Maison et Jardin

Les mois d’octobre et novembre sont le moment de se préparer à l’hiver.

Même s’il fait encore chaud au soleil de l’après-midi, celui-ci se fait de plus en plus rare : les journées sont plus courtes, les températures baissent… Alors, autant profiter du beau temps pour faire quelques travaux d’entretien nécessaires pour passer un bon hiver !

Vous avez déjà pris soin de votre jardin, protégé vos plantes contre le froid… À présent, vous devez penser à l’entretien de votre terrasse.

Que faire pour préparer sa terrasse avant l’hiver ?

L’entretien nécessaire doit remplir deux objectifs : protéger la terrasse contre les conditions climatiques qui risquent de l’endommager, et protéger les usagers (vous et votre famille) contre les glissades, fréquentes sur une terrasse non entretenue.

Les astuces présentées ici vous permettent de sécuriser votre terrasse, et de pouvoir en profiter au maximum dès que la météo le permet.

Le grand nettoyage d’automne

Poussière, brindilles, gravillons, feuilles mortes… se sont accumulés pendant des mois sur votre terrasse et ont envahi les moindres interstices. Et, pour ne rien arranger, ces déchets accumulés ont accumulé l’humidité qui a permis aux algues, mousses et lichens de se former !

Un nettoyage en profondeur s’impose:

 * Passer un premier coup de balai pour enlever tout ce qui est en surface

 * Utiliser ensuite une brosse pour éliminer ce qui reste entre les lattes ou ce qui est incrusté

 * Passer enfin un produit d’entretien de terrasse spécifique pour faire disparaître toute trace de mousses, algues et lichens.

Maintenant que votre terrasse est « comme neuve », il peut être utile — en fonction du matériau —, de passer une couche protectrice: vernis, lasure, huile…

Sécuriser les accès

Avec la pluie, le verglas, voire la neige selon la région où vous habitez, votre terrasse risque de vite devenir glissante cet hiver. Et le risque de chute est bien réel !

Il est donc nécessaire de sécuriser tous les accès:

 * Ruban adhésif rugueux sur le pourtour

 * Plaque antidérapante extérieur pour les escaliers

 * Paillasson en caoutchouc devant les portes-fenêtres

De même, si vous souhaitez utiliser votre terrasse pendant l’hiver, il peut être intéressant d’installer un revêtement antidérapant, sous forme de plaques ou de tapis.

Faire les réparations nécessaires

Une terrasse correctement entretenue demande généralement peu de réparations… mais cela peut parfois être le cas.

Une latte qui bouge, un clou rouillé, une rambarde qui prend du jeu… Tout ceci doit être réparé immédiatement, car les conditions hivernales ne feront qu’aggraver le problème. Ce qui ne prend que quelques heures en octobre risque de vous demander plusieurs jours de travail une fois le printemps venu !

Faites un tour de votre terrasse pour tout vérifier, et prenez le temps de changer ce qui doit l’être.

Prendre soin de votre terrasse pendant l’hiver

Si vous ne pensez pas utiliser votre terrasse de tout l’hiver (cela peut être le cas dans une maison de vacances), le plus simple est d’installer une bâche protectrice. Vous n’aurez alors plus de problème de neige qui s’accumule ou de saleté qui s’incruste. Il vous suffira de débâcher votre terrasse une fois le printemps venu pour en profiter immédiatement.

Mais si vous continuez à profiter de l’extérieur de votre maison en hiver, il vous faudra continuer à en prendre en soin:

 * Déneiger régulièrement. À l’aide d’un simple balai s’il s’agit de quelques centimètres de poudreuse, ou avec une pelle à neige si l’hiver est dur. Toujours pelleter dans le sens des lattes !

 * Attention avec le sel de déneigement. Sans parler de son impact sur votre jardin, il est probable que celui-ci endommage votre terrasse… À éviter si vous le pouvez.

