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Blog créé le 24/09/2011

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Bienvenue sur mon blog !
blog de la gentillesse et de la bonne humeur, voulez vous m'aider à semer des graines de sucre dans ce monde qui a besoin de chaleur et d'amitié ?
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Les photos sont issues du net et le texte issu de ce lien : 

https://www.historic-uk.com/CultureUK/The-Cornish-Pasty/

"
The Cornish Pasty  par Ben Johnson

  Le pâteux fait partie du régime alimentaire britannique depuis le 13e siècle, à cette époque, dévoré par les riches classes supérieures et la royauté. Les garnitures étaient variées et riches ; chevreuil, bœuf, agneau et fruits de mer comme les anguilles, aromatisés à la sauce et aux fruits riches. Ce n'est qu'aux XVIIe et XVIIIe siècles que le pâteux a été adopté par les mineurs et les ouvriers agricoles de Cornwall comme moyen de se fournir des repas faciles, savoureux et durables pendant qu'ils travaillaient. Et c'est ainsi que l'humble Cornish Pasty est né.

Les épouses des mineurs de Cornouailles préparaient avec amour ces repas tout-en-un pour subvenir aux besoins de leur conjoint pendant leurs journées exténuantes dans les mines sombres et humides, travaillant à des profondeurs telles qu'il n'était pas possible pour eux de faire surface à l'heure du déjeuner. Une pâte typique est simplement une garniture de choix scellée dans un cercle de pâtisserie, un bord serti en une croûte épaisse.
Un
 bon pâteux pourrait survivre en tombant dans un puits de mine ! La croûte servait à maintenir le pâteux avec des mains sales sans contaminer le repas. L'arsenic accompagne couramment l'étain dans le minerai qu'ils extrayaient donc, pour éviter l'empoisonnement à l'arsenic en particulier, c'était une partie essentielle du pâteux.

La recette traditionnelle de la garniture pâteuse est le bœuf à la pomme de terre, l'oignon et le saindoux, qui, lorsqu'ils sont cuits ensemble, forment une sauce riche, le tout scellé dans son propre paquet ! La viande étant beaucoup plus chère aux XVIIe et XVIIIe siècles, sa présence était rare et les pâtisseries contenaient traditionnellement beaucoup plus de légumes qu'aujourd'hui. La présence de carotte dans un pâteux, bien que courante aujourd'hui, était à l'origine la marque d'un pâteux inférieur.

Cependant, les idées de remplissage sont infinies et peuvent être aussi diverses que votre goût vous en prendra. Il y a beaucoup de débats sur la question de savoir si les ingrédients doivent être mélangés avant d'être mis dans la pâte ou alignés sur la pâte dans un certain ordre, avec des cloisons de pâtisserie. Cependant, il est convenu que la viande doit être hachée (pas nécessairement émincée), les légumes tranchés et aucun ne doit être cuit avant d'être scellés dans la pâtisserie. C'est ce qui rend le pâté aux Cornouailles différent des autres aliments similaires.

C'était une méthode si courante de manger parmi les mineurs que certaines mines avaient des poêles dans les puits de mine spécialement pour cuire les pâtisseries crues. Et c'est ainsi qu'est née la célèbre rime britannique « Oggie, Oggie, Oggie »». «Oggie » vient de « Hoggan », Cornish for pâteux et il a été crié dans le puits de la mine par les bal-maidens (femmes qui travaillent à la surface dans les mines) qui cuisinaient les pâtisseries, quand ils étaient prêts à manger. En réponse, les mineurs criaient "Oi, Oi, Oi!" Cependant, si elles étaient cuites le matin, la pâtisserie pourrait garder les garnitures au chaud pendant 8 à 10 heures et, lorsqu'elle est maintenue près du corps, garder les mineurs au chaud aussi.

Il était également courant que les pâtisseries proposent non seulement un déjeuner copieux et savoureux, mais également un plat sucré ou fruité dans le désert. La garniture salée serait cuite à une extrémité du croissant et le plat sucré à l'autre extrémité. Espérons que ces extrémités soient également marquées à l'extérieur !"

