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Le Clos Sant Jaume

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Aujourd'hui je suis dans la démarche de réduire mon empreinte écologique sur la planète et bien sur à mon petit niveau , j'ai décidé de consommer autrement.

J'ai commencé par changer mes produits ménagers, je n'achète plus de produits industriels du commerce. Adieu Mr ..... et toi qui lave plus blanc que blanc, bonjour vinaigre blanc, bicarbonate, acide citrique, savon noir..... Je suis devenue apprentie chimiste, la pro des tambouilles fait maison pour le ménage.

  

Poudre pour le lave-vaisselle:

  

Ingrédients:

 

-120 gr de sel fin

 

-120 gr de bicarbonate

 

-120 gr d'acide citrique 

 

Mettre tous les ingrédients dans un saladier et mélanger à l'aide d'une cuillère en bois.

 

Laisser poser toute une nuit.

 

Pendant ce temps de pose, une réaction chimique se sera produite. Une croûte se sera installer sur le dessus de la préparation. il suffit de la rompre et de mélanger à nouveau les ingrédients.

 

Puis verser la poudre dans un contenant en verre.

 

Attention:

 

Selon le taux de calcaire contenue dans l'eau cette dernière n'est pas forcément efficace pour tout le monde.

 

En ce qui me concerne le taux de calcaire contenu dans l'eau potable de ma ville est dans la norme.

 

 

Voici ma préparation que j'utilise pour l'instant, d'ailleurs on trouve de nonbreuses recettes sur le web et je vous invite à les consulter.

 




Bonne année !!!

 08/01/2018



 

Le 25 mai j'ai fait une rencontre dans mon potager, que je ne n'oublierai pas de sitôt .

Depuis quelque temps, mes fraisiers étaient victimes, des oiseaux qui les trouvés fort à leur goût, je les avais protégé à l'aide d'un filet afin de pouvoir en récolter quelques unes.

Ce samedi là, j'avais entrepris de nettoyer le coin où se trouvait les fraises car les herbes avaient un peu trop envahi l'espace. Ma petite faucille à la main je commençais à dégager l'endroit, de ma main gauche et je saisissait une touffe d'herbe et de l'autre je coupais. Et c'est là que faisant suite à mon action, un sifflement se fit entendre, mon sang ne fit qu'un tour, tous les poils de mon corps s'étant hérissé, je reculais vivement. À ma grande stupeur je vis deux serpents emmêlé dans le filet des fraises, l'un de, rescapé crachant et sifflant, pas du content du sors que je leur avais réservé. C'est là que j’ai réalisé que si ma poignée d’Herbes, je l'avais saisi plus bas,  j’aurais pris à pleine main les 2 couleuvres qui s'étaient emmêlées dans le filet. Aujourd'hui, j'en éprouve encore des frissons rien que d’écrire mon récit.



Ce fut une grande épreuve pour moi de la libérer.


Ce sont des petits passages que je vous montre, je vous fais grâce des ha !!! ho!!! hi !! des mamans !!! et j'en passe. Le calvaire a duré environ demi-heure autant pour elle que pour moi.


Ces couleuvres sont de couleuvres de Montpellier que l'on rencontre dans le bassin Méditérranéen. Elles peuvent mesurer jusqu'à 2m50. Ce spécimen que j'ai libéré faisait bien 1m40.
Elles pondent de 4 à 14 oeufs par an. 
Elles font parties comme au même titre que les hérissons des animaux utiles au jardin. Elles se nourrissent de rongeurs en tout genre tel que souris et rats des champs, petis passereaux et parfois elles consomment également leurs congénères. 
C'est pour cela que j'ai pris sur moi, pour la libérer.

J'ai pris la peine d'enfiler des gants car elle a essayé plusieurs fois de me mordre.
Même si elles ne possèdent pas de crochets comme la majorité de leurs semblables, elles ont au fond de leur machoire un appareil venimeux qui peut occasionner des désagréments. Douleurs, oedèmes sans gravité mais qui mettront quelques jours à disparaitre.







En regardant les multiples vidéos sur le net, ainsi que les reportages à la télé où sur des magasines,j'ai pris conscience que si nous ne faisions rien pour notre chère planète, nous irons vers un point de non retour concernant sa sauvegarde. Nos petits enfants nous en voudront de n'avoir rien essayer de tenter pour notre belle terre nourricière.

