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Jeudi matin, nous avons pris la route sous un soleil magnifique pour nous rendre chez notre amie, Sylvie qui habite à Preignac, dans le bordelais. 
Les olives sont prêtes à être cueillies pour l'apéritif!!!!
Nous faisons connaissance avec son minou qui nous attendait devant la maison.... Il est tout mignon et très câlin. 
Nous prenons l'apéritif chez Sylvie puis nous partons au restaurant. Son choix s'est porté sur "Le Saprien" qui se trouve dans le rue principale de Sauternes.
Le cadre est magnifique. Il fait tellement beau que nous nous installons sur une magnifique terrasse ombragée située à l'arrière du restaurant.
La vue est magnifique. Nous sommes au coeur des vignes avec en toile de fond "Le château de Guiraud" dont les vignes s'étendent sur 100 hectares.
Le restaurant propose une cuisine de type "cuisine française". On nous apporte quelques amuse-bouche pendant que nous choisissons notre menu sur une carte plutôt haut de gamme.
Soupe de céleri au piment d'Espelette et petite quiche aux lardons.
On nous apporte l'entrée....
.... une terrine de lièvre au foie gras accompagnée d'un chutney à la mangue.
En plat principal, blancs de seiche grillées et petits légumes au curry. Nous avons choisi du vin au verre pour accompagner nos plats.
En dessert, un parfait glacé au Sauternes sur un carpaccio d'ananas au jus de citronnelle.
Sauternes est toute petite localité d'environ 600 habitants qui ne doit sa renommée qu'aux vins. Nous faisons quelques pas dans ce petit bourg. 
Nous passons devant l'église...
et arrivons bien vite à la sortie du village où se trouve un lavoir.....
et les vignes à perte de vue.
Nous quittons Sauternes et sillonnons le vignoble de Sauternes et de Barsac à la rencontre de ces magnifiques châteaux et demeures.
Entre autres, le château Eyquem dont la renommée n'est plus à faire..... 
Nous nous arrêtons le long de la Garonne pour ramasser quelques noix.
et rejoignons ensuite Barsac où nous allons visiter l'église Saint-Vincent, joyau de l'architecture religieuse girondine du XVIIIème siècle.
Cette église se veut représentative du siècle "des lumières", siècle où régnèrent Louix XV et Louis XVI.
La fin de journée approche et nous regagnons Preignac. Nous passons chez une amie de Sylvie qui tient un dépot-vente, "Sophistic Bazar", situé face à l'église.
J'adresse un grand merci à Sylvie pour cette belle journée passée en sa compagnie. Promis, nous reviendrons te voir..... La région est très touristique. Que de belles curiosités encore à découvrir! 
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Nous revenons d'une escapade d'une journée chez notre amie Sylvie qui a une joli pied à terre à Preignac près de Sauternes. D'habitude, c'est elle qui vient à notre rencontre à Meschers. Pour une fois, nous sommes allées la voir et en avons profité pour découvrir cette belle région aux 54 châteaux.
Comme il est tard, je vous donne rendez-vous demain pour partager avec vous cette très belle journée en compagnie de Sylvie. 
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Vous devez avoir encore présent à votre esprit ce poisson si vilain dont je vous ai parlé dans cet article : la lamproie bordelaise. C'est un des plats mythiques et très prisés de la cuisine régionale de cette région.
Hier en allant au marché de Royan, que vois-je à l'étal d'un traiteur? 18 euros la part..... 
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C'est bien joli de faire des confitures.... enfin! c'est surtout bon!! 
Comme j'ai toujours plein d'idées, j'ai trouvé un petit endroit non exploité dans ma cuisine et dans lequel Roger pouvait me mettre des étagères.... Le voici en plein bricolage.....
Et voilà, les étagères sont installées....
J'avais gardé dans mes "trésors de couture" des bandes de tissu brodées à la main par ma belle-mère et qui servaient à décorer le bord des étagères.
