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Blog créé le 09/12/2009

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J'ai créé ce blog le 15.01.2010 afin de vous faire partager quelques bribes de ce qui fait ma vie. Je souhaite vous faire découvrir petit à petit ma région, mes passions, mes recettes, mes petits jardins etc.                        Je compte sur votre indulgence pour les fautes et les maladresses...  J'ai un ordinateur depuis peu ; Mais ne dit-on pas : "qu' il n'y a pas d'âge pour apprendre...! "...alors je me lance !                                                         J'espère que mes articles vous intéresseront, et vous offriront comme à moi, le plaisir de partager de nouvelles amitiés... Faites donc ''une petite pause "... et n'hésitez surtout pas à m'envoyer vos commentaires... C'est parti ! ...

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GENDARMES AU JARDIN

 11/04/2010
Concernant les "gendarmes" "insectes"
 il y en a beaucoup dans mon jardin.






Personnellement, je les laisse tranquille....comme je l'écrivais dans l'article précédent... je laisse faire la nature... s'ils sont là, c'est qu'ils sont utiles.... ils se nourrissent de pucerons, d'insectes...
(s'ils rentraient dans la maison, j'essaierai de trouver un produit non toxique, un genre de phéromone  pour les attirer ailleurs, ou un répulsif... cela dit ce n'est pas drôle d'avoir des petites bébêtes dans la maison)

Le gendarme, appelé aussi « suisse », « cordonnier », « soldat », « masques-nègres » ou encore « diable cherche-midi » en raison de son attirance pour le soleil au zénith, est un insecte hémiptère de la famille des Pyrrhocoridae. Il porte le nom scientifique français de pyrrhocore, soit « punaise rouge ». Son nom scientifique est Pyrrhocoris apterus (du grec πύρρος(ο), « rouge » et κόρις, « punaise »).

C'est la punaise d'Europe la plus commune et la plus répandue : on la rencontre dans les zones tempérées d'Europe et dans la zone méditerranéenne, jusqu'à l'Inde, partout sauf en montagne. Elle est cependant absente de la Scandinavie et des Îles Britanniques (sauf dans le sud).


Cette punaise ne sent pas mauvais comme la punaise des bois et le gendarme jouit d'une image plutôt sympathique.


L'accouplement a lieu au début du printemps et peut durer jusqu'à 30 heures (on peut donc très facilement l'observer).

La femelle pond de 50 à 70 œufs sur de la terre humide, dans un petit terrier qu'elle a creusé à cet effet ou parmi les feuilles mortes. Les œufs de gendarmes sont noirs. Leurs larves, rouges ou orange uni, sont plus petites que les imagos. Elles éclosent en mai et deviennent adultes au début de l'hiver.


C'est une espèce grégaire formant des groupes parfois très importants en particulier sur les troncs et aux pieds de tilleuls ou d'hibiscus.

Ils sont polyphages, mais se nourrissent essentiellement de graines de Malvaceae (Tilia (tilleuls), rose trémièreAlthaea, etc.), dévorant aussi les œufs d'autres insectes et des insectes morts (parfois même vivants). ((Ils peuvent aussi manger des petits insectes, tel les fourmis.

sources internet



DANS MON JARDIN

 11/04/2010

Mais a qui appartient donc ce nid ???

L'an dernier, dans mon jardin , plus précisément dans la parcelle de topinambourgs, que je nettoyais, j'ai trouvé une boule grosse comme une balle de tennis, très régulière, un magnifique travail... réalisé avec des herbes sèches de pelouse. Hélas cette fois là, je n'avais pas encore mon petit appareil photo numérique, et je regrette, car j'ai fait  une drôle découverte. Il y avait un petit trou bien régulier... comme un nid d'oiseau... mais posé à une 20ène de cms du sol, dans les herbes...parmi les branches de topinambourgs...


Nid sphérique en herbes sèches



je ramasse cette boule , je la retourne dans tous les sens puis je la pose sur le couvercle du composteur en attendant Vova, pour lui faire voir ce magnifique travail....
quelques minutes passèrent et je reviens sur les lieux, avec Vova, et que vois-je!!! 3 petits bébés tout rose (petits mamifères...bien dodus, du jamais vu... 



...surprise, je remets mes gants et j'enfile les bébés dans le nids, d'ailleurs ils se sont aidés eux même... pour sûr ils n'étaient pas vieux, mais un peu plus quand même que ceux de cette photo trouvée sur le net.
Je ramasse un vieux grand pot de fleurs vide, et je mets dedans le nid, je pose le tout à proximité de l'endroit où j'avais trouvé le nid, (en fait, comme il allait pleuvoir, je voulais les protéger de mon mieux ayant involontairement détruit leur environnement.) 
Et je suis rentrée à l'appartement, en me questionnant!!! 
 Le lendemain, j'y retourne! plus aucune trace ...le pot est vide...personne ...
Les jours passèrent, j'en parle aux voisins, qui me disent que c'était des hérissons... j'étais persuadée que non, car mes petits bébés ne portaient pas d'aiguilles, ni cartilages
.... Quelques semaines après, je découvre une 2ème boule "de tennis (en herbe)" plus verte,  dans mon thym, cette fois personne dedans ???? je continue de me demander ce que c'est!!!