Voir ce huitième continent de plastique se déplacer au grès des courants marin, et découvrir régulièrement des photos ou des reportages d'animaux victimes de ce plastique, m'a ouvert les yeux et j’ai pris conscience que je devez changer ma façon de consommer.

Vous me direz difficile même très difficile dans une société qui a érigé des temples dédié à la consommation, où le toujours plus est de mise.
Avoir le dernier objet à la mode c'est top, quitte à manger des pâtes tous les jours et sans beurre qui plus est. C'est trop important le dernier téléphone à plus de mille euros, c’est moi qu'il est.
Et le top du top c'est de le changer dés que le petit dernier arrive sur le marché, alors que celui que vous avez fonctionne très bien.
En ce qui me concerne j'ai un téléphone portable basique qui me va très bien.

Cela en devient affligeant.
Nous sommes en période de fêtes et du lundi au dimanche, la plus par de nos concitoyens passent leurs temps dans les magasins.

Je me suis demandée si je ne pouvais pas changer et bien-sûr aller à contre courant sans pour cela retourner au moyen âge et continuer à vivre une vie heureuse.
Alors au quotidien c'est parfois compliqué d'avoir moins de plastiques dans sa poubelle car tout est parfois sur emballer.

Je suis arrivée à baisser le contenu de ma poubelle en achetant une bonne partie de mon épicerie en vrac et en m'efforçant de cuisiner le plus souvent et en évitant les produits transformés de la grande distribution.
Du coup je m'évite aussi l'absorption de tout ces E machin chose, dangereux pour la santé en particulier le E330.
Ne pouvant tout faire pousser dans mon potager, j'achète aussi à des producteurs locaux.
Cela serait dommage de ne pas en profiter lorsqu'on habite le deuxième département producteur de fruits et légumes bio de France.

Je composte aussi une bonne partie de mes déchets qui finissent dans mon potager afin de nourrir mes futurs légumes de ce fait la boucle est bouclée.

Acheter local, c’est aussi une démarche qui va permettre à un paysan de vivre de son labeur.
Ici le mot paysan n'a rien de péjoratif.
Je parle de celui qui cultive une terre qu'il aime, qui va s’employer au quotidien à la préserver.
Je ne parle pas des fermes industrialisées où le tracteur que l'on conduit possède un joystick en guise de volant, de ses exploitations en mono cultures sur plusieurs hectares.
Pas de la ferme aux milles vaches, n'y de celle qui élève ses animaux à la chaîne qui ne connaîtront jamais la lumière du jour et les verts pâturages.

Je vous parle du petit éleveur, du petit cultivateur, qui va au quotidien œuvrer afin que ces produits est du goût, pour avoir des légumes dignes de se nom.
Et non des légume sans goût, gorgés d'eau, qui se conservent très mal au réfrigérateur et finalement avec très peu d'apport nutritifs.

Je devine que certains lecteurs vont penser , « allez encore une adepte du bio ».
En effet je préfère manger une vrai tomate qui a du goût, qu'une copie gorgée d'eau et de produits chimiques sans goûts.
Le bio ça sert à rien , l'air que l'ont respire est pollué donc par répercussion les légumes, le sont aussi. Même si ces dernier n'ont pas été aspergé de produits chimique. Ces paroles me sont souvent renvoyées.
Les détracteurs ont souvent pour moi des discours désarmant.
Ils pensent qu'il n'y a plus rien à faire, moi j'y crois encore et plein d'autres comme moi pense que nous pouvons grâce à cet amorce de chargement de consommation inversé l'inéluctable ou du moins le ralentir.

Pierre Rhabi, paysan, philosophe et grand humaniste aime à raconter une légende amérindienne en guise de réponses aux pessimistes.

 

La voici :
Un jour la forêt été en feu, les animaux apeurés, s'étant réfugiés sur les berges opposées du fleuves Amazone, regardaient leur habitat partir en fumée. Un petit colibris allait et venait, remplissant son bec d'eau pour allez la verser sur les flammes. Le tatou étonné lui dit «Que fais-tu colibris, cela ne sert à rien. » Le colibris se retourne et regarde son ami et lui réponds tout simplement « je fais ma part ».

