Les blogs
du village
Le monde selon RAY ZAB

Le monde selon RAY ZAB

La vraie vie des poupées chez Ray Zab

S'inscrire à la newsletter du village

Statistiques
Nombre de visites : 11 310 249
Nombre de commentaires : 8 162
Nombre d'articles : 5 958
Dernière màj le 23/04/2024
Blog créé le 14/11/2009

S'inscrire à la newsletter du blog

S'inscrire au fil RSS

En ce vendredi 22 février 2012

 22/02/2013
En ce vendredi 22 février, je viens souhaiter une bonne fête à toutes les Isabelle que je connais et celles aussi que je ne connais pas.

En priorité à ma meilleure amie Princess.

Et puis soyons chauvine !! un peu à moi aussi.

Allez un petit tour sur wikipédia



Nom commun Isabelle (cheval), désignation de la robe d'un cheval, de couleur jaune ou café-au-lait, dont l'extrémité des membres et les crins sont noirs.

Isabelle, un cépage interdit depuis 1934 en France par une loi visant à limiter les productions viticoles de mauvaise qualité, mais encore toléré sur l'Île de la Réunion.

Isabelle, papillon nocturne de la famille des attacidés (ou saturnilidés) localisé dans les forêts de pins de moyenne montagne (en dessous de 1 800 m) essentiellement dans les Pyrénées françaises et espagnoles ainsi que dans les Alpes françaises. Son nom latin est (Graellsia Isabellae). L'Isabelle est protégée par un arrêté du 22 juillet 1993.



et je découvre que certains nomment les chattes tricolores comme la photo de couleur Isabelle


un peu d'histoire à présent :

Le nom de la robe « isabelle » provient du prénom espagnol Isabel, nom de la reine Isabelle la Catholique qui, lors du siège de Grenade en 1491, aurait fait le vœu de ne pas changer de chemise avant la prise de la ville. De ce fait, cette chemise avait jauni et les manchettes étaient fort sales. (wikipédia)



Isabelle Ière de Castille, dite Isabelle la Catholique, née le 21 avril 1451 à Madrigal de las Altas Torres, morte le 26 novembre 1504 à Medina del Campo, est, de son propre chef, reine de Castille et León de 1474 à 1504 et, par mariage, reine d'Aragon, de Sicile et autres terres (1479-1504).

 Biographie : Héritière du royaume de Castille[modifier]Isabelle est la fille de Jean II, roi de Castille et de León et d'Isabelle de Portugal.

Au décès de son père en 1454, elle a trois ans et suit son frère Alfonso et sa mère qui se retire à Arévalo. Sa mère souffre d'accès de démence et la vie est difficile pour Isabelle, notamment sur le plan économique. Malgré les dispositions testamentaires favorables laissées par son père, le roi Henri IV, demi-frère d'Isabelle et d'Alfonso, les néglige à plusieurs reprises. Isabelle sort fortifiée de cette période trouble grâce à la lecture des Évangiles. Son amitié avec Béatrice de Siffle l'aide également beaucoup. Isabelle aide plus tard cette dernière en retour dans la fondation de l'Ordre de l'Immaculée Conception auquel elle fait don du palais de Galiana. À cette époque de sa vie, des personnes comme Gutierre de Cárdenas (es), sa femme Teresa Enríquez (es) et Gonzalo Chacón (es) sont également importantes dans l'entourage d'Isabelle.

En 1461, Isabelle et son frère Alfonso sont transférés à Ségovie, lieu où siégeaient les Cortes. Les nobles, soucieux de ce pouvoir, souhaitent opposer le roi et son demi-frère et héritier Alfonso. En 1468, Alfonso meurt, apparemment empoisonné, à Cardeñosa. On pense d'abord qu'il est victime de la peste, mais le médecin qui a examiné le cadavre ne trouve aucun indice d'une telle maladie. Isabelle devient alors l'héritière présomptive du royaume, son demi-frère né du premier mariage de son père, Henri IV (1420-1474), roi de Castille et de León (1454-1474) étant sans descendance légitime.

Henri IV est en effet le père de Jeanne (1462-1530), dite Jeanne la Beltraneja, dont la possible illégitimité n'a cessé d'être discutée depuis le XVe siècle, et à laquelle il destine la succession après la mort de l'infant Alphonse. Jeanne serait la fille de la reine Jeanne de Portugal, et de Beltrán de la Cueva.

Le 19 septembre 1468, elle prend le titre de princesse des Asturies bien que sa nièce Jeanne le porte déjà.

 Mariage : À l'âge de trois ans, Isabelle est déjà fiancée à Ferdinand, fils de Jean II d'Aragon.

Cependant, Henri IV décide de rompre l'accord pour la fiancer à Charles, prince de Viane. Le mariage n'aura cependant pas lieu grâce à l'opposition de Jean II d'Aragon. Henri IV tente également, sans succès, de marier Isabelle au roi Alphonse V de Portugal.

Jean II d'Aragon continue secrètement de traiter avec Isabelle pour son mariage avec Ferdinand. Isabelle considère qu'il était pour elle le meilleur candidat, mais un problème légal empêche le mariage. En effet, leur grand-père respectif Ferdinand Ier d’ Aragon et Henri III de Castille étant frères, une dispense papale est nécessaire. Le Pape refuse cependant d'accorder cette dispense pour ne pas se mettre à dos les royaumes de France, de Castille et de Portugal.

La menace d'une invasion musulmane des États pontificaux pousse finalement le pape à envoyer don Rodrigo Borgia en Espagne en tant que légat officiel pour faciliter le mariage.