Gîte estival du rat

Et puis voilà que j'ai trouvé la réponse. Et je suis contente de moi, car mon geste était bien vu.
Il s'agit "du rat des moissons"
en latin Micromys minutus
Le rat des moissonssouris des moissons ou souris naine, en latin Micromys minutus, est la seule espèce du genre Micromys, appartenant à la famille des muridés. C'est le plus petit rongeurs d'Europe et que l'on retrouve d'est en ouest de l'Eurasie. Il ne pèse que six grammes environ : c'est un micromammifère. Il possède une longue queue légèrement préhensile. Les adultes sont plus roux en été alors que le pelage des jeunes et des adultes en hiver est plus gris.

Leur nourriture principale se compose de graines de céréales. Malgré tout ce régime alimentaire est varié et comprend graines, fruits, baies et insectescomme des papillons, des sauterelles et des chenilles. Tout dépend de la saison : au début du printemps,ils mangent les nouveaux bourgeons des arbres et des arbustes, ainsi que les nouvelles pousses d'herbes. Les dégâts causés aux récoltes sont compensés par le fait qu'ils mangent aussi les insectes qui menacent ces récoltes. Ils apprécient particulièrement les parasites du blé, comme les pucerons noirs donc ils lapent le miellat. De même, ils aspirent le nectar sucré des fleurs.

Pour manger les grains de céréales, le rat des moissons grimpe jusqu'à l'épi en s'aidant de la queue pour se tenir et garder l'équilibre. Il arrache le grain en le saisissant dans ses dents et en faisant levier de la tête. Il tient le grain dans ses pattes antérieures, retire la balle et grignote le cœur.


Espèce eurasiatique de climat tempéré des plaines, de l'Angleterre au Japon. Les rats des moissons habitent les zones sèches d'herbes hautes, comme les champs de céréales, particulièrement lorsque les épis de blé ou d'avoine sont mûrs, les bords des routes, les haies ou les jardins mal entretenus. Ils s'abritent parfois des grands froids dans les granges et les maisons. Si les mâles parcourent des territoires de 400 m², les femelles défendent des territoires plus petits. Nocturnes en été, ils tendent à être plus actif de jour pendant l'hiver.

Bien que non considérée comme une espèce en danger par l'IUCN, dans certains pays comme la Grande-Bretagne le rat des moissons se fait rare ou a disparu dans certaines région d'agriculture intensive. Dans ce pays il fait l'objet d'un programme d'élevage au zoo de Chester et à Wildwood (Zoo et centre d'étude et d'élevage situé dans le Kent) pour des réintroductions dans les campagnes de différentes régions anglaises . Une opération de récupération des balles de tennis usagées a été menée en 2001 pour offrir à ces petits rongeurs chassés de leur nid par les moissons des nids artificiels fixés sur des piquets de bois  .


 Micromys minutus

Alors personnellement, je laisserais tranquille ces petites bêtes, car dans mon jardin elles feront du bon travail, et sont loin de nuire à mes récoltes. J'ai vu une petite entrée très discrète dans le composteur cet hiver... et puis, j'ai tellement d'insectes et de pucerons que je préfère mes petits rats des moissons aux produits chimiques, ou encore "aux voleurs à deux pattes, appelés: humains!!!" qui font beaucoup plus de dégâts croyez-moi.

ci-dessous 3 de ces petites bêtes sur un épis de blé !!!
il n'y a pas de quoi s'affoler ! Même s'ils se reproduisent vite, nous avons des chouettes, des hiboux, etc... 










AUJOURD'HUI

 10/04/2010
Je vous souhaite à tous un 



IL EST L'HEURE

 10/04/2010

...DE VOUS SOUHAITER UNE BONNE NUIT

FAITES DE BEAUX RÊVES ....

A DEMAIN !





BALADE suite....

 08/04/2010
Maintenant je pars à l'opposé de la Petite France, vers la Place de la République. Quelques photos des bâtiments assez imposants et si différents des maisons à colombage!!!

Laissons passer le tram....




Rouge et blanc au centre de la photo, sauf erreur de ma mémoire fragile, mais ce doit-être l'antenne TV FR3




Un magnolia rose


d'un peu plus près..


