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Blog créé le 26/08/2009

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 VESUNA - REVUE LITTERAIRE
 &   ARTISTIQUE

 DU PATRIMOINE PERIGORD-DORDOGNE
&   D'AILLEURS  !  


 


Une Revue placée sous le signe de "TUTELA VESUNA", une déesse poliade fille d'Esus, grand charpentier de l'univers gaulois, elle-même divinité des eaux et forêts......




Dallemand : BAUDELAIRE ou la folie esthétique



Première conférence disponible : L'EGREGOR (l'apprentisage au XI° siècle en confréries).
Deuxième conférence disponible : TALLEYRAND OU LE GENIE DIALECTIQUE.
Deuxième conférence disponible :

BAUDELAIRE OU LA FOLIE ESTHETIQUE  : paru en librairie (à commander à la Librairie Montaigne de Bergerac .....Librairie MARBOT à Périgueux.....




L'actualité :  .

Peter Hodges, fameux traducteur de Boris Vian et auteur...... nous présente :  "Le Journal de Papa"...à lire dans nos colonnes.
Autres auteurs élus en Octobre 2017 qui ont été reçus à l'Académie en Juin 2018 :

Georges LABROUSSE......Historien des guerres mondiales....Fauteuil Cinq.
Peter HODGES - auteur Australien (et aussi traducteur de Boris Vian). Fauteuil Six.



PARU : "L'Après-midi d'un fauve", précédé de :
"Journal de choses"....Copyright J.J Dallemand

En cours de rédaction : "La Galerie des bois" - Traité de grammaire ornementale.

Mémoires d'un rat de librairie de Périgueux....Vingt auteurs lus et commentés par un ex-adolescent entre 15 et 17 ans....Actuellement en séance d'enregistrement radiophonique......
.
"Magdala et tous les chats du Colisée" -
Pour le théâtre......en hommage à Giuletta MASINA et au Maestro Federico FELLINI.......Une pièce à 7 personnages inspirés par les inoubliables interprètes : Magali NOEL, égérie de FELLINI...Marcello MASTROIANNI.......

"La cuisine des anges"...
















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Génius créator !

 21/11/2016
Cette semaine, la mention "génius créator"  est attribuée à José CORREA l'artiste-peintre célèbre que seuls les incultes jalousent profondément. 
Célèbre depuis quelques décennies parce que non seulement virtuose reconnu,  depuis Madrid jusqu'à Porto, de Rome et de Tokyo aussi.....
Et parce qu'il faut bien habiter quelque part, pourquoi pas en France (rappelons à ce sujet que la ville de Périgueux est aussi en France) et qu'il ne s'agit pas d'une petite localité d'où les virtuoses n'auraient point droit de cité....la preuve en images !

Quelques esprits chagrins baptisent vite d'un terme à la fois rustique et injurieux ceux que le Périgord abrite, disant à leur propos :  Bof !  local !!! et ce manque de considération très parisianiste, pour ne pas dire "germano-pratin, ici, dans les colonnes de la Revue "marines poésies - VESUNA- nous met parfois les nerfs en pelote ;  car si vous n'aimez pas ce que l'on vous fait l'honneur de vous montrer, au moins, n'en dégoûtez pas les autres, sachant que depuis la fin d'année 2009, environ 535OOO lecteurs suivent attentivement nos articles.....et pas seulement les Equipages en mer (qui occupent leur vocation à sauver des vies humaines) mais rappelons au passage qu'un effectif majeur de notre lectorat, ne pouvant se déplacer, se  trouve fort satisfait de découvrir chaque semaine un artiste jusqu'ici ignoré par la presse et les médias, ce qui, bien entendu n'est pas le cas de José CORREA.

A nos yeux, José CORREA, demeure un poète de la famille Rimbaud, Verlaine, Ferré, un excellent et avisé continuateur de l'art au service de l'émotion,  à la fois sincère et authentique C'est un artiste jamais morbide, dont le crayon est  en même temps idée et surtout bonne idée, c'est ce que nous appelons : le style.

