Les blogs
du village
LES BONS RESTAURANTS

LES BONS RESTAURANTS

MARC ET SYLVIE

S'inscrire à la newsletter du village

Statistiques
Nombre de visites : 35 174 733
Nombre de commentaires : 101 658
Nombre d'articles : 8 914
Dernière màj le 11/12/2024
Blog créé le 26/04/2010

S'inscrire à la newsletter du blog

S'inscrire au fil RSS
Big Ben est la grosse cloche de la tour horloge du palais de Westminster mais son nom désigne aussi la tour elle-même, un symbole de la ville de Londres.

Son nom officiel, initialement Clock Tower (« la tour de l'Horloge »), est Elizabeth Tower (« la tour Élisabeth ») depuis le jubilé de diamant d'Élisabeth II en 2012.
La tour et son horloge sont plus couramment dénommées Big Ben par métonymie, Big Ben (« le gros Ben »a) étant le surnom de la cloche de 13,7 tonnes se trouvant au sommet.

Seules les personnes habitant au Royaume-Uni peuvent visiter la tour, après avoir obtenu une autorisation.

Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !


Construite en 1858 à côté du nouveau Palais de Westminster, la tour horloge est un imposant édifice de 106 mètres de haut, de style gothique qui comporte quatre immenses horloges sur chacune de ses faces.


Les horloges de la Tour Big Ben ont été mises en marche en mai 1859. Elles mesurent 7 mètres de diamètre et sont placées sur chacune des faces de la tour. Big Ben est aujourd'hui le symbole de la nation et ses coups de cloches sont retransmis chaque jour sur l'antenne de la radio de la BBC.


Il s'agit de l'une des horloges les plus fiables qui existent aujourd'hui, puisqu'elle est capable de supporter les intempéries météorologiques telles que la neige ou le vent.
Même les bombardements allemands durant la Seconde Guerre Mondiale n'ont pas réussi à perturber la ponctualité de cette horloge.

La statue de Winston Churchill sur la place du Parlement à Londres est une sculpture en bronze de l'ancien Premier ministre britannique Winston Churchill, créée par Ivor Roberts-Jones.
Elle est situé à un endroit désigné dans les années 1950 par Churchill comme "où ma statue ira".


Même si l'horloge Big Ben n'a connu du retard que de très rares fois, les citoyens anglais n'oublieront pas la nuit du nouvel an de 1962, lorsque les aiguilles de la Grande Horloge affichaient 10 minutes de retard en raison de problèmes techniques.


St James's Park est le plus ancien des huit parcs royaux de Londres. Situé dans le quartier de la cité de Westminster et d'une superficie de 23 hectares.
André Le Nôtre a prêté son concours à l’élaboration du parc.

À bientôt pour la suite de cette balade !



Le Westminster Central Hall (aussi appelé en anglais Methodist Central Hall ou Central Hall Westminster) est un édifice historique religieux et polyvalent de la ville de Londres au Royaume-Uni, situé face à l'abbaye de Westminster dans le district de Westminster.

Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !


Après avoir abrité jusqu'en 2000 le siège de l'Église méthodiste de Grande-Bretagne, il sert aujourd'hui principalement d'église méthodiste et de centre de conférences, mais aussi de galerie d'art et d'immeuble de bureaux.


Le Methodist Central Hall a été édifié à l'occasion du centenaire de la mort de John Wesley, le fondateur du méthodisme. Il a été construit entre 1905 et 1911 sur le site du Royal Aquarium, un lieu de divertissement qui fut exploité avec des fortunes diverses de 1876 à 19032.


En 1914, quelques-unes des premières réunions de ce qui allait de devenir le mouvement des suffragettes ont eu lieu au Methodist Central Hall, et certaines scènes du film "Suffragette" (2015) y ont été filmées dans leur cadre historique.


La salle a été utilisée régulièrement pour des meetings politiques, parfois avec des orateurs parmi les plus célèbres : Gandhi, Martin Luther King et Winston Churchill y ont pris la parole.

Aujourd'hui l'édifice abrite une paroisse méthodiste, la plus grande salle de réunion dans le centre de Londres et une association sociale de protection de l'enfance.


Un petit tour sur la terrasse du Westminster Central Hall nous permet d'admirer l'abbaye de Westminster.
C'est de cet endroit que se prennent les journalistes lors d'évènements royaux.


La vue sur le centre de Londres y est magnifique !


Le Methodist Central Hall a été conçu par Edwin Alfred Rickards, de la firme Henry Vaughan Lanchester, Stewart et Rickards.
Bien que de style baroque, c'est un exemple précoce d'utilisation d'une charpente en béton armé pour un bâtiment en Grande-Bretagne.




Après s'être baladé sur la Tamise, Nicolas nous emmène aujourd'hui faire un tour sur le London Eye de Londres en Angleterre.

Suite à son inauguration à l'occasion du nouveau millénaire, la grande roue de 135 mètres de haut, plus connue sous le nom de The London Eye (L'Œil de Londres), est devenue l'une des icônes les plus emblématiques de la ville et de la Grande-Bretagne toute entière.

Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !

(8 clichés)


La grande roue tourne lentement à une vitesse constante pour permettre aux personnes de monter sans interruption.
Un tour de grande roue dure approximativement 30 minutes.


The London Eye offre des vues panoramiques tout à fait impressionnantes, aussi bien sur la ville que sur la campagne.


La vue sur le palais de Westminster est impressionnante.


Les jours où le ciel est dégagé, il est possible de voir jusqu'à 40 kilomètres à la ronde.


Quelle chance....le ciel, ce jour là, est bien dégagé !


La Tamise !

La Tamise, ce fleuve du sud de l'Angleterre, qui se jette dans la mer du Nord. et d'une longueur totale de 346 km, est le plus long fleuve dont le cours se trouve entièrement en Angleterre et le second plus long pour le Royaume-Uni.


Terminons cette balade par une superbe vue sur le centre-ville de Londres !

À bientôt pour une autre aventure !



La Tamise, principal fleuve du Royaume-Uni, est un fleuve qui se jette dans la mer du Nord.
Aujourd'hui, Nicolas vous emmène faire une balade sur ce fleuve mythique, l'occasion pour nous de découvrir quelques beaux monuments de Londres.

Débutons cette promenade par une très belle vue sur l’ancien County Hall, devenu l’aquarium de Londres, et sur « The London Eye », la fameuse grande roue construite pour souligner le passage à l’an 2000.


Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !

(10 clichés)


Big Ben et les chambres du Parlement !

Big Ben est la grosse cloche de la tour horloge du palais de Westminster mais son nom désigne aussi la tour elle-même, un symbole de la ville de Londres.
Le palais, siège du parlement britannique, fait face à la Tamise, entre le pont de Westminster et l'abbaye de Westminster.


Oxo Tower !

L' Oxo Tower est un bâtiment avec une tour proéminente sur la rive sud de la Tamise à Londres.
Le bâtiment a une utilisation mixte en tant qu'Oxo Tower Wharf contenant un ensemble de boutiques de design, d'art et d'artisanat au rez-de-chaussée et au premier étage avec deux galeries.
Le restaurant, bar et brasserie Oxo Tower se trouve au huitième étage, qui est le niveau supérieur avec des restaurants raffinés et décontractés.


Anchor Bankside !

L'Anchor Bankside, reconstruit en 1676 après le grand incendie de Londres, est le seul survivant des tavernes fluviales de l'époque de Shakespeare.


La balade permet aussi d'admirer quelques bâtiments de la marine anglaise.


Tower Bridge !

Le Tower Bridge est un pont basculant permettant le passage de la Tamise aux véhicules motorisés.
Depuis sa construction en 1894, Tower Bridge est devenu l'un des symboles les plus mémorables de Londres.


Tour de Londres !

La tour de Londres est une forteresse historique située sur la rive nord de la Tamise à côté du Tower Bridge.

La tour de Londres a joué un rôle essentiel dans l'histoire de l'Angleterre.
Elle fut assiégée à plusieurs reprises et son contrôle était important dans la maîtrise du pays.
La tour servit d'armurerie, de trésorerie et de ménagerie, elle accueillit la Royal Mint et les archives publiques.
Elle abrite les joyaux de la Couronne britannique.


Quai du libre échange !

Free Trade Wharf est un complexe riverain distinctif comprenant plus de 200 appartements dans un bâtiment en briques des années 1980.




Canary Wharf !

Le Canary Wharf est l'un des quartiers des affaires de Londres.


Coucou.....la balade est terminée !

À bientôt pour une autre aventure !



Lors de son séjour en Angleterre, Nicolas a eu la chance de déjeuner dans un restaurant de Londres renommé, "The Albert" !

Installez-vous, je vais vous y conduire !

THE ALBERT situé 52 Victoria St, Westminster à Londres est un pub typiquement britannique, idéalement situé au cœur de Victoria. Construit en 1862 , le pub a conservé sa belle façade et ses caractéristiques victoriennes.
L'Albert a été nommé en hommage au mari de la reine Victoria, Albert, Prince Consor.

Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !


Ce pub d'anthologie sert une cuisine typiquement britannique, l'on y trouve même des cloches de division !

Au Royaume-Uni, les cloches de division sont utilisées dans le voisinage immédiat du Palais de Westminster (qui abrite le Parlement ) pour signaler qu'une division a lieu et que les membres de la Chambre des communes ou de la Chambre des Lords ont huit minutes pour se rendre dans le hall de division de leur choix pour voter pour ou contre la résolution.

Il n'est pas rare de voir alors quelques bonshommes se lever précipitamment et courir vers le parlement.....


L'entrée, des beignets au fromage.


Le plat de résistance est un Ruddle Ale Pie !

Cette recette de tarte au steak et à la bière utilise un steak à ragoût infusé d’herbes, cuit avec des légumes et une quantité généreuse de bière pendant une heure.
Entourée de pâte façon tourte cette tarte est servie généralement avec des frites et des petits pois.

À bientôt pour la suite des aventures de Nicolas en Angleterre !



Après avoir visité les Royal Mews qui sont les écuries de la famille royale britannique, Nicolas et ses amis se sont dirigés vers la face avant du palais de Buckingham, juste devant les grilles.