La Bibliothèque Nationale et Universitaire


Le Théâtre











BALADE suite

 08/04/2010
Une toiture particulière


Un petit tonneau



















JOLIE POUPEE

 08/04/2010

HERBERT LEONARD

 07/04/2010


Herbert Léonard
, de son véritable nom Hubert Loenhard, est un compositeur et chanteur de variétés français, né à Strasbourg, le 25 février 1945. Il est aussi l’auteur d'articles et de livres sur les avions russes de la Seconde Guerre mondiale. Il est également passionné de football et a fait partie de l'équipe des Variétés. Il réside dans le village des peintres de Barbizon (77). 

Herbert Léonard est né à Strasbourg dans une famille modeste, il a une sœur de 10 années son aînée. À 15 ans il intègre le lycée technique de Strasbourg, il découvre par la même occasion le Rock’n’roll, la même année il se casse le bras droit dans un accident de mobylette et son hospitalisation l’empêche de suivre les cours durant 10 semaines.

Après sa période de rééducation de son bras, il quitte le collège et apprend la guitare. Avec plusieurs copains il forme le groupe de rock « Les Jets », une référence à « west side story », le groupe répète durant deux ans et invite le chanteur Michel Ragot à se joindre à eux. Le groupe écume les bals de Strasbourg et en 1964 ils participent à une soirée rock au « Golf Drouot » à Paris.

En 1964, Herbert Léonard quitte les « Les Jets » pour son service militaire.

En 1966, Herbert Léonard rencontre les membres du groupe «  Les Lionceaux » lors de leur passage à Strasbourg et intègre le groupe en tant que guitariste. La même année le groupe se produit dans toute la France et fait même un passage à « L’Olympia ».

À la fin de leur tournée, le groupe se sépara, mais Alain Hattat et Bob Mathieu les ex - leaders des « Lionceaux » l’invitèrent à Paris pour travailler à des séances d’enregistrement. Sur place Alain Hattat le présenta au directeur artistique Lee Hallyday, dont il signa un contrat de sept ans avec son label.

Son premier single sort en 1967, il est diffusé par plusieurs grandes radios nationales mais reste un échec commercial. Durant l’année il participe à la tournée d’Antoine en tant que guitariste. En fin d’année il enregistre la version française de « Somebody to Love » des Jefferson Airplane, un single vendu à 70.000 exemplaires.

En 1968, Herbert Leonard sort son troisième album et le tube « Quelque chose tient mon coeur » . L’année suivante il participe à la tournée de Sylvie Vartan et enregistre son quatrième album.

En mars 1970, un accident de voiture empêche Herbert Léonard à continuer sa carrière. Après six mois de convalescence, Gérard Manset devint son nouvel agent artistique. Un album sortit en 1971 et un second en 1972, mais ils n’eurent pas de succès commercial, et après un dernier gala à l’Olympia, Herbert Léonard décide de quitter le métier artistique.

Entre 1973 et 1980, la traversée du Désert. Herbert Léonard enregistre plusieurs album qui restèrent sans succès commercial. Durant ces années, il devient pigiste puis rédacteur pour un magazine spécialisé dans l’aviation, il devint aussi spécialiste de l’aviation soviétique durant la seconde guerre mondiale.

En 1980, lorsque Vline Buggy découvre un jeune compositeur de talent nommé Julien Lepers, elle n’hésite pas à contacter Herbert Léonard. Persuadée de l’alchimie entre le chanteur et ces compositions, elle devient sa productrice. Intuition payante, l’album « Pour le plaisir » devient disque d’or avec plus de 2,5 millions de copies vendues.

En 1983, il enregistre l’album « Ça donne envie d’aimer » et le single « Amoureux fous » interprété en duo avec Julie Pietri .

En 1985, il enregistre le tube « Châteauvallon », composé par Vladimir Cosma et « Flagrant délit » composé par Julien Lepers, qui devint numéro un au Québec.

En 1988, il enregistre un album live à l’Olympia.

En 1999, l’expérience acquise au cours de ces dernières années conjuguée à son charisme scénique le font choisir comme nouvel interprète du rôle de «Frolo» au sein de la troupe de « Notre-Dame de Paris ». Il accède, de la sorte, à un registre plus sombre. Dans le même temps, « Génériquement Vôtre » lui offre la possibilité de revisiter plusieurs standards du patrimoine télévisuel francophone. On retrouvera parmi eux « L’amour en héritage » ou « Terre Indigo » et son tube « Puissance et gloire ». S’il est question de télévision avec ce nouvel album, c’est encore la passion qui domine. Un hommage au « mouvement du cœur » par celui qui en fait, depuis ses débuts, l’emblème de sa carrière.

En 2010 Herbert Léonard fait partie de la Tournée Âge tendre et Têtes de bois saison 5, au côté notamment de Michèle TorrSheilaHervé VilardGeorgette LemaireAlain Turban...