En résumé : José CORREA a un passé qui témoigne de son talent tandis que son présent témoigne de son "génius créator".


JJ Dallemand
Fondateur de la Revue
Doyen de l'Académie des Sciences, des Beaux-Arts et des Belles-Lettres du Périgord-Limousin. 
II n'a pas  -dieu merci- la modération désastreuse de certains petits-maîtres qui, un beau matin pluvieux, ne sachant quoi faire de leurs dix pouces, s'intitulent artistes....
Pour celles et ceux ayant le privilège d'habiter Périgueux, Trélissac et la Dordogne.....
Courez-y !!! de  notre part !!! 



Au patrimoine européen...publié en 1883....le célèbre Pinocchio,
issu de l'imagination de Lorenzini -dit Collodi- Ecrivain et journaliste.

Une première version cinématographique avec Nino Manfredi dans le rôle de Gepetto , en 1964....
puis une seconde adaptation signée Roberto Benigni....

Chef- d'oeuvre de la littérature pour la jeunesse, Pinocchio possède une double nature qui lui permet d'évoluer aux confins de la fable et de la réalité.....capable d'affronter avec une infinie curiosité tous les dangers du vaste monde.....

Une sorte "d'homo duplex"  en devenir ? déjà ?!!!



L'ouvrage clé signé Roger TRENEULE pour bien connaître  notre histoire particulière et l'identité du terroir au pays d'Avitus.....



La mission de l'Académie :

.Jumelage avec une académie en Italie et en Angleterre

. Attribution du grand-prix annuel de l'Académie couronnant une oeuvre d'importance. 

. Mise en place progressive de la bibliothèque Jean Capelle/Léo Testut sur le site historique de Saint-Avit Sénieur.

. Hommage national à Jean Capelle le samedi 20 MAI 2017 ...
. Intronisation de trois candidats au fauteuil 5,6,7 de l'Académie.
La devise de l'Académie des Sciences, des Beaux-Arts et des Belles-Lettres du Périgord-Limousin :

                        "Tout faire, tout dire, tout penser" 

Devise empruntée à une pensée de Marc-Aurèle


L'insigne de l'Académie : D'après Léonard de Vinci.

Discours de réception à l'Académie des Sciences, des Beaux-Arts et Belles- Lettres du Périgord-Limousin
Séance inaugurale solennelle du samedi 15 Octobre 2016 à Périgueux.
 

Mesdames, Messieurs et chers amis,

Science, art et religiosité, harmonie de la vérité, de la beauté, de la bonté sont les manifestations de la culture, telle est la définition du professeur Paul Diel, définition que j'ai adoptée en 1977 lorsque j'entamais un second cycle d'études à Talence-Bordeaux. Dès lors, convaincu que le but de la vie n'est pas forcément le progrès civilisateur mais plutôt l'évolution culturelle parce qu'à cet âge-là, environ trente ans, bien qu'ayant exerçé depuis cinq années l'apostolat de directeur de maison des jeunes et de la culture en région parisienne , et probablement pour ce motif, je compris enfin que la tâche évolutive est confiée, par le sens même de la vie à l'élan de chaque individu, pourvu que l'on s'interroge précisément sur ce qui constitue le sens, l'orientation et la force de la vie.

Mais pour acquérir cette méthode évolutive, encore ne suffit-il pas de l'apprendre ; ainsi grâce à l'exemple de nos maîtres, encore faut-il appliquer et vivre cette méthode. Encore faut-il se débarrasser de toutes les fausses motivations, et la vanité parfois n'en est pas le moindre vice, si l'on veut déployer son élan vital et bannir toute intention impuissante , et surtout ne pas manquer à ses devoirs d'homme engagé volontaire dans le domaine de la création. A vous, créateurs qui nous ont précédé, maîtres défunts, je vous salue, et je n'ai messieurs en cet hommage que votre propre bien à vous retourner.

