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les aventures de petrus

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un chat-pitre nommé Petrus

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Petrus chat persan roux ne fait que des bêtises, il a trois copains Uranie Lapsa Apso, Volga bouvier bernois.. et tzarine chatte persanne .
Je suis un chat-cabot et j'adore les commentaires -

Textes - sous copyrigth -
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Petrus

 29/04/2008
Bonjour,

J'aime beaucoup la nature et je suis un gros gourmand donc je vais visiter souvent les blogs
Je viendrai vous conter mes histoires au moins deux fois par semaine.
Je suis un chat-cabot et  de ce fait j'apprécie énormément vos coucous et vos commentaires.
A bientôt Petrus



ha le Cantal

 29/04/2008
Un séjour idyllique
Je vous mets une photo d'un merveilleux site où ma maîtresse a fait un séjour une chambre d'hôte La Roussière à Saint Vincent
Accueil chaleureux, cadre exceptionnel et calme garanti.
Elle vous racontera bientôt son voyage en détail
En attendant fermer les yeux et entrer dans cette maison aux douceurs d'Auvergne.

le lien ne fonctionne pas bien mais en recherchant La Roussière chambre d'hôte vous le trouverez facilement


Guilhaume le filleul de ma maîtresse est venu à la maison avec une espèce de grande planche sous laquelle étaient attachées quatre roues motrices.

Guilhaume le filleul de ma maîtresse est venu à la maison avec une espèce de grande planche sous laquelle étaient attachées quatre roues motrices.

Il est tout fier de montrer à Jaldane comment il roule à toute vitesse avec cet engin. Jaldane a conseillé à Guilhaume de mettre son casque, ses protections de coudes et de genoux.

Après avoir fait quelques belles démonstrations, Guilhaume laisse son skate dans la cour, le temps de venir manger une bonne tartine de beurre et boire son chocolat chaud.

Il a laissé la porte du jardin ouvert et j’en profite pour aller voir cet engin de plus près.

J’ai vu comment, il faisait, il posait une jambe à terre et pousse, puis monte sur l’engin et en avant, il roule.

Je me dis que se serait bien pour moi, car je n’aime pas courir et ma maîtresse m’appelle toujours « deux de tension » ou gros balourd. Je vais l’épater, si je fais du skate board, comme cela j’irai beaucoup plus vite et elle ne pourra plus rien me dire.

Je mets une patte sur la planche et avance, hou la la, j’ai dérapé et je me suis cogné le nez sur le sol, bon pas de découragement, je recommence, une fois, deux fois, trois fois, cà y est j’ai attrapé le coup, et j’ai réussi à mettre les trois autres pattes sur la planche. Youpi je roule, je vais vite, mais qu’est ce qui se passe, je vais de plus en plus vite, ha oui, j’avais oublié que le chemin descend en pente très raide Oh la, la, cela va de plus en plus vite, au secours, je ne peux pas descendre de cet engin de malheur.

L’engin a pris une grande vitesse et je vois arriver avec effarement la route en bas ou il y a toutes les poubelles. J’essaie bien de freiner, mais rien n’y fait, je roule de plus en plus vite. J’entends derrière moi, Guilhaume qui crie « Petrus, reviens ici », (facile à dire moi, je voudrais bien, mais je peux pas, viens plutôt me chercher au lieu de crier, Guilhaume).

Guilhaume se met à courir derrière moi, mais trop tard, cà y est j’ai fait un vol plané dans les poubelles qui se sont renversées sur moi. J’ai reçu une avalanche de détritus. Le comble, Guilhaume est arrivé, mais non pas, pour me ramasser et me demander si je m’étais fait mal, non il est venu voir SI SA PLANCHE NE S’ETAIT PAS FAIT MAL ;

Moi, il a fallu que je remonte à pattes jusqu’à la maison. Ma maîtresse m’attendait de pied ferme, et tout ce que j’ai gagné, vous avez devinez UNE DOUCHE.

En plus, j’ai été très vexé, elle m’a fait voir sur son ordinateur un chien, oui, vous avez bien lu, un chien qui LUI fait très bien du skate board. A vous dégouter de faire des efforts.




PETRUS ARTISTE PEINTRE

 28/04/2008
J'aime bien quand ma maîtresse fait de la peinture sur la soie.