Vous pouvez voir ou revoir la visite du palais depuis le début sur ce lien:
Palais de Buckingham (Londres) - Résidence officielle des souverains britanniques - LES BONS RESTAURANTS (certiferme.com)


En face du palais de Buckingham se trouve le Victoria Memorial.

Réalisé en 1911 par le sculpteur Thomas Brock, sa hauteur est de 25 mètres.

Au sommet du monument, situé sur une plate-forme circulaire, se trouve une effigie de la Victoire ailée avec deux statues assises, représentant le Courage et la Constance, le tout en bronze doré.

Une grande statue en marbre de la reine Victoria fait face au Mall. Les trois autres côtés sont occupés respectivement par :

l’« ange de la Justice » (face au nord-ouest vers Green Park) ;
l’« ange de la Vérité » (face au sud-est) ;
« la Charité » face au palais de Buckingham.


Les grilles du palais !
La partie dorée de la grille semble être une représentation du blason de la famille royale britannique.


C'est devant ces grilles que se massent des centaines de personnes à chaque relève de la garde.


Façade avant du palais !


Façade arrière du palais !


À l'arrière du palais se trouve le grand jardin qui est le plus grand jardin particulier de Londres, là où se déroule les garden party du palais.

À bentôt pour la suite de ce voyage !



Le palais de Buckingham est la résidence officielle des souverains britanniques.
Situé dans la Cité de Westminster à Londres, le palais est à la fois le lieu où se produisent plusieurs événements en relation avec la famille royale, le lieu d'accueil lors de visites de nombre de chefs d'État, ainsi qu'une attraction touristique de premier plan.
Il est le point de convergence du peuple britannique lors des moments de joie, de crise et de peine.

Cet article servira de récapitulatif aux visites concernant le palais:

-The Royal Mews (voir le lien)
-The Royal Mews (II) (voir le lien)
-Palais de Buckingham, ici:
Palais de Buckingham (Londres) - Lieu le plus emblématique d'Angleterre - LES BONS RESTAURANTS (certiferme.com)



Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !



Adossé à Hyde Park, le palais de Kensington est un havre de paix au cœur de Londres.

Au début du 17ème siècle, à l’époque de la construction du palais, Kensington était un petit village à l’extérieur de Londres.
En 1689, le roi Guillaume III achète le bâtiment pour s’installer au grand air et soigner son asthme.

Les monarques se succèdent et chacun entreprend travaux d’agrandissement et aménagements. Une orangerie est notamment construite en 1704 pour la reine Anne.

Le 24 mai 1819, la princesse Victoria nait dans le palais mais, lorsqu’elle accède au trône en 1837, la reine préfère prendre ses quartiers à Buckhingam Palace.


Vous pouvez voir ou revoir la visite de ce palais depuis le début sur ce lien !

(12 clichés)



Cet anémomètre continue d'indiquer le sens du vent après 300 ans de service.


L'escalier de la reine conduit la reine de ses appartements à son jardin privé.


La galerie de la reine est la plus grande salle des appartements d'État de la reine.


Le cabinet de la reine où la reine s'habillait aidée de ses dames d'honneur.


La salle à manger de la Reine !
C'est dans cette salle que la reine Marie et le roi Guillaume aimaient dîner.


Le salon de la reine !


La reine marie y recevait ses invités et organisait des réceptions.


La chambre de la reine Marie !


Au cour de cette visite , Nicolas a pu admirer la superbe collection de médailles de Sir John Conroy.


John Conroy, 1er baronnet, né le 21 octobre 1786 à Caerhun au Pays de Galles et mort le 2 mars 1854 à Reading en Angleterre, est un officier de l'Armée britannique principalement connu pour avoir tenu le rôle de gestionnaire de la maison de la duchesse de Kent et de sa jeune fille, la princesse Victoria, future reine du Royaume-Uni.


La visite se termine par la découverte des appartements de la famille Kent !

À bientôt pour la suite de cette visite !



Situé dans les jardins de Kensington, le Palais de Kensington a été le lieu de résidence de la monarchie britannique depuis plus de 300 ans.

Vous pouvez voir ou revoir la visite de ce palais depuis le début sur ce lien !

(12 clichés)


La visite débute par la visite des appartements du roi qui sont accessibles par ce bel escalier richement décoré.


Chambre de présence !
Pièce où le roi recevait courtisans, ministres et ambassadeurs étrangers.


Chambre privée !
Chambre de divertissement préférée de la reine Caroline.


Salle de la coupole !
C'est la salle la plus magnifiquement décorée du palais.


La salle de la coupole est l’œuvre de l’architecte William Kent où se trouve une horloge musicale du XVIIIe siècle, connue sous le nom de « Temple des Quatre Grandes Monarchies du Monde ». 


Elle sonnait tour à tour des airs de Haendel, Corelli ou Geminiani.


Salon du roi !
C'est dans cette salle que le roi recevait ses courtisans.


Cabinet de la reine !
C'est dans ce cabinet que la reine Caroline conservait son importante collection d'oeuvres d'art.


Escalier réservé au personnel.


Galerie du roi !
La galerie du roi est la plus longue et la plus grande salle du palais où est exposée une collection de tableaux du XVII ème siècle.
Le magnifique plafond a été peint par William Kent en 1723.


À bientôt pour la suite de cette visite !



Le palais de Kensington est une résidence royale de Londres, capitale du Royaume-Uni.

Le palais a été, jusqu'au XVIIe siècle, la résidence des monarques anglais.
C'était par exemple le cas de Victoria, qui y est née et qui a habité le palais jusqu'au 13 juillet 1837, soit quelques semaines après son accession au trône.

Aujourd'hui, il abrite divers membres de la famille royale dont le duc de Gloucester, le duc et la duchesse de Kent, le prince et la princesse Michael de Kent.
Jusqu'en 1997, c'était également la résidence officielle de Diana, princesse de Galles.

De fin 2013 à 2021, il est la résidence officielle de William de Cambridge et de Catherine Middleton, ainsi que de leurs trois enfants : le prince George, la princesse Charlotte et le prince Louis.

-Résidence royale (ici)
-Visite du palais (I) (voir le lien)
-Visite du palais (II) (voir le lien)

(4 clichés)

Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !


Les jardins royaux du Palais de Kensington, aménagés sur une partie du terrain de Hyde Park, ont été ouverts au public en 1841.


Lors de son dernier séjour au Japon, Nicolas a pu admirer les "Kabocha", ces courges tachetées, de l'artiste japonais Yayoi Kusama.

Quelle ne fut pas sa surprise de pouvoir en admirer une dans les jardins de palais de Kensington !


Statue de la reine Victoria, devant le palais de Kensington, son lieu de naissance.

La reine Victoria est née et a grandi très strictement au palais de Kensington.
C'est ici qu'elle s'est réveillée, un matin de 1837, pour découvrir qu'elle était la reine.
Cette statue commémore cinquante ans de son règne.

À bientôt pour la suite de cette visite !



Je vous avais promis une balade en carrosse....il n'y a plus qu'à choisir le vôtre !

Nous visitons toujours les Royal Mews qui sont les écuries de la famille royale britannique.
.....Des voitures de coche et des carrosses.....voitures d'État ou voitures royales....

Suivez-moi !

Ici, le gold state coach (carrosse d'or d'État) est un carrosse fermé tiré par huit chevaux utilisé par la famille royale britannique. 

Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !


Le carrosse d'État de la reine Alexandra est l'un des nombreux wagons d'État entretenus au Royal Mews, au palais de Buckingham.
Il a été construit vers 1865, initialement comme un simple « autocar de ville ». Quelque 30 ans plus tard, il fut vitré et transformé en carrosse d'État à l'usage de la princesse de Galles (plus tard reine) Alexandra.


Le Town Coach du roi Édouard VII est un carrosse des Royal Mews, au palais de Buckingham. N'étant pas un autocar d'État, il est beaucoup plus simple que certaines des autres voitures conservées aux Mews.


L'Irish state coach est une voiture fermée à quatre chevaux utilisée par la famille royale britannique.
Il s'agit de la traditionnelle calèche dans laquelle le monarque britannique se rend du palais de Buckingham au palais de Westminster pour la Cérémonie d'ouverture du Parlement du Royaume-Uni.


Le Diamond Jubilee State Coach est une calèche fermée tirée par six chevaux qui a été fabriquée pour commémorer le 80e anniversaire de la reine Elizabeth II, mais son achèvement a été retardé de près de huit ans.
Finalement, c'est devenu une commémoration du jubilé de diamant de la reine.


Le Glass Coach est l'un des principaux wagons d'État du monarque britannique.
Construit par Peters & Sons de Londres en 1881, il avait été conçu à l'origine comme voiture de shérif, mais a été acheté par la Couronne à temps pour le couronnement de George V en 1911.


Cet élégant carrosse s'appelle le Scottish State Coach et est l'un des plus anciens des Royal Mews.
Il a été construit vers 1830 pour le duc de Cambridge, frère cadet de George IV.
En 1968, il a été converti pour devenir le Scottish State Coach en ajoutant les armoiries royales d'Écosse aux portes centrales.


Voiture royale actuelle.

Belle visite !



Les Royal Mews sont les écuries de la famille royale britannique.
À Londres, deux sites peuvent prétendre à la dénomination de Royal Mews :
-anciennement les bâtiments situés à Charing Cross
-et depuis les années 1820, au palais de Buckingham

Aujourd'hui, je vous emmène à Buckingham !

Vous pouvez voir ou revoir les balades de Nicolas en Angleterre depuis le début sur ce lien !


Les actuelles Royal Mews se situent dans les jardins de Buckingham Palace, au sud de Buckingham Palace Gardens, près de Grosvenor Place.


Des voitures de coche ainsi que d'autres véhicules y sont conservés, avec environ 30 chevaux, tout comme leurs homologues modernes, les véhicules motorisés d'État.
Meneurs, palefreniers, chauffeurs et autres membres du personnel sont logés dans des appartements au-dessus des garages et des écuries.


L'école d'équitation où les chevaux sont formés et entraînés pour notamment les habituer au bruit, mais aussi à la foule.