Chers maîtres, de qui nous fûmes élèves, vous, capitaines de notre vocation, vous nous avez offert le privilège de nous mettre en règle avec le sort, car ce choix entre la banalisation ou l'exercice de l'esprit transforme l'idée que l'on se fait depuis le rivage.. Ne voyons pas l'art comme une réjouissance épileptique, solitaire, nombriliste, mais plutôt comme un levier capable d'émouvoir tout un chacun. L'art doit être partagé, et transmis s'il veut survivre, survivre au moins avec ses pairs épris d'esthétique et de beauté...Ayant, chers défunts, votre esprit comme père et l'esthétique comme mère..voyez ! les grandes tempêtes nous ramènent au port.
Gens de l'art, la royale vocation de l'artiste est de construire l'histoire de son pays. Tout faire, tout dire, et tout penser dit le grand Marc-Aurèle, exprimant par là qu'aucune loi n'interdit à chaque génération d' éviter que le monde de l'art ne se défasse, et nous, si nous ne pouvons débarrasser le monde encombré de si toxiques épaves dans l'océan des intelligences, engageons-nous au moins dans le corps de la noblesse des images et des lettres afin d'acquérir la foi par excellence, à défaut de devenir empereurs. Cette foi du cadet, du mousse, de l'apprenti qu'il convient d'appeler la fiducia, c'est la foi inébranlable en l'art qui ne procure ni le luxe, ni le confort intellectuel, ni le repos des sens...ni la gloire dans la carrière.
Poussé chaque jour davantage à créer et recréer sans répit , afin sans doute de ne pas avoir honte de nous-mêmes, estimons-nous, simples passagers éphémères de cette planète. Un astre où semble-t-il régnent à foison les ennemis des arts , ceux que l'on reconnaît aisément à la façon dont ils font de grandes choses, à l'aide de grands volumes, de grande couleurs, sur de grands espaces, avec des grands budgets, tandis que d'autres se contentent de rendre hommage à la lignée des Rubens, des Cocteau, des Prévert, des Jean-Louis Barrault et des Madeleine Renaud.....Et c'est ici la différence entre ceux qui savent ce qu'ils doivent à leurs maîtres du goût et ceux qui prétendent devenir des maîtres sans avoir jamais travaillé autre matériau que leurs humeurs en guise de talent.

Mais qu'il nous soit permis de créer pour exister et non pour courir après la gloire, c'était aussi une pensée du grand Charles, le grand Charles Baudelaire, il fut, et il le demeure pour l'éternité, un artiste irremplaçable dans son siècle, dont la pensée et l'oeuvre sont celles d'un visionnaire, à la fois dans son présent de l'époque et tellement proche de nous.... Son oeuvre magistrale est à rapprocher de l'oeuvre d'un Pouchkine, voire d'un Nietzsche car Nietzsche fut aussi poète et pas n'importe quel poète, un poète dont certaines sentences fulgurantes s'inspirent à l'évidence des visions intuitives de Baudelaire. Bref, chers amis, ayant cité trois des douze piliers soutenant mon Panthéon, c'est bien volontiers les neuf autres qui au cours du prochain siècle vous seront livrés....
.

