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Blog créé le 24/09/2011

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Bienvenue sur mon blog !
blog de la gentillesse et de la bonne humeur, voulez vous m'aider à semer des graines de sucre dans ce monde qui a besoin de chaleur et d'amitié ?
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merci à Marie-Claude d'avoir pensé à moi ! un ciel bleu... de beaux paysages ... encore un peu de vacances !



découverte d'un jardin "remarquable" 
d'abord ici ! puis ici !

aujourd'hui nous visitons la "chambre du Belvédère" nous y accédons par une
jolie tonnelle ombragée...


le raisin commence à mûrir au soleil...


La "chambre du Nord" nous offre une bien jolie arcade...


La "Chambre ronde" est à floraisons jaunes en avril avec les narcisses...


Pendant le reste de l'année, les écorces décoratives (prunus et acers...) continuent de l'égayer...


La "Chambre d'Automne" longe le plan d'eau (nous y reviendrons plus tard)...

On y retrouve asters et persicaires...


"foisonnent les fusains, malus, viburnum, aronia"....

d'autres découvertes  nous attendent... à bientôt pour la suite !



merci Françoise la Guillaumette de nous avoir envoyé cette alléchante recette... que nous tarderons pas à réaliser c'est sûr !!!


Nous avons mangé les soles à la Charentaise avant-hier soir... délicieux avec un riz sauvage...



Mon livre de cuisine

 04/10/2016
La Petite Fille de Madeleine nous propose un nouveau forum... ici ! 

voici le livre (celui de gauche que j'avais commandé à Sélection du Reader's Digest) dont je ne voudrais pas me séparer. Il a commencé  avec mon premier emménagement. Il y a tout dedans, des noms des ustensiles aux différents morceaux de viande, de la façon dont on fait les pâtes à gâteaux mais aussi les sauces, les vins, les recettes d'autres pays.... j'ai dû lui mettre une nouvelle couverture  tant il a servi et sert encore !

celui de droite est une réédition de celui qu'avait ma grand-mère. Je m'aperçois qu'avec le temps, les recettes étaient très caloriques... on n'hésitait pas à mettre du beurre et de la crème fraîche, à faire des fritures... Il m'a été offert lors de mon départ en retraite et je le conserve comme un beau souvenir !



est-ce pour le courrier du coeur ? en tout cas elle est bien mignonne cette boîte aux lettres !



ça décoiffe !

 02/10/2016
ce matin balade comme tous les dimanches matin...

c'est quoi cette jupe bleue sur le pont face au chenal ? des travaux d'entretien... cependant le vent venant de l'ouest nous a offert un joli concert de bâche !!!


une intense lumière d'automne si particulière...



Zuydcoote

 30/09/2016
je fais partie d'un petit groupe de marche depuis la rentrée. 
Marcher c'est bien, partager c'est mieux encore...

je vous ferai donc part de quelques photos au fil de ces courtes sorties...

Aujourd'hui nous avons rendez-vous à Zuydcoote à 3km de la Belgique... 

"c'est la nature qui prévaut, et rien que la nature, qui constitue l'unique décor. Touchez son sable fin, sentez l'odeur du large, regardez l'horizon infini et devinez l'Angleterre, écoutez les mouettes et le bruissement du vent... pensez... rêvez..." (site Côte d'Opale.com)


"Zuydcoote se résume en une plage naturelle, sans digue, sans port et sans commerces. le village est installe un peu en retrait de la mer, permettant à ce superbe site d’être reste intact, avec ses dunes"


"Week-end à Zuydcoote" 
ce film avec Jean-Paul Belmondo a rendu la ville célèbre ! 

le tournage a eu lieu également dans les bâtiments de la Ferme Nord devant laquelle nous passerons en fin de balade...


Ici les villas ressemblent à celle-ci... typique du bord de mer...


Cette fois nous n'irons pas marcher dans le sable mais à la découverte le long des rues...

un peu de "street art"...


Un beau "lion des Flandres" ...


l'ancienne gare devenue une pharmacie...


le château d'eau joliment décoré...


