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Blog créé le 16/04/2008

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maman tous ces poémes j'aurai voulu les écrire ,mais j'ai pas été assez rapide!! .......

non en fait , j'ai pas osée , pas fait,par pudeur peut etre ou tout simplement on le sait et on a pas besoin de se le dire ,

et pourtant  dieu sait que je t'aime ,

voila je te l'ai ecris .........

 

Je voudrais pour ta fête

Maman
Je voudrais pour ta fête
T'apporter un très beau cadeau
Non pas un cadeau qu'on achète
Mais mon amour, c'est bien plus beau !

 

Simplement

J'ai cherché dans les poèmes
Comment dire je t'aime
J'ai trouvé des mots savants
Bien trop longs pour mes quarante ans
Alors, j'ai cherché ailleurs
Et j'ai trouvé dans mon coeur
Les mots que tu m'as appris
Quand j'étais encore petite
Maman, je t'aime, grand comme ça !
Je le dis avec mes bras.

Fleurs immortelles

Devine ce que je cache
Derrière mon dos ?
Non, ce n'est pas une tache, ni un accroc.
Ce ne sont pas des mains sales, ni un trou ovale.
Ce sont des fleurs de mai
Qui ne faneront jamais.
"Bonne fête maman.

source internet : momes.net




timbale végétarienne

 23/05/2008

 

 

 

 

ingrédients :

1poivron,1 tomate, 1courgette,1oignon vert,ciboulette,1 tranche de pastéque,rondelles de concombre,sel ,poivre,le jus de 1 citron,3 cuilléres d'huile d'olive

préparation :

je coupe en trés petis dés le poivron,la tomate,la courgette,l'oignon vert,la tranche de pastéque

dans un saladier, j'y ajoute je jus de citron ,l'huile ,le sel ,le poivre,la ciboulette cisellée

je mélange tous les ingrédients

je prends des petits ramequins (tasse à chocolat ça marche trés bien )

je coupe en fine rondelles le concombre

je plaque mes rondelles à l'intérieur des ramequins ,en les serrant

puis je remplis mes ramequins à ras ,en tassant bien je reserve au refrigérateur

je dresse l'assiette juste avant de servir




Paté de thon en croute

pour 6

2 rouleaux de pate feuilletée
300g de thon au naturel
20cl de crème liquide
3 oeufs + 1 jaune
4 oeufs durs
1 gousse d 'ail , 1 c à s de persil ciselé
1 bel oignon
1c à s d huile d'olive
15g de beurre pour le moule
1 pincée de piment de cayenne , sel


1/ Allumez le four à th 7 ( 210°c), beurrez un moule rectangulaire ( à cake pour ma part)

2/ Faites blondir l oignon émincé à l huile d 'olive , quand il est bien doré , réservez le .

3/ Mixez la moitiè du thon , les 3 oeufs, la crème, le persil et l ail émincé, piment , sel .

4/ Garnir le moule avec la première pâte feuilletée, versez la moitié de la préparation dans le moule .
Répartissez par dessus le reste du thon émiètté et les oeufs durs coupés en quartiers .
Complétez par le reste de préparation.

5/ Etalez la seconde pâte afin que cela fasse un couvercle , en faisant bien rentrer les bords . Egalisez la pâte sur les coté et dorez au jaune d oeufs délayé dans un peu d 'eau .

pensez a faire deux petites cheminées sur le couvercle

6/ Faites cuire 35/40mn au four

servir froid

source : guide cuisine



Comme vero ne travaillait pas ce week end ,debout trés tot et hop on saute dans le pantalon et nous voila parties à Faugéres chiner et peut etre trouver l'affaire du siecle !!!!


Dimanche nous sommes allées à la journée nautique de Palavas .

Un monde fou se promenait ,il est vrai que le temps était chaud chaud chaud!!

tous le clubs nautiques étaient présents pour donner les premieres inititaions en voile,catamaran, canoe kayak, péche ,plongée ......,

Les enfants s'amusaient comme des fous !! bon moi aussi j'ai fait trempette !!




afin d'agrandir mes collections et d'échanger avec d'autres collectionneurs je recherche des pipes ,des cannes, des bd,des feves,des menus,des taquins,des figurines babar,oui oui,shreck,bob l'eponge ,bob et bobette, tout ce qui se rapporte à pinochio,coca cola ,tintin,des cartes postales de la Picardie ,de bateaux ,de gare ,de trains,de moulins ,de cognac , étiquettes de fromage de vins de champagne des capsules de champagnedes sous bock

tout ce qui vous encombre envoyez le moi !!!!

je compte sur vous !!!!




 

 

un peu d'histoire pour vous faire découvrir la ville : Lodéve !!! Ou il y fait bon vivre avec ma Reinette!!!