En cette année 1962, en octobre 62 plus précisément, âgé de quinze ans, la rencontre avec le poète périgourdin Jacques Lafont propulsa sur la scène l'adolescent d'autrefois, l'incitant à pousser la porte des libraires, le livre de poche valait à l'époque un franc, Pagnol, Maupassant, Pierre Benoît, Michel de Saint-Pierre ..évoquerais-je aussi la revue "Historia" et les fameux articles tant attendus chaque semaine, signés André Castelot que je salue aujourd'hui, là où il se trouve, baignant à l'ancre, à l'encre violette comme il se doit.
Jacques Lafont, je vous remercie d'avoir été mon guide, merci à toi, poète, metteur en scène, inoubliable interprète de Scapin durant des années, merci à toi immense lettré, humoriste s'il en est ; indispensable humaniste à la mode de Montaigne. Jacques Lafont fut mon premier maître parce que son style de pensée noble et léger coulait dans l'art de la conversation sans poser le pied des mots sur la terre, y compris dans les phrases les plus communes. Il avait énoncé sa propre doctrine des humours et sa mélancolie bien à lui était le composé et l'essence de bien des choses touchant aux arts de la scène ; ayant en quelque sorte la conscience de soi qu'il rendit transmissible uniquement par la force de son exemple, il était tantôt un piéton souriant détaché des contingences habituelles, tantôt s'identifiant au Jacques le Fataliste du sieur Diderot.....et son humour impitoyable à l'emporte-pièce qui n'avait strictement rien de commun avec la tradition anglaise était en somme apte à provoquer un amusement paisible mais systématiquement analytique. Foncièrement doté de ce vaste esprit analytique, fondation de son tempérament, sur lequel s'était greffé un sens esthétique démesuré, alors, alors hélas, il en mourut ....voici principalement les deux caractéristiques essentielles du personnage qui me fit l'honneur de s'intérésser à mes rimes chétives de l'époque. A mon égard, il fut souvent narrateur et j'étais , sans le savoir, narrataire, c'est à dire à la fois personnage et destinataire de ses multiples courriers, textes et poèmes, notamment "Adieu Capitaine" mis en musique par Jean Nathy-Boyer.
Il ne pratiquait pas l'humour, il était humour, vivant à la fois l'humour littéraire et l'humour vécu au quotidien. En résumé, il fut un homme d'esprit car il était esprit et surtout un bel esprit trop tôt disparu à l'âge de cinquante-quatre ans car il savait que les paradoxes du comédien rejoignent raremement les paradoxes de la vie. Et jusqu'à la folie du coeur, il assuma pleinement son paradoxe parce qu'il vécut dans un état permanent de révolte, ce que j'appelle aujourd'hui une révolte supérieure de l'esprit, une révolte qui ne fut ni banale, ni un effet de posture, ni posée pour la galerie, et encore moins morbide. Jacques Lafont, ton humour, le tien, avait un avenir car ton esprit élevait la nature humaine très au-dessus de son niveau de flottaison. Il n'enseignait ni ne prêchait, disciple de jean Cocteau et d'Oscar Wilde l'Irlandais maudit, il était Jacques Lafont ; voilà tout. Mesdames et Messieurs,
Grâce aux soins éclairés de ceux qui nous ont précédés , des Jacques Lafont, des Maurice Albe, des François Augiéras, des Jean-Louis Barrault, de sa muse, la divine Madeleine Renaud...
Aujourd'hui, chers amis, me voici tel un maillon de la longue chaîne du libre savoir transmis par ceux que nous admirons ; Jacques Lafont -décédé en 1986- fut un élève de Maurice Albe, tandis que Charles Baudelaire fut un disciple de Théophile Gautier et ainsi, de génération en génération devons-nous en hommage à nos aînés offrir à notre tour ce qui nous fut gracieusement accordé ; c'est-à-dire une place au sein de la folie de l'art. L'art, cette prison sans barreaux -dit Léo Ferré- dont on ne peut s'évader.
Au moment de notre histoire où Palmyre -comme Carthage et Rome- furent détruits à cause de la lâcheté et de l'indolence, que serions-nous face à nos maîtres si nous n'offrions à de futurs émules notre contribution à l'esprit créatif ? Que serions-nous, humbles passants de l'univers sinon de mauvais élèves jaloux de nos petits privilèges d'esprit en constante ébullition ? Serait-il plus fructueuse initiative pour l'esprit que notre collective démarche en cette année 2016, à savoir, poser la première pierre de cette future académie des sciences, des beaux-arts et des belles-lettres ?
 