Près de l'hôpital Maritime, ancien sanatorium, nous terminons notre boucle avec la "ferme Nord"  à l'architecture si particulière... 

centenaire... "La ferme Nord, un « bâtiment néoflamand remarquable » selon Geneviève Houzé, directrice du développement de Sofim Aménagement." (journal le Phare) 

La ferme nord produisait l'alimentation pour l'hôpital maritime. Elle abrite pour le moment les gardes dunaires et leurs chevaux. Un nouveau projet est à l'étude pour lui redonner vie et témoigner du passé,mais aussi mieux connaître le milieu dunaire  et en faire un nouvel espace culturel...

la balade se termine à la semaine prochaine pour la suivante ...



merci Fanfan d'avoir pensé à nous ! la côte Varoise doit être superbe et ces eaux sont bien tentantes ! en ce moment il doit y faire bon !



tout d'abord un soufflé aux lardons...


et une tarte prunes/bananes...


je n'innove rien, j'ai juste fait avec ce que j'avais lol !



"la distillerie  a été fondée en 1812. La fabrication du genièvre est un art traditionnel ... cette eau-de-vie de grains traditionnels des Gens du Nord est restée la même depuis le XVIIIème siècle, époque où s'intallait à Dunkerque la première distillerie française..."


"en 1810, on comptait dans le Nord, 72 fabriques d'eau-de-vie à genièvre, il n'en reste que trois : Houlle, Loos et Wambrechies. Avec une production de l'ordre de 300 hectolitres d'alcool pur par an, la distillerie Persyn de Houlle reste une entreprise artisanale..."

source : http://www.genievredehoulle.com/ 


Le petit village de Houlle dans le Pas-de-Calais doit sa notoriété à la distillerie...

Ici encore, notre guide est un passionné ! Il nous a communiqué son enthousiasme pour l'évolution d'un bon, voire d'un excellent genièvre ! et pour ses recherches sur le vieillissement,  les arômes et la création...


surprise ! le bâtiment n'est pas très grand...


on accède par une porte cochère et si les murs semblent sales c'est en fait dû à l'émanation d'alcool, un champignon se développe et noircit la brique...


"le genièvre de Houlle est distillé à partir de céréales dans notre région : l'avoine, l'orge et le sègle..."

 


D'abord stocké dans des cuves ouvertes... "la première phase de fabrication consiste à transformer l'amidon des céréales en sucre... le brassage dure trois heures...
La seconde est la fermentation : la levure change le moût sucré en moût alcoolique (pendant trois jours)..." 
"la troisième est la distillation qui s'effectue dans les alambics nécessitant trois passages..." 
le deuxième alambic va être remplacé. On voit bien l'espace dessous pour chauffer le produit. Le charbon difficile à gérer en régularité a fait place à des fours alimentés en gaz... 


l'alchimie de la transformation se fait dans les alambics...l'alcool titre alors à près de 70°, une part s'évapore c'est ce qu'on appelle "la part des anges" ! puis "les baies de genièvre viendront parfumer l'eau de vie de grains." comme une "infusion", l'alcool va s'aromatiser...


"le genièvre vient de naître et il faut encore l'élever : il reste sous bois et mûrit lentement, un an, cinq ans, dans des fûts de chêne dont certains ont plus de cent ans" 


la Houlle... eau claire et courante à la base de la fabrication...



Voici quelques recettes utilisant du genièvre de Houlle ici ! 


et quelques cocktails au nom bien sympathiques ! ici !


L'optique de la distillerie n'est pas de s'agrandir pour une production à très grande échelle  mais de conserver une extrème qualité du produit et créer de nouvelles saveurs avec le savoir-faire ancestral...

Ici s'est terminée notre journée découverte instructive et appréciée !



acheter des ustensiles c'est bien, les essayer .... c'est mieux. Alors j'ai tenté une salade de légumes pour un petit souper...


l'un fait des copeaux de légumes comme un taille-crayon, l'autre des spaghettis de légumes.

j'ai mis les légumes à cuire 5 minutes à la vapeur et laissé refroidir.