 * Nettoyer régulièrement. Il ne s’agit pas de brosser votre terrasse toutes les semaines, mais d’enlever les débris (branches et autres) qui risquent d’accumuler l’humidité.

Que faire des pots et jardinières qui sont sur la terrasse ?

Si les plantes sont suffisamment résistantes, celles-ci peuvent sans aucun problème passer l’hiver dehors.

En revanche, les pots et jardinières ont tendance à conserver l’humidité sur votre terrasse, qui risque de s’abîmer plus rapidement. Il est donc recommandé de les déplacer afin de nettoyer dessous.

Nous vous souhaitons une belle saison d’hiver, en attendant le printemps !

Ouvrir une boutique à la ferme est une idée séduisante pour un agriculteur: elle lui ouvre de nouveaux marchés et lui permet de bénéficier d'une source de revenus supplémentaire en supprimant les intermédiaires. Comment créer sa boutique à la ferme ? Découvrez les meilleurs conseils dans cet article.

1 - Analyser le marché de la concurrence

L’objectif est de se démarquer face à ses concurrents, c’est pourquoi vous devez d’abord bien connaître la concurrence. Après avoir analysé le marché, vous serez en mesure d’identifier votre valeur ajoutée, de déterminer vos stratégies commerciales et de vous développer sur le long terme.

Vos concurrents seront principalement les magasins agricoles de la région, les épiceries de produits biologiques et les fermes locales qui vendent des produits aux particuliers. Prenez le temps de visiter leur boutique, de regarder les produits qu’ils proposent, d’identifier leur positionnement et leur image de marque, leur valeur ajoutée, et de noter chaque détail pertinent.

Cette étape est essentielle pour construire votre offre et vous démarquer sur le marché local. Par la suite, vous pourrez améliorer votre offre selon les demandes de vos clients et vos observations.

2 - Déterminer les produits fermiers en vente

Chaque ferme aura ses spécialités, et dépendra de la diversification de votre exploitation existante. Il est possible de vendre des produits frais, ou un ensemble de produits frais, cuits et congelés, ou bien uniquement des produits biologiques. Vous pouvez également décider de proposer des produits d’autres fournisseurs afin de compléter votre offre.

Par exemple, si vous exploitez une ferme de produits frais et biologiques, vous pouvez accompagner votre gamme de produits avec des articles complémentaires provenant de fournisseurs locaux: sirops, confitures, etc. C’est aussi un bon moyen de développer l’activité locale de la région.

3 - Créer un espace commercial attiran

La décoration d’une boutique de ferme et l’ambiance qui s’en dégage sont des éléments essentiels au succès de votre commerce. Les consommateurs modernes apprécient particulièrement l’authenticité, la transparence des produits et le commerce de proximité : un magasin qui vend des produits de la ferme est totalement dans cet état d’esprit.

C’est donc sur cet aspect que vous pouvez miser pour séduire les clients, en créant un espace plus intime et authentique que de simples étalages de produits fermiers. Par exemple, vous pouvez exposer vos produits dans des paniers en osier achetés dans des magasins d’ameublement, ou bien séparer les espaces de vente par une canisse d’aspect bambou que vous trouverez chez Domondo.fr.

L’idée est que les clients qui passent dans votre boutique de produits fermiers sentent immédiatement dans un environnement naturel, plutôt que dans une simple supérette industrielle.

4 - Trouver ce que les clients recherchent vraiment

Les consommateurs sont désormais plus soucieux de l'environnement. Ils sont sensibles aux informations sur les produits, les procédés utilisés et les marques qui peuvent avoir un impact positif. C’est pourquoi de plus en plus de consommateurs se tournent vers les produits locaux et les magasins fermiers et biologiques.

En tant que boutique à la ferme, c’est tout ce que vous offrez à vos clients: des produits frais provenant de la région, des techniques de production moins nocives, à plus petite échelle et avec un savoir-faire local.

Le fait de trouver ce que les clients veulent est une base solide pour définir son image de marque et savoir sur quels arguments marketing s’appuyer pour séduire les consommateurs.