Si d'aventure sonnait le glas de la fin de l'Histoire, de fait la fin de la civilisation, et par voie de conséquence la fin de l'art, l'extinction de l'homme artiste, en somme ; quelles imprécations surgiraient au sein de votre entourage ? Aucune probablement, puisque le chaos dû au totalitarisme des sectes multiples n'a d'autre finalité que couper les langues. La mission de l'artiste est une mission universelle chers amis ici présents. L'artiste est créateur d'idées, de monuments, de paysages, de nourriture saine, de médecine éthique. Il veille à la transmission du savoir et de la mémoire ; vous en témoignez aujourd'hui ; et c'est pour cet ensemble de raisons impérieuses que nous avons souhaité le plaisir de converser ensemble. L'artiste , mesdames messieurs, est un dragon destiné à cracher le feu de l'esprit, sa seule arme demeure la force tranchante de l'esprit, et non le fil de l'épée.
Celui qui travaille la terre promet de la joie à celui qui la dessine, celui qui guérit la souffrance donne l'espoir, c'est beaucoup de partage, partager l'espoir, la terre, la science, en un mot, partager la vie, la cordiale et sacrée convivialité sans laquelle le pays Périgord-Limousin ne serait plus qu'une sinistre réserve d'incultes en lamentation aux pieds de leur histoire, de leurs domaines en friches et de leurs monuments en ruines. Notre conversation ne serait pas complète si je n'ajoutais :
En de sinistres endroits infréquentables de modestes sujets porteurs de lunettes sont exécutés sans sommation, plus près encore, les gens d'art et de science, malheureux bouffons du tétrarque régnant offrent malgré eux leur crâne évidé comme le fit à la première scène de l'acte V, Hamlet à son fidèle Yorick, pauvre Yorick, pauvre bouffon sacrifié, qui pourtant ne portait pas de lunettes.....
Amis des sciences, des beaux-arts, des belles-lettres, amis de l'esprit français, amis de la France, France -mère des arts, des armes et des lois- dixit notre cher du Bellay, amis ici réunis, je vous salue, messieurs, mesdames, amis de la future illustre Compagnie en Périgord-Limousin...Préparons-nous en accord avec la tradition : "Tout faire, tout dire, et tout penser".

Maîtres défunts, vous avez fait appel à moi, me voici !

Copyright Jean-jacquesDallemand
Samedi 15 Octobre 2016




 



Hôtel de Ville de Périgueux

11 Juin 2014

Jean-Jacques Dallemand reçoit la médaille d'honneur de la Ville pour l'ensemble de son oeuvre littéraire et son rôle d'acteur au service de la culture en Périgord.

 

En compagnie de jacques Teulet artiste-peintre post-symboliste, membre du Jury du Prix Vesuna, Philippe Bachmair, co-fondateur de la statuette, Sébastien Rogations, Lauréat 2014, Antoine Audi, maire de Périgueux, et le représentant des Croquants d'Ecorneboeurf.

Prochaine cérémonie d'attribution du Prix biennal Vesuna : le Samedi 11 Juin 2016 en mairie de la ville de Périgueux :  se joindront aux trois co-fondateurs (en 2012) -déjà-  Christian Chevillot, protohistorien et spécialiste de la Gaule, ainsi que Roger Treneule, guide avisé de l'abbaye de Saint-Avit Sénieur en Périgord (monument classé au patrimoine)...... 

 




SAINT-AVIT SENIEUR

 09/05/2016

Une visite conseillée !

Sur les traces des Confréries religieuses dès le X° siècle !

 

Sur place, solliciter les conseils de Roger Treneule, un guide avisé 

Allez-y de ma part !