Êtes-vous prêt pour une balade en carrose ?


À bientôt pour quelques belles images de carrosses royaux !



Douarnenez, située dans le département du Finistère, garde encore la réputation d'un grand port sardinier associé aux conserveries de la ville. Les caprices de la sardine, disparue de la baie au fil du temps, ont entraîné la fermeture progressive de presque toutes les usines de conserves de sardines.

Vous pouvez voir ou revoir la visite complète du port-musée en cliquant sur ce lien !


Douarnenez a été longtemps un port de pêche actif et le premier port sardinier breton au début du XXe siècle avec près de 800 chaloupes, soit le quart de la flottille de tout le littoral breton.


Une partie de la collection du Port-musée est consacrée au travail dans les conserveries de sardines.....


.....avec des objets significatifs du travail en usine, des archives et des photographies des ouvrières.


L’histoire des Douarnenistes est retracée dans le parcours permanent, à travers des embarcations ou des objets du quotidien.


Une salle est consacrée à l’épopée de la conserve et illustrée par la maquette du port du Rosmeur.


Indispensable pointeuse......

À bientôt pour une nouvelle balade !



Classé « Musée de France », le Port-musée de Douarnenez est le plus maritime des musées de France. Installé dans une ancienne conserverie de Douarnenez, il propose plus de 2800 m² d’expositions permanentes et temporaires dans son espace à quai.

Vous pouvez voir ou revoir la visite complète du port-musée en cliquant sur ce lien !


Douarnenez est un espace portuaire, la ville et le port ne font qu’un.


La première partie du musée nous présente les bateaux premiers....des formes universelles, des bateaux à la taille de l’homme, à l’échelle des milieux…


Aujourd’hui, comme hier, tous les peuples de la terre utilisent avec intelligence les matériaux dont ils disposent pour construire un engin flottant.

Ici, la maquette du port de Rosmeur vers 1910.


Voici un bateau panier originaire du Vietnam (1994). Réalisée en bambou, cette embarcation se manoeuvre à la godille ou à la rame.


Ici, vous avez une pirogue balancier originaire de Papouasie en Nouvelle-Guinée.


Enfin, une dernière embarcation de pêche aux poissons dite Tatara.

Construite de manière traditionnelle sur l'île Lanyu.

Lanyu, également appelée l’île des Orchidées est une île volcanique de 45 km² au large de la côte sud-est de l'île de Taiwan.

N'hésitez pas à visiter ce musée.....vous y passerez un bon moment !



Au sein du port-musée de Douarnenez, nous découvrons quelques bouées maritimes revisitées. Elles sont bien jolies et méritent que l'on s'y attarde.

Vous pouvez voir ou revoir la visite complète du port-musée en cliquant sur ce lien !



Une bouée est un dispositif flottant sur l'eau.


Il existe plusieurs types de bouées suivant les usages.


-Bouée de sauvetage, généralement en forme d'anneau ou de boudin gonflé, sert à la sécurité en mer.


-Bouée de signalisation maritime, utilisée en mer, sur un cours d'eau, un lac ou un bassin. Elle sert à signaler la présence d'un plongeur ou chasseur sous-marin, à marquer un parcours....


-Bouée d'amarrage, appelée aussi « corps-mort », dans un port ou un abri côtier, elle est équipée d'un anneau auquel un bateau peut s'amarrer avec une aussière.




Classé « Musée de France », le Port-musée est le plus maritime des musées de France et possède une collection de référence nationale. Installé dans une ancienne conserverie sur le Port-Rhu de Douarnenez, il propose plus de 2800 m² d’expositions permanentes et temporaires dans son espace à quai.

Vous pouvez voir ou revoir la visite complète du port-musée en cliquant sur ce lien !



À proximité du musée à quai, le musée à flot permet au visiteur de découvrir une partie des collections du Port-musée.
Plusieurs bateaux sont ainsi visitables de la cale au pont.


Ces navires sont également les témoins d’un contexte socio-économique particulier et permettent ainsi d’aborder différentes thématiques telles que : la vie du port, les ressources maritimes en matières premières, la pêche en mer, les voies maritimes ou encore le grand cabotage européen.


Port-Rhu accueillait au XIXe siècle les voiliers de Norvège semblables à Anna Rosa qui apportaient à Douarnenez la rogue servant aux pêches sardinières qui alimentaient les très nombreuses conserveries.


Ces navires sont les témoins authentiques et rares d’un passé.


Pour être conservés, ils sont restaurés régulièrement par les charpentiers du Port-musée qui œuvrent sous les yeux des visiteurs.


L’ancien baliseur des Phares et Balises du Morbihan, le Roi Gradlon, est présenté dans l’espace à flot du Port-musée depuis le mois d’avril 2015.

Construit en 1948 au Havre, ce navire emblématique était affecté depuis 1952 à Lorient et chargé de l’entretien des phares et balises dans les eaux du Morbihan, de la Laïta à la Vilaine.


Le Saint-Denys, construit en Ecosse en 1929, appartenait à la société de remorquage de Falmouth.
Ces navires, facilement reconnaissables à leur coque verte et leur cheminée blanche et noire, attiraient l’attention avec leur silhouette robuste, courte et large.


Pour être conservés, ils sont restaurés régulièrement par les charpentiers du Port-musée qui œuvrent sous les yeux des visiteurs.

Belle visite !




Douarnenez est une commune située à l'est de la mer d'Iroise, donnant son nom à la baie de Douarnenez. Elle fait partie du département du Finistère en région Bretagne.

Douarnenez garde encore la réputation d'un grand port sardinier associé aux conserveries de la ville. Les caprices de la sardine, disparue de la baie au fil du temps, ont entraîné la fermeture progressive de presque toutes les usines de conserves de sardines.

Nous avons eu le loisir de visiter un très beau beau musée, le port-musée de Douarnenez.

Le port-musée de Douarnenez prit la suite de l'ancien Musée du bateau, ouvert en 1985 à l'initiative de l'association locale Treizour. Dès 1986, l'association fit don à la ville de Douarnenez de sa collection de coques collectées depuis sa création et le musée devint municipal.
Le port-musée est consacré aux bateaux et aux hommes de Bretagne et d'ailleurs. Il possède une collection de référence nationale.

Cet article servira de récapitulatif à cette visite:

-le port-musée (ici)

-le port-musée - À flot (voir le lien)

-le port-musée - Quelques bouées maritimes (voir le lien)

-le port-musée -À quai (lien à venir)

-le port-musée- Espace conserverie (lien à venir)

Vous pouvez voir ou revoir la visite complète du port-musée en cliquant sur ce lien !

Je vous invite à voir ou à revoir nos balades en Bretagne en cliquant sur ce lien !




Aujourd'hui, la Normandie commémore le 80e anniversaire du Débarquement et de la Bataille de Normandie !


Le Débarquement du 6 juin 1944 sur les plages de Normandie fut la plus grande opération amphibie et aéroportée de tous les temps.
Des millions de visiteurs viennent s'y recueillir et ainsi rendre hommage aux soldats qui ont libéré la France.

En 2019, nous avons eu la chance de nous y rendre nous aussi! Je vous invite donc à parcourir les plages du débarquement, en notre compagnie, en cliquant sur ce lien :

LES PLAGES DU DÉBARQUEMENT - LES BONS RESTAURANTS (certiferme.com)



Teeling est une distillerie irlandaise située dans la ville de Dublin. Mise en service fin 2014, c'est la première distillerie à ouvrir dans la ville depuis 125 ans.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(8 clichés)


Une histoire !

Walter Teeling ouvre la distillerie Teeling en 1782 sur Marrowbone Lane à Dublin. Il est en compétition avec 37 autres distilleries installées dans la ville. Après un siècle d'opération, l'affaire est rachetée par un membre de la famille Jameson et la distillerie est contrainte de cesser ses opérations2.

En 1987, John Teeling, descendant de la famille Teeling, ouvre la distillerie Cooley Distillery à Dublin dans un effort de relance de l'économie du whisky irlandais.

Lorsque John Teeling vend Cooley Distillery à Jim Beam et Maker's Mark en 2012, ses deux fils Jack and Stephen Teeling lancent la distillerie Teeling.

Le premier whisky produit par la nouvelle distillerie est commercialisé en 2015.


La distillation est un procédé de séparation de mélange de substances liquides dont les températures d'ébullition sont différentes.


Elle permet de séparer les constituants d'un mélange homogène.


Sous l'effet de la chaleur ou d'une faible pression, les substances se vaporisent successivement, et la vapeur obtenue est liquéfiée pour donner le distillat.


Un alambic est un appareil destiné à la séparation de produits par chauffage puis refroidissement, c'est la distillation.


Le concept de cette distillerie: souhaiter redonner vie au whiskey de leur ancêtre Water Teeling, tout en développant une solide gamme de singles malts.
Ils s’entourent des meilleurs spécialistes et puisent leur inspiration dans la tradition irlandaise tout en renouant avec le monde moderne actuel.


Bonne visite !



Le rocher de Cashel est un des sites historiques majeurs de l'Irlande.
Il est situé à l'ouest de la ville de Cashel, dans le comté de Tipperary et dans la province de Munster.

Les bâtiments qui ornent le sommet du rocher de Cashel présentent une grande complexité par la juxtaposition de très nombreuses époques.
C’est un des principaux sites d’art celtique et d’architecture médiévale d’Europe.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(13 clichés)


S'élevant vers le ciel et surplombant les verts pâturages luxuriants de la campagne environnante, le Rocher abrite plus de 1 000 ans d'histoire, en plein cœur des Terres ancestrales d'Irlande.


Une petite histoire !

C'est ici que Saint Patrick a converti le roi irlandais Aengus au christianisme.
On raconte même qu'à l'occasion de ce baptême, Saint Patrick a fait saigner le roi Aengus en lui plantant par mégarde sa crosse pointue dans le pied. Fort heureusement, Aengus n'a rien dit, croyant que cela faisait partie du rituel !


Une légende !

Selon la légende, le diable a pris un morceau de la montagne et l'a recraché. Il aurait atterrit en plein cœur de la campagne de Tipperary et serait devenu le Rocher de Cashel.