5 - Fixer les prix des produits

La fixation des prix influe à la fois sur votre rentabilité globale et sur la façon dont votre entreprise est positionnée et perçue sur le marché. C'est l'un des facteurs clés dont vous devez tenir compte pour assurer le succès de votre entreprise.

Vous devez d’abord calculer vos coûts directs, c’est-à-dire les coûts d’exploitation de la ferme, ainsi que vos coûts de marchandises vendues, c’est-à-dire les coûts de production de la marchandise. Vous additionnez ensuite vos coûts de matières premières, les salaires, les avantages sociaux, les frais d'amortissement et les frais généraux si nécessaire. Pour plus d’infos regardez ici.

Si les produits sont fixés à un prix trop élevé, les consommateurs n'achèteront pas. Et si vos prix sont trop bas, vous vendrez avec une marge bénéficiaire non viable, voire à perte. Ainsi, une fois que vous avez défini vos coûts, l’une des méthodes les plus simples est d’ajouter la marge bénéficiaire souhaitée.



6 - Proposer des offres spéciales et un programme de fidélité

Les clients aiment faire des bonnes affaires, et sont attirés par les entreprises prêtes à leur proposer les meilleures offres. La première étape consiste à attirer le consommateur grâce à des offres exceptionnelles et ponctuelles, puis de fidéliser le nouveau client grâce à un programme de fidélité qui lui permet d’obtenir des avantages au fil de ses achats chez vous.

Les réductions et les offres spéciales pour vos clients les plus fidèles sont un indispensable d’une stratégie marketing efficace. Ce type de promotion affecte le montant du bénéfice que vous effectuez sur chaque vente, mais il encourage énormément les ventes supplémentaires.

Dans le cadre de la vente de produits frais et fermiers, les offres spéciales sont aussi un moyen de vendre des produits plus abîmés ou bientôt périmés, que vous n’auriez pas vendu sans cet avantage promotionnel.

7 - Développer son image marketing autour du thème de la ferme

Plus votre image de marque est forte et représente pleinement votre mission en tant que boutique de produits fermiers, plus vous aurez de chances de vous développer sur le marché local et d'atteindre vos objectifs commerciaux.

Plus précisément, votre image de marque est la façon dont vous êtes perçu en tant qu'entreprise, que ce soit en ligne, par le biais du marketing traditionnel ou simplement par le bouche-à-oreille. Elle aura un impact direct sur votre réussite: votre capacité à attirer et à retenir les bons clients, à vendre, mais aussi à collaborer avec d'autres fournisseurs.

La première question est de savoir qui vous êtes et quelle est votre mission: une boutique locale qui propose des produits fermiers. Les consommateurs viendront dans votre magasin pour cette raison, plutôt que dans les épiceries du coin. Vous devez donc mettre en avant cette particularité: des produits frais, sains et un commerce proche de la nature.

Les plantes d’intérieur apportent une touche de nature et d’harmonie à une maison. En plus de purifier l’air, elles resplendissent dans les coins de votre intérieur. Mais, si elles embellissent un intérieur, il ne faut pas pour autant oublier que ce ne sont pas des objets: les plantes sont des êtres vivants qui ont de réels besoins, dont la lumière du soleil.

Comment savoir de quel type de luminosité a besoin votre plante ? Les plantes ne s’installent pas n’importe où dans une maison ou un appartement, et c’est à cette question que nous allons répondre dans ce guide pratique. Lisez la suite pour devenir incollable sur le sujet !

Différencier les trois types d’éclairage pour les plantes d’intérieur

En ce qui concerne les plantes d’intérieur, il est possible de distinguer trois types d’éclairage principaux: le faible éclairage, l’éclairage direct et l’éclairage indirect. Mais que signifient ces termes ? Pour commencer, voici quelques explications simples pour vous aider à les différencier.