A ce propos en complément de mon étude intitulée : "L'Egregor" ; un rappel de nos traditions sur le sujet : Les écoles picturales"

                    Dans l'ensemble des peintures romanes on constate la coexistence de deux traditions différentes, de deux écoles dont les procédés et le style forment un contraste saisissant : l'école aux fonds clairs, aux teintes neutres et pâles, au dessin schématique, aux raccourcis fermes et vigoureux, et l'école aux fonds bleus, au coloris riches et variés, au dessin plus poussé, présentant de grands rapports avec des fesques byzantines et italiennes de la même époque. L'origine de ces deux manières se retrouve dans les fresques cappadociennes et dans la peinture mozarabe d'Espagne..... En France, l'école aux fonds clairs travaille surtout dans l'Ouest et le Centre...... 
Profitez des conseils de Roger Treneule, prenez votre après-midi et votre soirée afin de vous rendre sur place à Saint-Avit Sénieur et bonne visite ! 



Aujourd'hui, c'est principalement par les églises que nous connaissons l'art roman et, à vrai dire, la construction des églises représente bien le principal effort de cette époque de foi (et davantage, de fiducia). C'est dans l'édification des sanctuaires que les architectes romans ont pu donner toute leur mesure et que ce sont affirmées avec le plus d'éclat les qualités essentielles qui distinguent chacune des écoles romanes.
Chaque église importante, et c'est le cas de Saint-Avit Sénieur, cathédrale ou collégiale, était entourée d'édifices annexes : le cloître, la salle capitulaire, l'hôpital, parfois l'école. Les monastères souvent fortifiés , dont le clocher domine de très haut l'ensemble des constructions, le cloître qui y était adossé, entouré des bâtiments monastiques, réfectoire, dortoir, bibliothèque, et hors de la clôture des magasins de tous genres ainsi que l'hospice des étrangers ou des pérégrins......

En compagnie de MM Jacques Teulet et Philippe Bachmair nous serons ce 21 Mai 2016 au pied de l'abbaye voisine de Cadouin afin de rendre hommage à nos ancêtres et nos maîtres, grands goûteurs de culture, puis, l'an prochain au pied de l'abbaye de Saint-Avit Sénieur, à la même date ! 

Autre exemple  de blanche robe : cliché de  St Front de Périgueux .....



Sur l'invitation du créateur de l'ADRAHP, le protohistorien Christian Chevillot, nous avons eu le plaisir de présenter notre thème : L"Egrégor"......
voir article et photo...... 



Sortie en Librairie

 12/04/2016

Talleyrand ou le génie dialectique (Contre portrait d'un illustre amoral)....

 

Couverture signée José Corréa.
Postface et critique littéraire : Tristan Ghy 

Il reste quelques exemplaires disponibles......


27 Septembre

 29/09/2015

En compagnie de Roger Treneule - Ardent défenseur du patrimoine en Périgord et guide averti de l'abbaye de Saint-Avit-Sénieur -

Une escale historique incontournable en toutes saisons....

 

Cliché : Christian Chevillot

 




revue de presse

 18/09/2015

Un article signé Pascal Serre paru dans :  L'Esprit Périgord

 

 

Le songe du pétrocore surréaliste - 9 mars 2015 -



>> http://www.lespritperigord.fr

Depuis le Paradis !

 10/09/2015
Depuis le Paradis -disait Henry Miller- dans son "Colosse de Maroussi", Livre de poche N° 3029, je vous envoie ce modeste hommage à l'issue d'un été fertile en rencontres, lectrices et lecteurs terriens au hasard de notre présence sur les Salons du Livre en Périgord, Ribérac, Le Buisson, Excideuil, Lanouaille, Beaumont du Périgord puis enfin Domme....puis en Octobre Lempzours, Mussidan...etc....pour vous aussi amis des Equipages fort occupés en ce moment sur nos Océans, je vous offrirai fin 2016, un recueil intitulé : "Sentiments océaniques". Parlons un peu de ceux qui me font l'honneur de participer à mes ouvrages afin que l'art en général et la littérature en particulier demeurent encore vivants.

J'aimerais citer en premier lieu Roger Treneule, celui  qui sait si bien mettre en valeur le patrimoine de son abbaye de Saint-Avit Sénieur en Périgord, un guide attentif et passionné que je vous recommande de rencontrer sur place.