Cet après-midi, j'ai étudié la possibilité de les mettre au bord de mes étagères pour leur apporter un petit plus côté décoration. 
J'ai réussi avec les 2 morceaux dont je disposais à aussi décorer le haut de mon refrigérateur.
Je n'ai pas arrêté là mes travaux de couture. J'ai fait le même style de déco aux étagères situées au-dessus de mon évier. Cette fois-ci, avec des bandes de lin écru sur lesquelles sont brodées des cerises.
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Je ne connaissais pas ce fromage frais originaire de Charente-Maritime. C'est grâce à Ginette du blog "campagneetmer" et de son article que j'ai découvert l'existence de cette spécialité.
La semaine dernière lors de notre balade au marché de Royan, je vois tout à fait par hasard sur l'étal d'un fromager, une petite pancarte qui parle de la jonchée. 
J'ai voulu en acheter pour goûter mais tout avait été vendu. Alors ce matin, nous sommes retournés au marché et là, j'ai pu en acheter.....
Son nom est directement lié à l'emploi des joncs du marais. Mais sous la pression des réglements sanitaires, le jonc est en plastique actuellement. Ce sont les explications de la fromagère que je vous transmets. Traditionnellement, le lait (de vache ou de brebis selon la région de la Charente-Maritime) est caillé avec de l'artichaut sauvage. Cela a aussi changé et actuellement, la présure est utilisée. La jonchée a la forme d'un fuseau d'environ 20 cm de long. 
Ce fromage est consommé en fin de repas avec du sucre, du miel ou un coulis de fruits rouges. Mais le plus traditionnel est de le savourer arrosée d'eau amandée.
La fromagère nous a demandé si nous voulions qu'elle le parfume. C'est ce qu'elle fait ci-dessous sur la photo. 
Ce fut notre dessert de ce midi. La jonchée a une texture ferme à l'extérieur et moelleuse à l'intérieur. C'est le jonc qui lui donne ces stries en surface.
Nous l'avons consommée avec du sucre. C'est excellent..... Merci Ginette de nous avoir fait découvrir cette spécialité charentaise. 
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Chez nous, c'est la tradition.... c'est toujours Roger qui fait le vin de cerises. C'est le bon moment pour le faire car il faut cueillir les feuilles de cerisier entre le 15 septembre et le 7 octobre. Voici comment il procède!
Proportions pour un litre de vin : - 80 feuilles de cerisier - 150g de sucre fin - 1 litre de vin rouge (Chevrotin, Cellier des Dauphins, .....) - 1 sachet de sucre vanillé - 1 petit verre d'alcool blanc Dans un grand seau, mélanger tous les ingrédients. 
les feuilles, le sucre fin, le sucre vanillé, l'alcool blanc
le vin rouge....
Laisser macérer 48 heures et remuer de temps en temps. 
Filtrer avec une passoire. Ne pas prendre de filtre à café.
La cuvée 2009 est prête à être rangée.... Stocker les bouteilles debout et surtout ne jamais les coucher.
A consommer frais avec modération! 
Vous remarquez l'appellation...... "Château Les Capucines"!!!!!!
J'en profite pour vous rappeler ma recette de vin de pêches. Source : la petite recette de Roger 
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L'arbouse est le fruit de l'arbousier qui est aussi connu sous le nom d'arbre aux fraises. On le rencontre très fréquemment sur le littoral atlantique.
Cet arbre très décoratif est cultivé pour son aspect ornemental car ses feuilles sont persistantes. Les fleurs sont blanches ou rosées et ressemblent à de petits grelots. 
Les fruits de l'arbousier mûrissent très lentement et sont issus des fleurs de l'an passé.... Ils sont tout d'abord jaunes avant de virer au rouge à maturité.
Les arbouses sont de la grosseur d'une cerise et leur chair contient de nombreuses graines comestibles. Crus, ils sont un peu fades et leur chair est farineuse.
Pour de plus amples informations, rapportez-vous à mon article de l'année dernière. Voici le lien.