J’aime bien quand ma maîtresse fait de la peinture sur soie. Elle met mon tabouret à côté d’elle et je la regarde peindre sur un grand cadre en bois sur lequel est tendu un morceau de soie blanche punaisée. Aujourd’hui, je suis particulièrement attentif parce qu’elle me peint. Je ne trouve pas cela tellement ressemblant mais j’aime bien quand même.

Elle mélange les couleurs de roux pour faire mon pelage et de beige ainsi qu’un peu de orange pour mes yeux. J’aimerai bien l’aider , mais elle refuse que je m’approche plus de l’ouvrage. Ses fioles de liquide de toutes les couleurs sont à côté de moi, elle verse celles-ci dans de petits gobelets et avec un pinceau elle mélange à sa convenance. Je commence à m’ennuyer, c’est long, en plus je sais qu’elle déteste qu’on s’approche du dessin tant qu’il n’est pas étuvé comme elle dit et gare à celui qui viendrait avec un peu d’eau à côté d’elle, car cela fait d’énormes auréoles et c’est bon à jeter.

Elle pose ses pinceaux car le téléphone a sonné. Je me dis que je vais en profiter pour aller voir de plus près l’œuvre, mais en sautant sur la table celle-ci est posée sur deux tréteaux, elle tremble, oh là là, il ne faudrait pas que je fasse tomber toutes les bouteilles. Je décide de revenir sur mon tabouret en faisant très attention, mais à ce moment là, ma maîtresse rentre et me dit « Petrus descend de là » sur un ton tellement fort que j’ai eu très peur et j’ai dérapé des quatre pattes arrière ce qui a fait tomber évidemment la table, en voulant, éviter la catastrophe, j’ai sauté sur le cadre en bois, les punaises ont sauté sous mon poids et le tout c’est effondré. Ma maîtresse a crié encore plus fort, j’ai de nouveau pataugé dans les liquides qui s’étaient répandus sur le sol, traversé le morceau de toile de soie par terre, je suis arrivé à passer entre les jambes de ma maîtresse et ai filé à toutes pattes sous mon meuble favori.

Je m’attendais à me faire punir ou me faire transformer en pâté depuis si longtemps promis, mais contrairement à mon attente, j’entendis hurler de rire ma maîtresse, je n’en reviens pas, d’habitude pour des petites bêtises, style chasser Tara parce qu’elle est sur mon territoire, elle me gronde fort et là, elle rit.

Je reviens de toutes mes pattes pour voir et ma maîtresse est entrain de repunaiser le morceau de soie, ou j’aperçois que j’avais fait avec mes petites pattes trempées dans toutes les couleurs une superbe barbe sous mon menton. Je n’ai pas trouvé cela drôle du tout, mais elle l’a fait étuvé, encadré et elle montre à ma plus grande honte mes œuvres. La prochaine fois, quand j’aurais des griffes, je ferais un joli trou dedans. !




JE SUIS EN VACANCES

 18/04/2008
Ma maîtresse part pour une semaine en vacances,
ma maîtresse part pour une semaine en vacances, je continuerai mes aventures à partir du 26 avril. A bientôt merci pour ceux qui viennent me lire et mettre des commentaires.


PETRUS CHATON

 17/04/2008



Cette odeur de boite pour chat quand j’étais petit c’était extraordinaire et je n’en laissais jamais une miette


Comme tous les chatons j’étais un petit chat adorable, j’avais de grands yeux orange qui me mangeaient le visage et j’étais une boule de poils soyeuses.

Ma maîtresse a cette époque me nourrissait avec des boîtes pour chat, j’adorais ça et je me pourléchais les babines. Je suis gourmand et ma maîtresse dit que je suis toujours entrain de réclamer à manger.

Cette odeur de boite pour chat quand j’étais petit c’était extraordinaire et je n’en laissais jamais une miette. Aussi, un jour, alors que je m’approchais d’une grande boîte que les humains appellent poubelle, je sentis les effluves de la boite de chat. Ah, je bondis sur la poubelle, mais j’étais un chaton et j’avais beaucoup de mal à sauter à la hauteur du couvercle. Après des efforts surhumains (je devrais dire surchaton) , je réussis à faire tomber la poubelle, la boîte tant convoitée était là à ma portée…. Sans hésitation je m’enfonçais dans les poubelles pour trouver l’objet de mes désirs.