 

 

 



"Superstition et tradition :

Le pâteux est un emblème si célèbre pour Cornwall que lorsque l'équipe de rugby des Cornouailles joue un match important un pâté géant est suspendu au-dessus de la barre avant le début du match. Et, parlant de pâtisseries géantes, un groupe de jeunes agriculteurs de Cornouailles a décidé de célébrer le symbole en créant le plus grand jamais enregistré en1985 ; 32 pieds de long ! Bien qu'il existe maintenant de nombreuses entreprises nationales qui commercialisent des pâtisseries cornouaillaises, tout local vous dirait qu'aucune ne se compare aux pâtisseries maison traditionnelles.

Comme avec beaucoup de symboles culturels britanniques, il existe des superstitions et des croyances entourant l'humble pâteux qui ont été transmises à travers les âges et acceptées comme rituelles. Tout d'abord, il a été dit que le diable ne traverserait jamais la rivière Tamar en Cornouailles de peur de devenir une garniture d'un pâté de Cornouailles après avoir entendu la tendance des femmes de Cornouailles à transformer quoi que ce soit en une délicieuse garniture !

Le suivant concerne les croûtes du pâteux. Une épouse de Cornouailles marquerait la pâte de son mari avec ses initiales afin que s'il gardait une partie de sa pâte pour une pause dans l'après-midi, il puisse distinguer le sien de ses collègues. C'était aussi pour que le mineur puisse laisser une partie de sa pâte et de sa croûte aux « knockers ». Les heurtoirs sont des « petites gens » espiègles, ou sprites (lutins), qui vivent dans les mines et qui causeraient des ravages et des malheurs à moins qu'ils ne soient soudoyés avec de petites quantités de nourriture. On suppose que les initiales gravées dans les pâtisseries garantissaient que les mineurs qui avaient laissé leurs croûtes pour les « heurtoirs » pouvaient être déterminés parmi ceux qui ne l'avaient pas fait.

Au 13ème siècle, lorsque les pâtisseries faisaient partie du régime alimentaire des riches et des aristocrates, les fruits de mer étaient une garniture courante. Cependant, à Cornwall, un comté très en phase et dépendant de la mer, l'utilisation de fruits de mer dans un pâté était impensable et inappropriée. Parmi les pêcheurs les plus superstitieux des Cornouailles, même avoir une pâte à bord de leur navire était censé apporter de mauvaises nouvelles ! On pense que cette croyance a été lancée par les familles minières d'étain de Cornouailles qui ne voulaient pas que leur ingénieuse invention pâteuse soit adoptée par le secteur de la pêche.

Ils ne voulaient peut-être pas qu'un autre métier utilise cette idée, mais lorsque des migrants de la communauté minière de l'étain de Cornouailles se sont installés dans d'autres comtés d'Angleterre et également en Amérique, à la recherche de travail, ils ont emporté avec eux leur croissant de pâtisserie rempli d'un copieux repas."


"Plus d'information

La Cornish Pasty Association- Protéger le Cornish Pasty. L'Association a acquis le statut de protection européenne (IGP) pour le Cornish Pasty, ce qui signifie que seules les pâtisseries faites en Cornouailles, selon une recette et une manière traditionnelle, peuvent légalement être appelées pâtisseries de Cornouailles."




Originaires de Cornouailles, ces délicieux petits pâtés à la viande ont toute une histoire que je vous raconterai dans un prochain article.

Ils sont idéals pour un pique-nique, pour un encas... 

"La Cornish Pasty Association- Protéger le Cornish Pasty. L'Association a acquis le statut de protection européenne (IGP) pour le Cornish Pasty, ce qui signifie que seules les pâtisseries faites en Cornouailles, selon une recette et une manière traditionnelle, peuvent légalement être appelées pâtisseries de Cornouailles." 