 


j'ai disposé mes découpes de carottes tout autour, la courgette en couronne à l'intérieur et au milieu un reste de lentilles cuites. Une petite vinaigrette et un peu d'estragon parsemé dessus et voilà !

le taille-crayon permet de faire de jolies fleurs de légumes ! 



une idée toute simple et souvent utilisée. 
Une crêpe de sarrasin dans laquelle on dépose un lit d'épinards en branche, deux petits chèvres au basilic, une nouvelle couche d'épinards. Assaisonnez.
Roulez le tout mettre dans un plat légèrement huilé en faisant un peu dépasser les bouts pour qu'ils deviennent croquants à la cuisson.
posez un peu de gruyère râpé au-dessus des crêpes et une noix de beurre... 
mettre 20 minutes à four 180 ° 



"Pour l'entretien du marais, 150 moutons Shetland sont utilisés : 
rustiques, ils nettoient efficacement les îlots sans nécessiter
de suivi contraignant."


"On y dénombre près de 300 variétés de plantes, dont 249 espèces de plantes supérieures ont été identifiées rien que dans la Réserve naturelle régionale devenue réserve nationale. …

33 % sont d’intérêt patrimonial : 

  • 20 espèces protégées,
  • 1 est exceptionnelle,
  • 2 sont très rares
  • 9 espèces sont rares
  • 11 espèces assez rares
  • et 2 espèces peu communes (dans la région)."


"Si les maraîchers sont contraints à respecter une charte de culture sur le marais, certains sont engagés dans un mode de production biologique ou raisonné et n'utilisent que très peu voire aucun engrais chimique et pesticides qui puisse altérer le milieu. Ainsi sont cultivées les fameuses carottes de Tilques, mais aussi le crésson, les choux et bien d'autres légumes notamment dans la cressonnière de tilques."

Ce jour-là nous pouvions acheter directement les produits aux producteurs... 


"Le marais est devenu au XIXe siècle une région maraîchère et d’élevage et il reste aujourd’hui le seul marais de cette importance encore cultivé pour le maraichage en France (le marais poitevin ayant été en grande partie drainé et occupé par les céréaliers). Près de cinquante légumes différents y sont cultivés, dont le chou-fleur l’été (introduit vers 1751) et l’endive d’hiver (introduite vers 1920 dans la région)."


"Le marais concentre un tiers des plantes aquatiques françaises 
mais aussi, plus inattendu, 13 espèces de chauve-souris
et 28 espèces de libellules qui limitent efficacement la prolifération
des moustiques sur le site !
Il y a également de nombreux poissons :
cendre, perche, lamproie fluviale, anguille, gardon, brochet,
tanche, épinoche...
27 espèces au total
et 74 espèces de mollusques.

Enfin, on y trouve 470 espèces de champignons !"


"En 2013, le marais audomarois a été désigné au titre du programme « Man and Biosphere » de l'UNESCO"


Ici c'est une propriété privée et l'accès en est d'ailleurs bien limité...


ingénieux mais il faut oser pour passer d'une parcelle à l'autre ...


"238 espèces d'oiseaux sont recensées à ce jour. D’autres espèces remarquables et patrimoniales sont présentes dans le reste du marais (surtout dans les prairies humides extensivement pâturées)."



"10 % des plantes sont d’intérêt patrimonial majeur (espèces protégées, exceptionnelles à rares en région). 

  • 200 espèces d’oiseaux
  •   13 espèces de chauves-souris dont la plus rare de France (Le Vespertilion des marais)
  •   26 espèces de poissons
  •   86 espèces d’araignées et d’oplions
  •   18 espèces d’odonates ‘21% des espèces françaises)
  •   98 espèces de coléoptères
  •     8 espèces d’orthoptères inventoriées
  •   90 espèces de lépidoptères
  •   23 espèces d’homoptères"


encore deux beaux spécimens de bacôve...


eh oui c'est déjà le retour... on aimerait s'attarder, aller encore moins vite, y retourner... bon ce sera pour une autre fois...

cette journée découverte n'est pas terminée et nous nous dirigeons maintenant vers le village de Houlle...



Nous voici arrivés près des bâteaux promenade et nous embarquons à la découverte du marais audomarois...