Je mis ma tête dans la boite et comme j’étais petit, tout le corps entra dedans ; mais au moment de ressortir, le couvercle de la boîte me coinça les fesses et impossible de me dégager de la boîte. Je réussis juste à sortir les pattes arrière mais pas moyen de m’extraire. Affolé, je me mis à courir avec la boîte sur la tête et miauler de peur. Au passage, j’ai du prendre une chaise ce qui enfonça encore plus la boîte sur la ma tête.

Ma maîtresse alertée par mes cris voulu m’attraper mais comme je ne voyais rien, je fis un crochet juste à ce moment là, et ma maîtresse me rata. Mon maître se mit à me courir après, au bout d’un bon moment, il réussit à me coincer sous la table. J’étais bien content mais pas pour longtemps. J’entendis ma maîtresse pousser un cri d’horreur et se boucher le nez.

Oh là là dit elle, mais il est couvert d’aliments pour chat, cela sent horriblement mauvais, il est tout gras et tout collant. J’avais l’air d’une toute petite chose qui ne ressemblait à rien, les poils luisants, les moustaches grasses. Elle me pris par la peau du cou et m’emmena pour la première fois dans cette pièce que je déteste appelée - salle de bains - . Moi, j’étais confiant, mais elle me mis dans la baignoire et un liquide tiède me doucha, je me mis à miauler, mais c’est désagréable ce truc, en plus, un autre liquide s’ajouta au premier et ma maîtresse me frotta vigoureusement. Une mousse abondante me recouvrit le corps, j’en avais plein les oreilles et même les yeux. Ce qui me blessait le plus, c’était de voir rire ma maîtresse en disant « franchement ce n’est pas beau un chat mouillé » - ben je voudrais bien la voir moi quand elle se lave les cheveux – Heureusement comme j’étais petit, je n’ai pas eu le droit à l’engin qui miaule comme un chat et qui crache du feu comme un dragon, ma maîtresse m’enveloppa dans une grande serviette moelleuse et me mit dans mon couche couche avec son pull (je ne le quitte plus depuis).

Maintenant elle ne me donne plus de boite pour chat, mais des croquettes, j’aime bien aussi, c’est différent toutefois je garde la nostalgie de ma boite d’aliments pour chat qui sentait bon le pâté et qui me permettait de me pourlécher les babines. Ma maîtresse dit que de toutes façons, vu ma corpulence, , je ne pourrais même pas y rentrer le bout de mon museau.













petrus à l'affiche.

 16/04/2008
Ah bon ? une affiche avec mon nom dessus ? Ils ont imprimé une AFFICHE A MON NOM ?

 

Petrus, Petrus crie la peste d’Uranie t’es où ?

Ben là, ou veux tu que je sois, je suis interdit de séjour dans le jardin, lève la tête je suis sur mon tabouret favori. Que veux-tu ?

Ecoute, j’ai entendu dire par la maîtresse qu’elle avait reçu un affiche de la part de Siam avec ton nom dessus.

Ah bon ? une affiche avec mon nom dessus ? Ils ont imprimé une AFFICHE A MON NOM ?

Il faut croire dit Uranie, peut-être en fait c’est comme dans les Western, en réalité, c’est une affiche WANTED tu es recherché, car tu fais trop de bêtises.

C’est malin, non, non, non, je crois plutôt que je suis devenu célèbre à Bordeaux.

Tu te rends compte Uranie, j’ai mon nom sur une affiche MOI ! Je n’ai pas très bien compris, j’ai vu partir Uranie un peu fâchée, serait elle jalouse, elle aussi ? Bon, je voudrais bien la voir cette affiche, j’espère qu’ils ont mis ma photo.

Mine de rien je m’approche de la maîtresse pour en savoir un peu plus. Elle est devant l’ordinateur avec Rebelle qui lui a transmis une belle image, effectivement on peut lire PETRUS POMEROL. Je ne comprends pas, je ne m’appelle pas Petrus Pomerol moi ! J’essaie de m’approcher un peu plus de l’ordinateur mais en montant sur le bureau, j’ai fait tomber tous les crayons, les papiers, et un livre.

Ma maîtresse m’a dit : Enfin Petrus, tu ne vas pas recommencer ? » Ben non, moi, je veux juste voir l’affiche d’un peu plus près…. !