La dynastie des Eóghanachta a dominé la région pendant des siècles, avant que celle-ci ne tombe entre les mains du chef de la famille royale O’Brien au Xe siècle, le roi Brian Boru.


En 1101, son ancêtre décida de céder le Rocher de Cashel à l'Église en tant qu'offrande.


Le sceau du vicaire.

Au Moyen Âge, les membres de la chorale du vicaire pouvaient utiliser les sceaux et les billets étaient envoyés à l’évêque à la fin de l’année, qui les payait.


Le plus ancien monument de Cashel est la tour ronde, haute de 28 mètres et parfaitement conservée, datant d’environ 1100.
Son entrée s'ouvre à 4 mètres du sol, ce qui serait dû essentiellement à la faible profondeur de ses fondations (moins d'un mètre), typique des tours rondes irlandaises.


La totalité du plateau, au sommet du rocher, est entourée de murs. Entre les bâtiments s'étend un vaste cimetière, parsemé de hautes croix.


Au centre de ce complexe se dresse la cathédrale construite au XIIIe siècle, ancrée dans le Rocher.


Au fond de la pièce se trouve un petit clin d'œil aux origines vikings de l'Irlande.
Un sarcophage, dont on dit qu'il contient les restes du frère du Roi Cormac, Tadhg, est gravé d'une élégante sculpture représentant deux bêtes entrelacées – un symbole qui évoquerait la vie éternelle et ses bénédictions.


Selon la légende, ce monument représente l'endroit où Saint Patrick a converti le roi irlandais Aengus au christianisme.


Belle balade !



Que diriez-vous d'une balade en bateau pour découvrir une jolie petite île irlandaise, l'île de Garnish ?

L'île de Garnish est une île de la baie de Glengarriff, une entrée de la baie de Bantry, près du rivage de la péninsule de Beara dans le comté de Cork, en Irlande.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(12 clichés)


Il est fréquent d'y croiser quelques phoques qui flânent sur les rochers.


Les jardins de l’île Garnish sont sans aucun doute la caractéristique la plus remarquable de l’île.


Créés par le paysagiste de style édouardien Howard Peto, les jardins sont divisés en plusieurs zones distinctes, chacune avec son propre thème et son propre style.


Les points de vue y sont magnifiques.


L’île a appartenu au 20e siècle à John Annan Bryce, député au Parlement Britannique et avocat écossais, qui a décidé d’y construire son cottage et qui a commencé à aménager les jardins à pour lesquels l’île est maintenant célèbre.


Charmant ce petit cottage.


L’île possède un mélange unique de paysages accidentés, de beaux jardins et de vues à couper le souffle.


En plus de ses jardins, l’île Garnish offre également de nombreuses autres attractions.


Il est possible d'explorer les ruines d’un monastère du 6e siècle, qui aurait été fondé par Saint Finbarr.


Quelques portes, ici et là, s'ouvrent sur de vraies merveilles.


Le jardin italien ne laisse pas indifférent !

Allez ! Belle balade !



Le château de Blarney est un bastion médiéval à Blarney, près de Cork, en Irlande.

À l’origine, avant 1200, une maison en bois était supposée avoir été construite sur le site, bien qu’il n’en soit restée aucune trace.

Vers 1210 elle fut remplacée par une fortification en pierre.
Celle-ci a été détruite en 1446, puis reconstruite par Dermot McCarthy, Roi du Munster de la dynastie Muskerry, une branche cadette des Kings of Desmond, qui a également construit des châteaux à Kilcrea et Carrignamuck.

Le donjon actuel date de 1446.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(8 clichés)


Le petite histoire !

Embrasser la pierre de Blarney !

Le château est aujourd’hui partiellement en ruine. Seuls demeurent accessibles quelques pièces et les remparts. Au sommet du château, au niveau des mâchicoulis, se trouve la pierre d'éloquence, mieux connue sous le nom de pierre de Blarney.

Au sommet du château, juste au-dessous des créneaux du donjon se trouve la "Pierre de l'éloquence". Embrasser cette pierre, la tête à l'envers, octroierait le don de l'éloquence.

Les touristes visitant le château peuvent se suspendre à l'envers au-dessus du vide pour embrasser la pierre, qui est censée donner le don de l'éloquence. Il existe de nombreuses versions à propos de l'origine de la pierre, dont une qui affirme que c'était le Lia Fáil - une pierre numineuse sur laquelle les rois irlandais ont été couronnés.


Les alentours du château sont constitués de vastes jardins.
Des sentiers parcourent le parc avec des panneaux indiquant les différentes attractions telles que plusieurs formations rocheuses naturelles avec des noms fantaisistes tels que le cercle du druide, Witch's Cave et les Wishing Steps.


Le terrain comprend un jardin de poison avec un certain nombre de plantes vénéneuses, notamment de l’aconit tue-loup, de la mandragore, de la ricine, de l'opium, ainsi que du cannabis. 


La cuisine des sorcières !
Mais que peut-on réaliser dans une cuisine de sorcières ?


La cave des druides !
Cette cave nous transporte dans un monde imaginaire.


Le rocher des sorcières !
Pour peu que l'on croit aux sorcière on peut se souvenir d'une des légendes qui entourèrent la pierre de Blarney qui dit qu’une sorcière expliqua aux MacCarthys comment faire pour utiliser les pouvoirs de la pierre, en le remerciant de la sauver de la noyade.


La clairière des sorcières !
Ce jardin à la verdure sans limite est un vrai vestige de la magie du passé où l'on peut admirer une clairière féerique...attention....regardez bien....on ne sait jamais !

Belle visite !



Le Ring of Kerry !

Que vous choisissiez de faire le tour dans le sens des aiguilles d'une montre ou dans le sens inverse, l'Anneau du Kerry, célèbre dans le monde entier, vous réserve de magnifiques paysages et des moments mémorables.

Aujourd'hui, je vous propose une étape à Sneem, ce village où le Général de Gaulle aimait venir en villégiature après son départ à la retraite.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(5 clichés)


Une plaque incrustée sur un gros rocher calcaire marque la commémoration de la visite de Charles de Gaulle en 1969 au village de Sneem dans le comté de Kerry.


La petite histoire !

Peu de temps après avoir démissionné de la présidence française en 1969, Charles De Gaulle et son épouse ont cherché refuge contre les retombées politiques et sont venus en Irlande.

C’est à Sneem, un petit village situé dans un coin tranquille du sud-ouest de l’Irlande, que les De Gaulle trouvent un accueil chaleureux.
Ici, à la recherche d’un havre de paix et de tranquillité pour une contemplation tranquille, ils ont passé deux semaines de vacances.

Charles de Gaulle ressentait une grande affinité avec le libérateur irlandais Daniel O’Connell, et sachant que O’Connell était originaire de la région, il choisit de passer du temps ici pour reprendre du recul sur ses mésaventures politiques.


Église saint-Michel !


Le Sneem pyramides de James Scanlon !

Les pyramides de Sneem, d'un sculpteur né dans le Kerry, James Scanlon sont situées sous le pont de Sneem, entre l'église Saint-Michel et Goosey Island Caravan Park.
Elles forment une collection inhabituelle et unique de sculptures sur l'Anneau du Kerry.

On dit que James Scanlon a été inspiré par les habitants de Sneem et du lieu pour la réalisation de cette oeuvre.



Muckross House est une propriété qui se situe dans le Parc national de Killarney dans le comté de Kerry en Irlande.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(8 clichés)


Le manoir conçu par l'architecte écossais William Burn est construit en 1843 pour le compte de Henry Arthur Herbert, député du comté de Kerry au Parlement du Royaume-Uni et de sa femme, l'aquarelliste Mary Balfour Herbert.


De style Tudor, il se compose de 65 pièces.
De gros travaux d'aménagement sont entrepris dès les années 1850 pour préparer la visite de la reine Victoria en 1861, les Herbert espérant tirer du séjour de la souveraine quelques avantages.
Mais les dépenses aggravent les difficultés financières de la famille, qui doit vendre la propriété.

Le manoir est aujourd'hui cogéré en centre touristique par Dύchas The Heritage Service et la société Trustees of Muckross House.


Les jardins sont particulièrement réputés pour leur collection de rhododendrons, d'hybrides et d'azalées.


Ils se partagent entre jardin en bassins et jardin japonais, sur un affleurement naturel de pierres à chaux.


L'arboretum compte de nombreux arbres exotiques et tempérés.


Un spectacle magnifique sur la nature sauvage irlandaise !


Et la visite se termine, pourquoi pas, par une balade en  calèche !



Waterville est une petite ville irlandaise du comté de Kerry situé dans la péninsule d'Iveragh.
Se trouvant sur l'anneau du Kerry, Waterville est un important lieu touristique de la région, mais la ville est surtout célèbre pour avoir été la résidence de villégiature de Charlie Chaplin et de sa famille dans les années 1960.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(9 clichés)


Située au bout de la péninsule d'Iveragh, cette petite station balnéaire de 2·000 habitants créée en 1884 est l'un des hauts lieux touristiques du Ring of Kerry.


Large baie sauvage, front de mer calme, plages magnifiques, baie et vue sur Bolus Head.


Waterville est une petite ville accueillante, charme par ses espaces verts aux abords montagneux.


Dans le village de Waterville se trouve un hommage approprié aux nombreux explorateurs et marins qui ont mis les voiles à la recherche d’aventure et bien plus encore.

L’Árthach Dána, sculpture commémorative et cadran solaire d’Amergin à Waterville, est dédiée aux nombreux explorateurs et marins qui ont navigué sur la côte atlantique de l’Europe.
Árthach Dána signifie en irlandais un vaisseau audacieux ou astucieux.


La sculpture représente un bateau émergent des profondeurs de l’histoire, évoquant des connotations de créatures marines mythiques et se transformant à la surface de l’océan Atlantique.
Sur le corps de la sculpture, il y a des motifs de vagues représentant l’océan Atlantique et la façon dont les anciens marins utilisaient les vagues et les marées pour la navigation.
La tige allongée ressemble au crâne et au bec d’un fou de Bassan qui devient le gnomon du grand cadran solaire.


