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J'ai créé ce blog le 15.01.2010 afin de vous faire partager quelques bribes de ce qui fait ma vie. Je souhaite vous faire découvrir petit à petit ma région, mes passions, mes recettes, mes petits jardins etc.                        Je compte sur votre indulgence pour les fautes et les maladresses...  J'ai un ordinateur depuis peu ; Mais ne dit-on pas : "qu' il n'y a pas d'âge pour apprendre...! "...alors je me lance !                                                         J'espère que mes articles vous intéresseront, et vous offriront comme à moi, le plaisir de partager de nouvelles amitiés... Faites donc ''une petite pause "... et n'hésitez surtout pas à m'envoyer vos commentaires... C'est parti ! ...

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BON DIMANCHE

 01/08/2010
Bonjour, je vous souhaite un bon dimanche.

 
Vous allez sans doute me trouver bête, 
mais bien que la photo ne soit pas terrible, mon zoom est faible.
Je tenais à la mettre dans mon blog.
Hier après un orage, je vois de la fenêtre de la cuisine, 
un arc en ciel se former, et au moment où j'allais le photographier
 je vois deux bébés chevreuils sortir de la haie,
 manger et gambader dans le terrain en friche.
J'ai voulu partager ce petit moment de bonheur avec vous 
si comme moi, vous aimez les animaux, la nature. 









Après le château de Péronne,
 j'ai tenu à vous faire quelques photos de ces lieux, isolés, en pleine campagne, mais toujours très visités tout au long de l'année, tant par des Français que par des Etrangers venus de tous les horizons . 
Je ne vais pas vous faire un cours d'histoire, mais j'ai un immense respect pour ces lieux, pour tous ces Hommes sans qui nous ne serions sans doute pas là aujourd'hui... je voulais donc simplement laisser dans mon blog  un hommage à tous ces hommes souvent très jeunes, et qui perdirent la vie  dans la Somme, le Nord et le Pas de Calais
 lors de la grande guerre 1914 - 1918


Un cimetière parmi tant d'autres


























29 ème Division
1914  -  1918
















Les tranchées




Il arrive souvent de voir des moutons... 
Beaucoup moins souvent maintenant, mais il est arrivé plusieurs fois que des moutons meurent sous l'effet de mines qui remontent à la surface avec le temps... C'est pourquoi il faut respecter les lieux et ne pas marcher où c'est interdit




Les tranchées... 
ici tout est propre,
mais imaginez les soldats dans la boue, sous la pluie... 
le jour comme  la nuit... 


Ici ce sont des trous ... les traces des bombes qui tombèrent




Albert (ville)














Quelques photos à travers la vitrine du musée, hélas fermé lorsque je suis passée