Temps : 1 heure de préparation (peut se faire la veille) et 50 minutes de cuisson
Pour 12 pasties :

Pâte au saindoux :225g de farine bio T 80
Un peu de sel
60g de saindoux
40g de beurre
de l'eau froide (moi j'ai lié ma pâte avec un jaune d'oeuf battu et un peu d'eau froide)

Mélangez dans un grand saladier la farine et le sel
Ajoutez le beurre et le saindoux en petits morceaux
Les enrober de farine. Le mélange doit être sableux
Ajoutez l'eau froide (pour moi l'oeuf battu) jusqu'à obtenir une pâte.
La pétrir rapidement, la filmer et la mettre au réfrigérateur pendant au moins 30 minutes. (je l'ai préparée la veille)



Garniture :

2 petits oignons pelés et émincés finement
60g de rutabaga pelés (j'y ai mis des navets jaunes) coupés en tout petit cubes)
1 grosse pomme de terre, pelée et coupée en fines lamelles (je l'ai coupée aussi en tout petit cubes)
200 g de boeuf cuit, restes de pot-au-feu, coupé en petits morceaux (j'ai utilisé du boeuf haché que j'ai poélé avant)
25g de beurre
Sel et poivre.
(J'ai précuit les légumes, ce qui permet de mélanger la garniture dans laquelle il y a déjà viande, légumes, sel, poivre et beurre)


Préchauffez votre four à 200°C

Etalez votre pâte sur un plan de travail fariné et découpez les ronds soit avec une assiette, soit avec le petit appareil qui va bien...

Sur la moitié du cercle et à un bon cm des bords, disposez une couche de lamelles de pommes de terre, saler, poivrer, ajoutez quelques oignons, une couche de rutabagas et le boeuf cuit. Terminez par le beurre.

Astuce : comme j'ai précuit les légumes il suffit de disposer le mélange dans le creux du moule.

Badigeonner d'oeuf battu les bords et rabattre l'autre moitié de pâte.

Astuce avant de poser le rond sur la forme, j'ai agrandi un peu le rond au rouleau à pâtisserie de façon à ce que la pâte déborde un peu du moule pour mieux coller.

Presser les bords puis les retourner en les pinçant.




A l'aide d'un couteau, inciser 2 petits trous pour laisser la vapeur s'échapper.

Disposez sur une plaque au four
Répétez l'opération avec le reste de pâte.
Badigeonner d'oeuf battu les chaussons.
Enfournez pendant 20 minutes puis baisser à 160°C pendant 30 minutes.

J'ai un peu tâtonné au début et puis en fait comme ça, ça va assez vite.

Vous pouvez accompagner les pasties de sauce brune (gravy) bon appétit !



quelques fleurs

 16/06/2020
mes fleurettes sur le balcon... ça met un peu de gaieté !



moules à ravioles

 08/06/2020
Vous en avez ou vous en avez déjà vus... je viens d'en acheter de trois tailles différentes pour pas cher à la Foirefouille... (5,99 €)
SI je réussis les deux recettes que j'envisage... je vous en reparlerai...



Bien sûr il nous faut suivre la croissance de ces oisillons...
Une jolie famille


Ils ont bien grandi ! hauts sur pattes et avec un joli duvet à pois sur la tête !


En général le couple fait deux oeufs, si les conditions sont bonnes ... trois... comme pour cet autre couple...

Nous avons appris quelquechose en les obervant derrière le grillage. L'adulte qui les surveille leur a transmis un signal d'alerte (humains en vue !). le plus aventureux est venu se nicher derrière des briques dans un creux... les deux autres ont suivi... au bout d'un moment on ne savait plus où ils étaient pendant que l'adulte passait au ras de nos têtes pour nous faire partir... géniale cette transmission pour des si petits !



Merci mille fois merci à Lisette qui n'oublie jamais les copinautes !
En tant qu'apprentie aquarelliste j'apprécie et aussi le message à l'intérieur !




Anniversaire fleuri !

 07/06/2020
J'ai été gâtée en fleurs !


et merci à toutes pour vos gentils messages...


Bonne fête des mères !!



Note d'humour...