Dans les années 1960, c'est à Waterville que Charlie Chaplin et sa famille avaient l'habitude de venir passer leurs vacances.

Pour la petite histoire......

Charlie Chaplin, lorsqu'il est arrivé à Waterville avec sa famille, il s'est arrêté dans cet hôtel-restaurant et a demandé une chambre.
La serveuse lui a répondu qu'elle était désolée mais que l'hôtel était complet.
Le patron arrive sur ces entrefaits et demande ce qui se passe.
Reconnaissant notre ami "Charlot" il dit alors....mais il en reste une des chmabres....ce sera la mienne !

Ce sera le début d'une longue amitié...

Si bien que Charlie Chaplin lui a légué toutes ses cannes à pêche ainsi que son matériel de pêche que l'on peut encore admirer sur l'un des murs du restaurant.


Une pause photo.....


Une stèle en hommage à Charlie Chaplin a été érigée sur le site !



Limerick est une grande ville d'Irlande située dans la province de Munster, au sud du pays.
Peu étendue, elle est connu pour la très jolie église Sainte-Trinité de l'abbaye d'Adare.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !


L’abbaye trinitaire d’Adare, dans le comté de Limerick, a été fondée en 1230 par Geoffroy de Marisco comme seule maison irlandaise de l’ordre.
Il fut détruit lors de la suppression d’Henri VIII et restauré au XIXe siècle.


Outre ses objectifs religieux, l’Ordre Trinitaire a travaillé à la libération des captifs chrétiens pendant les croisades.


L’abbaye était communément appelée le monastère blanc en raison de l’habit blanc porté par les moines.


Après sa suppression pendant la Réforme, l’abbaye tomba en ruine et les vestiges comprennent aujourd’hui la tour, la nef et une partie du chœur de l’église.


Aujourd'hui, la bâtisse qui est appelée « Holy Trinity Abbey » (Abbaye Sainte Trinité) est utilisée comme église paroissiale catholique.


Les vestiges comprennent une tour, une nef et une partie de la chorale de l’église.


Et toute belle balade se termine par un arrêt gourmand.....ici, pour déguster un chocolat chaud aux chamallows !



Thomas Johnson Westropp (16 août 1860 – 9 avril 1922) était un antiquaire , folkloriste et archéologue irlandais .

Thomas Johnson Westropp (16 août 1860 – 9 avril 1922) était un antiquaire , folkloriste et archéologue irlandais .
Il a dessiné de nombreux croquis détaillés de bâtiments, de dalles funéraires et d'autres vestiges archéologiques dans toute l'Irlande et notamment de la cathédrale Saint-Fachanan de Kilfenora !

Ce site lui est dédié !

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !


Le nom irlandais de Kilfenora — Cill Fhionnurach — lui fait référence, puisqu’il se traduit par « Église au simple frontispice blanc ».


Kilfenora est connu pour avoir eu sept hautes croix, dont un certain nombre sont disposées autour de l’ancienne cathédrale.


La plus ancienne, la doorty cross, est actuellement placée dans le chœur.


Découverte en deux morceaux, elle avait été reconstituée à l’entrée ouest de la cathédrale.
Elle daterait de 1152, à la création du diocèse.


Elle représente côté ouest une figure du Christ, au-dessus de quelqu’un chevauchant un âne.
Côté est, elle représente saint Pierre donnant sa bénédiction à deux personnes : un évêque (marqué par une crosse irlandaise) et un abbé (avec une crosse en T), ce qui montre le passage du statut monastique au statut diocésain.


La visite terminée il est temps de se reposer et de déguster une belle assiette de saumon fumé !



Le Merriman Hôtel, au charme un peu désuet, est situé dans un charmant petit village au nom de Kinvara !

Mais qu'a-t-il de particulier ?

Il possède le toit de chaume le plus grand d'Irlande !

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !



Liscannor est un village du comté de Clare en Irlande, dans la paroisse civile de Kilmacrehy.
Il est situé sur la côte ouest de l'Irlande, à environ 5 km des falaises de Moher.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(8 clichés)


Les falaises de Moher sont des ensembles de falaises situées près du village de Liscannor au sud-ouest du Burren dans le comté de Clare, en Irlande.


Elles s’élèvent jusqu’à 214 m au-dessus de l’océan Atlantique sur une longueur de huit kilomètres.


C'est le plus visité de tous les sites d'Irlande !


Les falaises de Moher fascinent par leur beauté et leurs pentes vertigineuses.


La tour O'Brien !

La tour O'Brien a été construite en 1835 au milieu des falaises par Sir Cornelius O'Brien, pour offrir un point d’observation pour les très nombreux touristes qui venaient déjà sur le site.
Par temps clair, on peut y voir, outre les îles d'Aran et la baie de Galway, les montagnes du Connemara.


Ces masses de calcaire et de schiste sont érodées par le vent et l'océan, souvent déchaînés près de ces côtes.


Ce paysage a par ailleurs accueilli le tournage d'une des scènes du sixième volet de la saga Harry Potter, Harry Potter et le Prince de sang-mêlé ainsi que dans Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté.



Ballyvaughan est un village irlandais de la région du Burren, dans le comté de Clare.
Ce village est connu pour abriter le dolmen de Poulnabrone !

Le dolmen de Poulnabrone signifiant « trou de la meule de moulin » est un dolmen datant de la période néolithique, probablement entre -4200 et -2900.

Le dolmen, situé sur l'un des points les plus désolés et les plus élevés de la région, comprend trois portails dressés, soutenant une lourde pierre de voûte horizontale. C'est le plus connu et le plus photographié des quelques 172 dolmens d'Irlande.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(4 clichés)


Le dolmen a été construit par des agriculteurs néolithiques, qui ont choisi l'emplacement soit pour le rituel, comme marqueur territorial, soit comme lieu de sépulture collective.
Il ne reste aujourd'hui que le « squelette de pierre » du monument d'origine, jadis recouvert de terre, sa dalle coiffée d'un cairn.


Poulnabrone est le plus grand dolmen irlandais après celui de Brownshill dans le comté de Carlow.
Situé sur les restes d'un monticule, il se compose d'une dalle de pierre angulaire tabulaire de 4 m de long sur 2 m à 3 m de large, et 30 cm d'épaisseur.


Fait inhabituel pour les dolmens de ce type, la pierre angulaire s'incline vers l'ouest.

Le toit de la chambre formé par cette énorme pierre de voûte est soutenu par deux ensembles de pierres en portiques parallèles droites et d'orthostates, chacune d'environ 2 m de haut, qui marquent l'entrée, et soutiennent la pierre angulaire depuis le sol, créant une chambre qui s'effile vers l'est.

La datation au radiocarbone indique que la tombe était probablement utilisée comme lieu de sépulture entre 3800 et 3200 av. J.-C.



Mitchell Henry fit établir à l'ouest du château, sur le flanc sud de Duchruach Mountain, un jardin entouré d'un mur de briques et de pierre, destiné à la fois à l'agrément et à l'alimentation.

Vous pouvez voir ou revoir la visite de l'abbaye de Kylemore depuis le début sur ce lien !

(9 clichés)


Les jardins possédaient également des serres, reliées entre elles pour former un jardin d'hiver.


Le jardin comportait également des logements pour le jardinier en chef et pour les ouvriers.


La maison du jardinier chef est toujours là et la visite est bien agréable.


La visite permet de voir comment vivait le jardinier en chef...


...dans les années 1890.


Rappellons que l'abbaye est construite au milieu d'une tourbière !


Ce magnifique jardin était l'un des derniers jardins clos de l'époque victorienne construit en Irlande et le seul qui se trouvait au beau milieu d'une tourbière.


À bientôt pour la suite de cette balade irlandaise.



L'église gothique à l'abbaye de Kylemore située dans le Connemara, à l'ouest de l'Irlande, date du 19e siècle.
C'est une cathédrale miniature construite par Mitchell Henry et qui appartient maintenant à l'Ordre bénédictin.

Vous pouvez voir ou revoir la visite de l'abbaye de Kylemore depuis le début sur ce lien !

(4 clichés)


En novembre 1874, Mitchell Henry et sa famille firent un voyage en Égypte, au cours duquel sa femme Margaret contracta la dysenterie dont elle mourut le 4 décembre.
Son corps fut embaumé et rapatrié en Irlande.
Un mausolée fut construit pour elle à Kylemore Castle, puis Mitchell Henry fit bâtir une église de style gothique, évoquant une cathédrale miniature, de 1877 à 1881.


L'intérieur de l'église fut construit en pierre de Caen et ses piliers furent réalisés en marbres irlandais : marbre vert du Connemara, marbre rose de Cork, marbre noir de Kilkenny et gris de Armagh.


Mitchell Henry choisit pour son église une décoration évoquant les femmes, comme des gargouilles en forme d'anges à visage féminin, ou un vitrail représentant cinq vertus sous forme d'allégories féminines : le Courage, la Foi, la Charité, l'Espoir et la Chasteté.



Le comté de Galway est un comté d'Irlande située sur la côte ouest de l'île et l'abbaye de Kylemore est une abbaye bénédictine fondée en 1920 sur le site du château de Kylemore.
Avec son église néo-gothique et ses jardins victoriens, c'est un des principaux lieux touristiques de la région du Connemara.

Cet article servira de récapitulatif à cette balade:

-abbaye de Kylemore (ici)
-église néo-gothique (voir le lien)
-jardins victoriens et maison du jardinier (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(8 clichés)


Bâti en 1868 par l’architecte John Fuller dans un style néo-classique, le château est un cadeau d’Henri Mitchell, riche marchand de Liverpool, pour sa femme Margaret.


Vendu, puis abandonné jusqu’en 1920, le château de Kylemore est finalement reprit par des Sœurs Bénédictines.


Ces dernières décident d’y créer une école catholique pour 180 jeunes filles.
Au fil des ans, l’établissement devient une école particulièrement réputée, attirant des familles de toute l’Irlande souhaitant initier leurs enfants à l’excellence de leur enseignement.