La bataille de la Somme

L'offensive alliée sur la Somme avait pour objectif de rompre le front allemand en Picardie. Entre juillet et novembre 1916, les combats opposèrent des soldats d'une vingtaine de nations.
Tous belligérants confondus, cette bataille fit 1 200 000 morts, blessés et disparus. La Somme est ainsi un lieu de mémoire pour de nombreux peuples.
Douglas Haig présente Pertab Singh au général Joffre
Douglas Haig présente Pertab Singh au général Joffre. Source : SHD
L'infanterie britannique à l'assaut, 1916
L'infanterie britannique à l'assaut, 1916. Source : SHD
Conçue par les Alliés à partir de décembre 1915, la bataille de la Somme est déclenchée le 1er juillet 1916. Une intense préparation d'artillerie lancée le 24 juin déverse 1,5 million d'obus sur un front de 25 km. À l'image de la bataille de Verdun commencée en février 1916, l'allongement des combats entre juillet et novembre 1916 fait émerger une guerre d'une nouvelle nature où la "bataille" n'a plus ni fin, ni résultat précis. Elle se résume à une série d'opérations préparatoires à une bataille qui, de fait, n'eut pas lieu. L'affrontement sur la Somme voit l'étagement d'opérations menées cinq mois durant, prolongées par des combats sporadiques et sans enjeu stratégique après novembre 1916.
Province frontière, la Picardie constitue, depuis l'invasion allemande de l'été 1914, une bande stratégique élastique et large d'une vingtaine de km, zone d'affrontements complexe. Côté allié, à la jonction des armées anglaises et françaises, cet espace militarisé distribue une série de premières et de secondes lignes, précédant des défenses en profondeur, des zones de repos, puis les villes et les villages de l'arrière front. Depuis 1914, le front a varié. Il est passé de l'ouest de Doullens et d'Amiens en septembre 1914 (où une large part de l'espace picard est aux mains des Allemands) à une emprise ennemie limitée et stabilisée en 1915 au nord-est de l'Oise (dont Noyon), à l'est de la Somme avec Péronne et au nord-ouest de l'Aisne. À l'articulation de la 4e armée britannique et de la 6e armée française, l'offensive alliée sur la Somme a ainsi pour objectif la rupture du front allemand en Picardie afin de s'emparer du nœud de communications adverses au nord de Saint-Quentin, dans le triangle Valenciennes-Maubeuge-Cambrai. L'enjeu est de provoquer un recul allemand sur le front ouest, en faisant désormais porter l'essentiel de l'effort par les Britanniques sur un front raccourci après l'offensive allemande sur Verdun, essentiellement supportée par les armées françaises. En 1916, le déblocage stratégique sur le front ouest par usure de l'adversaire sur ses positions défensives pouvait-il procéder d'une série d'opérations successives s'apparentant à un siège mené en rase campagne ? Jouant du relief et coordonnées en réseau, les spectaculaires fortifications enterrées des Allemands ont conduit, depuis décembre 1915, les "assiégeants" à mettre en œuvre une véritable infrastructure de siège : réseaux de tranchées fines facilitant la liaison des unités en vue de l'assaut, construction de fourneaux de mines pour détruire les positions défensives par des explosions souterraines, préparation logistique pour acheminer les unités et le matériel soit huit nouvelles voies ferrées et 80 000 km de câbles dans le secteur britannique pour faire passer 30 trains par jour, 1 500 pièces d'artillerie britannique. Cette préparation de la bataille s'échelonne sur six mois.
Carte des champs de bataille de la Somme
Carte des champs de bataille de la Somme. Source : Comité du tourisme de la Somme
Lorsque la "bataille" est lancée le 1er juillet, les Alliés n'imaginent pas que les Allemands puissent concevoir progressivement des lignes de défense nouvelles, résistant aux assauts successifs sur leurs positions défensives durant cinq mois. Après le désastre militaire sans précédent des Britanniques à la fin du choc initial du 1er juillet, les attaques de grignotage se succèdent en plusieurs vagues. Du 2 au 13 juillet, elles visent la seconde position allemande, prise le 14. Les Allemands ont pu toutefois mettre en place leur 3e position, érodée par des rafales d'attaques jusqu'en septembre.
Modèle réduit de tank Mark 1
Modèle réduit de tank Mark 1. Source : Historial de la Grande Guerre
Le 15 septembre 1916 s'ouvre la "seconde bataille de la Somme", marquée par le premier engagement décevant des chars Mark I anglais de la Grande Guerre, sans succès tactique majeur d'ailleurs (50% de pertes en septembre 1916). La 3e ligne allemande est prise d'assaut le 25 septembre, alors même que la 4e ligne allemande est opérationnelle en attendant deux autres lignes déjà en cours de réalisation. Les Alliés butent sur la prise de la 4e ligne à sept reprises entre le 7 octobre et fin novembre.

