...

"En raison de leur coût et des avancées technologiques, les bateaux-feux ont été progressivement remplacés par des bouées lumineuses" (Phares de France).

Le Sandettié a été désarmé en 1989... il reste le témoignage d'un passé de courage des hommes de mer.



alors remontons d'un niveau vers les "appartements"... 
La largeur ... 7 65 mètres... ! et tout doit permettre la vie à bord...
(plan exposé sur le bateau)...


la cuisine...


les frigos ... pas très grands pour 8 hommes pendant 15 jours !...


la "salle à manger" de l'équipage, deux hublots en hauteur, pas de décorations, un endroit exigu...


pour dormir... une couchette... une armoire... un lavabo...pour les gradés, des lavabos communs pour les matelots... vase clos pour une quinzaine...


"La relève avait lieu tous les 15 jours et était assurée par le navire baliseur si les conditions météo permettaient de transborder les hommes et le matériel. La vie à bord était monotone et pouvait être éprouvante quand la brume ou la tempête multipliait les risques d’abordage ou de déradage." (Phares de France)...


deux équipes se relayaient en quinzaine...le navire baliseur "Emile Alard" des phares et balises transportait les hommes pour la relève... quand il était en mission, la vedette Esquina le remplaçait... il y avait donc une couchette  pour chacun des deux capitaines... une couchette pour chacun des deux maîtres d'équipage et une couchette pour les deux cuisiniers...en alternance...
ci-dessous, la salle à manger des gradés...


revenons à la surface et montons sur le pont...

ce sera le 3ème et dernier volet de cette visite...



je vous avais parlé de ce bâteau-feu (ici !) qui naviguait par tous les temps pour signaler la position des côtes lors de mauvais temps ou temps de brume 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24..


"Mis à poste en 1949, le BF 6 (bateau-feu 6) fut appelé successivement Dyck et Sandettie, du nom des bancs de sable qu’il était chargé de signaler. À chaque changement d’affectation, on changeait le nom peint en grandes lettres blanches sur la coque." (phares de France)


Désormais à quai, il vit une seconde vie avec le Musée Portuaire...nous sommes allés le visiter... vous nous suivez ?



alors commençons par le fond de câle où toute la machinerie permettait aux vaillants équipages de signaler aux autres navires leur position...  un moteur de 120 chevaux... 47.5 mètres de long... à l'assaut des vagues et du mauvais temps...


Ils fallaient des hommes solides et compétents... Il ne suffisait pas d'avoir un moteur puissant pour ce bateau mais aussi des sources d'énergie pour alimenter la vie à bord...



là... en bas... le mur de contrôle permettait de surveiller l'ensemble du fonctionnement de ce bateau


pour y aller... un escalier ... je peux vous dire que j'ai pris le temps de descendre comme les marins... à reculons !!


au niveau au dessus... l'atelier... réparation d'urgence... il fallait tout à bord... pour que jamais ni le bateau ni le feu de signalisation là-haut n'arrêtent leur mission...

" L’équipage de ce navire sans destination se composait de 8 hommes chargés de conserver le bateau et son système d’éclairage en bon état de fonctionnement, d’effectuer et de transmettre des relevés météorologiques ou encore d’assurer la surveillance des navires qui passaient à proximité." (phare de France)


A l'intérieur, du bas jusqu'au sommet de la tourelle, un escalier de barreaux permettait de changer la lampe, faire des réglages même si c'était temps de forte tempête... mal de mer ? ...connais pas !...


un téléphone permettait à l'homme de quart d'appeler le capitaine dès qu'une urgence se présentait...

le deuxième volet sera consacré à la vie à bord...



flan abricotine

 15/04/2016
il faut :
1 petite boîte d'abricots au sirop léger
3 oeufs
80 g de farine
80 g de sucre
un peu de lait
1 pincée de sel
un peu de beurre pour le moule

beurrez, farinez votre moule, disposez vos oreillons abricots sur le fond... préchauffez votre four à 160°

dans un saladier mélangez la farine et le sucre.... ajoutez les jaunes d'oeufs et bien malaxer... ajoutez peu à peu le lait pour obtenir une pâte moins liquide qu'une pâte à crêpes...

Battez vos blancs en neige avec une pincée de sel... incorporez délicatement à votre mélange...

versez sur les fruits et enfournez pour 30 minutes... ajoutez un peu de temps si nécessaire.



pour une naissance

 15/04/2016
mon arrière petite cousine est née en janvier loin de la France..



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