Le faible éclairage et l’ombre: peu apprécié des plantes

Ce type d’éclairage se résume aux coins d’ombre d’une maison: les coins sombres qui ne sont jamais exposés directement à la lumière du soleil. Les zones de faible luminosité sont courantes dans une maison, mais la plupart des plantes ne tolèrent pas beaucoup ces conditions.

Veillez donc à éviter ces zones de faible éclairage pour l’installation de vos plantes, car vous prenez le risque de les voir s’affaisser et mourir. Une plante a besoin d’un minimum de lumière au moins quelques heures par jour.

L’éclairage direct: une exposition intense à la lumière du soleil

L’éclairage direct est le type d’éclairage le plus élevé, lorsque vous placez votre plante juste à côté d’une fenêtre. En général, ce niveau de luminosité est obtenu grâce à une large fenêtre orientée nord, qui reçoit directement le soleil.

Il est fortement recommandé de ne pas exposer les plantes à un éclairage direct dans l’après-midi. En effet, l’ensoleillement est beaucoup plus intense après 14h00, sans compter que le verre des fenêtres amplifie les rayons. En faisant cela, vous pourriez simplement brûler votre plante.

Une bonne solution est d’installer un store jour-nuit à vos fenêtres afin de contrôler facilement l’intensité de la lumière. Par exemple, les stores d’intérieur sur mesure Domondo sont très faciles à installer et s’adaptent parfaitement à chaque fenêtre.



L’éclairage indirect: un bon compromis pour plaire à toutes les plantes

L’éclairage indirect correspond aux plantes placées à 1 ou 2 mètres d'une fenêtre orientée nord, et qui reçoit le soleil toute la matinée: plus ou moins de 9h00 à 13h00. Pour obtenir ce type d’éclairage, vous pouvez également installer un rideau transparent, qui limitera l’intensité de la lumière sur la plante.

Cette luminosité est également possible quand un arbre extérieur est situé à proximité de la fenêtre, cachant une partie de la lumière du soleil. L’éclairage indirect est bien souvent idéal pour toutes les plantes d’intérieur, peu importe le type de plantes. En effet, il répond aux besoins en luminosité des plantes tout en les protégeant de l’intensité excessive d’une exposition directe.

L’éclairage artificiel: indispensable pour les plantes en intérieur ?

Certaines plantes pourraient avoir besoin d'un éclairage artificiel afin de bien pousser à l'intérieur, mais c’est principalement le cas si votre maison manque d’éclairage. Il peut aussi y avoir un manque de luminosité pendant l’hiver dans les climats tempérés, ce qui pose un problème pour les plantes nécessitant 12 heures de luminosité par jour.

L’utilisation de ce type d’éclairage peut donc être une option si vous souhaitez garder ce type de plante chez vous, en complément de la lumière naturelle du soleil. L’important est de toujours observer vos plantes afin d’identifier leurs besoins, et c’est ce que nous allons voir maintenant dans la suite de cet article.

Savoir identifier les besoins de sa plante d’intérieur

Une fois que vous avez trouvé une place à votre plante, vous ne savez pas forcément si cet endroit répond à ses besoins. Pour le savoir, il existe quelques signes à connaître pour identifier si la luminosité est correcte ou non.

Comment savoir si ma plante d’intérieur reçoit trop de lumière ?

Le « coup de soleil » peut aussi toucher les plantes lorsqu’elles sont exposées à trop de lumière du soleil. Vous pouvez le remarquer par un blanchiment de la zone brûlée, qui peut se craqueler avec le temps, ou par un dessèchement qui fait perdre à la plante ses feuilles ou ses branches.

Les signes qu’une plante reçoit trop de lumière:

 * dessèchement ;

 * perte de couleur ;

 * chute excessive des feuilles ;

 * flétrissement.

Notez qu’il y a très peu de plantes qui peuvent tolérer la lumière vive dans une maison. Les seules plantes qui peuvent s’adapter à ces conditions sont les plantes déjà habituées à subir un climat aride, comme c’est le cas avec les plantes succulentes ou les différents types de cactus.