LODÈVE (Hérault),
ville de Louis VIII

(D'après un texte paru en 1906)

 

Les amateurs de pittoresque et les chercheurs de souvenirs auraient de quoi se satisfaire si, profitant d'une villégiature, ils allaient visiter l'ancienne cité des Volques, Lodève, plus tard, la ville de Louis, sise dans une vallée

des Cévennes, au confluent de la Lergue et de la Soulondres.

Posée au cœur de ce vallon comme un bouquet au fond d'une corbeille, elle est entièrement visible de tous les points, car de partout des monts l'enclavent et, de leurs cimes, permettent au regard d'en embrasser l'ensemble.

La hauteur la mieux située pour en analyser les détails est le Rocher des Fourches, mont sourcilleux menaçant la route de Montpellier. Au premier plan, la hauteur de Montbrun et la ville ; au second, les pentes du Grésac où s'étagent des vignes, que peuplent des mas, avec leur laurier en sentinelle dans un angle et la porte ombragée de la treille légendaire.

L'arrière-plan et les lointains sont formés par la chaîne imposante de l'Escandorgue, contrée jadis volcanique, qui découpe ses crêtes élevées sur un ciel chaud et presque toujours bleu.

De temps très ancien, on fabriquait à Lodève le drap de troupes, fabrication bien réduite depuis la fin du XIXe siècle. Avant que Louis VIII s'intéressât à elle au point de lui donner son nom, que Henri IV et Sully l'avantageassent et que Colbert y fît construire des usines et la désignât fournisseuse de l'État, Lodève était une pépinière de tisserands et de fileurs.

Chaque famille possédait son métier à tisser. Plus tard, ces métiers épars se réunirent. Plus tard encore, le monopole s'imposant et des capitalistes le désirant, les groupes se fondirent dans neuf ou dix usines qui absorbèrent tout le travail du pays. Ces usines, à la force hydraulique d'abord, ensuite à la vapeur, prospérèrent et furent le bien-être de la contrée de nombreuses années.

On ne peut guère fixer une date à la fondation de Lodève, mais on s'en fait une idée en apprenant qu'elle était en guerre avec les Romains, plus de cinq cents ans avant Jésus-Christ. La nuit des temps plane sur son origine. Placée au confluent de deux rivières, sur une colline en dos d'âne, première assise du Grésac, et à l'entrée du profond défilé des Fourches, elle était une des portes des Cévennes, et l'on conçoit que sa position stratégique ait fait choisir de bonne heure son emplacement par les premiers habitants du pays, sans doute l'avant-garde des Celtes venus d'Asie.

La légende attribue le nom de Lodèva à L'os d'Eve, trouvé là, paraît-il. Mais n'est-ce pas le comble du songe de supposer qu'un os, fémur ou tibia, humérus ou clavicule de la mère des humains, soit venu du paradis terrestre s'échouer sur les berges de la Largue ou de la Soulondres ? Peut-être les Celtes l'y apportèrent-ils, eux qui avaient passé à travers le paradis perdu ? Mystère !

A gauche du Rocher des Fourches se dresse la colline de Montbrun, où s'élevait le château féodal de ce nom. Le premier qui l'habita quand il ne se composait encore que d'une grosse tour, fut Harvaldus, comte de Lodève, en l'an 800 ; le second, Adon Ier, son fils et le troisième, Heldin, lequel, toute sa vie, semble avoir eu l'Évêque de Lodève pour bête noire. Il subsiste encore une légende locale à ce sujet ; mais elle est manifestement le résultat d'une erreur historique avant d'être une erreur des sens, puisqu'on y dit que le seigneur Heldin tirait le canon contre le clocher de l'Évêque, et cela au Xe siècle, alors que la découverte de la poudre ne devait avoir lieu que 400 ans plus tard.

Après Heldin, le comté de Lodève devint vicomté sous la suzeraineté .de Guillaume Taillefer, seigneur de Toulouse. Ce privilège passa après aux comtes de Rodez, lesquels le vendirent avec tous les droits et prérogatives sur le

Lodévois, pour 60 000 sols melgoriens, à Raymond de Madières, 42e évêque de Lodève en 1188. Et ce fut en 1225, sous le pontificat de Pierre IV, évêque, que le roi Louis VIII reconnut aux prélats de la cité le titre de comtes de Lodève et de Montbrun et leur accorda, en même temps, le droit de battre monnaie. Ce droit, ils le perdirent plus tard ; mais ils conservèrent le titre jusqu'à la Révolution, sous François-Henri de Fumel, le 109e évêque, de regrettée mémoire.