Elle exagère, je suis célèbre, elle pourrait me traiter mieux. Je ne la quitte pas d’une patte ; le maître arrive et j’entends dire ma maîtresse « Tu sais, Rebelle, m’a envoyé une étiquette du vin Petrus, le fameux pomerol du côté de Bordeaux »

Avant que je n’ai pu exprimer un mot, j’ai vu arriver Uranie comme un diable, morte de rire, ah ah Petrus Pomerol, il s’y croyait, en fait tu me saoûle Petrus avec ton voyage à Bordeaux. Allez viens boire un coup d’eau à ta santé ! Ah celle-là un jour j’en ferais du pâté moi !




Je me prends pour Tarzan mais je ne pousse pas le même cri !


Aux dires de ma maîtresse depuis que je suis revenu de chez Siam, je saute partout.

C’est vrai que l’ivresse des cimes me manque.

Mon maître n’est toujours pas décidé à m’accepter sur le canapé, pourtant je lui faisais des tas de grâces en miaulant gentiment pour qu’il me prenne sur ses genoux à la place de cette peste d’Uranie mais il faisait la sourde oreille j’ai décidé de prendre des mesures, j’ai fait le tour du canapé par derrière, pris mon élan et j’ai sauté sur les épaules de mon maître, alors il a fait quelque chose d’idiot il s’est relevé en hurlant de douleur (il paraît que je lui ai planté ses griffes dans le cou – j’en ai plus – il est plutôt de mauvaise foi) mais le résultat a fait qu’en se relevant brutalement et en agitant très très fort les bras en l’air, j’ai voltigé et ai atterri dans la grande glace derrière le canapé dans bruit épouvantable, heureusement sans me blesser.

La glace est tombée sur le meuble et a cassé un vase qui s’est répandu avec toutes les fleurs. c’était joli les éclats du vase et des roses qui se miroitaient dans les bris de la glace, mais mon esprit artiste n’a pas été apprécié du tout.

Mon maître a pris un torchon et m’a poursuivi dans toute la maison en criant qu’il allait me vendre aux Chinois qui en feraient des sushi (il s’est trompé se sont les Japonais qui font des Sushi) ou bien qu’il allait me mettre à la SPA, enfin qu’il en avait assez de moi.

Il a dit à ma maîtresse « ton chat est une sale bête » et un tas encore de vilaines choses. J’ai réussi à me mettre sous le meuble de la cuisine et là il n’a pas pu m’attraper. Uranie qui par tout ce bruit a eu peur aussi est venue se réfugier avec moi sous le meuble, je lui ai dit je ne comprends pas « on dit que le verre blanc porte bonheur » mais non ma dit cette peste d’Uranie tu as cassé une glace et « c’est sept ans de malheur » Eh bien je n’ai pas fini de courir moi !

En attendant que l’orage passe, je suis resté toute la nuit sous le meuble en compagnie d’Uranie, j’avais trop peur que cette fois-ci mon maître me transforme en pâté. Le lendemain matin, je suis sorti prudemment de mon abri, mon maître m’a fait une caresse en me disant « quand même Petrus tu devrais t’arrêter de te prendre pour Tarzan »…

Oui moi je n’ai pas vu de liane entre ses épaules et la glace, mais enfin s’il le dit….






PETRUS EN VISITE

 13/04/2008
Je ne savais pas .... mais il est dangereux de monter aux arbres

PETRUS EN VISITE

Je suis tout excité ma maîtresse vient de m’informer que je suis invité par Siam le chien de  Sophie une de ces amies. C’est la première fois qu’un chien m’invite et je suis très fier ; d’autant plus qu’elle me dit qu’il est du côté de Bordeaux, je ne connais pas cette ville. Elle m’a dit que mon nom Petrus venait de cette région. Je savais que mon nom était lié à un vin célèbre mais pas qu’il était de la région de Bordeaux.

Le voyage est très très long de Grenoble à Bordeaux et je ne l’ai pas fait que sur les genoux de ma maîtresse parce qu’elle dit que je suis trop lourd (je ne fais que 6 kg, elle exagère). Aussi j’ai été mis dans une espèce de boîte en plastique une partie du voyage. Je n’aime pas les boîtes…. Est ce que les humains voyagent en cage quand ils se déplacent.