N'hésitez pas à cliquer sur les photos... bonne promenade !!




"Le Marais audomarois se situe à la rencontre entre l’Artois et la Flandre.  Vaste de 3726 ha, riche de 700 km de canaux, de paysages pittoresques, de 300 espèces de plantes dont 40 légalement protégées, de plus de 200 espèces d’oiseaux, de 26 espèces de poissons, c'est véritablement un site privilégié."



"Le marais est drainé par 700 km de rivières et de canaux, à la fois publiques et privés. Toutes les voies navigables du marais sont reliées entre elles pour permettre un accès à la mer. Ce qui explique également le système, relativement complexe, d'écluses et de pompes mises en place pour réguler les eaux du marais en fonction des marées."



"C’est une ancienne zone humide tourbeuse, inondée par la mer durant plusieurs siècles à l’époque carolingienne, exondée puis exploitée pour la tourbe et drainée par les moines de la proche abbaye de Clairmarais notamment."



"C’est à cette époque que débute la mise en valeur du marais par les habitants des communes, notamment ceux des faubourgs du Haut-Pont et de Lyzel à Saint-Omer, car le territoire de la ville s'étend sur près de 40% du marais. L’aménagement du marais est intimement lié à celui de la ville. Vers 1100, un premier canal qui longe la rive artésienne du marais est creusé depuis la ville (le port au lait battu) jusque Watten. Puis en 1165, un nouveau canal endigué, qui traverse le Haut-Pont, est percé. Favorisant l’écoulement des eaux, il permet la mise en valeur du marais haut autour de la ville entre 1165 et 1215 environ. Il se distingue par son lacis de canaux sinueux."

 


nous traversons ici le canal de Neufossé. C'est un canal artificiel à grand gabarit qui avait été créé à des fins militaires. Il a été achevé en 1774.
Il relie l'Aa à la Lys...


"Le marais est composé de milieux naturels divers : des roselières , des espaces à hautes herbes (les mégaphorbiaies), des bois tourbeux, des prairies humides, des fossés et rivières… Le tiers de la flore aquatique française et la moitié de celle de la région y est représentée. Au total, 400 espèces de plantes et 490 de champignons y ont été recensées. Ces milieux favorisent l’accueil d’une faune avec des espèces rares et protégées. On a dénombré plus de 230 espèces d’oiseaux parmi lesquels des espèces migratrices comme le Blongios nain, plus petit représentant des hérons en Europe. On trouve aussi 70 mollusques, 26 espèces de poissons... Ces inventaires, qui restent partiels, témoignent de la grande diversité du marais et de la responsabilité de chacun à œuvrer à la conservation de ce patrimoine commun."



Voici le "moulin rouge". L'activité humaine est importante dans le marais. 
cette ancienne guinguette, reproduction à l'identique du fameux "Moulin Rouge" a fermé ses portes en 2000...


"Il faut ensuite attendre la fin du 18ème siècle et surtout le 19ème siècle pour que les terres basses soient mises en valeur par la technique des  polders empruntée aux Néerlandais. Les casiers hydrauliques dans lesquels le niveau de l’eau est régulé grâce à la présence de digues et de moulins d'exhaure sont composés d’étroites bandes de terre, appelées « lègres », séparées entre elles par des fossés, « les watergangs ». Ils constituent un paysage très régulier particulièrement bien identifiable sur les vues aériennes."



"Dernier marais  maraîcher de France, c’est une terre de cocagne où chaque parcelle peut porter plusieurs récoltes."...

 "profitant d'un sol tourbeux riche et d'une importante quantité d'eau, 50 légumes différents y sont produits, mais ce sont surtout le chou-fleur (5 millions de têtes cultivés par an), et plus récemment l'endive, qui en font la renommée. Il s'agit donc d'un lieu, autrefois très important, de maraîchage."


Pour naviguer facilement entre ces parcelles, les habitants des marais utilisent le bacôve :

"Le bacôve sert à transporter les productions, les outils ou le bétail."


les maisons ici sont longues et basses... Le facteur fait sa tournée en barque ! il en a pour deux heures... sa visite est toujours bienvenue pour une petite causette... 