Les sœurs n'étant plus assez nombreuses pour s'en occuper, la fermeture de cette école a été annoncée en février 2006 pour l'été 2010.
Les sœurs conservent cependant l'abbaye et doivent réaménager les locaux occupés par l'école, en transformant par exemple la salle de sport en salle de réunion et en chapelle.


Couronne du 9e duc de Manchester, William Montagu.


L'abbaye de Kylemore est une magnifique cathédrale miniature, véritable trésor d’architecture gothique.


À bientôt pour la suite de cette visite !



Nicolas, lors de son voyage en Iralande, a fait un arrêt à Clifden afin de se remémorer le premier vol transatlantique d'Alcock et Brown réalisé le 15 juin 1919.

Le capitaine John Alcock et le lieutenant Arthur Whitten Brown sont les aviateurs britanniques ayant effectué le premier vol transatlantique sans escale en 1919.

Cette statue commémorative est située à l'aéroport d'Heathrow, à proximité de Clifden.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(3 clichés)


Volant sur un bombardier Vickers Vimy IV, ils ont décollé de Terre-Neuve, Canada, dans la fin de l'après-midi du 14 juin 1919 et ont touché terre à Clifden, dans le Connemara, en Irlande, à 8 h 40 le 15 juin suivant.
Ils ont parcouru les 1 890 milles (3 050 km) en 16 h 28 min, à une vitesse moyenne de 220 km/h.
Leur avion était équipé de deux moteurs Rolls-Royce de 360 chevaux chacun.


Leur exploit, beaucoup célébré, a été éclipsé plus tard dans l'esprit du public américain par celui de Charles Lindbergh en 1927, réussissant, en solitaire, la première liaison de New York à Paris.



Le Connemara est une région située dans l’ouest de l'Irlande dans le comté de Galway. La « capitale » du Connemara est Clifden.

Ses ressources principales sont l'élevage de moutons, l'exploitation de la tourbe et le tourisme.

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(7 clichés)


Le nom de Connemara provient de l'irlandais Conmaicne Mara, qui signifie littéralement « descendants de Con Mhac de la mer ».
Les Conmaicne Mara sont en effet une branche d’une ancienne tribu irlandaise issue de Connacht et localisée sur la côte atlantique.
Con Mhac, « fils du chien », d'après la mythologie irlandaise, est le fils d'une reine de Connacht.


La côte du Connemara est un ensemble de plusieurs péninsules.
Un très grand nombre d’îles se trouve au large du Connemara, la plus importante est celle d’Inishbofin.


Le connemara est composé de landes et de tourbières et la faune compte de nombreux oiseaux ainsi que des mammifères dont le poney connemara.


Dans le passé, les terres du parc étaient utilisées pour l'agriculture, principalement pour le pâturage du bétail.
Des végétaux étaient cultivées sur les plaines les plus fertiles.

La tourbe était utilisée en tant que combustible.


Délimitée par l'Atlantique et située dans un coin particulièrement pittoresque du comté de Galway, la région est célèbre pour ses terres sauvages et ses teintes douces.


.....les vieux murs en pierre sèche serpentent sur les collines.....

♪ ♫
Terre brûlée au vent
Des landes de pierres
Autour des lacs, c'est pour les vivants
Un peu d'enfer, le Connemara
Des nuages noirs qui viennent du nord
Colorent la terre, les lacs, les rivières
C'est le décor du Connemara
♫ ♪



La cathédrale de Notre-Dame de l'Assomption et de Saint-Nicolas est une cathédrale catholique située dans la ville de Galway en Irlande, et dédiée à l'Assomption et à saint Nicolas par le cardinal Richard Cushing en 1965.
Il s'agit de l'une des plus grandes et plus impressionnantes constructions de la ville.

Vous pouvez voir ou revoir la balade à Galway depuis le début sur ce lien !

(8 clichés)


Elle a été édifiée entre 1958 et 1965 à l'emplacement de l'ancienne prison du comté, célèbre pour sa rigueur envers les prisonniers.


L'architecture de la cathédrale est inspirée de nombreuses influences.
Le dôme et les piliers reflètent un style Renaissance. 
Le dôme de la cathédrale, d'une hauteur de 145 pieds, est un des points de repère dans l'horizon de la ville.


L'intérieur, avec ses arches hautes et courbes et son dôme central, possède une élégance simple et solide.


On y trouve de superbes fresques d'inspiration hiberno-saxonne et un plafond en bois finement ouvragé.


Quelques mosaïques dressent un tableau composite de la tradition de l'art chrétien.


Les vitraux représentent la vie de Saint-Nicolas.


Belle visite !



Nicolas vous propose, aujourd'hui, un petit arrêt à Galway.....surtout pour visiter la très jolie cathédrale de Notre-Dame de l'Assomption et de Saint-Nicolas de Galway.

Galway est une ville de la province de Connacht, dans le comté de Galway, sur la côte ouest de l’Irlande.

Ici, à l'entrée du vieux Galway, on peut admirer deux statues représentant les frères Wilde.

Cet article servira de récaptulatif à cette visite:

-petite balade (ici)
-cathédrale de Notre-Dame de l'Assomption et de Saint-Nicolas (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(6 clichés)


Lynch's Castle !
Cet ancien hôtel particulier, situé au croisement de Shop Street et d'Abbey Gate Street Upper, est un très bon exemple d'intégration des constructions anciennes dans la ville moderne.
Il est actuellement occupé par une banque.


Il fut autrefois la propriété de la plus grande famille de la région : les Lynch, une famille influente participant activement à l’économie de Galway au Moyen-Âge.
Il fut ensuite racheté en 1930 par Allied Irish Banks, qui le restaura de fond en comble.


On peut admirer sur la façade avant un panneau encadré, exposant les armes du roi Henri VII, roi d’Angleterre de 1484 à 1509, ainsi que le blason de la famille Lynch.


La balade dans la vieille ville de Galway permet d'admirer de bien belles peintures murales.


Enfin la cathédrale de Notre-Dame de l'Assomption et de Saint-Nicolas (voir le lien) !

Belle balade !



Le monastère de Clonmacnoise est situé en Irlande, dans le comté d'Offaly, au bord du fleuve Shannon et au sud de la ville d’Athlone.

Le monastère, qui est aussi appelé les sept églises, a été fondé en 544 par celui qui sera ensuite connu comme l'un des douze apôtres de l'Irlande, saint Ciarán.


Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

(10 clichés)


Ciarán et Enda d'Aran font une nuit le même rêve d'un « Grand Arbre ».
Enda l'interprète conseille à Ciarán de se rendre dans le centre de l'Irlande, au bord d'un ruisseau et d'y fonder une église.

Accompagné de huit compagnons, il arrive sur le site de Clonmacnoise et commence la construction d'une petite église en bois qui deviendra sa sépulture.


Enda d’Aran était un abbé et missionnaire chrétien, sans doute né vers 450 et mort vers 5401.
Il est considéré comme le père du monachisme irlandais.


Le monastère grandit en taille et en réputation pour devenir pour un temps le site religieux le plus prestigieux d’Irlande.
C’était également un centre de savoir.

La richesse du monastère attira la convoitise des rois irlandais, des Anglo-normands et des Vikings qui le pillèrent et l’incendièrent à de nombreuses reprises entre 841 et 12044.


La tour ronde aurait été construite au 10e siècle par Fergal O'Rourke (mort en 964)

Les tours rondes d'Irlande sont des tours de pierre du Moyen Âge, d'une forme particulière que l’on trouve principalement en Irlande. On en connaît également deux en Écosse et une sur l'île de Man.
Bien que leur usage soit controversé, il est probable qu'elles aient été utilisées comme clochers ou comme refuges.

Une porte unique est située à deux ou trois mètres du sol. L'accès n'est possible que par une échelle.


Croix sculptée dite « Croix des Saintes Écritures »
Cette grand croix irlandaise, en pierre de grès, mesure quatre mètres.
Elle est l'une des plus décorées des croix restant visibles en Irlande. La tête, le fût et le socle sont divisés en panneaux sculptés représentant des scènes parfois difficiles à identifier......scène du Jugement dernier, scène de la Crucifixion.


L’inscription en grande partie mutilée qui se trouve sur les faces est et ouest au pied du fût semble commémorer Flann Sinna roi d’Irlande et à Colmán abbé de Clonmacnoise et sculpteur qui fit construire cette croix.


Le monastère, devenu musée, présente des vestiges d’une grande cité monastique de l’Irlande médiévale.


Le monastère de Clonmacnoise est l'un des plus importants centre culturel et religieux de toute l'Europe.


La croix du sud date du 9e siècle mesure environ 3,6 m de haut.
Sur la face ouest du fût se trouve une scène de Crucifixion.
Le style de la décoration est proche des croix de Ahenny, des croix de saint Patrick et saint Colomban à Kells et des croix d’Iona et Kildalton en Écosse.


La visite terminée...pourquoi ne pas se restaurer avec un fish and ships !

À bientôt pour la suite de cette balade irlandaise !



La cathédrale Saint-Patrick, siège du culte anglican de l'Église d'Irlande s'élève dans les quartiers sud de la vieille ville de Dublin, la capitale de l’Irlande.

Arrêtons-nous et admirons !

Vous pouvez voir ou revoir la balade à Dublin sur ce lien !

(13 clichés)


La cathédrale Saint-Patrick est l'un des monuments religieux emblématiques de Dublin.
Plus haute que sa sœur, la Christ Church, la cathédrale Saint-Patrick fait forte impression avec son architecture gothique dans les quartiers sud du vieux Dublin.


Le monument, bien plus qu'une attraction pour les yeux, mêle dans son intérieur histoire et tradition.

Ici, le monument dédié à Richard Boyle, premier comte de Cork.
Ce monument a été érigé par Richard Boyle, 1er comte de Cork, en mémoire de sa seconde épouse, Lady Katherine, ainsi qu'une pierre tombale où y sont représentés des symboles chrétiens.


La cathédrale Saint-Patrick de Dublin a été construite au XIIe siècle sur la place d'un ancien lieu de culte qui, quant à lui, daterait du Ve siècle.