Herbert Léonard est également l'auteur de plusieurs livres spécialisés sur les avions de guerre de la première moitié du 
xxe siècle.





C'EST BEAU MAIS ....

 07/04/2010


C'est beau mais c'est cher, rien en dessous de 200,00 euros, c'est même plus, pour chacune des pièces  sur ce présentoire !


560,00 euros 


4056,00 euros 


L'oeuf  Russe,  290,00 euros
et le sujet Russe derrière le coeur 533,00 euros








29,80 euros le coussin
26,50 euros la boîte métalique





BALADE suite

 07/04/2010









































Un bretzel (en Alsace, ce nom commun est, en raison de son genre dans les langues germaniques vernaculaire et littéraire du cru - alsacienallemand -, traditionnellement considéré comme féminin) est une pâtisserie salée à base de pâte de brioche, spécialité d'Alsace (bredchdel pour les Bas-Rhinois, bradchdal pour les Haut-Rhinois), d'Allemagne du Sud, de la Suisse allemande et d'Autriche (brezel) en forme de gros nœud.

Il est également connu sous forme de petit gâteau apéritif et fabriqué industriellement dont la pâte croquante mais non briochée est recouverte d'éclats de gros sel.



le Bredzel industriel moderne







Le Bredzel Allemand
Breze.jpg


Un bretzel traditionnel est composé d'eau, de farine, de sel et de levure de boulanger, qu'on fait d'abord pocher à l'eau additionnée de bicarbonate de soude puis qu'on saupoudre de gros sel avant la cuisson au four. Le bretzel traditionnel doit être mangé le jour de sa fabrication et accompagne souvent la consommation de bières fraîches.

On en trouve au comptoir dans la plupart des brasseries de Strasbourg, et dans de nombreuses boulangeries.

Cette pâtisserie s'apparente à celle de la moricette, petit pain salé et moelleux, typiquement alsacien.




 La Moricette alsacienne







LINDA DE SOUZA



Linda de Suza

Linda de Suza
 (de son vrai nom Teolinda Joaquina de Sousa Lança), née le 22 février 1948 à BeringelBeja région d'Alentejo au Portugal, est une chanteuse lusophone et francophone d'origine portugaise vivant enFrance.

Elle quitte son pays pour la France en 1970. Après maints petits boulots, elle s'acharne à présenter des maquettes de chansons avant de trouver enfin un producteur qui l'entraînera sur les chemins du succès : elle enregistre Tiroli-TirolaLa Fille qui pleuraitUn enfant peut faire le mondeDans ma valise en carton ou encore L'étrangère.

Elle obtient un succès inattendu avec son autobiographie La Valise en carton en 1984, qui en 1986 est adaptée en comédie musicale sous le même titre. Elle publiera quelques romans et chantera encore pendant quelque temps avant de quitter la scène.

Linda de Suza chante en portugais et français.