 Isabelle la Catholique

La Reconquista menée par Isabelle et Ferdinand chassa les Musulmans de la péninsule et permis de préparer l'unification de l'Espagne. Isabelle épouse à Valladolid le 14 octobre 1469, malgré l'opposition de son demi-frère, le futur Ferdinand II d'Aragon (1452-1516), dit Fernando le Catholique et, après plusieurs brouilles, finit par se réconcilier avec Henri IV en décembre 1473 et par recueillir sa succession en décembre 1474. La concorde de Ségovie précise les droits respectifs des époux.

Bien que devenu roi de Castille en titre en même temps que son épouse, Ferdinand II ne dispose jamais, du vivant de celle-ci, d'aucune autorité sur son domaine personnel. Il faut attendre la mort d'Isabelle en 1504, suivie en 1506 de celle de son gendre Philippe le Beau et de la maladie de leur fille et héritière Jeanne Ire de Castille, pour que le roi d'Aragon assure la régence au nom de son petit-fils Charles Quint qu'il parvient à faire reconnaître comme roi de Castille en parallèle avec Jeanne Ire qui conserva le titre jusqu'à sa mort en 1555.

Devenu à son tour en 1479 souverain des différents territoires de la couronne d'Aragon, Ferdinand II forme alors avec sa femme un exemple unique de double monarchie, de 1479 à 1504, où chaque souverain garde la pleine autonomie de ses territoires propres tout en préparant activement l'unification formelle de l'Espagne au siècle suivant.

Les deux souverains achèvent la Reconquista en 1492 par l'annexion du royaume de Grenade, dernier vestige de huit siècles de présence musulmane en Espagne. Ce succès dans la reconquête de terres autrefois chrétiennes vaut à Isabelle et Ferdinand d'être qualifiés de « Rois catholiques » par le pape Alexandre VI en 1494. La même année, au nom de la couronne de Castille, Christophe Colomb découvre les "Indes occidentales".

Parallèlement, Isabelle et Ferdinand organisent l'Inquisition espagnole. En 1492, par le décret de l'Alhambra ils chassent les juifs d'Espagne (qui trouvent refuge dans l'Empire ottoman grâce à l'autorisation du sultan Bayezid II), et réduisent l'influence des grands féodaux.

 Descendance : De son union avec Ferdinand, Isabelle eut 6 enfants :

Isabelle d'Aragon, épouse d'Alphonse, infant du Portugal, puis du roi du Portugal Manuel Ier, son cousin.

Jean (1478 - 1497), prince des Asturies, épouse Marguerite d'Autriche mais meurt quelques mois plus tard.

Jeanne Ire de Castille, dite Jeanne la Folle, héritière des royaumes de Castille, puis d'Aragon, et mère de Charles Quint

Marie d'Aragon, seconde épouse, après sa sœur Isabelle, du roi du Portugal Manuel Ier

Catherine d'Aragon, épouse de Arthur Tudor, héritier de la couronne d'Angleterre, puis de son frère, futur Henri VIII et mère de Marie Ire d'Angleterre.

Pierre d'Embasaguas (1488 – 1490), l'«Infant», mort peu de temps après sa naissance.

 Décès : Isabelle la Catholique dictant son testament (Doña Isabel la Católica dictanto su testamento), Eduardo Rosales (es), 1864, Musée du Prado.

La couronne et le sceptre d'Isabelle.Recluse à Medina del Campo et sentant sa fin approcher, elle reçoit les derniers sacrements et meurt le 26 novembre 1504 d'un cancer de l'utérus. Son mari est par la suite proclamé roi de Castille sous le nom de Ferdinand II d'Aragon et V de Castille.

Tout d'abord inhumée dans le couvent Saint François de la Alhambra, le 18 décembre 1504, dans une sépulture très simple selon sa volonté, elle repose actuellement dans la Chapelle Royale de Grenade, dans une fastueuse sépulture construite sur ordre de son petit-fils Charles Quint, avec son mari Ferdinand le Catholique, sa fille Jeanne Ire et le mari de cette dernière Philippe le Beau. Sa tombe est profanée en 1808 lors de l'invasion française.

Sa couronne et son sceptre sont exposés au musée de la Chapelle Royale.

 Testament et succession : Le testament original de la reine est conservé au Monastère royal de Santa María de Guadalupe. Une copie a été envoyée au monastère de Sainte-Isabelle de l’Alhambra à Grenade. Une autre, à la cathédrale de Tolède, conservée depuis 1575 au Archives générales de Simancas.

Dans son testament, elle préconisait à ses successeurs de conquérir puis de convertir au christianisme le nord de l'Afrique, mais la découverte de l'Amérique éloigna les rois de Castille de cet objectif pour se concentrer sur les richesses offertes par le nouveau monde.

Son engagement pour la défense et l'égalité entre ses sujets américains et européens lui valut le titre de précurseur des Droits de l'Homme pour de nombreux historiens et ce malgré des actions discutables comme la conversion forcée des musulmans et des juifs du royaume sous peine d'expulsion.

À sa mort, sa fille Jeanne lui succéda, mais pour peu de temps. Cette dernière fut déclarée incapable de régner à cause de sa « folie » et le pouvoir fut exercé d'abord par son mari Philippe le Beau puis par leur fils Charles Quint.

 Procès en béatification : La vie pieuse de la reine Isabelle fait d'elle une possible candidate à la béatification par l'Église catholique. Commencé en 1958, le procès est soutenu par de nombreux hommes d'Église espagnols et latino-américains, et particulièrement par les cardinaux Rouco et Cañizares (qui ont commémoré le 500e anniversaire de sa mort) pour son action en faveur de l'évangélisation de l'Amérique.




 

J'invite un ami à créer son blog
 
Votre prénom :
Prénom de votre ami :
E-mail de votre ami :
 
Message :