Les intempéries de l'automne suspendent alors leurs opérations. La bataille cesse fin novembre, après que les assauts alliés se sont brisés sur la série de murailles adverses. Ces opérations se caractérisent par des pertes humaines sans précédent, à l'échelle de celles de Verdun. Tous belligérants confondus, on compte 1 200 000 morts, blessés et disparus dont 500 000 Britanniques, 200 000 Français et 500 000 Allemands. Ces pertes sont rapportées à l'intense rotation des unités car 1,5 million d'Allemands, 2,5 millions de Britanniques et Français se sont succédé en cinq mois dans la Somme.
Sihk du Penjab
Sihk du Penjab. Source : MINDEF/SGA/DMPA
L'intensité du feu confère une supériorité écrasante à la défensive sur l'offensive. Mais surtout, elle empêche le mouvement et neutralise la bataille. L'emploi massif de l'artillerie et des mitrailleuses limite la mobilité des unités. Il conditionne les données tactiques des assauts comme des défenses statiques, reconstruites sur des lignes allemandes nouvelles. La guerre de matériel démontre la nécessité de la mobilisation industrielle, leçon tirée dès novembre par Hindenburg et Ludendorf au Grand quartier général allemand. La violence des destructions d'artillerie sur le terrain est le propre obstacle du déplacement de l'artillerie vers l'avant pour soutenir toute percée en profondeur de l'infanterie, ainsi que le démontrent les opérations de la première quinzaine de juillet. La percée en profondeur et le retour au mouvement interdits, "la bataille meurt de sa propre violence" selon l'expression de S. Audoin-Rouzeau et G. Krumeich. Si les préparations d'artillerie et les tirs de mortiers ébranlent les positions, ils ne détruisent totalement ni les positions enterrées ni les réseaux de fils de fer barbelés, pas plus que les explosions de mines comme à La Boisselle, près de Pozières, dans le secteur central, comme le démontre tragiquement l'assaut britannique initial du 1er juillet. Pour les armées anglaises, ce fut un carnage. Sur 320 000 soldats engagés, l'assaut est soldé en un jour par 60 000 pertes dont 20 000 morts, contre 6 000 aux Allemands.
L'étendue du désastre ne fut pas tout de suite connue car l'état-major et la presse alliée cédaient encore à l'optimisme. 
La Somme comme la bataille de Verdun donne lieu en 1916 à une censure et à une propagande redoublées, en réalité à un encadrement délibéré des opinions publiques. L'image cinématographique et photographique est l'oeuvre d'une propagande officielle massive, tant côté allié qu'allemand, pour satisfaire l'attente avide d'informations à l'arrière du front. Les opinions publiques, anglaise et allemande, surinvestissent rapidement la représentation nationale de cette "bataille". 
Soldats écossais en embuscade, front de l'Aisne
Soldats écossais en embuscade, front de l'Aisne.
Source : Historial de la Grande Guerre
La Somme est donc une formidable bataille de l'image, qui voit le commandement anglais établir une couverture médiatique inédite des opérations. Installant des journalistes à proximité de la première ligne, l'état-major anglais veut offrir une image officielle des combats, largement truquée aux dires de Beach Thomas qui couvre l'événement pour le Daily Mail. Des centaines de photographies officielles sont envoyées à l'arrière chaque mois. Et le 21 août 1916 sort le film La bataille de la Somme que 20 millions d'Anglais voient dans les salles de cinéma en trois mois. L'attente d'une information réaliste, ou pensée comme telle à l'arrière, justifie que l'on parle d'un tournant de la propagande de guerre par l'image au XXe siècle. Et cette donnée n'aurait pas d'importance si la bataille de la Somme n'avait opposé entre elles une vingtaine de nations, issues des empires, ainsi qu'en témoigne l'étonnante profusion de monuments commémoratifs, de cimetières militaires, de lieux de combat encore conservés aujourd'hui sur le sol picard, à l'instar de Thiepval pour les Anglais ou du secteur de tranchées de Beaumont Hamel.
Affiche
Affiche. Source : Historial de la Grande Guerre
Il y a pourtant des expériences de guerre très variées dans les regards croisés que jettent les différents contingents français, britanniques et allemands engagés sur la Somme. Guerre de défense pour les Anglais, la bataille de la Somme compose une part de l'identité nationale des dominions de l'empire britannique, à l'instar des Australiens, des Néo-Zélandais, des Africains du Sud ou, à moindre degré, des Canadiens. Ces peuples aspirent surtout et bientôt à l'indépendance comme le prix de leur participation à une guerre également vécue comme impériale. La Somme a consolidé le patriotisme anglais.
Engagés volontaires, les "copains" partis faire la guerre dans le corps expéditionnaire viennent de la même ville, du même village anglais : plus de 5 000 Londoniens furent blessés et tués, 3 500 originaires de Manchester, et beaucoup issus des pays miniers, au point que les sacrifices de la Somme ont remobilisé et radicalisé l'opinion anglaise, décidée à faire la guerre à outrance après l'été 1916. Guerre avancée de défense du territoire national par un surinvestissement patriotique du côté allemand, la "garde sur la Somme" se substitue dans les esprits à la traditionnelle "Garde sur le Rhin" (Wacht am Rhein). La conscience allemande a cherché à contrecarrer l'image de barbarie des troupes allemandes fabriquée par la propagande alliée rappelant les atrocités allemandes commises contre les populations civiles lors de l'invasion de 1914. Elle s'est ainsi emparée des exemples de destruction anglaise des villages français pour retourner l'accusation devant l'opinion allemande et défendre ses combattants. Le soldat allemand est ainsi légitimé par sa défense du sol national sur une ligne avancée, certes en territoire ennemi, mais chargée de signification en termes de défense nationale, avant que la littérature de guerre des années 1920 ne nourrisse le mythe collectif du Frontkamerad, né dans la Somme en 1916. Paradoxalement, l'investissement patriotique français, consenti à Verdun depuis le printemps, place en léger retrait de la mémoire nationale ces combats de la Somme dès 1916. Il joue ultérieurement, au printemps 1917 et lors de l'offensive allemande de mars 1918 dans la Somme, dans une représentation défensive du sol, des villages, de la patrie. Il n'a pas la même charge mémorielle que celle que lui accordent les écrivains anglais et allemands, à l'image du poète Ted Hughes ou d'Ernst Jünger dans Orages d'acier. La Somme incarne donc une sorte de "Verdun" pour les belligérants autres que les Français. Avec le front picard, elle a participé à rendre concret le sens de la guerre à une génération de soldats et de civils qui l'avaient vécue. La Somme n'est pas seulement un choc militaire, elle est en 1916 un choc culturel de la Grande Guerre. Elle est restée un lieu de mémoire national pour de nombreux peuples au XXe siècle.
Source : Olivier Forcade, Université de Picardie ; Stéphane Audoin-Rouzeau, Jean-Jacques Becker (dir.), Encyclopédie de la Grande Guerre, Bayard, 2004, 1 343 p. ; Anne Duménil, Philippe Nivet (dir.), Picardie, terre de frontière, Amiens, Encrage, 1998, 220 p. ; John Keegan, Anatomie de la bataille.
Sources complémentaires : Azincourt 1415. Waterloo 1815, La Somme 1916, Paris, Laffont, 1993. Revue "Les Chemins de la Mémoire n° 162" - juin 2006 pour MINDEF/SGA/DMPA