Et bien moi aussi je fais ma part tout simplement.




Couronne de Noël.

 09/12/2017
Sans dépenser un argent fou, ont peut réaliser de sympathique décoration pour les fêtes. Il m'aura fallu un bon sécateur, une couronne de paille achetée chez Jardiland pour 1€29, de la ficelle, des marrons, des pommes de pins, et des petits trésors trouvés dans une boîte.


Les branches que j'ai utilisé son issus d'un cèdre que j'ai dans le jardin.


He! la voilà terminée, accrochée à la balustrade de mon escalier.



Le grand retour.

 07/12/2017

Après avoir affronté la maladie, et ayant retrouvé l'envie de partager avec les autres, j'ai décidé de revenir sur le blog et de reprendre les publications sur ce qui continu toujours à me passionner le jardinage, la nature, le bricolage et la cuisine.

Un jour je vous parlerez aussi de celle qui est rentrée dans ma vie sans que je l'invite et qui a décidé de squatter mon corps, la spondylarthrite ankilosante et sa pote la fibromyalgie.

Certains seront peut-être étonnés que je pratique encore l'activité de jardinage, certes j’ai changé et je me compare à un caméléon, toujours entrain de s'adapter à l'environnement, à la situation du moment. J'adapte mes activités en fonction de ma forme physique du jour.
Certaines activités je ne les fait plus seule, parfois accompagné et même il m'arrive de regarder les autres faire car je n’en suis plus capable.
C'est au cœur de la nature que je trouve la force de me ressourcer et d'avancer.

 

 A bientôt. 

 




Mes bébés !!!

 09/05/2015
Laitues.


Basilic petites feuilles.


Basilic grandes feuilles


Abrités du soleil à l'aide de canisses car cela "commence à cogner" comme ont dit chez nous.



Bruant Jaune.
Le mâle est plus coloré que la femelle et là pour moi c'est un mâle. Ils aiment les petites graines des mélanges et le tournesol. C'est ce qui se trouve dans la mangeoire. Il fabrique son nid à l'aide de brins d'herbes, cachée au sol dans la végétation dense au pied d'un buisson d'un arbre , d'un muret ou une haie.


Mésange bleue.
Après avoir regardé les photos prises, je pense que c'est un mâle car le bandeau sur l'oeil est noir, pour la femelle il est bleu foncé. La mésange bleue est une partenaire indispensable dans le jardin. Elle apprécie les graines de tournesol, les boules de graisse et les cacahuètes. Ici elles sont entrain de terminer les dernières cacahuètes qu'il me reste en stock. Pour les nichoirs prévoir un trou d'envol adapté de 28 à 30 mm.



Les fleurs semaine 19

 08/05/2015
Je vous les présente plus, les iris !!!






Rose "Pierre de Ronsard" trés parfumée.


Oeillet mignardise.


Les sauvages !!!
Le chardon de Marie. 


Le coquelicot et compagnie




La phacélie et ses copines







Taboulé de lentilles

 29/04/2015
Ingrédients:
-200gr de lentilles 
-1 tomate
-1 poivron
-3 échalottes
-6 cuillères à soupes d'huiles d'olive
-3 cuillère à soupe de tamari (sauce soja)
-Du persil
-De la coriandre.

j'ai fait tremper mes lentilles 2hrs puis je les ais cuites 15 mns dans la soupière du vitaliseur en mettant autant d'eau que de lentilles. J'ai déposé la soupière sur le vitaliseur dont l'eau bouillée pour la cuisson.
Pendant ce temps j'ai coupé ma tomate et mon poivron en petits dés. J'ai émincé mes échalotes et j'ai haché mon persil et de la coriandre.
J'ai mélangé tous les ingrédients ainsi que les lentilles refroidies après leur cuisson. 
Un vrai régal. 