Fondant au citron

 01/06/2020
J'ai relevé cette recettes dans un magazine et comme j'avais des citrons à utiliser...

pour 6 personnes

Ingrédients :
200g de farine
200g de sucre
3 oeufs
100 g de mascarpone
100 g de beurre fondu
1/2 sachet de levure chimique  (j'ai utilisé un sachet de levure bio)
le jus de 4 citrons (environ 150 ml)  (je n'en ai mis que deux mais j'en mettrais plus la prochaine fois même si ça dépasse les 150 ml)


Préchauffer le fours à 180°C
Beurrez et farinez un moule carré ou rectangulaire

Fouettes les eoufs avec le sucre, incorporez la farine et la levure.
Ajoutez le beurre fondu, le mascarpone et le jus de citron.

Versez la pâte dans le moule
Enfournez 25/30 minutes à 180°C. 

A la sortie du four, laisser refroidir. Faire chauffer l'eau et le sucre au micro-ondes afin de réaliser un sirop et badigeonner le gâteau de ce sirop avant de découper des carrés.
Laissez refroidir

Mes notes : attention au sucre, je n'ai pas fait le sirop et la prochaine fois, je choisirais un plat moins haut et plus grand (genre plat à four).

Résultat : c'est moelleux, léger et savoureux !



et voilà cinq jolis pots... un bon début !
Annick m'a demandé la recette, la voici :

Abricots,
pêches   (1K5 de fruits environ au total)
1 bâton de vanille Bourbon ou un peu de vanille Bourbon en liquide
gelsuc 1kg

-Lavez vos fruits, pelez les pêches, coupez les fruits en petits dés;
-Dans une casserole, avec un fond d'eau pour ne pas que ça attache faites cuire vos fruits avec le bâton de vanille Bourbon (si vous utilisez en liquide vous mettrez après...)
-Quand vos fruits sont fondus, retirez le bâton de vanille Bourbon et mixez au blender 
-Dans un faitout ajoutez le gelsuc aux fruits mixés, mélangez bien (éventuellement ajoutez la vanille Bourbon liquide)
-Portez à ébullition pendant 5 minutes, écumez si besoin et mettez en pots.



Une réussite pour ce pied d'arbre en ville...



C'est Mimi avec sa recette (ici !) qui m'a donné l'envie de faire cette entrée...

Epluchez les avocats, les couper en morceaux, arrosez d'un demi-jus de citron.
Ebouillantez vos tomates pour enlever la peau, ôtez les pépins et coupez en petits dés
Epluchez et ciselez une échalotte
Passez l'avocat au blender avec de la crème fraiche et le demi-jus de citron restant pour faire une crème, salez, poivrer, ajoutez un trait de tabasco.
Disposez au fond des coupes 
posez par dessus l'échalotte puis les tomates.
Terminez par le filet de truite fumée coupé en petits morceaux
Décorez de ciboutette fraîche
Mettre au frais



Les petits arrivent !

 28/05/2020
Nous sommes retournés sur le chantier ... les goélands couvent toujours et déjà deux petits sont nés !! la mère couve le 3è tandis que le père nourrit déjà les oisillons ...



mes lectures du moment

 25/05/2020
"quelque chose du bonheur" : Une histoire touchante, émouvante mais présentée avec humour...
"Lorsque deux jeunes femmes que tout oppose se rencontrent, leur destin pourrait bien basculer. Annie mène une existance vide de sens et de joie depuis qu'un drame a brisé sa vie deux ans plus tôt. Polly, elle n'a plus que trois mois à vivre. Mais Polly, aussi rayonnante et excentrique qu'Annie est terne et renfermée, est bien décidée à profiter de la vie jusqu'au bout : trouver chaque jour une source de joie, réenchanter le quotidien pour retrouver le goût de vivre et la force d'accepter l'inéluctable. Elle entraîne sa nouvelle amie dans un tourbillon fantasque de petits bonheurs : "Si vous voulez l'arc-en-ciel, vous devez accepter la pluie."


"La ville orpheline" de Victoria Hislop, une auteure que j'aime beaucoup et un morceau de l'histoire de Chypre que je ne connaissais pas.



un avion qui passe (rare en ce moment), une grue qui attend pour reprendre le travail du chantier... et une phographe qui s'amuse à croire que c'est la grue qui l'a lancé lol !
Ah si les avions pouvaient moins poluer ce beau ciel bleu !!!



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