BONNE SEMAINE

 27/07/2010
A tous les visiteurs de mon blog je souhaite une très bonne semaine




J'adore les coquelicots


A Péronne (80), tandis que je traversais la ville.. 
je décide de faire une très brève pause pour vous faire  quelques photos
de cet imposant château médiéval .










Canon C/72
Tube saboté de 
canon allemand
de 150mm de 1872
Construit par Krupp ou
Rheinmetall.
Retrouvé à Péronne
en 2004 dans le ruisseau
de la Tortille.








HISTORIQUE DU CHATEAU DE PERONNE

Pour protéger Péronne des Normands qui ont en 884 incendié
 le 1er château, le comte Herbert de Vermandois fit construire des fortifications à cet emplacement et une tour de donjon, détruite plus tard. Les 4 tours actuelles datent de la fin du XII ème siècle et furent érigées par Philippe Auguste.

 
Les Rois Henri IV, Louis XIII et Louis XIV ont modernisé la forteresse au fur et à mesure des progrès de l'artillerie.
Pendant la bataille de la Somme en 1916 le château fut gravement endommagé comme l'ensemble de la ville.
Enfin la municipalité de Péronne l'a cédé au département de la Somme pour l'installation de L'HISTORIAL DE LA GRANDE GUERRE
Ouvert au publique depuis août 1992









ABANDON 2ème partie

 22/07/2010
voilà donc la suite des aventures du petit chat abandonné...
pauvre petit bout...




j'ai faim !!!


La décision prise, voici le chaton arrivé à la " datcha "
il adopte tout de suite le fauteuil où je lui ai préparé un petit nid bien chaud, et ne le quitte plus...


hummmmmmm ! qu'est-ce que je suis bien ...


à plus...



UN CHOUETTE CADEAU

 22/07/2010
La pluie venant juste de revenir en Alsace, je vais en profiter pour essayer de me faire un beau jardin d'automne, car jusqu'ici j'ai tout raté ou presque...
c'est la grosse déception...
Si nous avons un de nos voisins de jardin que nous surnommons : "le père pic tout " 
nous en avons un autre hyper gentil, serviable et touché par le mal que nous nous y donnons en vain .  

