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du village
DAMGAN

DAMGAN

Entre ciel et terre

 


Les collectivités locales (30 communes, 5 communautés de communes et d’agglomération, le département du Morbihan et la Région Bretagne, maître d’ouvrage)  ont approuvé cette première charte de Parc naturel régional en délibérant en ce début d’année 2014 pour une durée de douze ans. Elle a été adoptée par décret lançant ainsi le 50ème parc.


Régalez-vous

 30/07/2014
Penerf berceau de l'huitre

Damgan est le paradis des amateurs de coquillages.  crevettes, huîtres, bigorneaux et bulots, praires, palourdes, crabes et tourteaux, araignées de mer,  langoustes et homards, toutes les variétés de mollusques et de crustacés sont présentes.

 

Penerf est le berceau, les huîtres occupent une place privilégiée.Elles se dégustent toute l’année au restaurant ou chez les ostréiculteurs. Finement iodées, natures ou relevées d’un filet de citron..

 

La mer nous offre sur un plateau un bouquet de fraîcheur, un subtil mélange de saveurs marines, un véritable festin.




Régalez-vous

 30/07/2014
Si au pays des pêcheurs le Bar est roi, il l'est aussi au pays des gastronomes.

 

Bars de ligne Bars de ligne ou Bars sauvages
  

Sa robe argentée et ses larges écailles brillantes illuminent les étals, sa chair fine et goûteuse enchante nos papilles. 

Le Bar est représenté par deux espèces proches l'une de l'autre, le Bar commun et le Bar tâcheté que l’on ne trouve qu'assez rarement sur nos côtes. Il se retrouve sous le nom de "Loup" sur les côtes méditerranéennes et "Loubine" sur les côtes atlantiques.

Le Bar commun se reconnaît à son corps fusiforme, ses deux nageoires dorsales séparées et ses opercules protégeant ses branchies. De couleur argentée, il possède de larges écailles brillantes, mesure en général de 40 à 70 cm mais peut exceptionnellement atteindre les 100 cm.

Le nom Bar vient du germanique « bars » ce qui veut dire pointe, en référence aux dangereuses épines dorsales de ce poisson. Il se retrouve sous le nom de "Loup" sur les côtes méditerranéennes en raison de sa voracité que les anciens ont rapproché de celle (supposée) du loup et "Loubine" sur les côtes atlantiques.

Le Bar ou Loup est en effet un poisson de mer au comportement chasseur. Il se nourrit de crevettes, crabes, vers, calmars, seiches, sardines, anchois, gobies, lançons, chinchards… en général beaucoup de petits crustacés et de vifs. Les Bars dépassant 50 cm prennent moins de proies, mais plus grosses.

 

Comment le consommer, le cuisiner ?

Il faut compter environ 1 kg de bar pour 4 personnes. Classiquement grillé au four, le bar peut être préparé cru, en croûte de sel, poché, braisé ou encore poêlé.

Bar en croûte de sel de Guérande

Nombre de personne : 4
Temps de cuisson : 45min


Ingrédients
- 1 bar d'1,2Kg
- 1,5 kg de gros sel gris de Guérande
 - 12 pommes de terre "de Noirmoutier"
 - 3 blancs d'œufs
 - Thym, romarin, fenouil, estragon
 - Poivre aux cinq baies
- 6 échalotes grises
- ½ verre "de muscadet"
- ½ verre de vinaigre de cidre
 - 300g de beurre demi-sel
- Sel moulu aux algues de Guérande
 - Poivre du moulin


Préparation

 Vider le bar sans l'écailler.

 Préchauffer le four à 210°C (Th.7).

 Remplir le ventre du bar avec les herbes (thym, romarin, fenouil, estragon) et quelques grains de poivre.

 Mélanger le gros sel gris de Guérande Le Guérandais avec les blancs d'œufs et verser la moitié de cette préparation dans un plat à four.

 Placer le poisson sur le lit de gros sel et le recouvrir du reste du mélange sur une épaisseur d'un demi centimètre.

 Enfourner pendant 45mn.

 Dans une cocotte avec un couvercle, mettre les pommes de terre préalablement lavées. Ajouter une pincée de gros sel de Guérande  et deux branches de thym et de romarin. Cuire à feu doux pendant 30mn.

 Entre temps, préparer la sauce : peler et émincer les échalotes. Les mettre dans une casserole à fond épais avec le vinaigre et le vin et faire réduire aux deux tiers. Sur feu très doux, tout en fouettant, incorporer progressivement le beurre froid coupé en parcelles pour obtenir une sauce crémeuse (attention à ne pas la faire bouillir). Assaisonner de sel moulu aux algues et de poivre.

 Sortir le bar du four et laisser reposer une quinzaine de minutes. Présenter le plat à vos invités et découper la croûte à table.

 La croûte doit se briser nette avec un couteau.

 Prélever les filets. Les servir accompagnés du beurre blanc et des pommes de terre




Pêche en mer

 30/07/2014

Bonjour,

 

je recherche une personne ayant  un bateau pêche promenade pour des sorties pêche en mer (Penerf) qui souhaiterai avoir un coéquipier,  Je participerai aux frais a négocier caisse de bord.