L'année dernière, j'avais fait de la confiture d'arbouses. Cette année, j'ai voulu tester la gelée.
Roger a cueilli 1kg 500 d'arbouses. 
Les laver et les verser dans une grande cocotte. 
Passer à travers une passoire assez fine de manière à éliminer toutes les graines.
Voici le jus obtenu qui va servir à faire la gelée.
Pour 1 litre de jus récolté, j'ai mis 800g de sucre. 
Et voici le résultat....
La gelée est excellente. Je la préfère à la confiture que je trouve plus pâteuse.....
Elle est excellente pour parfumer un yaourt nature maison..... 
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Actuellement à Pons, à une vingtaine de kilomètres de Meschers, se tourne "La tête en friche", un film de Jean Becker. Le tournage vient de débuter et doit se terminer à la fin octobre.
Ce film est une adaptation d'un roman de Marie-Sabine Roger, originiare de Bordeaux. C'est une comédie dramatique dont les principaux acteurs sont Gérard Depardieu, Gisèle Casadesus, Maurane, .... et qui raconte l’histoire de Germain Chazes, 45 ans, 110kg. Il se méfie des mots, il vit dans une caravane, au fond du jardin de sa mère, et passe son temps entre le bistrot et le jardin public. Il est regardé par la plupart comme un imbécile heureux mais un jour, Margueritte, une vieille dame très cultivée le fait entrer dans l’univers des livres et des mots. Son rapport aux autres et à lui-même s’en trouve bouleversé. Une rumeur circule selon laquelle Vanessa Paradis donnerait la réplique à Gérard Dépardieu. Elle tiendrait le rôle de sa fille dans le film. Un petit air familier? Eh oui, souvenez-vous du magnifique duo que formaient Depardieu-Paradis dans les rôles respectifs de père-fille, il y a quinze ans, dans le film " Elisa" déjà réalisé par Jean Becker! La sortie de ce film est prévue aux alentours de juin 2010. 
Des scènes seront tournées au jardin public....
... au bar "Le Français" ...
et dans une caravane le long de la Seugne.
Je vous propose de vous replonger dans l'article que j'avais rédigé sur Pons cet été. J'étais allée m'y promenr avec mon amie, Marie-Jo. 
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Nous avons profité de notre première journée du patrimoine pour aller visiter le site du Fâ.
Ce site gallo-romain est situé sur la commune de Barzan, à quelques kilomètres de Meschers. Il constitue aujourd'hui l'une des plus anciennes cités portuaires gallo-romaines de la façade atlantique. A quelques pas sous terre, cette ville qui pourrait être "Novioregum" (énigme non résolue) serait une ville très prospère et s'apparenterait aux grandes capitales régionales de Saintes et Bordeaux. Elle dort actuellement sous 40 hectares de champs cultivés. 
Nous commençons par la visite du musée qui est installé dans une ancienne ferme réhabilitée.
Nous découvrons en lisant des explications sur de grands panneaux, le travail de l'archéologue : - la prospection aérienne qui permet la détection des sites archéologiques non visibles au sol. - la prospection pédestre qui se pratique plutôt en hiver et qui permet "la ramasse" des objets remontés par les labours (fragments de céramiques, ossements, ....). - la prospection mécanique à l'aide d'une pelle mécanique. Tous les 15 mètres des sondages sont réalisés puis rebouchés. - la fouille qui fait apparaître les niveaux archéologiques. - l'analyse des données qui permet l'étude des objets. 
Puis nous découvrons l'organisation d'une ville antique et son urbanisation avec ses principaux monuments.
Fragments de chapiteaux de thermes datant du 1er et 2ème siècle ap. JC.... 
Tête de lion d'un sanctuaire datant de la même époque...
Main en bronze.
Ce fragment de statue appartient à un "grand bronze" du 2ème siècle ap. JC. La découverte de statues de grande taille est rare sur les sites antiques. Elles étaient souvent détruites et refondues afin de récupérer le métal pendant les crises économiques. 