Sur la colline de Montbrun, il ne reste du passé qu'une longue muraille dentelée et une citerne vide à ciel ouvert. De la vigne chétive et des câpriers poussent sur un sol pauvre et éternellement lavé par les orages. C'est le refuge des couleuvres frileuses et des lézards gris qui y poursuivent les mouches. On y cherche en vain l'ombre de la douce Archimberta, la femme de Heldin et la mère de Nobilia ; le souvenir de Hugues II devenu évêque de Rodez ; de Ermengarde sa sœur qui prit le voile à Nonnenque et y mourut victime de son dévouement ; tant d'autres qui ennoblirent cette forteresse disparue et ce mont si vivant, aujourd'hui solitaire.

De là, on plane sur la ville, sur toute la vallée lodévoise au sol vert, aux vignes touffues, aux olivettes en quinconces, aux routes bordées de platanes géants, sur les pentes boisées d'arbousiers et d'yeuses, vallon chaud, plafonné d'un ciel italien et éclairé d'un soleil d'or. En descendant de Montbrun, on rencontre un pont de pierre. Il est étroit, avec deux refuges triangulaires. Ce pont est tout jaune et comme enfumé ; des œillets poussent entre les pierres et une végétation robuste de pariétaires le voile, comme voulant cacher sa vétusté. Il y a deux arches. En amont et en face de sa pile unique, se dresse une tour carrée et pleine ; c'est le brise-lames, le bouclier du pont.

Il semble plus âgé que la cité, ce pont. A quelle époque a-t-il été construit ? Au XIIe siècle peut-être, alors que Raymond de Madières, évêque de Lodève, acheta à Hugues II, comte de Rodez, la propriété de Montbrun et fit tracer le chemin à marcher qui longe le torrent de Bélbézès pour desservir le manoir ? Mais est-ce bien sûr ? Il était le seul pont reliant Montbrun à la ville, ce qui laisse supposer qu'il est de beaucoup antérieur à Mgr de Madières et qu'il a dû servir aux premiers seigneurs de Montbrun, lesquels, sans lui, se fussent trouvés isolés sur leur roc.

A première vue, on a l'impression que tout le Moyen Age a passé sur lui. On le nomme le pont vieux.

Après l'avoir franchi, on arrive sur les boulevards, place des anciennes fortifications, aujourd'hui le tour de ville.

En remontant le boulevard du côté de la Soulondres, on rencontre un enclos dans lequel il y a une tour. C'est l'enclos du collège. La tour a une origine lointaine ; elle porte à son faîte les pierres en saillie qui soutenaient les mâchicoulis. C'était une tour d'angle de la citadelle ; elle est aussi robuste qu'à ses premiers jours. Sous le toit, pend une cloche que le concierge met en branle aux heures de travail et de récréation.

Il existe trois tours comme celle-là à Lodève, la seconde sur le boulevard du Quai, la troisième à l'angle du boulevard Montalangue. Cette dernière a souffert des morsures du temps. Elles datent du XIIe siècle. Par la montée dite de Saint-Fulcran, on arrive sur la place de la cathédrale. Il y là les jardins des abbayes de Saint-Sauveur et Saint-Benoît, la première acquise par saint Fulcran, 30e évêque de Lodève, la seconde construite par lui dans les années 973 et 974. Ce prélat, qui était de haute noblesse et possédait une fortune princière, fit des dons considérables non seulement dans son diocèse, mais dans ceux de Montpellier et de Maguelonne, ce dernier, berceau de sa famille.

En arrivant sur le parvis, on voit, en face, les bâtiments de l'antique évêché, quoique son aspect, aujourd'hui, n'éveille rien d'antique. La porte monumentale se projette, et deux retraits en quart de cercle supportent des vases et des corbeilles de pierre où sont sculptés des flammes, des fruits et des fleurs. Certains font remonter l'origine de cette porte à Louis VIII. Elle est plutôt de Louis XIII par son style Renaissance. Le palais de l'évêché est au fond de la cour.

L'aile de droite est le presbytère, le jardin de l'Evêché se trouve derrière. Ce jardin qui a vu plus de cent prélats, depuis saint Flour jusqu'à Fumel, est aujourd'hui un parc public, comme le palais est devenu l'Hôtel de Ville, comme son grand salon est devenu la salle du tribunal civil ; les autres pièces, la salle du conseil municipal, de la Justice de Paix, de la bibliothèque, etc.

La cathédrale ressemble à une aïeule donnant la main à un enfant. C'est non seulement le monument le plus ancien, mais le plus remarquable de Lodève. D'un style gothique, avec des parties de flamboyant. Partout l'ogive aux fines nervures ; nulle part le plein-cintre. Sa voûte, où court un parapet et que terminent deux tourelles à ciel ouvert, a 26 mètres de haut sur 107 mètres de long. Son clocher, tour carrée et robuste, a 52 mètres l'élévation. Il y a mille ans que tout cela est debout.