 

merci de me "contacter l'auteur" du blog




mes selections

 30/07/2014
 
Pour vos lectures de vacances, je vous suggère d'abandonner les grands axes de la littérature pour des sentiers moins fréquentés. Découvrez des auteurs qui valent le détour. 

de Bouzard Yvon

 

Le banc du Govet (19 février 2008)

 

Brunette  (10 Juin 2010)

 

L'enfant du pont saint sauveur (22 Juin 2012)

 
Basile : le bossu du treutan (01 Février 2014)

 




 

 

Foires, salons / Acheter, chiner

Damgan. Dimanche 10 août Maison de l’huître Port de Pénerf

Ce onzième Salon a désormais sa place parmi les manifestations littéraires de Bretagne, il accueille cinquante auteurs régionaux parmi lesquels des habitués et des nouveaux, tous genres littéraires confondus. Les participants auront cette année encore accès au salon de thé des écrivains.

Tarif : Gratuit.




La rivière de Penerf

 30/07/2014

Au 16 e siècle, le port de Pénerf à Damgan est le quatrième port breton ! La Tour des Anglais en est un vestige. Pénerf est aujourd'hui un joli petit port bordé par l'océan Atlantique et par l'embouchure d'une ria en forme d'étoile à trois branches alimentées par les rivières de Sarzeau, de l'Epinay et de Pénerf.

Là, est produite une huître réputée, la Pénerfine : c'est en 1848 que le premier parc à huîtres aurait été implanté. La Route de l'huître vaut le détour. À voir aussi : l'église Saint-Pierre, le patron des pêcheurs, la Maison des douanes, la réserve d'oiseaux des marais salants...




Sur un plateau

 30/07/2014







Si c’est une passion ? Oui évidemment. J’ai débuté, à l’âge de 14 ans dans une école à Paris pour apprendre le dessin publicitaire.

Je me suis mis à la peinture à l’huile depuis près de 40 ans mais je n’ai jamais eu la prétention d’être un « peintre », je me considère comme « un amateur » en quête perpétuelle de perfection. Je prends la peinture au sérieux, ça m’amuse et ça me plaît. Je le fais pour me détendre, pour faire le vide, pour m’évader, puis dès que je pose le pinceau, le cours de la vie reprend le dessus.

Mon atelier, c’est « mon » endroit, le cœur de ma maison, là où je travaille, là où je me réalise, là où je me ressource, là où je m’isole, là où j’aime recevoir mes amis… L’endroit où je matérialise tout ce qui se passe dans mon cerveau.

J’écoute beaucoup de musiques différentes, pour me concentrer, avant de passer à l’acte. Je fais une esquisse préalable avant de travailler la toile qui se construit au fil de mon de pinceau. La magie de la peinture est pour moi dans l’improvisation. Une sorte de hasard maîtrisé je dirais. Je choisi, mélange et pose les touches de couleurs une à une et l’image s’organise. Il m’arrive de ne pas me donner à ce loisir plusieurs jours de suite, car pris par le travail, le quotidien ou tout simplement parce que l’envie n’est pas là …

Oh là ! Je ne vais pas tout vous dire ; après, c'est mon jardin secret !




Survol

 10/01/2012

L'hypothèse la plus vraisemblable est que ce nom est formé de la préposition composée dam, « sur, à l'entour de », du celtique do-ami, et de kan « chenal », soit « le lieu sur le chenal », par opposition à Ambon qui signifie « le lieu sur le marais».

L'hypothèse traditionnelle qui y reconnaît Domnus Johannes, « Saint-Jean » est gratuite et contrevient aux lois de la toponymie comme de la linguistique bretonnes.

Damgan est mentionné pour la première fois avec Kervoyal et Pénerf dans un acte de 1261. Il s'agit d'une donation par Barthélémy de Questembert à l'abbaye de Prières.

Du XVème au XVIIIème siècle, les marins de la rivière de Pénerf étaient spécialisés dans le commerce. Au cours du XVIème siècle, Pénerf est le quatrième port breton avec un trafic de vin, de blé et de sel. Le XVIIIème siècle est celui des salines qui disparaîtront de la rivière au début du XXème siècle.

Damgan est érigé en commune en 1820. En effet en 1820, Damgan, Kervoyal et Pénerf se détachent de Ambon pour créer la nouvelle paroisse de Damgan.

 

Note : Damgan a été distrait d'Ambon le 26 janvier 1820, pour constituer une paroisse et puis une commune. Ce territoire, formé de la pointe sud-ouest d'Ambon, est resserré entre la rivière de Pénerf et l'Océan, et borné au nord par une ligne conventionnelle qui passe en deça de Rose, de Kerlescoet et de Tréhervé. Sa superficie est de 1005 hectares, bien cultivés mais aussi très subdivisés. En 1891, sa population est de 1303 habitants. La position de Pénerf est si avantageuse, qu'elle fixa, dit-on, l'attention des ingénieurs de la compagnie des Indes, et que peu s'en fallut qu'elle n'obtint la préférence pour l'établissement de ses magasins. Naguères son commerce était florissant, et on exportait des grains et des sels jusqu'en Suède et en Norvège. Mais les chemins de fer, ici comme ailleurs, ont tué le cabotage, et les marins de Pénerf, jadis à l'aise, végètent à la fin du XIXème siècle sur leur presqu'île, et n'ont guère pour vivre que la pêche et la drague des huîtres (Joseph-Marie Le Mené - 1891).



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