PHOTOS suite

 06/04/2010















POTERIES DE BETSCHDORF

 06/04/2010
Les poteries de Betschdorf font partie de la catégorie des grès.
Les caractéristiques du grès sont un grain dur et serré et une faible porosité. Cette porosité est d’ailleurs supprimée dans la fabrication du grès de Betschdorf par le procédé dit de « salage » qui par la fusion du sel marin recouvre les vases d’une sorte d’enduit vitrifié semblable à l’email de la porcelaine et les rend presque complètement imperméables. Les matières premières indispensables pour la fabrication et obtenir ces résultats sont : 
 l’argile dite vitrifiable 
 le sel marin 
 les couleurs, ces dernières étant un accessoire, car elles ne sont pas appliquées sur tous les produits fabriqués.
L’argile est la matière indispensable, primordiale, celle sans laquelle il n’existe pas de poterie.
Le sel marin donne la couverture ou le vernis.
Le bois est la matière auxiliaire nécessaire à la cuisson il provient des forêts domaniales et communales voisines de Haguenau à Oberbetschdorf. Les principales essences sont : le pin - le hêtre - le chêne et l’aulne .
L’argile se trouve en quantité considérable en forêt de Haguenau, ces dépôts d’argile portent en terme local de métier le nom de « glaisières ». Au 18° et 19° siècles les glaisières exploitées par les potiers de Betschdorf se trouvent en dehors de la forêt de Haguenau.
La langue française ne dispose pas d’un mot simple pour désigner les poteries de terre appelées en langue allemande ( Tonwaren ), on dit en français « poterie de terre » ou « terre de feu ». Cette poterie ressemble à la faïence, mais ne doit pas être confondue avec elle. Le sel marin provient des Salins de Lorraine (Château-Salins). Les couleurs, le bleu ou bleu de Cobalt donne à la cuisson une belle couleur bleu foncé se rapprochant du bleu de Sèvres (les colorants viennent de Meissen en Saxe).
Comment obtenir les glaçures.
En projetant dans le four de cuisson à une température de 1250 degrés du chlorure de sodium, ce sel se décompose et donne par combinaison avec le silicate d’alumine qui est la base de l’argile un silicate de soude qui se fixe sur les pièces soumises à la cuisson sous la forme d’un vernis imperméable qui joue le rôle de la porcelaine.
POT A DEUX ANSES
décor de cheval cabré
Modèles d’instruments servant à décorer 
Décor par incision (chatironné) au stylet Décor en relief (réalisé en collant à la barbotine les motifs) Décor peint directement sur les poteries au pinceau.
On trouve de nombreux décors d’animaux : pigeon – poule – cheval – chien – cerf – faisan – lièvre - bœuf.
L’industrie des potiers était soumise à une réglementation corporative sévère. La confrérie avait son centre d’action à Colmar. Les statuts obtenus le 9 novembre 1622 de l’Empereur Ferdinand II furent confirmés par le conseil souverain d’Alsace le 11 mars 1682.
Ces statuts compliqués et confus firent l’objet d’un nouveau projet par les maîtres en 1739 et soumis à l’approbation royale. Il fit l’objet d’un règlement en conseil du Roi en date du 19 janvier 1740. Aux termes de ce règlement les maitres nomment douze d’entre eux pour gens de justice et gardes des statuts, lesquels élisent tous les trois ans, trois d’entre eux des plus capables et intelligents. Le premier pour la Haute-Alsace Le second pour la Basse-Alsace Le troisième pour la Ville de Colmar.
Ce triumvirat est chargé de la police des métiers. Une assemblée annuelle de la Corporation se tient à Colmar le jour de la Saint-Louis. Une assemblée générale a lieu tous les trois ans. Chacune de ces assemblées est accompagnée d’une cérémonie religieuse.
L’obligation d’assister à la réunion plénière est si rigoureuse que celui « qui boit ou mange avec un maitre avant la séance » est puni d’une amende d’une livre de cire au profit de la confrérie.
Si l’absent ne peut produire d’excuse valable, il est puni d’une amende de 40 sols et de privation de compagnons.
Fonctionnement de la corporation
Les Maitres doivent obéissance aux chefs de la confrérie, pourvu que ce ne soit contre Sa Majesté, ses États, ses intérêts et contre le bien public.
La maîtrise est octroyée par l’assemblée annuelle particulière. Le candidat se présente en personne, fournit ses lettres d’apprentissage et fabrique le chef-d’œuvre accoutumé dans la Ville de Colmar en présence d’un jury composé de trois maitres de la Haute et de trois de la Basse Alsace, ils prêtent serment à cet effet. Puis le jeune maitre paie ses droits d’entrée, jure d’observer les statuts et offre un diner aux membres du jury.
La confrérie tient un registre des maitres compagnons et apprentis, elle ordonne de lire tous les lundis de Pentecôte les statuts et les noms des maitres auxquels il est défendu d’avoir des compagnons.
Quels sont les avantages professionnels que la corporation procure à ses membres ?
1)Nul ne peut vendre ou fabriquer de la poterie façon Alsace sans être reçu de la confrérie.
2)le maitre a le droit de transporter sa marchandise dans les Foires, mais il est tenu de remporter dans sa localité les produits invendus.
3)Les maitres tiennent à leur renommée, ils s’interdisent de vendre à des étrangers, revendeurs de pots de terre, vagabonds et « gâte-métiers ».
4)Les maitres ont le droit de surveillance sur les revendeurs et les étrangers, mais eux-mêmes sont obligés de se soumettre à la visite des officiers de la confrérie qui viennent constater la bonne qualité de la marchandise et confisquer celle qui leur parait de mauvaise foi.
Ces privilèges comportaient un certain nombre de restrictions, à savoir : Que le marché restait ouvert librement aux potiers étrangers dont les poteries similaires ne se fabriquaient pas en Alsace et notamment du grès de Cologne.
De plus les étrangers avaient le droit de construire des fours et travailler de leur métier sans faire partie de la confrérie et de faire des ouvrages de poteries inconnus des maitres alsaciens.
C’est grâce à ces restrictions que les potiers de Betschdorf purent s’installer librement en Basse-Alsace puisqu’ils répondaient à la double condition exigée pour bénéficier de la liberté de fabrication, ils étaient étrangers et fabriquaient une poterie qui n’existait pas en Alsace, le grès de Cologne.
La moralité est de règle dans la corporation des potiers : Est puni d’une amende ou exclu temporairement de la confrérie le maitre qui est de mauvaise conduite, qui a une vie déréglée, qui entretient une maison douteuse, qui s’adonne au jeu pour de l’argent, est également puni celui qui fait offense Dieu ou qui est parjure.
Formation des apprentis
Celui qui veut apprendre le métier se fait présenter par deux maitres et deux compagnons et inscrire sur le registre de la tribu. Il s’engage avec le maitre pour 3 ans et doit lui payer une certaine redevance. S’il n’est pas en état de payer, il prolonge d’une année son apprentissage.
Au 19° siècle les potiers se sont groupés en Société à responsabilité limitée Ils achetaient et vendaient en commun tous les produits. Afin de permettre aux associés de faire face à leur engagement, ils doivent d’après l’importance de leur production annuelle moyenne, fournir un certain contingent d’objets fabriqués. Dans l’industrie céramique, on calcule la production en jets, en allemand ou en alsacien Wurf du verbe werfen (jeter)
Quelle est l’origine de cette expression originale ?
Selon la coutume, ce contingent d’objets fabriqués est calculé sur une unité de base qui s’appelle le « jet »
L’industrie céramique primitive était sans doute la briqueterie. Le prix de base du salaire des ouvriers briquetiers fut calculé sur le nombre de briques qu’ils pouvaient dans un temps déterminé confectionner de leurs mains et jeter au four. Cette unité de mesure professionnelle passée de la briqueterie dans la poterie où il fallait bien remplacer le nombre de briques par une commune mesure à tous les objets fabriqués de dimensions différentes, c’est à dire une mesure de contenance.
POTERIE DE BETSCHDORF