Nous poursuivons notre visite en découvrant l'univers du commerce et les échanges.
Les amphores en terre cuite permettaient de transporter ou de conserver des produits comme l'huile.... 
le vin ou encore les saumures, le garum (sauce à base de poisson).
Ces produits étaient issus des 4 coins de l'empire romain d'où la densité du trafic commercial. 
Les inscriptions et les motifs sur les monnaies permettent aux archéologues de connaitre les grands faits politiques ou militaires ou encore les grands monuments d'une cité.
La dernière partie du musée met en valeur des pièces de grande valeur artistique comme de la vaisselle....
Pichet des thermes en céramique grise datant du 1er siècle ap. JC. 
La visite se poursuit à l'extérieur après avoir essuyé un bel orage!
Nous découvrons une partie des thermes reconstruite en tenant compte des observations archéologoqiques. 
Cette maquette des thermes au 1/10ème montre les différents espaces et volumes de ce monument.
L'arrière de la maquette des thermes.
Nous terminons notre visite par le grand sanctuaire qui abrite le temple circulaire ou "cella" circulaire.
En fait, c'est dans les soubassement de cet ancien moulin qu'a été découverte l'existence de ce temple gallo-romain. 
Dommage, nous avons été obligés d'arrêter notre visite car il pleuvait à nouveau......
Nous traversons la campagne pour rejoindre Meschers et apercevons un arc-en-ciel.
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Allez vous balader le long des chemins de campagne et vous ferez comme nous, vous allez trouver des mûres sauvages.
Souvenez-vous, je les ai transformées en coulis que j'ai congelé. Pour réaliser cette bonne recette de glace, j'ai utilisé un petit pot de coulis ce qui correpond à peu près à 500g de mûres.
Ce qu'il vous faut :
- 500 g de mûre sauvage fraîches 
3 - Chauffer le lait à 60°C, y ajouter la gélatine essorée, puis laisser tiédir.
4 - Mélanger le yaourt avec le sucre glace, la crème, le lait tiède. 
5 - Ajouter le coulis de mûres. Mixer à nouveau puis faire reposer au réfrigérateur une heure (facultatif).
6 - Turbiner ou passer à la sorbetière. 
Le dessert que j'ai préparé pour le repas avec Laurence et Philippe était cette recette de glace. C'était la première fois que je la testais mais nous n'avons pas été décus. 
Vous pouvez aussi remplacer la gélatine par de l'agar-agar. Il est toujours très difficile de doser l'agar-agar. Alors voici quelques équivalences :
- 1 cuillère à café = 4g d'agar-agar - 4g d'agar-agar = 6 feuilles de gélatine pour 1 litre de liquide. C'est 8 fois plus gélifiant que la gélatine. A vous de bien calculer maintenant! 
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et nous sommes encore à Meschers..... Tant mieux..... Le temps est couvert mais les températures très douces.
Profitez pleinement des petits plaisirs culinaires de cette saison! Combattez les premiers froids avec une bonne soupe onctueuse et pleine de vitamines..... 
Quoi de plus simple et de plus goûteux qu'une omelette aux champignons....
Croquez à pleine dents dans une bonne pomme récoltée.....
Je vous laisse.... Je me lance pour la première fois dans la confiture de figues. J'en recherchais et des amis m'ont proposé d'en cueillir. 
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Chaque matin, Roger va chercher du bon pain frais pour le petit déjeuner. Quelle chance, n'est-ce pas?
Tout cela pour vous dire que c'est sur ce trajet quotidien qu'il a fait la connaissance de Jean-Luc. Nous avons décidé de l'inviter en compagnie de son amie, Corinne. Et voilà, nous nous sommes retrouvés vendredi soir pour un apéritif dinatoire. 
Au programme, quelques bonnes petites choses à déguster tranquillement au fil de la conversation.....
sans oublier le melon au pineau blanc....
Un assortiment de toasts...