 

Parlons aussi de Philippe Bachmair qui créa à mes côtés la statuette VESUNA en 2012, le célèbre maître métallier-ferronnier d'art, puis le dessinateur-illustrateur José Corréa dont le dessin (Talleyrand)  figurera en couverture de mon ouvrage en cours d'impression "Talleyrand ou le génie dialectique" , contre-portrait d'un illustre amoral". Pour visiter son site : aller directement sur Google, taper José Corréa ; http://correajose.free.fr/ découvrir son plus récent ouvrage "Sur les traces des illustres en Périgord", Editions Echappée belle. 

 

 Cette année, l'Historien Guy Penaud m'a fait l'honneur de préfacer "mon Talleyrand" tandis que Christian Chevillot l'érudit proto-historien spécialiste des Gaulois préface "les fourches patibulaires"  conte rimé signé JJD qui paraîtra prochainement.

 

Depuis quelques années, certaines oeuvres post-symbolistes de Jacques Teulet sont reproduites en symbiose avec mes textes et sont livrées à l'admiration des lectrices et des lecteurs : voir en particulier "Eloge du Pays Vesunien",  "le Cinquième dragon ailé" et "Ma cabane au Chanada" suivi de "Finissez d'entrer" (le dernier Comice)......Jacques Teulet assure la direction artistique de ma collection Lazarillo et vous pouvez le retrouver sur le site suivant, de ma part et en confiance, loin du bruit bestial de l'art comptant pour rien !  http://www.jacteulet.4yu.fr !  bref, l'Homme, l'artiste est à lui seul un "motif à rêves", il y a chez lui du rêve, de la vérité et du "supplément d'âme", l'artiste complet que je salue bien bas. Bien d'autres artistes sont aussi présents en Périgord, mais pour faire leur connaissance il faut absolument découvrir la magique Cabane du célèbre Michel Cadiot dit le "Mitch", et sur cooptation, car le personnage, père du mythique chat Roubio doit être apprivoisé lui aussi ! pour les amoureux de la cuisine typique si vous avez le privilège de venir ici, à Périgueux ! Bonnes vendanges à toutes et à tous ! 

 

Deux conférences sont disponibles désormais -en me contactant-  sur "marines poésies"  :  Talleyrand ou le génie dialectique, une heure environ, ainsi que "l'Egrégore", l'organisation interne des Confréries aux X XI et XII° siècles.

Et j'en profite pour remercier chaleureusement Certiferme, Madeleine, qui héberge mon journal littéraire depuis 2009 !

 

 




Blanche robe

 09/08/2015

"Vitam impendere vero"

 

Se vouer à la vérité nous dit Juvénal !

 

 

Série Blanche robe en Périgord  -  Eglise du village de Lamonzie-Montastruc -son sol en calade et son Murillo (copie ) !!!

 




Signature-dédicace!

 09/07/2015

Signature-dédicace VENDREDI 10 JUILLET

de 15H à 18 H

 

LIBRAIRIE MARBOT A PERIGUEUX

 

Avec également Christian CHEVILLOT archéologue et proto-historien

 




Un courrier peu connu signé jean Cocteau adressé à Léonard de Vinci :



Extrait : "Léonard était un poète, un poète actif et réaliste, le réalisme d'un poète consistant à dépeindre avec exactitude les formes d'un monde qui lui est propre et sans le moindre rapport avec ce qu'on a coutume de prendre pour la réalité. Il pensait en actes. Phénomène qui le métamorphose tour à tour en architecte, en géomètre, en alchimiste.
               Je prépare un vaste Requiem.
                Ce fleuve de paroles comportera des haltes. Une de ces haltes s'intitule Hommage à Léonard, poème assez obscur puisque c'est la seule forme sous laquelle je trouve une excuse à la poésie, le reste n'étant que discours.