Voici la première recette que j'ai réalisé à l'aide du vitaliseur, en sachant que ceux et celles qui n'ont pas de problème avec le gluten doivent pouvoir l'adapter avec de la farine normale. A essayer. 
Pour les ingrédients il faut:
-300 gr de courgettes coupées en petits morceaux
-2 oignons tendres coupés en petits morceaux (touche personnelle)
-100 gr de thon en boîte à l'eau.
-200 gr de farine de riz
-1 sachet de poudre à lever sans gluten
-4 Oeufs en direct du poullailler familial
-125 ml de lait de soja
-40 ml d'huile d'olive
-sel et poivre

 


Pendant que l'eau chauffe dans le vitaliseur, préparez vos courgettes et vos oignons. Les coupez en petits morceaux. Dés que l'eau bout dans le vitaliseur mettre les courgettes à cuire dans le panier pendant 10 mns.
Pendant ce temps, préparez la pâte.
Dans un saladier mettre la farine et la poudre à lever, creusez un puit et y déposer les 4 oeufs. Mélangez et rajoutez le lait afin d'obtenir une pâte lisse sans grumeaux.


Rajoutez les oignons.


Puis le thon.


Et enfin les courgettes cuites et remuez afin de mélanger tous les ingrédients.


Huilez le moule et le fariner.


Le déposer dans le vitaliseur et faire cuire pendant 45 mns à la vapeur. A la fin de la cuisson vérifiez avec un couteau. 
Il doit resortir du cake sans dépot de pâte sur la lame. 


Le laisser refroidir ou tièdir, c'est une question de goût.

Pour l'aspect cela à dérouter le restant de la famille, ils ont tous penser que cela n'été pas cuit. Ceux que cela pourrait géner, je pense que l'on peut le faire cuire aussi dans un four traditionnel à 150°.

Moi j'ai attendu qu'il refroidisse et j'ai coupé une tranche et je l'ai accompagné de haricots plats cuit bien sûr dans le vitaliseur assaisonés d'huile d'olive et colza, parsemé de ciboulette et d'un mélange de poivre moulu.
                                    Bon appêtit. 



Je viens d'acheter cet appareil de cuisson après un long moment de réflection car bien sûr il a un coût certains, mais la santé n'a pas de pris et je l'ai appris à mes dépends, il y a plusieurs mois maintenant.
C'est après avoir lu le livre du professeur, Henri Joyeux cancérologue à Montpellier ''Changer d'alimentation'' (7ième édition) que j'ai pensé que cela serait judicieux d'appliquer les conseils du professeur concernant mon problème de santé actuel.
Donc je vous présente l'appareil. 


Il se présente en trois morceaux;
- une marmite
-une soupière avec couvercle
-le cuit vapeur dont le panier est persé avec des trous calibrés à une certaine dimension qui permette de réussir à coup sûr une cuisson douce à moins de 95°. Au delà les nutriments tels que vitamines et oligo-éléments sont détruits.
La cocotte minutes reste maintenant dans les placards.
j'ai trouvé aussi dans le colis un moule à gâteaux dont les parois du coté se démonte et remonte facilement, cela permet un démoulage pratique.
Le vitaliseur été accompagné d'un livre de cuisine sans gluten offert et cela tombe bien puisque je dois manger sans gluten et sans laîtage maintenant.
J'évoquerai dans un prochain article, le pourquoi, du comment, de la chose.


Le principe de cet appareil est de cuire vos aliments à  l'aide de la vapeur douce. Du coup aucune nuisances aux niveaux des vitamines et des oligo-éléments lors de la cuisson qui s'avère être douce. Aucune pertes. Ce qui m'a frappé les premières fois c'est la vitesse de cuisson qui est courte. Et aussi la belle couleur que garde les lègumes après cette dernière ainsi que leurs goûts délicieux. La marmite s'adapte à tous les feux, gaz, induction , vitrocéramique... Il est facile d'entretien. On peut y faire cuire les légumineuses (haricots secs, pois chiches...) le riz, graines de quinoa, boulgour.... ces derniers sont cuits à l'aide de la soupière. On peut faire cuire de la pâtisserie aussi. C'est un appareil complet. Je ne regrette pas du tout mon achat. Je peux dire même que je suis ravie. 



Cette semaine qui vient de se terminer, a été dans l'ensemble ensolleillé, donc j'en ai profité pour faire de jolies photos dans le jardin. Malheureusement ce week-end a été plutôt pluvieux.
Les voici.




Les iris, une fleur que j'affectionne particulièrement mais à mon grand regret trop éphémère.