Les poteries de Betschdorf font partie de la catégorie des grès.

Les caractéristiques du grès sont un grain dur et serré et une faible porosité. Cette porosité est d’ailleurs supprimée dans la fabrication du grès de Betschdorf par le procédé dit de «
salage » qui par la fusion du sel marin recouvre les vases d’une sorte d’enduit vitrifié semblable à l’email de la porcelaine et les rend presque complètement imperméables.
 Les matières premières indispensables pour la fabrication et obtenir ces résultats sont : 
- l’argile dite vitrifiable, 
- le sel marin, 
- les couleurs, ces dernières étant un accessoire, car elles ne sont pas appliquées sur tous les produits fabriqués.
L’argile est la matière indispensable, primordiale, celle sans laquelle il n’existe pas de poterie.
Le sel marin donne la couverture ou le vernis.
Le bois est la matière auxiliaire nécessaire à la cuisson, il provient des forêts domaniales et communales voisines de Haguenau à Oberbetschdorf. Les principales essences sont : le pin - le hêtre - le chêne et l’aulne .
L’argile se trouve en quantité considérable en forêt de Haguenau, ces dépôts d’argile portent en terme local de métier le nom de « glaisières ». Au 18° et 19° siècles les glaisières exploitées par les potiers de Betschdorf se trouvent en dehors de la forêt de Haguenau.
La langue française ne dispose pas d’un mot simple pour désigner les poteries de terre appelées en langue allemande ( Tonwaren ), on dit en français « poterie de terre » ou « terre de feu ». Cette poterie ressemble à la faïence, mais ne doit pas être confondue avec elle. Le sel marin provient des Salins de Lorraine (Château-Salins). Les couleurs, le bleu ou bleu de Cobalt donne à la cuisson une belle couleur bleu foncé se rapprochant du bleu de Sèvres (les colorants viennent de Meissen en Saxe).

Comment obtenir les glaçures.
En projetant dans le four de cuisson à une température de 1250 degrés du chlorure de sodium, ce sel se décompose et donne par combinaison avec le silicate d’alumine qui est la base de l’argile un silicate de soude qui se fixe sur les pièces soumises à la cuisson sous la forme d’un vernis imperméable qui joue le rôle de la porcelaine.

Modèles d’instruments servant à décorer
Décor par incision (chatironné) au stylet Décor en relief (réalisé en collant à la barbotine les motifs) Décor peint directement sur les poteries au pinceau.
On trouve de nombreux décors d’animaux : pigeon – poule – cheval – chien – cerf – faisan – lièvre - bœuf.