C'est l'évêque Fulcran qui fit élever cet imposant édifice. Ce prélat a laissé un si lumineux souvenir que son nom est entouré d'une vénération universelle. Fulcran fut le patron de Lodève. La plus grande fête, comme la plus grande foire, ont nom de Saint-Fulcran ; des rues, des avenues, des places, sont connues sous ce nom-là, et Lodève elle-même s'appelle : ville de Fulcran. Cet évêque descendait en ligne directe des comtes de Maguelonne par son père, et des comtes de Substantion, vieille villa Romaine, par Eustorgia, sa mère.

Deux grands noms unis à deux immenses fortunes.

Fulcran vit le jour à Malaviella, propriété de sa mère, ou plutôt à Mérifous, qui en était une dépendance. Né en 909, Fulcran monta à 40 ans sur le trône épiscopal, où il passa 57 années. La première pierre de la cathédrale fut posée en 969 ; la construction dura cinq ans. L'évêque y consacra une partie de sa fortune.

En montant 280 marches, on arrive au dernier étage de la tour, où se trouvent les cloches. Devant la première ouverture, on s'arrête et on ferme les yeux. A cette hauteur, le vide prend le front, trouble le regard, et le vertige apeure. L'impression dissipée, on regarde.

Toute la ville ondule et dévale jusqu'au confluent. Toute la vallée se déploie, majestueuse et belle, avec sa ceinture de collines et de monts rocheux, ardus, sauvages, aux bases pavées de prairies, étagées de vignes et bouquetées de bois.

 

Source wilkipedia

 

 




choc'Aubrac !!!

 29/04/2008

nous avons pu gouter notre choc 'aubrac ,tartiner la brioche hongroise : particularité de celle ci, elle est cuite à la broche ....................................

nous sommes à la frontiére de l'Aveyron !!!

lundi en parcourant la foire à Lodéve ,féte dédiée à St Fulcran, je vous parlerai plus longuement de ma ville ultérieurement ........

nous nous sommes arrétées devant  un étal rempli de pots de chocolats à tartiner !!!!

bien sur ,degustation oblige ..........................et une cuillére de chocolat au thé d'aubrac,une cuillére de chocolat grand marnier et une cuillére de chocolat blanc à la fraise .....................de bocal en bocal ,la dégustation fut divine

cet artisan se trouve dans l'Aveyron plus précissemment entre Rodez et Laguiole

leur spécialité au chocolat , le CHOC ' AUBRAC  a la particularité d'etre à la fois une fondue au chocolat et une pate à tartiner  artisanale .....

c'est un produit naturel et en cas de déprime c'est une merveille ............

site: www.chocaubrac.fr




je suis fan des recettes de cyril Lignac ,donc j'ai acheté son dernier hors série

cuisine by..........................mettez vous au vert................................

recette de Cyril Lignac

recette pour 2 personnes

ingredients :

-3 pommes (type elstone ou ariane) moi j'avais des link ..

-100G de boudin noir

-1/4 de bouquet de persil plat

-1oeuf

-1 échalotte, 1/2 oignon

-1/2 citron

-sel , poivre du moulin

préparation :

-préchauffez le four à 210° (th7)

-lavez les pommes ,coupez le chapeau et la base de 2 pommes

-évidez les sans atteindre le fond et coupez la chair,citronnez ,réservez les

-pelez et coupez en quartier la 3eme pomme,retirez le trognon et coupez la chair en dés mélangez avec la chair des autres

-épluchez et émincez l'échalotte et l'oignon faites les revenir dans le filet d'huile lavez et ciselez le persil

-dans un saladier ,mélangez les dés de pommes, le boudin, l'échalotte,l'oignon et le persil, poivrez

-ajoutez l'oeuf battu entier,mélangez bien garnissez les pommes de farce

-posez sur chacune d'elle son chapeau

-huilez le tout à l'aide d'un pinceau

-faites cuire au four environ 30 min, et à mi-cuisson baissez la température

j'ai testé aussi avec des pommes de terres ,c'est super bon !!




bein oui !!meme si notre couple n'est pas trés conventionnel , il existe quand meme !!! donc nous fétons et féterons chaque année le jour ou l'on s'est dit oui !!!!!

j'aurai bien emmenée ma reinette aux Seychelles mais pas pu !!! ce n'est que partie remise, d'ailleurs nous comptons se marier et déposer une liste de mariage !!!! euh non les enveloppes suffiront !!!ahahahahahah!!!

quelques photos  de cette charmante ville si connue et ou l'on s'est rencontrée la 1ere fois

et non ce n'était ni Venise, ni Capri mais Palavas les flots !!!!




palavas les flots

 27/04/2008



palavas les flots

 27/04/2008



palavas les flots

 27/04/2008



palavas les flots

 27/04/2008



palavas les flots

 27/04/2008



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