Aujourd'hui certaines de ces maisons se transforment en gîte.  

A bientôt pour la suite de cette découverte ...



Nous voici tout près de Blendecques.
Au Moyen Âge, la commune s'est développée sur les abords de l'axe important qui joignait Saint-Omer à Thérouanne, autour des moulins à vent et moulins à eau construits sur l'Aa et d'une abbaye cistercienne .

À la révolution industrielle et au xxe siècle, les moulins ont été remplacés par des usines (papeteries-cartonneries notamment, dont deux sur le territoire de la commune) fonctionnant au charbon, puis au fioul ou au gaz et desservies par une voie ferrée plus ou moins parallèle à la rivière de Arques à Lumbres.
La proche verrerie-cristallerie d'Arques jouera aussi un rôle important en tant qu'employeur direct ou indirect important (notamment des années 1970 à 1990)."



"Le moulin Snick est l'un des plus anciens moulins de Blendecques. Il était situé sur la seigneurie du Hamel.
Avant la révolution, il servait à fouler les draps.  Appartenant à l'abbaye de Saint- Bertin, il fut vendu comme bien national par le district de Saint-Omer à Louis Obert, marchand brasseur à Saint-Omer, le 28 octobre 1791. Il fut revendu à Antoine Dambricourt Goemaere."

(la photo ci-dessous vient du net) 


"Vers 1795, le moulin appartint à un distillateur de Saint-Omer, Snick, qui le garda plus de quarante ans et le transforma en moulin à farine. De là est venu son nom actuel. À l'époque, il y avait quinze moulins à Blendecques.

En 1838, il fut vendu à Ignace Prosper Porion, négociant à Saint-Omer, qui reconstruisit le barrage vers 1841 tel qu'il est encore actuellement, composé de huit vannes plus celle donnant sur la roue que l'on nomme vanne molaire."


"En 1866, le moulin passa dans les mains de son fils Jean Baptiste. Au décès de ce dernier, son fils Prosper prit la succession. Puis il le vendit à Adolphe Leleu, descendant de plusieurs générations de meuniers à vent de Haut-Arques. Il en était déjà locataire dès 1908. 

La famille Leleu aurait également tenu le moulin de la Barne, sur route de Racquinghem. En 1923, il prit le pivot du moulin à vent de la Barne pour remplacer l'arbre-moteur du moulin Snick. Dès 1912, il le modernisa et remplaça les quatre paires de meules par des cylindres de la maison H. et G. Rose de Poissy. À sa mort, en 1940, ses deux fils Georges et Marius reprirent le moulin et le modernisèrent encore."


"En 1950, les bluteries furent remplacées par un plansichter et les cylindres renouvelés en 1955 par d'autres achetés d'occasion au moulin de Pont-Sainte-Maxence dans l'Oise. Le moulin fut toujours actionné par une roue en bois. 


"Dès 1920, il produisait sa propre électricité pour son éclairage. Un moteur électrique de 15 CV avec transformateur fut installé vers 1925 pour aider la roue, et en 1968 un autre de 32 CV pour remplacer la roue en cas de défaillance."


"Sans successeur et l'âge venant, les deux frères Leleu cessèrent leur activité le 1er juillet 1983. Une association racheta le moulin quelques années plus tard et en 1989, avec l'aide de l'ARAM (Association Régionale des Amis des Moulins Nord/Pas-de-Calais) qui réalisa les plans et débloqua une subvention du Conseil Régional, la roue fut refaite complètement, ainsi que l'arbre-moteur, en bois de doussié plus résistant."


"En 1991, le moulin fut racheté pour devenir un restaurant et depuis 1994 il est géré par les propriétaires actuels."



Nous y avons de ce fait, déjeuné dans un cadre magnifique...

- toast au Maroilles sur lit de salade
- Aiguillettes de poulet à la forestière
- dessert glacé
- café


un repas traditionnel et savoureux.


Nous avons été accueillis très chaleureusement par le Patron.



Un dernier regard sur la rivière...

Notre  journée allait se poursuivre par la visite des Marais...
à bientôt pour la suite...



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