               De cet hommage, je détache les deux dernières strophes. Elles diront mieux que cette courte notice ce que Léonard m'inspire et l'amour fraternel que je lui porte.


              O merveille : ce verbe auquel je m'abandonne
              Ce silence complice et comprendre la main
              D'un ange sac au dos sur le bord du chemin
              Avec n'en doutez pas sourire de Madone.


              Halte ! le stratagème encore a réussi.

              D'où j'allais son index adroitement m'écarte

              Et montre le royaume inconnu sur la carte

              Où triomphe l'échec glorieux de Vinci.



Selon certaines sources, Léonard de Vinci et Jean Cocteau auraient présidé la même institution....Un certain prieuré plutôt laïque, empreint d'un esprit de sagesse et d'amitié.....au bord d'un étang, au pied d'une colline sacrée appelée Ecorneboeuf...    







Vesuna immuable et moderne demeure éternelle :



     Entre l'année 27 de notre ère  -abusivement nommée après j.c.- (je préfèrerai dater à compter de la mort de Jules César (J.C.) le vrai !
mais bref, à cette époque, les Pétrocores furent rattachés à l'Aquitaine d'Auguste, et jusqu'au milieu du IV° siècle, tout permet de croire que Vesuna connut des lustres de tranquillité et d'aisance et qu'elle conserva malgré les incendies qui la ravagèrent à plusieurs reprises, les caractères et les proportions d'une ville ornée avec toute la magnificence et pourvue de tout le confort que les Romains exigeaient partout dans l'Empire.


     La cité libre des Pétrocores ne s'est naturellement pas bâtie en un jour. On sait aujourd'hui que le siècle d'Auguste et celui des Antonins s'unirent pour donner à Vesuna sa physionomie de capitale administrative et religieuse et que chacun d'eux la dota des monuments publics et privés qui étaient de règle, si l'on peut dire, pour les urbains impériaux.


     Qui était Vesuna ? Ce nom, probablement celui d'une divinité topique, d'uns source -comme d'ailleurs celui de nos rivières, Isle, Dronne, Vézère, appartient à un substrat linguistique antérieur à la conquête de la Gaule par les Celtes. Faut-il voir dans Vesuna la déesse italo-ibérique en triade avec Poimonus et Tursa dans la quatrième des Tables de Gubbio (Ombrie) ?  Où ne s'agit-il que d'une simple homonymie ? quoi qu'il en soit, la déesse éponyme Vesuna devint du temps des Romains, la protectrice de la ville et son culte fut associé à celui de Tutela. La Tutela Vesuna des inscriptions n'est pas autre chose que la ville elle-même divinisée.   


Au titre de concepteur du Prix Vesuna, Prix des créateurs d'art et de l'excellence Française en Pays Périgord, j'ai voulu donner un visage, le visage moderne d'une lectrice anonyme qui comme vous tous, était une lectrice assidue, curieuse de l'Histoire, et passionnée au plus au point. Tutela Vesuna est donc à la fois moderne et immuable, et ces deux qualités à mes yeux-  la rendent éternelle. L'hommage qui lui sera rendu le 13 Juin n'a pas d'autre objet que le maintien de sa mémoire. Sans la reconnaissance à l'égard de nos maîtres qui nous ont enseigné le respect de l'Histoire et de ceux qui font l'Histoire, nous ne prendrions pas la peine de concevoir cette cérémonie.

Nos amis, les consuls du savoir-faire, Philippe Bachmair, Jacques Teulet, Christian Chevillot se joignent à nos efforts. 


J.J. Dallemand 
documentation : Géraud-Lavergne   
Dans la news-letter que les abonnés viennent de recevoir ce matin "eugubines" était mal orthographié ! nous avons rectifié aussitôt car il s'agit d'un lieu nommé "Gubbio" bien entendu ! mille excuses !

Cliché : JJDallemand
Oeuvre unique signée Philippe Bachmair
soumise à droits. nous consulter.        



       



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