vous savez comme le vertige de la page blanche, ouvrir son blog comme tous les jours pour y écrire et se confronter à des choses que l'on voudrait écrire mais les mots ne sortent pas ou plutot je m'interdit de les écrire.
Comme l'on disait pendant la guerre les murs ont des oreilles et les blogs des lecteurs.
J'essairais de mettre un article demain, c'est un moment que je dois arriver à passer sans en parler