Hier j'ai eu une bonne surprise, "un beau cadeau je trouve" :
Vova est allé arrosé et cueillir quelques concombres, courgettes, radis (c'est tout pour le moment) dans " notre jardin familial ( location)", 
et notre super voisin, nous a donné un beau chou, 
mais le mieux encore, c'est : "un tuyau d'arrosage " qu'il n'utilisait plus. Il avait mal pour nous de nous voir nous coltiner chaque jours des 10 ènes et des 10 ènes d'arrosoirs à bout de bras... Nous avions décidé de ne plus en acheter, car trop c'est trop. (nous avions + de 100 mètres de tuyau avec les accessoires, 6 arrosoirs, tondeuse, faucille, gants, râteau, pelles, des sacs de fumier de cheval, rosiers, thuyas et j'en passe... volé... sans oublier les plus beaux légumes et les saccages dans nos carrés cultivés) si nous ne sommes pas les seuls, c'est quand même le notre le plus visité! (car juste en face de celui de Pictout.
 Nous avons d'abord refusé ce tuyau, mais le Mr à tellement insisté que nous avons accepté, espérant qu'il ne sera pas volé encore une fois ! 
Si vous  vous demandez  comment nous savons que : "c'est le père Pictout qui a nos affaires", c'est facile,  il les utilise devant nous ! 
J'en avais déjà parlé dans un autre article.
Ca fait 6 ans que ça dure et
je vous assure que c'est très décevant de se donner du mal pour constater des vols... 
nous avons déposé chaque fois des mains courantes à la police, en vain. (je dirais même que cela les fait sourire) ( c'est vrai qu'à côté de " l'affaire Bettancourt" ! nous ne faisons pas le poids !!! lol !)

les jours prochains j'envisage donc de semer à nouveau quelques lignes de carottes, navets, persil, haricots verts etc... pour l'automne... et l'hiver sans oublier quelques fleurs, car en général nous avons une belle arrière saison.
J'essaierai de tenir un petit journal de jardinage dans mon blog afin de vous faire partager mes expériences positives et négatives 

Et puis je vais aussi semer à nouveau quelques petites herbes aromatiques basilique, cerfeuil, cresson, persil, thym...dans mes jardinières sur le balcon, car le jardin se trouve à plus d'1km 1/2 environ de l'appartement

jardinier amateur.fr

on repasse en lune montante, ça repart pour les semis, les greffes...

DateType de jourActions à mener
Vendredi 23 juillet Jour Fruits Récolter les légumes fruits pour les conserves
Semer des haricots
Samedi 24 juillet  avant 15h Nœud lunaire Ne jardinez pas
Du samedi 24 juillet après 15h au dimanche 25 juillet Jour Fruits Récolter les légumes fruits pour les conserves
Semer des haricots
Lundi 26 juillet Jour Racines Semer des carottesnavets et radis
Du mardi 27 juillet au mercredi 28 juillet Jour Fleurs Greffer les églantiers
Récolter les choux brocolis et choux-fleurs
Du jeudi 29 juillet au dimanche 1er août Jour Feuilles Semer épinardsfenouils, choux chinois et salades




Je viens d'apprendre le décès de Cécile Aubry
souvenez vous : Belle et Sébastien, Poly, j'adorais ces feuilletons quand j'étais enfant .....
      
 Cécile Aubry est une écrivain, scénariste, réalisatrice et actrice française, née Anne-José Bénard le 3 août 1928, décédée le 19 juillet 2010 à Dourdan(Essonne).

Son début de carrière internationale semblait très prometteur (Cécile Aubry fera la couverture de l'édition du 26 juin 1950 du magazine Life) et elle obtient son premier grand succès dès ses débuts avec le filmManon, de Henri-Georges Clouzot tourné en 1949. Elle signe ensuite un contrat avec la 20th Century Fox, mais ne tourne que dans un petit nombre de films. Dans La Rose noire on la voit aux côtés de Tyrone Power et d'Orson Welles et, dans Barbe-Bleue, elle est la dernière femme de cet inquiétant personnage, interprété par Hans Albers. Cependant, après avoir épousé Si Brahim el Glaoui, fils du Pacha de Marrakech, elle abandonne son métier d'actrice. Après l'indépendance du Maroc, elle devient écrivain pour enfants et adaptera elle-même ses romans pour la télévision. Elle est la mère de l'acteur et réalisateur Mehdi El Glaoui.

Elle décède le 19 juillet 2010 à Dourdan (Essonne) des suites d'un cancer du poumon à l'âge de 81 ans1.