L’industrie des potiers était soumise à une réglementationcorporative sévère. La confrérie avait son centre d’action à Colmar. Les statuts obtenus le 9 novembre 1622 de l’Empereur Ferdinand II furent confirmés par le conseil souverain d’Alsace le 11 mars 1682.
Ces statuts compliqués et confus firent l’objet d’un nouveau projet par les maîtres en 1739 et soumis à l’approbation royale. Il fit l’objet d’un règlement en conseil du Roi en date du 19 janvier 1740. Aux termes de ce règlement les maitres nomment douze d’entre eux pour gens de justice et gardes des statuts, lesquels élisent tous les trois ans, trois d’entre eux des plus capables et intelligents. Le premier pour la Haute-Alsace Le second pour la Basse-Alsace Le troisième pour la Ville de Colmar.
Ce triumvirat est chargé de la police des métiers. Une assemblée annuelle de la Corporation se tient à Colmar le jour de la Saint-Louis. Une assemblée générale a lieu tous les trois ans. Chacune de ces assemblées est accompagnée d’une cérémonie religieuse.
L’obligation d’assister à la réunion plénière est si rigoureuse que celui « qui boit ou mange avec un maitre avant la séance » est puni d’une amende d’une livre de cire au profit de la confrérie.
Si l’absent ne peut produire d’excuse valable, il est puni d’une amende de 40 sols et de privation de compagnons.
Fonctionnement de la corporation
Les Maitres doivent obéissance aux chefs de la confrérie, pourvu que ce ne soit contre Sa Majesté, ses États, ses intérêts et contre le bien public.
La maîtrise est octroyée par l’assemblée annuelle particulière. Le candidat se présente en personne, fournit ses lettres d’apprentissage et fabrique le chef-d’œuvre accoutumé dans la Ville de Colmar en présence d’un jury composé de trois maitres de la Haute et de trois de la Basse Alsace, ils prêtent serment à cet effet. Puis le jeune maitre paie ses droits d’entrée, jure d’observer les statuts et offre un diner aux membres du jury.
La confrérie tient un registre des maitres compagnons et apprentis, elle ordonne de lire tous les lundis de Pentecôte les statuts et les noms des maitres auxquels il est défendu d’avoir des compagnons.
Quels sont les avantages professionnels que la corporation procure à ses membres ?
1)
Nul ne peut vendre ou fabriquer de la poterie façon Alsace sans être reçu de la confrérie.
2)
le maitre a le droit de transporter sa marchandise dans les Foires, mais il est tenu de remporter dans sa localité les produits invendus.
3)
Les maitres tiennent à leur renommée, ils s’interdisent de vendre à des étrangers, revendeurs de pots de terre, vagabonds et « gâte-métiers ».
4)
Les maitres ont le droit de surveillance sur les revendeurs et les étrangers, mais eux-mêmes sont obligés de se soumettre à la visite des officiers de la confrérie qui viennent constater la bonne qualité de la marchandise et confisquer celle qui leur parait de mauvaise foi.
Ces privilèges comportaient un certain nombre de restrictions, à savoir : Que le marché restait ouvert librement aux potiers étrangers dont les poteries similaires ne se fabriquaient pas en Alsace et notamment du grès de Cologne.
De plus les étrangers avaient le droit de construire des fours et travailler de leur métier sans faire partie de la confrérie et de faire des ouvrages de poteries inconnus des maitres alsaciens.
C’est grâce à ces restrictions que les potiers de Betschdorf purent s’installer librement en Basse-Alsace puisqu’ils répondaient à la double condition exigée pour bénéficier de la liberté de fabrication, ils étaient étrangers et fabriquaient une poterie qui n’existait pas en Alsace, le grès de Cologne.
La moralité est de règle dans la corporation des potiers : Est puni d’une amende ou exclu temporairement de la confrérie le maitre qui est de mauvaise conduite, qui a une vie déréglée, qui entretient une maison douteuse, qui s’adonne au jeu pour de l’argent, est également puni celui qui fait offense Dieu ou qui est parjure.
Formation des apprentis
Celui qui veut apprendre le métier se fait présenter par deux maitres et deux compagnons et inscrire sur le registre de la tribu. Il s’engage avec le maitre pour 3 ans et doit lui payer une certaine redevance. S’il n’est pas en état de payer, il prolonge d’une année son apprentissage.
Au 19° siècle les potiers se sont groupés en Société à responsabilité limitée Ils achetaient et vendaient en commun tous les produits. Afin de permettre aux associés de faire face à leur engagement, ils doivent d’après l’importance de leur production annuelle moyenne, fournir un certain contingent d’objets fabriqués. Dans l’industrie céramique, on calcule la production en jets, en allemand ou en alsacien Wurf du verbe werfen (jeter)
Quelle est l’origine de cette expression originale ?
Selon la coutume, ce contingent d’objets fabriqués est calculé sur une unité de base qui s’appelle le « jet »
L’industrie céramique primitive était sans doute la briqueterie. Le prix de base du salaire des ouvriers briquetiers fut calculé sur le nombre de briques qu’ils pouvaient dans un temps déterminé confectionner de leurs mains et jeter au four. Cette unité de mesure professionnelle passée de la briqueterie dans la poterie où il fallait bien remplacer le nombre de briques par une commune mesure à tous les objets fabriqués de dimensions différentes, c’est à dire une mesure de contenance.
sources internet