Quelques parts de pizza maison....
et la tarte à la mirabelle avec le café ou la tisane....
Merci Corinne et Jean-Luc pour votre délicate attention et pour les bons moments passés en votre compagnie.
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Nous perpétuons la tradition de l'an passé, nous goûtons le bourru.
Je vous invite à vous replonger dans cet article pour connaitre l'origine du bourru. Cette année, je l'ai accompagné de quelques toasts. Un petit apéro en tête-à-tête bien sympa! 
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Nous emmenons notre voiture en révision à Royan et en profitons pour aller nous promener au marché couvert.
10 heures du mat'.... quel calme en cette belle journée qui promet d'être ensoleillée. 
Le front de mer est désert.... Ah! non.... Roger est là! Vous l'avez vu? 
Nous longeons le boulevard Aristide Briand et arrivons au marché couvert.
C'est une prouesse architecturale. Il fait partie des bâtiments reconstruits dans les années 50 comme le front de mer, le palais des congrés, l'église Notre-Dame, ... Mis en service en 1957, ce bâtiment a vite emporté l'adhésion des Royannais et des touristes. Il fut l'un des prototypes qui a servi de modèle au palais du CNIT (La Défense à Paris) et au marché de Nanterre. Il a été classé monument historique en 2002. 
A l'intérieur, au sommet de la voûte, une série d'ouvertures permet d'éclairer le marché grâce à un jeu de briques en verre qui laissent passer la lumière.
Quelques étals sont à l'extérieur autour du marché.
Nous nous sommes particulièrement arrêtés devant celui-ci très haut en couleurs.
De petites aubergines à faire revenir tout simplement dans la poêle.... 
Des piments de toutes les formes, de toutes les couleurs, plus ou moins piquants....
Je suis tentée par une composition de piments que je trouve très décorative..... mais qui peut également servir en cuisine.
Des pâtissons, des petites courgettes, des poivrons, des chayottes, .....
Les produits de la mer, poissons, crustacés, huîtres, moules, coquillages occupent évidemment la plus grande surface. 
Les langoustines font partie des stars du marché de Royan. Elles se distinguent sur les étals par des monticules à la couleur typique. La Cotinière est le grand port de pêche de Charente-Maritime pour la langoustine. Plusieurs centaines de tonnes y sont débarquées chaque année. Dommage que le prix soit si élévé..... 
Des coquillages, des crabes, des araignées de mer, .....
Des homards vivants...
Les poissons avec le "Petit Sar de Royan"... que je ne connaissais pas du tout.
... le bar moucheté et la maîgrette de Royan.
Le bar est présent sur le littoral charentais à partir du mois d'avril, quand les eaux se réchauffent. On le trouve jusqu'en octobre ou novembre. Le maigre est peu connu en dehors de la région. Cette espèce typique de Charente-Maritime a une chair aussi fine et goûteuse que celle du bar. 
...la sole et le Saint-Pierre.
Vous trouverez sur le marché de Royan, les poissons labellisés par l'Institut de la Qualité. Agroalimentaire Poitou-Charentes. Ils sont facilement repérables avec leurs pin's ou étiquettes, comme le bar de ligne "La Rochelle, La Cotinière, Royan", le maigre de ligne "Signé Poitou-Charentes". 
les crevettes grises et roses vivantes....
Les bons produits fermiers....
Un petit clin d'oeil à Ginette du blog "campagneetmer" qui nous a fait découvrir "la jonchée".....
J'ai voulu en acheter mais je suis arrivée trop tard, il n'y en avait plus..... 
Le marché de Royan ce n'est pas que les produits de la mer, c'est aussi l'occasion de découvrir d'autres produits de saison. 
La salicorne est une plante qui pousse dans les zones salées des marais charentais. Elle se consomme en légumes comme les haricots verts ou en condiments. 
Le marché de Royan est ouvert tous les matins. Quand on y fait ses courses, on n'y trouve que de superbes produits et on apprend vite à apprécier les produits de la région en fonction de la saison. 
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