____________________________________________________
Cécile Aubry est réalisatrice d'une partie des épisodes des séries PolyBelle et Sébastien et Le Jeune Fabre.

sources wikipedia





DANS MES VALISES 4/

 20/07/2010
Le Château d'Havrincourt













DANS MES VALISES 3/

 20/07/2010


J'adore les moulins, 
et j'ai la chance d'en voir pas loin de "la datcha"




J'adore vraiment


magnifique non ? !




ce jour là le ciel était nuageux, pluvieux, mais chaque fois que j'y passe je craque devant ce tableau de la nature


oui oui ! vous êtes dans le Nord !   tout n'est pas gris ! lol !








Merci pour votre visite.....
.......quelques petits soucis avec mon ordi, qui refusait de m'obéir !
                                               Gif Ordinateur
Suite à un petit ennui avec mon ordi, je n'ai pu ajouter les articles prévus...
j'en suis désolée ! Excusez -moi .
Gifs ordinateur
Je pense ( j'espère ) que maintenant tout est rentré dans l'ordre.
Mais pour ce soir, j'arrête, demain il fera clair et chaud !
 
Un peu de repos me fera le plus grand bien, lol !  je suis K.O.
Je vous souhaite une bonne nuit, pour les couches tard comme moi ;
Et un bon mardi à tous et toutes... 
à tout à l'heure donc pour quelques photos sorties tout droit de mes valises.... bises...



BONJOUR

 19/07/2010
                       

                       Merci de votre visite, 
                     Passez une Bonne semaine....
                     
HUMOUR GIFS


DANS MES VALISES 2/

 17/07/2010

Comme chaque fois, la séparation est mal vécue ! Coup de blues !
Alors je décide de faire quelques photos sur le chemin du retour...


2ème déception, ce jour là, il faisait chaud, je m'étais dit qu'un petit moment au bord de l'eau, sous les platanes me ferait du bien !
Manque de bol, arrivée sur place, Oups ! je constate avec tristesse qu'ils ont abattu tous les platanes, mon Dieu  que c'est moche. 


L'eau est propre et claire, je n'aurais pas pensé y voir des poissons !




On ne voit pas très bien, mais quand même gros le poipoi !
 je ne sais pas ce que c'est, 
peut-être que Chantal me donnera son nom ! 
si vous le savez dites le moi...merci 
il y en avait beaucoup





 Vous devez bien vous douter que dans mes valises,  je vous ai ramené aussi quelques photos...
Pas facile car la météo au début de mon séjour, était grise, pluvieuse et froide ; et de plus, je suis partie pour aider Maman, et bricoler un peu chez moi à la "datcha"donc pas "vraiment en vacances" ! 

La gare de Douai : 
c'est l'heure du départ pour Vova... 
qui prend le TGV pour PARIS, puis change de TGV pour STRASBOURG, (pourquoi faire simple lorsque l'on peut faire compliquer, vive la FRANCE 
(avant on prenait un train ordinaire à Valenciennes, qui nous menait directement à Strasbourg pour beaucoup moins cher, 
aujourd'hui on nous dit "TGV plus rapide", tout est relatif ! pour nous c'est plus cher "point".
 (en fait, la durée du voyage est la même,
 car il faut changer de gare à Paris,) 
soit 5h de trajet (500kms) dans les 2 cas, 
comptez environ 140 € A/R en TGV) 










embarquement


c'est parti... nostalgie !



Bernard René Giraudeau 
né le 18 juin 1947 
et mort d'un cancer le 17 juillet 2010 à PARIS


En 1963, à l'âge de 16 ans, Bernard Giraudeau s'engage dans la marine nationale et entre à l'École des apprentis mécaniciens de la flotte de Toulon comme "arpette". Il sort major de sa promotion 2 ans plus tard. En 1965-1966matelot puis quartier-maître, il embarque sur le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc et participe aux deux premières campagnes d'application à la mer des officiers élèves. Il embarque ensuite sur la frégate Duquesne'' avant de quitter la marine pour tenter sa chance en tant qu'acteur.

Il a ainsi fait deux fois le tour du monde avec la Marine avant d’intégrer le Conservatoire national supérieur d'art dramatique en 1970. Il y décroche le premier prix de comédie classique et moderne.

Il a deux enfants avec l'actrice Anny Duperey dont Sara Giraudeau (née en 1985), révélation féminine de la 21e Nuit des Molières en mai 2007.

Il fait ses premiers pas à l'écran avec Jean Gabin dans Deux hommes dans la ville (1973) et rapidement alterne les grands rôles au cinéma et au théâtre. En 1987, il passe de l'autre côté de la caméra en devenantréalisateur, tout en continuant à tourner comme acteur.