La phacélie ou phacéliata nacetifolia est originaire du Mexique  où du sud des Etats-Unis. Elle est utilisée comme engrais vert au jardin potager. Elle est généralement coupée avant la floraison et enfuie dans le sol pour fertiliser la terre. Moi j'ai préféré les laisser fleurir pour la raison suivante. Ces fleurs attirent de nombreux insectes tel ques les syrphes qui se nourissent de larves selon les insectes ou des pucerons. Les carabes, les bombyles, sont eux aussi de grands insectivores efficaces dans la lutte biologique dans nos jardins. Elle s'avère être une excellente plante mélifère pour nos amis les abeilles domestiques ainsi que les bourdons et autres abeilles sauvages.


La consoude, ma grande amie, On peut la rencontrer dans la nature à l'état sauvage mais aussi dans nos jardins puisqu'elle s'y implante facilement et en devient parfois envahissante si on ne l'a contrôle pas. C'est une plante riche en potasse, excellente pour les pommes de terre et les tomates. je l'utilise sous forme de décoction dans mon jardin, elle est un engrais naturel et écologique. Dans un prochain article je vous montrerai en images comment réaliser ce ''purin'' riche en  calcium, en fer, en magnésium, en cuivre, en potassium... etc.


L'absinthe je l'utilise au pied des fruitiers tel que les pommiers souvent envahis par les pucerons. Du coup ces derniers restent sur le pied d'absinthe et ne s'occupent pas du fruitiers, du coup pas de pulvérisations d'insecticides.


Le citronnier prépare ses nouveaux fruits.


Et enfin pour finir mes meilleures alliées au jardin les abeilles, içi profitant encore des fleurs de l'arbre de Judée en début de semaine qui malheureusement sont entrain de fanées maintenant.

A bientôt. 



Le retour.

 19/04/2015
Après une très très très longue absence, je reviens, avec une approche différente des travaux de jardinage, beaucoup de choses ont changé dans ma vie de tous les jours. Alors c'est avec beaucoup de plaisir que je retrouve ces pages web que je compte remplir un peu chaque jour au fur et à mesure de mes envies et de mon temps libre.

A bientôt. 



Cet automne, je vous avais parlé de mon intention d’appliquer la méthode de Jardinage sans travail de sol, de Dominique Soltner. Après avoir préparé le terrain, j'ai semé et planté.



Je tiens à préciser que je n'ai fait aucun apport d'engrais sur cette petite parcelle. Elle a été recouverte d'une bonne couche de feuilles ( mûrier platane) et branchages de faible dimensions, puis d'une bonne couche de foin.
Les vers de terre et les insectes du sol ont travaillés pour moi en ingérant les feuilles et ont enrichis la terre. Aujourd'hui j'ai fini de récolter mes pommes de terre dans cette parcelle et voilà le résultat:


J'avais déjà récolté une partie de la parcelle et là il me restait deux rangs de 2.50m à ramasser. Les pommes de terre  sont assez belles, variétés Monalisa.

Côté positif aucun motoculteur employé, le sol était suffisamment meuble pour mettre les plants en place. Les lombrics avaient bien travaillé la terre. J'ai écarté le foin afin de  planter les plants puis buttage après leur sortie. Puis j'ai laissé faire la nature.
Autre point positif, pratiquement pas de désherbage a été fait. Très peu d'herbes a réussi à pousser au travers de l'épais couvert de foin et de feuilles.

Un petit point négatif, le fait qu'il est plu beaucoup cette année et bien la limace est devenue persona ingrata au jardin. Quelques pommes de terres ont été squatté. Mais enfin pas de grosses pertes. Sur une autre parcelle j'ai mis en place un piège à bière ce qui m'a permis de les éliminer


En conclusion méthode adoptée, le motoculteur est définitivement rangé, il n'a plus sa place dans mon jardin. Une petite économie et un geste pour la planète, rien que du positif.
Finis le mal de dos et les bras de Popeye, et bonjour le doux gazouillis des oiseaux habitant le jardin et adieux le bruit vrombissant et pétaradant du pot d'échapement du petit motoculteur.
Je n'oublis pas quand son temps, il m'a aidé vaillamment. Mais c'était avant.....



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