Nous sommes allées aujourd'hui Porte de Versailles au parc des Expositions pour :
l'Aiguille en fête. Descente au 3ième sous sol pour se garer .
Après une petite marche nous arrivons.
Nous voila "dans la laine" en entrant .
Le podium pour le concours de vitesse du tricot ...
Cela m'aurait bien tenté, mais il fallait choisir: le concours où la visite ... Pas trop de deux yeux pour tout voir..Et les allées commencent à se remplir .
Nous voici aux stands du patchwork
Un stand qui m'a particulièrement bien plu.
Ces petits tabliers étaient merveilleusement réalisés
A demain pour continuer la visite ....
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Il a été plus agile que moi ce matin ....
D'un saut le voila sur le rebord de la fenêtre, j'a ieu très peur qu'il ne saute et me suis précipitée pour l'attrapper, mais ça n'a pas plus à monsieur qui m'a bien "chopé la main ...... Comme punition ...Pas de balcon . |
Mais ce serait bien de venir dimanche avec chacune un burin, lui donner un coup de main !!!!!!!
hihihhi............ |
J'ai rangé les pelotes de laines et les aiguilles,car mon séjour "tire" à sa fin ..
Lundi on descend à l'Ouest .... |
Ce serait plutôt une " Cancoillette"...
Qu'importe nous nous sommez régalées ... |
Voila donc l'appartement en bonne voie de "guérison"
Le salon . La chambre ..Là tout est blanc du sol au plafond..Mais avec des meubles colorés et la déco, il ne fallait pas trop
de couleur .. Reste le "gros" morceau la cuisine...Mais ma petite Marième ne perd pas courage...Elle veut le récupérer ce fameux carrelage .
Il est vrai que c'est autre chose que le lino.....
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C'est samedi 09 Février que se tenait à Argenteuil le 1er salon du livre .
" Ce que le roman apporte à l'Histoire". Ce salon était organisé par l'Association : Sous les couvertures. Rencontres et débats, espace jeunesse, bandes déssinées; des centaines de livres défendus par ceux qui les ont aimés. ![]() En présence de Romain Slocombe pour son livre: Monsieur le Commandant,( une plongéee passionnante dans la france de Vichy, vue sous l'angle d'un parfait collabo.)
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Jean-Louis Trintignant est un fou de poésie, il ne cesse d'en lire, d'en réciter à ceux qui l'entourent.Pour nous fairev partager sa passion, il a choisi trois poêtes du XXième siècle, trois hommes épris de liberté comme lui .
Trintignant alterne les textes poignants ou drolissimes, il ne les dit pas, il les vit. (propos de Gabor Rassov). - Il est accompagné dans sa balade poétique par Daniel Mille;accordéoniste de jazz, compositeur et interprète. Et Grégoire Korniluk au violoncelle, ce dernier s'est produit en soliste dans le nombreux concerts en France et en Europe . _ Ils étaient quatre qui n'avaient plus de tête Quatre a qui l'on avait coupé le cou On les appelait les quatre sans cou .... - La vie est belle Je me tue à vous le dire . dit la fleur Et elle meurt . - Je voudrais pas crever Avant d'avoir connu Les chiens noirs du Mexique Qui dorment sans rêver ..... _ Saurez vour me donner le nom des auteurs de ces trois "petits bouts" de poèmes .... |
L'ayant là, sous la main,il m'aurait été difficile de te le montrer de chez moi ..Voici le porte boucles d'oreilles que j'avais fait il y a quelques temps pour ma fille .
- Un cadre avec un petit grillage . Détail du grillage ..
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Pour les tricoteuses ////
www.unepelotedeuxaiguilles.fr ![]() - Le blog de cocolaine . |
Dans ce récit tendre et drôle à la fois, Hanan el-Cheikh rapporte avec une scrupuleuse fidélité les confessions de sa mère analphabète, Kamleh, née au début des années 1930 dans une famille chiite extrêmement pauvre, au Sud-Liban. Après la mort prématurée de sa grande soeur, Kamleh est promise à son beau-frère alors qu'elle n'a que onze ans. Dans le quartier populaire de Beyrouth où elle s'installe avec la famille de son futur mari, elle est placée comme apprentie chez une couturière et tombe amoureuse du cousin de cette dernière, Mohamed, un jeune lettré féru de poésie. Forcée à quatorze ans de se marier avec son fiancé, Kamleh a une fille l'année suivante, puis une seconde, Hanan, trois ans plus tard. mais reste follement éprise du beau Mohamed. Elle échange avec lui des lettres enflammées qu'elle se fait écrire et lire par ses amies, s'identifie aux héroïnes du cinéma égyptien, se grise des paroles ardentes des chansons à la mode. Elle va surtout, bravant tous les usages, tenter d'obtenir le divorce, au risque d'être séparée de ses filles... Portrait finement dessiné d'une femme du peuple, rusée, truculente, enjouée, ce récit a été salué à sa parution, en arabe puis en anglais, par une presse unanime. |