Un peu d’histoire
La localité de Soufflenheim située au nord de Strasbourg en Alsace est mentionnée dès 1147 et il semble, d’après des fouilles archéologiques, que dès cette époque, voire avant, existait déjà une activité de poterie.
Les potiers, comme de nos jours, ont profité de la présence d’une terre, dans la région de Haguenau, particulièrement adaptée à la fabrication d’objets utilitaires nécessaires dans la vie de tous les jours, tels les assiettes, plats, bols, terrines, moules à gâteau…
La période la plus prospère de la poterie de Soufflenheim  se situe au 19ème siècle, période durant laquelle le village comptait jusqu’à 55 ateliers de poterie.
Leur nombre diminua à partir de la Seconde Guerre Mondiale pour se stabiliser de nos jours aux alentours de 15 qui produisent toujours la poterie en respectant la tradition.
La technique
La technique
L’élaboration de la poterie commence toujours par le tournage ou le moulage d’un boudin de terre. Ce boudin est presque exclusivement de la terre glaise de la forêt de Haguenau.
Une fois façonné, la poterie est séchée.
Après séchage la décoratrice applique différents motifs avec un barolet, cette technique est appelée à l’engobe et donne du relief au motif.
Une fois décoré, l’ensemble est rendu étanche par l’application d’une glaçure.
Les couleurs usuelles de la poterie de Soufflenheim sont : la couleur terre, bleu clair ou bleu nuit, le vert. Entre-temps les  potiers ont également évolué vers d’autres couleurs tel le rouge, le jaune ou la couleur taupe.
Une fois la décoration terminée, arrive la cuisson dans un four durant environ 10 heures à 1200 °C. Après la cuisson la poterie séjourne encore durant environ 15 heures dans le four.
La poterie de Soufflenheim
La poterie de Soufflenheim est particulièrement connue pour ses terrines et marmites à Baeckeoffe qui peuvent parfaitement être utilisée pour d’autres plats à mijoter tels la choucroute, le coq au vin et pour des plats hors de la région Alsace tels le cassoulet, des tajines…
Les moules à kougelhopf ont également fait sa renommée.
N’oublions pas les plats  et moules à tartes et cakes, les moules à tourtes, les assiettes, les bols, les terrines à pâtés et foie gras, les bols et coupelles, les plats à gratin, les saladiers, sans oublier toutes sortes d’objets de décoration.
Tous ces objets en poterie de Soufflenheim sont particulièrement soignés, ils sont utilitaires et décoratifs à la fois.
Un peu d’histoire
La localité de Soufflenheim située au nord de Strasbourg en Alsace est mentionnée dès 1147 et il semble, d’après des fouilles archéologiques, que dès cette époque, voire avant, existait déjà une activité de poterie.Les potiers, comme de nos jours, ont profité de la présence d’une terre, dans la région de Haguenau, particulièrement adaptée à la fabrication d’objets utilitaires nécessaires dans la vie de tous les jours, tels les assiettes, plats, bols, terrines, moules à gâteau…La période la plus prospère de la poterie de Soufflenheim  se situe au 19ème siècle, période durant laquelle le village comptait jusqu’à 55 ateliers de poterie.Leur nombre diminua à partir de la Seconde Guerre Mondiale pour se stabiliser de nos jours aux alentours de 15 qui produisent toujours la poterie en respectant la tradition.

La technique
L’élaboration de la poterie commence toujours par le tournage ou le moulage d’un boudin de terre. Ce boudin est presque exclusivement de la terre glaise de la forêt de Haguenau.Une fois façonné, la poterie est séchée.
Après séchage la décoratrice applique différents motifs avec un barolet, cette technique est appelée à l’engobe et donne du relief au motif.Une fois décoré, l’ensemble est rendu étanche par l’application d’une glaçure.Les couleurs usuelles de la poterie de Soufflenheim sont : la couleur terre, bleu clair ou bleu nuit, le vert. Entre-temps les  potiers ont également évolué vers d’autres couleurs tel le rouge, le jaune ou la couleur taupe.Une fois la décoration terminée, arrive la cuisson dans un four durant environ 10 heures à 1200 °C. Après la cuisson la poterie séjourne encore durant environ 15 heures dans le four.

La poterie de Soufflenheim
La poterie de Soufflenheim est particulièrement connue pour ses terrines et marmites à Baeckeoffe qui peuvent parfaitement être utilisée pour d’autres plats à mijoter tels la choucroute, le coq au vin et pour des plats hors de la région Alsace tels le cassoulet, des tajines…Les moules à kougelhopf ont également fait sa renommée.N’oublions pas les plats  et moules à tartes et cakes, les moules à tourtes, les assiettes, les bols, les terrines à pâtés et foie gras, les bols et coupelles, les plats à gratin, les saladiers, sans oublier toutes sortes d’objets de décoration.Tous ces objets en poterie de Soufflenheim sont particulièrement soignés, ils sont utilitaires et décoratifs à la fois.





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