En 2000 il est atteint d'un cancer qui l'oblige à subir l'ablation du rein gauche, puis d'une métastase au poumon en 2005, ce qui le contraint à ralentir ses activités. Bernard Giraudeau comprend qu’il doit changer de vie. Il raconte alors que le cancer lui a permis d’apprendre à se connaître. Il consacrera une partie de son temps à aider les malades en soutenant l'Institut Curie et l'Institut Gustave Roussy.

Dans les dernières années de sa vie, il se consacre avec succès à l'écriture. Il devient membre de l'association des "Ecrivains de marine". Son roman Les Dames de nage s'est classé 15e des ventes de romans en France en 2007 avec 117 000 exemplaires vendus4, et ce avant sa publication en format de poche en 2008. Son dernier titre, Cher Amour, publié en mai 2009 aux éditions Métailié, s'est classé 8e des ventes au classement Relay-Relaxnews du 10 au 16 juin 2009.

Bernard Giraudeau a été le président de la 23e Nuit des Molières le 26 avril 2009.

Profondément attaché à la Marine nationale, il est parrain de la promotion 2010 « Frégate Thétis » de l'école des mousses, qui porte le nom du premier bâtiment-école de l'école et qui est aussi la première depuis que l'école a été réouverte en septembre 2009. En octobre 2009, il participe à la cérémonie de réouverture, aux côtés du ministre de la Défense Hervé Morin et de l'amiral Pierre-François Forissierchef d'état-major de la marine.

Le 4 novembre 2009, il se voit décerner le Prix Mac Orlan pour Cher Amour, publié aux Éditions Métailié en mai 2009. Il n'a pas pu se rendre à la cérémonie pour raisons de santé.

Bernard Giraudeau est mort, à l'âge de 63 ans, dans un hôpital parisien le 17 juillet 2010, des suites d'un cancer du rein et du poumon.

sources wikipedia

 

 

      

   




ABANDON 1ère partie

 17/07/2010
Bonjour tout le monde et bon week end.

Aujourd'hui je vais vous présenter un nouveau venu dans notre petit foyer.
Il se trouve que j'ai ramener dans mes valises ce pauvre petit bébé, minou abandonné, qui serait mort depuis longtemps si je ne l'avais pas ramassé.
Je suis en pétard de voir de pareilles choses. Vous ne pouvez pas imaginer dans quel état cela me met. Les gens ont abandonné leur chien je ne sais où, ni comment, puis sont partis. Je pensais que l'histoire s'arrêtait là, mais non...
Peu après j'entendais des petits sons, je me demandais d'où ils provenaient...je cherchais en vain... puis très faible, et peureux, il apparu, se rapprocha...de la porte de la maison...je lui donnais du lait, et  un peu de nourriture ..un vrai glouton... très vite il a comprit que... et il revenait timidement...
Lorsque c'est arrivé, les jours étaient pluvieux, et il faisait froid, encore plus la nuit....je l'ai réchauffé, câliné un peu. Il ne connaissait pas les caresses ni les genoux ! Il était quelque peu agressif lorsque je passais ma main sur ses reins, des coups sans doute....
Petit a petit il  prend goût aux caresses.. puis relâché  à regret pensant que les propriétaires reviendraient, (car il arrive que, vite fait un chaton se sauve pour jouer..) .et bien non personne est revenu. Il était seul, livré à lui même, sans abri, ni nourriture. Il ne savait même pas grimper.
Je ne comprendrais jamais comment on peut faire mal aux enfants, aux personnes faibles, ou âgées, ou encore aux animaux. Ca me dépasse et me révolte. 
Donc une fois de plus, j'ai ramasser et adopté ce petit bout d'chou. 

"Persuadée que c'était un petit mâle...!" lol !
 j'appelle Vova au téléphone et lui demande s'il est d'accord pour que l'on prenne une nouvelle bouche à nourrir, nous avons déjà deux chattes âgées de 15 ans, et je  lui dis : "- c'est un petit mâle, tu ne seras plus en infériorité à l'apt." lol !  un peu hésitant, il me dit oui ! (remarquez, je lui ai demandé son avis  après coup ! lol ! (ça c'est moi) s'il avait dit non, j'avais plus d'un tour dans mon sac pour le faire changer d'avis, lol !
 
voici donc une photo du bébé

à suivre...



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