Comment savoir si ma plante d’intérieur ne reçoit pas assez de lumière ?

Une plante vous montrera d’elle-même si elle ne reçoit pas suffisamment de lumière au quotidien. La majorité des plantes ne peuvent pas survivre dans un environnement à faible luminosité, c’est pourquoi elles chercheront naturellement la lumière.

En effet, vous remarquerez dans ce cas que votre plante se « déplace » vers la lumière: ses tiges s’allongent et s’étirent vers la lumière, comme si elle souhaitait l’atteindre. Une plante que vous placerez dans le coin de l’escalier avec la fenêtre à droite aura ainsi tendance à se pencher vers la droite.

Les signes qu’une plante ne reçoit pas assez de lumière:

 * croissance lente et faible ;

 * feuilles qui ne grandissent pas ;

 * fleurs qui ne s’épanouissent pas ;

 * jaunissement des feuilles.

Enfin, sachez qu’il existe tout de même des plantes ayant la capacité de survivre dans presque toutes les conditions. C’est le cas par exemple de la plante serpent, appelée Sanseviera, ou encore du lierre du diable, ou Epipremnum. Un bon compromis si vous n’avez pas la main verte !

Pour être en meilleure santé, il est conseillé d’aller dehors chaque jour. Cela permet de s’oxygéner, de profiter de la lumière du jour, de voir un brin de nature… Si vous avez la chance d’avoir un jardin, ces sorties quotidiennes sont à votre portée. Mais lorsque le soleil est vraiment vif, ce moment de détente peut vite se transformer en calvaire… D’où l’importance de prévoir des zones d’ombres dans votre jardin. Et bonne nouvelle: le parasol est loin d’être votre seule option ! En effet, il existe de nombreuses solutions, fixes ou mobiles, pour ajouter de l’ombre dans votre extérieur.

1. Plantez un arbre ou d’autres végétaux

Commençons par une solution d’ombrage 100% naturelle: la végétation. Vous êtes-vous déjà promené en forêt en période de forte chaleur ? À l’ombre des arbres, vous avez certainement remarqué que les températures étaient bien plus supportables. Reproduisez donc un effet similaire dans votre jardin !

Si vous en avez la possibilité (autorisations, sol, espace…), plantez un ou plusieurs arbres à des endroits stratégiques. Veillez à ce qu’ils masquent les rayons du soleil aux bons moments de la journée. Et pour de meilleurs résultats, choisissez des arbres très feuillus et d’une belle envergure. Les variétés d’érable, de peuplier et de bouleau sont tout indiquées.

En bonus, ces arbres vous apporteront aussi d’autres avantages: plus d’intimité dans votre jardin, absorption du CO2, production d’oxygène… Sans oublier leur pouvoir apaisant et leurs bienfaits sur la santé mentale.

À défaut d’arbres majestueux, vous pouvez aussi vous tourner vers des variétés moins hautes ou vers des haies. Savamment positionnées et orientées, elles créeront des zones d’ombres des plus agréables.

2. Fixez une ou plusieurs voiles d’ombrage

Vous voulez donner un côté plus bohème et original à votre jardin ? Installez donc une voile d’ombrage ! De forme triangulaire, carrée ou rectangulaire, elle vous prodiguera l’ombre dont vous avez besoin. Selon la disposition de votre extérieur, il est conseillé de fixer cette toile tendue contre la façade de la maison et à un ou plusieurs poteaux.

Il est même possible de combiner différentes voiles d’ombrage. En fonction de leur orientation, cela vous permet de moduler au mieux vos zones d’ombre et de couvrir une zone plus large. De plus, multiplier les toiles tendues de couleurs diverses permet également d’obtenir un rendu encore plus décalé.

Facile à installer et à entretenir, la voile d’ombrage vous séduira par sa polyvalence et son originalité. Pour en trouver dans le style qui vous plaît, allez sur le site domondo.fr.