Le couple est entouré de ses enfants dans la partie inférieure du monument. Parmi ceux-ci se trouve Robert Boyle, scientifique de renom qui découvrit la loi de Boyle-Mariotte.


Les récits disent que c'est à cet endroit que Saint Patrick, qui a laissé son nom à l'église, aurait baptisé de nombreux disciples au commencement de l'évangélisation de l'Irlande.

Ici, George Grenville, né le 14 octobre 1712 à Westminster (Londres), mort le 13 novembre 1770 à Londres, est un homme d'État Whig britannique qui a occupé des fonctions gouvernementales durant une période de sept années, atteignant la fonction de Premier ministre de Grande-Bretagne (16 avril 1763-13 juillet 1765).


En 1191, les Normands ont remplacé le site d'origine par un édifice beaucoup plus important.

ici, Richard Boyle, 3e comte de Burlington et 4e comte de Cork, né le 25 avril 1694, mort le 15 décembre 1753, est un aristocrate, architecte néo-palladien et mécène anglais.
Surnommé le « comte architecte » et l'« Apollon des Arts », il ne montra qu'un intérêt très limité pour la politique, bien qu'il fût membre de la Chambre des lords et du Conseil privé du roi.


La cathédrale a fait ensuite l'objet de plusieurs améliorations et rajouts au XIIIe et au XVIIe siècle, constituant peu à peu le monument grandiose qui rehausse de nos jours la ville de Dublin.
Parmi ses doyens les plus connus figure l'écrivain Jonathan Swift, qui l'a administré entre 1713 et 1745.

Ici, John McNeill Boyd qui a été marin pendant la majeure partie de sa vie, gravissant rapidement les échelons de la Royal Navy.
Il est mort héroïquement en essayant de sauver la vie de ses camarades marins lors des pires tempêtes jamais survenues sur la côte est de l’Irlande.
Il est enterré dans le cimetière de la cathédrale Saint-Patrick.


Plus grande cathédrale et plus grand lieu de pèlerinage d’Irlande, la cathédrale Saint-Patrick se place au cœur de l’histoire et de la culture de Dublin depuis plus de 800 ans.


Dans la cathédrale, on trouve, la tombe et poitrine de Jonathan Swift, auteur des courses de Gulliver.
Il fut doyen de la cathédrale de 1713 à 1745.


La porte de la réconciliation !

Dans la cathédrale Saint-Patrick à Dublin, en Irlande, il y a une porte qui raconte une légende vieille de cinq siècles.
En 1492, deux familles, les Butler et les FitzGerald, ont commencé à se disputer une haute position de leur région.
Les choses s’étant envenimées, les Butler sont allés se réfugier dans la cathédrale.
Lorsque les FitzGerald y sont venus solliciter une trêve, les Butler ont redouté de leur ouvrir la porte ; si bien que les FitzGerald ont percé un trou dedans, et leur chef leur a tendu la main en signe de paix. Les deux familles se sont réconciliées, et des adversaires sont ainsi devenus des amis.


Ici, les plus illustres chevaliers de l'ordre de Saint-Patrick.


Le choeur !

Savez-vous qu'en 1310, le procès des templiers arrêtés en Irlande s'y est déroulé sous la conduite de l'évêque de Kildare, le siège de l'archevêque de Dublin étant vacant à ce moment-là.


Les stalles sont surplombées d'oriflammes de chevaliers, de casques et d'épées.

Belle visite !



C'est un fameux trois-mats fin comme un oiseau....hissez haut !

Le Jeanie Johnston est un bateau-musée situé à Dublin en Irlande. Il est une superbe réplique d'un trois-mâts ayant existé au XIXème siècle.
Ce jour là, Nicolas a pu le visiter !

Vous pouvez voir ou revoir la balade à Dublin sur ce lien !

(6 clichés)


Le premier Jeanie Johnston !

Le Jeanie Johnston original est construit pour être un cargo de commerce entre l'Irlande et l'Amérique du Nord.

Le 24 avril 1848, il fait son premier voyage d'immigrants irlandais, vers l'Amérique du Nord, une grande famine sévissant en Irlande. Entre 1848 et 1855, le Jeanie Johnston fera 16 voyages en direction de Québec, Baltimore et New York.

Malgré le nombre de passagers, et le long voyage, aucun d'eux ni de membre de l'équipage n'a perdu la vie à son bord.


En 1855, le Jeanie Johnston est vendu à William Johnson, de North Shields en Angleterre. En 1858, en route vers Québec, le trois-mâts prend une voie d'eau. L'équipage monte dans le gréement, et au bout de neuf jours, le bateau coulant lentement, est secouru par un navire néerlandais, le Sophie Elizabeth.


La réplique actuelle !

La construction de la réplique navire commence par des recherches approfondies en 1993, et aboutit à l'achèvement du navire en 2002. Une équipe internationale de jeunes, venant d'Irlande du Nord et du Sud, des États-Unis, du Canada et de nombreux autres pays, construit cette réplique sous la supervision de charpentiers de marine expérimentés.

Le navire est conçu par Fred Walker, ancien chef architecte naval du Musée national maritime de Greenwich1, en Angleterre.

En 2002, la réplique Jeanie Johnston appareille de Tralee pour le Canada et les États-Unis. Elle prend part aux différents Tall Ships' Races et fonctionne actuellement comme un voilier école.


Ce bateau-musée, vous propose alors de plonger au cœur de l’Histoire locale, au temps de la Grande Famine irlandaise… période particulièrement sombre, où la population irlandaise s’entassait par milliers dans des bateaux comme celui-ci, avec l’espoir d’atteindre le Nouveau Monde…


Ce musée est fascinant et poignant à la fois !



Dublin est la plus grande ville de l'île d'Irlande et de l'État d'Irlande, dont elle est la capitale.
Je vous invite à suivre Nicolas pour une petite balade découverte !

Cet article servira de récapitulatif à ette visite :

-Petite balade découverte de Dublin (ici)
-Le Jeanie Johnston, un trois-mâts barque irlandais (voir le lien)
-Cathédrale Saint-Patrick (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir la balade irlandaise de Nicolas depuis le début sur ce lien !

Ici, cathédrale Christ Church ou cathédrale de la Sainte-Trinité !
(8 clichés)


Manteau des armes de Dublin sur le poste de lampe du centre-ville de Dublin !



Croix papale au Phoenix Park de Dublin !

La croix papale a été érigée dans le Phoenix Park de Dublin où le Pape Jean Paul II a célébré la messe en 1979 et le Pape François a célébré la messe en 2018.


Hôtel de ville !

L'Hôtel de Ville de Dublin, originairement le Royal Exchange, est un bâtiment municipal de Dublin, en Irlande. Il a été construit entre 1769 et 1779, sur les plans de l'architecte Thomas Cooley, et est un exemple notable de l'architecture néoclassique du XVIIIᵉ siècle dans la ville.


Famine mémorial !

Le Mémorial de la Famine est un mémorial qui se dresse sur le quai de la douane en souvenir de la Grande Famine (1845-1849), qui a vu la population du pays réduite de moitié.

Le mémorial a été créé par Rowan Gillespie et présenté à la ville de Dublin en 1997. La sculpture représente six personnages grandeur nature vêtus de haillons, agrippés à leurs affaires et à leurs enfants.


Le Jeanie Johnston, trois-mâts barque irlandais !

Le Jeanie Johnston est un trois-mâts barque irlandais, à coque bois, réplique à l'identique d'un voilier construit au Québec en 1847 ayant servi à emmener les immigrés irlandais vers l'Amérique.


Quartier des docks, le pont Samuel Beckett !

Samuel Beckett, né le 13 avril 1906 à Cooldrinagh (Irlande) et mort le 22 décembre 1989 dans le 14e arrondissement de Paris, est un écrivain, poète et dramaturge irlandais d'expression principalement française et anglaise, lauréat du prix Nobel de littérature en 1969.

Le Pont Samuel Beckett est un pont à haubans visant à relier Macken Street au sud de la rivière Liffey, à Guild Street et North Wall Quay dans la zone des Dublin Docklands.
L'architecte du pont est Santiago Calatrava Valls.

La forme du montant et ses câbles est une évocation d'une harpe celtique couchée sur le côté. La harpe celtique est l'un des symboles nationaux irlandais.


Cathédrale saint-Patrick !

La cathédrale Saint-Patrick est le siège du culte anglican de l'Église d'Irlande et s'élève dans les quartiers sud de la vieille ville de Dublin.

À bientôt pour la suite de cette balade irlandaise !



Quand nous nous y mettons, nous sommes de vrais globe-trotter ! Cette année lors de notre séjour du côté de Morgat, nous sommes allés jusque Confort-Meilars, une commune du Cap Sizun dans le département du Finistère, en région Bretagne.

L'église Notre-Dame-de-Confort de Meilars, ancienne chapelle de pèlerinage, est devenue église paroissiale en 1910 et mérite le détour.

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!


Cet imposant calvaire de forme triangulaire pour une longueur de quelque 5,3 mètres, en granit, date du 16e siècle.
À la Révolution, les statues des apôtres qui occupaient les trois niches encadrées de colonnettes en nid d'abeille disparaissent, et sont retrouvées décapitées en 1849.

En 1870, le sculpteur Yann Larc'hantec en sculpte de nouvelles, de 1,7 mètre, qu'il fait poser sur le socle du calvaire, au pied de la croix.
Ce Christ en croix est foudroyé en 1978 et refait par Pierre Floc'h.


La chapelle Notre-Dame-de-Confort de Meilars est construite sous François Ier, entre 1528 et 1544. Elle présente toutes les caractéristiques de la première période du style ogival.

Au 16e siècle l'église est très fréquentée par les pèlerins, et plus encore au 17e siècle après les prédications de Michel Le Nobletz, recteur de Meilars vers 1617.

La chapelle Notre-Dame-de-Confort était, à la fin de l'Ancien Régime, avec 1000 livres de revenus annuels estimés, la sixième de l'évêché de Cornouaille pour le montant de ses revenus.


L'extérieur se distingue par le grand nombre d'ouvertures, des fenêtres surmontées de frontons triangulaires à remplages flamboyants ornés de crosses végétales, de croix et de bouquets trilobés.


