Une tristesse inconnue : La Jeune Parque se présente à nous comme une entité vivante, mais indescriptible, sans visage ni apparence extérieure, mais suggérée, semblable à l'Hérodiade mallarméeenne, sous les espèces de la féminité. C'est d'une Psyché qu'il s'agit, dont le mythe est restreint, ici, à un seul personnage, ne contient aucune anecdote. Il est celui d'une pure intériorité. Au début du poème, la Parque s'éveille, alertée par un bruit de sanglots ; et ces larmes sont celles qu'elle est mystérieusement prête à verser. Qui pleure là, sinon le vent simple, à cette heure Seule avec ses diamants extrêmes?... mais qui pleure, Si proche de moi-même au moment de pleurer ? Pour la suite, reportons-nous au rayon poésie de notre bibliothèque ! et bonnes fêtes de fin d'année.
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C'est toujours un bonheur de me redonner envie de relire un poète qui dort quelque part sur un rayon - mal rangé - de ma bibliothèque.... Merci, et bonne fin d'année!
Par mireille herbe folle le 26/12/2011 à 19:47
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