3. Installez une pergola

Si vous préférez les structures solides, nous vous suggérons alors la pergola. Existant dans une infinité de styles, elle conviendra à tous vos designs d’extérieur. En pratique, la pergola est une structure cubique sur quatre pieds, avec un toit fixe, modulable ou amovible. Elle se compose généralement de bois, de métal ou de plastique. Selon vos préférences, vous pouvez également choisir un modèle avec un ou plusieurs murs. Une alternative est de fixer des stores verticaux sur les côtés, à monter ou descendre selon vos envies.

La particularité de la pergola réside dans son toit, dont on trouve une grande variété. Par exemple, il existe de multiples toits en tissu plus ou moins opaque: pliable, enroulable, toile tendue, etc. Sur d’autres structures plus complexes, le toit est en métal, souvent avec des lames orientables ou des profilés enroulables. Enfin, les modèles en bois sont tout aussi variés. On trouve ainsi des pergolas à toit en bois plein, à lames orientables ou fixes, ou encore à panneaux coulissants.

En bref, vous n’avez que l’embarras du choix ! Et ce n’est pas tout. En effet, vous pouvez également confectionner un toit végétal sur votre pergola. Il faut alors choisir une plante grimpante qui va envahir les barres de la structure. Avec une pergola végétale, vous profiterez alors de tous les bienfaits mentionnés dans la première partie.

4. Posez un store banne

Autre option plus classique mais tout aussi efficace, le store banne vous apportera de l’ombre quand vous le souhaiterez. Alors que nos idées précédentes offrent très peu de modularité, cette option est bien plus flexible. Posé contre la façade de votre maison, ce grand store en textile s’enroule et se déroule à volonté. Et son lambrequin à l’avant vous offre encore plus d’ombrage.

Globalement, le store banne se décline en 3 versions:

 * Classique, fixé sous le débord du toit.

 * Avec un auvent qui protège son armature.

 * Avec coffre: sans doute le plus solide et durable.

En choisissant sa toile avec soin, vous pouvez obtenir des styles assez variés, du plus sobre au plus déjanté. En effet, les stores bannes sont proposés en une multitude de coloris et de motifs.

De plus, si vous optez pour une version motorisée, vous n’avez aucun effort à faire. Dès que vous voulez l’ouvrir ou le fermer pour ajuster l’ombrage, il vous suffit d’appuyer sur un bouton. Et le moteur se charge d’actionner le bras articulé.

Enfin, sachez qu’il existe des stores bannes avec traitement UV. Leur toile vous offre ainsi une protection supplémentaire contre les rayons néfastes du soleil. Mais évidemment, ces modèles sont encore plus coûteux.

5. Un toit de verdure

Enfin, si vous aimez l’idée de la pergola végétale mais n’avez pas envie d’installer une structure imposante, vous pouvez créer votre propre toit de verdure. Pour cela, tendez plusieurs câbles en hauteur, aux endroits que vous souhaitez ombrager. Par exemple, utilisez des cordes à linge. Puis placez-y des plantes grimpantes et laissez faire la nature.

Voici quelques variétés idéales pour cet usage: vigne, houblon doré, clématite, hortensia grimpant, glycine, jasmin, chèvrefeuille et rosier liane.

Mais attention, pour supporter le poids des plantes, choisissez des fils robustes. Et placez-les les suffisamment en hauteur afin d’éviter que votre toit végétal vous tombe dessus…

Variez les plaisirs !

Nous vous avons suggéré plein d’idées pour créer de l’ombre dans votre jardin ou sur votre terrasse. Vous pouvez bien sûr les mettre en œuvre de manière individuelle. Mais il est aussi possible d’en combiner plusieurs ! Selon l’espace disponible, vos préférences et vos possibilités, n’hésitez pas à associer différentes méthodes d’ombrage afin de créer un extérieur qui vous ressemble.

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