Après plusieurs heures de voiture, nous voici arrivés chez Siam. Moi, je croyais que Siam était un petit chien genre bichon ou york, enfin une espèce de truc comme la peste d’Uranie ;

Aussi ma surprise fut grande quand je vis un ENORME CHIEN arrivé sur moi (là j’étais content d’être dans ma boîte). Un gros chien noir et marron (un peu comme Volga, le bouvier bernois) mais celui-là n’avait pas l’air de vouloir jouer.

Je me suis tapi dans le fond de ma cage et je n’en menais pas large. J’ai craché, mis mes oreilles en arrière, levé un peu la patte (oui mais je n’ai plus de griffes).

Ma maîtresse avait beau me dire qu’il était mignon, moi je ne le croyais pas,  non mais quelle idée de me présenter un chien aussi énorme !  Un rotweiller il paraît.

Je fus bien content lorsque ma maîtresse pris la cage et m’emmena loin de lui, mais en fait c’était pour me libérer. Me libérer, elle veut se venger, elle veut me transformer en pâté comme dis mon maître, au secours ! elle veut se débarrasser de moi !

Le Siam en question rentra dans la maison, moi, effrayé, apeuré, je cherchais un coin pour me réfugier, sous un meuble enfin n’importe où pourvu qu’il ne me voit pas.

Siam me dit « n’aie pas peur, je ne veux pas te faire de mal, je suis impressionnant mais pas méchant »

Ah bon avec des crocs comme des dents d’éléphant, tu n’es pas méchant ?

Non me dit Siam, je veux juste faire connaissance et jouer avec toi.

Ah ?! je consentis qu’il me flaire un peu, mais très sur la défensive, mais il est idiot ce chien, il vient de me donner un grand coup de patte soi-disant pour jouer.

Je crache pour lui faire voir que je ne suis pas d’accord et prêt à me défendre.

Siam alors va me chercher sa balle et me la dépose à mes pieds.

Qu’est ce que vous voulez faire dans ces cas là, je fonds et hasarde une patte pour la faire rouler un peu plus loin, Siam l’attrape au vol et me la redépose aux pieds.

Alors vous me croirez si vous voulez mais nous nous sommes amusés comme des fous, je te lance la balle, je la rattrape, je vais la chercher sous les meubles parce que lui, il est trop gros.

Nous nous amusons à tel point, que les maîtres, nous grondent car nous sommes trop turbulents. Il faudrait savoir ce qu’ils veulent ces deux là !.

Nous sommes mis dehors afin de continuer nos ébats, mais là, Siam trouve très amusant de me courir après (cela recommence Volga fait pareil et moi je n’aime pas cela du tout).

Aussi, je monte dans le premier arbre qui me tombe sous les pattes, je grimpe, je grimpe, je grimpe et j’arrive à la cime de l’arbre en narguant Siam en bas qui aboie.

Le problème monter ça va mais descendre c’est autre chose, l’arbre est immense, j’ai le vertige, j’ai peur. Je miaule très fort de peur et de désespoir.

Les maîtres sortent et essaient de m’encourager à descendre de l’arbre.

J’ai P E U R, leurs encouragements ne m’aident pas, venez plutôt me chercher, au lieu de me dire « viens mon Petrus, n’aie pas peur, allez descend ».

Non, je ne descendrai pas.

Le maître va chercher une échelle, mais elle est trop courte.

J’entends en bas un conciliabule

« On ne peut pas le laisser en haut du sapin, il va tomber, en plus il y a du vent. »

Oui, il y a du vent, et j’ai mal au cœur maintenant car la cime se balance dangereusement.

Ils ont appelé les pompiers pour qu’ils amènent la grande échelle.

Cela a fait sensation dans le quartier.

J’ai vu un homme habillé en noir avec un casque.

Mais je ne le connais pas celui-là, mais arrête de me tirer, tu vas me faire tomber, je NE VEUX PAS ALLER AVEC TOI, et je m’accroche désespérément à la branche.

L’homme finit pas me décrocher et me descend dans ses bras.

Ma maîtresse me récupère en me faisant plein de bisous (enfin de compte, elle ne voulait pas se débarrasser de moi, je suis content).

Siam vient me lécher et me réconforter.

On m’installe sur un fauteuil (là j’ai eu droit aux coussins et on m’a fait plein de câlins).

On a pris une photo avec Siam. Puis ma maîtresse a pris congé de ses hôtes.




petrus se plaint

 12/04/2008
Je viens vous demander d'intercéder auprès de ma maîtresse pour qu'elle cesse de me traumatiser.

PETRUS SE PLAINT

Je viens vous demander d’intercéder auprès de ma maîtresse pour qu’elle cesse de me traumatiser, elle m’a rasé, j’ai les griffes à ras (j’ai l’air malin moi maintenant, je ne peux plus faire mes griffes sur le salon en velours) en plus depuis que je suis revenu de chez le vétérinaire, tous les jours, elle m’oblige à avaler une mixture infâme avec une espèce de seringue. C’est amer, cela me fait cracher et franchement je me demande à quoi ça sert.

Depuis mon retour de chez le vétérinaire, j’ai décidé de bouder pour montrer mon mécontentement « les Viens Petrus, oh il est beau le chat « (flatteur) me laissent complètement de marbre. Je suis remonté sur mon tabouret près de la cheminée qui n’est d’ailleurs même pas allumée, et JE BOUDE !

Pour se faire pardonner, elle a mis dans mon panier une nouvelle couverture avec une espèce de souris mécanique (comme si je croyais qu’elle était vivante la souris), je ne suis pas à vendre, sa couverture et son jouet, je les ignore complètement.

Ce matin, j’ai trouvé enfin ce qui pouvait bien l’embêter.

Pendant qu’elle était dans son bain (c’est fou ces humains quel besoin ont ils de se laver avec de l’eau et tous les jours en plus !) le maître a eu un instant d’absence et a laissé la porte de la cuisine ouverte, j’ai aperçu sur le coin de la cuisinière, un magnifique beefsteak.

L’occasion est trop bonne, je ne suis pas un chat voleur normalement, mais de voir cette viande bien évidence pour leur repas m’a donné l’idée de me venger. Ce n’est qu’une juste récompense après toutes les avanies qu’ils m’ont fait subir.

J’essaie de me faire le plus petit possible, et rase les murs, parce que cette peste d’Uranie peut très bien me sauter dessus histoire de jouer et alerter les maîtres. Un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite hop je saute sur la table, bon coup de rein et hop un saut sur la cuisinière devrait me permettre d’attraper l’objet de ma convoitise.

Seulement, c’est comme la tablette au-dessus de la baignoire, la cuisinière est encombrée de casseroles et d’une poêle, je veux viser entre les deux, rate mon coup et j’ai fait tomber, la casserole, la poêle et le beefsteak ; seulement j’ai fait tellement de bruit ; le maître est arrivé en courant et hurlant PETRUS descend là (mais c’est déjà fait !) . Tu as vu ce que tu as fait …

Je regarde d’un œil vite fait parce que je suis déjà sous mon meuble préféré, certes, au milieu de la cuisine, il y a la poêle et une casserole qui apparemment était remplie d’eau.

Le maître « gadouille » un peu, et crie, mais je vais en faire du « pâté » de ce chat.

Vous vous rendez compte, il VEUT me transformer en PATE parce que j’ai renversé un peu d’eau. Il hurle en haut de l’escalier auprès de sa femme, Jaldane, ton chat est infernal

Ha bon parce que je ne suis plus son chat maintenant, tout cela pour une casserole d’eau renversée sur le sol !

Ma maîtresse descend l’escalier de forte méchante humeur.

Moi, je suis bien planqué, j’ai déménagé derrière un autre meuble (c’est ma cachette secrète, ils ne me voient pas).

Le temps de remettre un peu d’ordre dans la cuisine, j’entends la maîtresse agiter ses casseroles et sa poêle et dire à mon maître « mais où as tu mis les beefsteak ? »

Ben, oui dans ma fuite, pas si bête quand même, moi j’ai pris dans ma gueule les beefsteak et je suis entrain de les savourer en même temps que ma vengeance. Ils m’auront pas à manger à midi.

Cela dit, ma maîtresse est venu me chercher avec un balai (eh oui, je croyais qu’on ne me voyait pas dans ma cachette) et m’a délogé en me traitant de « sale chat » cela fait deux fois qu’elle me traite de sale chat ; mais en attendant, c’était rudement bon le beefsteak, meilleur que les croquettes !







PETRUS AMOUREUX

 10/04/2008
Une superbe chatte persane aux yeux verts

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L'aventure continue !
fermer toutes les issues dit ma maîtresse !

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L'EDREDON

 08/04/2008
la vengeance est un plat qui se mange froid
L'accès à la chambre est enfin libre !

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