Statue de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle.


L'église abrite une grande roue à carillons qui surplombe le chœur et dont le cercle en bois est recouvert de douze clochettes.
Les fidèles la font tourner et sonner à la messe, le dimanche, mais aussi pour les baptêmes et les mariages.

Les pèlerins venant prier Notre-Dame de Confort, faisaient brûler un cierge devant sa statue et avaient l'habitude de faire une offrande avant de faire tourner la roue à carillons.

Elle aurait eu le pouvoir miraculeux de redonner la parole aux enfants muets ou affectés d'un défaut d'élocution.

L'origine de cette pratique serait un antique rituel en usage dans l'ancienne Armorique.

Belle visite !



MENEZ HOM (29)

 26/12/2023
Le Ménez Hom est une montagne située en Bretagne, dans le département du Finistère, en pays de Cornouaille, entre l'Aulne et le terroir de Porzay, sur le territoire des communes de Plomodiern, Saint-Nic, Trégarvan et Dinéault où elle culmine à 329 mètres d'altitude.

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!


Elle domine la rade de Brest et la baie de Douarnenez, et termine les montagnes Noires. Le site a été classé patrimoine naturel en 2004 pour sa faune et sa flore.


La vue depuis le Menez Hom !


Le mot breton Menez signifie « mont » ou « montagne ». Komm (mutée ici en C'homm) signifie en vieux et moyen breton « vallée », et ressemble au gallois « Cwm » .

Belle balade !



Lors de notre dernière balade à Landevennec, nous avons pu visiter le musée de l’ancienne abbaye de Landévennec (Finistère) qui présentait une exposition inédite sur les malheurs qui ont touché le site religieux d’exception au début de l’an mille.

Des inondations et un incendie qui ont toutefois permis au lieu de renaître, encore plus beau, de ses cendres.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Landevennec depuis le début sur ce lien !

(5 clichés)


Le musée de l’ancienne abbaye de Landévennec revient sur une période marquante du site religieux fondé au Ve siècle, dans le fond de la rade de Brest, par saint Guénolé.


Sainte-Gwenn dite "Teir bronn" !
Sainte Gwenn est surnommée en breton Teir Bronn (aux trois seins) parce qu'elle a enfanté trois saints, les jumeaux Guethenoc et Jacut, puis saint Guénolé. Elle est l'épouse de saint Fragan, ils vivaient au Ve siècle.


Le scriptorium !
Dans son sens le plus étroit, le scriptorium désigne l'atelier d'une abbaye où se confectionnent des manuscrits.


Gisant de Jean du Vieux-Chastel !
Cette sculpture funéraire a été réalisée en hommage à l'abbé Jean du Vieux-Chastel mort en 1522.

Belle journée !



L'abbaye Saint-Guénolé de Landévennec est une abbaye située à Landévennec, commune de la presqu’île de Crozon en Cornouaille.

Elle est réputée avoir été fondée par saint Guénolé, personnage religieux qui aurait vécu à la fin du 5e siècle, ce qui en fait une des plus anciennes et plus importantes de Bretagne.

Abandonnée en 1793 et en ruine dans les années 1810, elle est relevée par une nouvelle communauté monastique bénédictine en 1958, qui y construit de nouveaux bâtiments.

C'est ce musée à ciel ouvert que nous avons pu découvrir pendant nos dernières vacances dans cette région !

Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Landevennec depuis le début sur ce lien !

(10 clichés)


Situation !

L'abbaye est située sur une presqu'île isolée entre le dernier méandre de l'Aulne maritime et la Rade de Brest, où choisirent de s’installer quelques moines au tout début du Haut Moyen Âge.


Gurdisten, abbé de Landévennec au 9e siècle est auteur d'une Vie de saint Guénolé, dans laquelle il écrit :

Il est un lieu secret
Au creux de la clairière
Paradis qu'un rutilant soleil
Éclaire à son lever
Tout embaumé de parfum
De mille fleurs printanières
C'est là qu'avec ses compagnons
Se fixa saint Guénolé.


Origine !

Disciple de saint Budoc de Dol qui s'était fixé avec des moines dans l'île Lavrec, près de l'île de Bréhat, (aujourd'hui département des Côtes-d'Armor), Guénolé vint s'établir avec onze compagnons dans le site de l'estuaire de l'Aulne (Finistère), d'abord dans l'île de Tibidy en 482 et, trois ans plus tard, à Landévennec.
Il gagna l'amitié de Gradlon, premier prince de Cornouaille, contemporain de saint Corentin que l'on considère comme le premier évêque de Quimper.


Saint-Guénolé !

La vie du saint légendaire Guénolé nous a été rapportée par ses deux hagiographies, rédigées au 9e siècle par l'abbé Gurdisten et le moine Clément dont le texte est repris par Gurdisten.
Saint Guénolé prit une part considérable à l'évangélisation de la Cornouaille et l'abbaye de Landévennec devint la principale source des institutions monastiques en Bretagne.


Visualisation du réfectoire et des cuisines de l'abbaye !


Cette abbaye, créée si l'on en croit la tradition vers 485, suivait la règle des Scotsa, dans la tradition du christianisme celtique.
Les moines irlandais, ou scots, étaient vêtus d'une tunique souvent de couleur blanche et d'une coule en grosse étoffe de laine, munie d'un capuchon.


Obéissance, pauvreté et chasteté étaient strictement pratiquées par les moines bretons.

« Vaquez à l'étude avec humilité, sans vous enorgueillir de votre science, soumettez-vous au travail manuel avec abaissement et contrition de cœur, sans rechercher la louange des hommes dans l'exercice de votre art, sans mépriser celui qui l'ignore, insistez sans cesse sur la prière accompagnée de jeûnes et de veilles ».


Le jardin des simples !


Mausolée du roi Gralon !


Saint-Guénolé !

À bientôt pour la suite de cette balade!



Landévennec est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne. Elle est située à l'embouchure de l'Aulne dans la rade de Brest, à égale distance de Brest et de Quimper (55 km).

Cet article servira de récapitulatif à notre balade à Landevennec:

-la magie de Landevennec (ici)
-l'ancienne abbaye saint-Guénolé (voir le lien)
-exposition "sur des cendres fumantes" (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!

Cliquez sur les photos pour les agrandir !
(8 clichés)


Débutons notre promenade par la visite de l'église Notre-Dame de Landevennec.
La petite église de Landévennec date du 17e siècle et est située au nord du bourg, en bordure de mer.
L'enclos percé d'un portail surmonté d'une niche permet d'accéder au cimetière marin qui entoure l'église.


Les tombes disposées en espalier sont tournées vers l'océan.


L'ensemble de l'église date en grande partie du 17e siècle.


On peut y admirer de belles statues.


Ce tableau représente saint-Corentin devant la cathédrale de Quimper.
On distingue la flèche en plomb du transept, brûlé en 1620, les fortifications, le port Sainte-Catherine. Un seigneur coupe en deux le poisson du saint, au bord de la fontaine.


L'autre tableau représente le supplice d'un jeune martyr, saint-Sébastien.
Un bourreau lui lie les pieds, un autre lui passe des liens sur le milieu du corps.
Les personnages sont au nombre de sept ou huit.
L'un tient en main une flèche, l'autre une enseigne romaine.


À bientôt pour la suite de cette balade !



Guilvinec, très souvent appelée Le Guilvinec, est une commune située dans le département du Finistère.
 
Le quartier maritime de Guilvinec rassemble les ports de pêche du Pays Bigouden : Saint-Guénolé, Guilvinec-Léchiagat, Lesconil, Loctudy.
C'est le premier quartier maritime de France pour la pêche tant en nombre de marins, environ 1 000 marins.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(7 clichés)


La côte rocheuse de la presqu'île de Penmarc'h, prolongée par un plateau continental en pente très douce sous la surface de l'Océan, en fait un lieu de pêche remarquable, qui explique à l'origine le dynamisme de la pêche bigoudène. 


À l'origine simple port d'échouage situé dans le fond de l'estuaire du Ster, le port étend désormais ses quais et ses infrastructures sur les deux rives de la partie aval du dit estuaire, principalement sur la rive droite, côté Guilvinec, mais également sur la rive gauche, côté Léchiagat.


En 1863, c'est l'arrivée du chemin de fer à Quimper qui provoque l'essor de Guilvinec.


Son havre, à proximité des lieux de pêche du maquereau, attire jusqu'à 300 chaloupes de toute la Cornouaille.


Les mareyeurs organisent un service d'expédition rapide vers la gare de Quimper.


Guilvinec devient, alors, le premier port de France dans l'expédition du maquereau frais.



Nouveau voyage......nouvelle féerie....direction l'Alsace
En effet, nous allons passer quelques jours à Riquewihr, ce petit village alsacien que nous avons visité dernièrement lors de notre balade sur les marchés de Noël!

Cet article servira de récapitulatif à cette balade alsacienne:

-C'est Noël (ici)

-Une décoration de fête (voir l'article sur ce lien)

-Féerie de Noël (voir l'article sur ce lien)

-Quelques gourmandises pour le Réveillon (voir l'article sur ce lien)

-Noël aux fenêtres(I) (voir l'article sur ce lien)

-Noël aux fenêtres (II) (voir l'article sur ce lien)

-Des façades en fêtes (voir l'article sur ce lien)

-Restaurant Le Sarment d'Or (voir l'article sur ce lien)

Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquant sur ce lien.

Cliquez sur les photos pour les agrandir!


Certaines photos ont pris l'eau.....mais elles étaient trop belles pour ne pas les faire figurer dans mon histoire!


Riquewihr, qui a su conjuguer depuis des siècles la qualité de son architecture à celle de son patrimoine est une étape incontournable de la découverte de l’Alsace.


Au moment de Noël, la ville ruisselle de lumière.


Et le décor féérique de la cité allie l’esprit de Noël à tout ce qui fait le charme de l’Alsace!


Le Dolder, qui signifie en alsacien « le point le plus haut » était la porte d'entrée de la ville de Riquewihr construite en même temps que l'enceinte fortifiée au 13e siècle.


Les rues se parent de décors scintillants.


Les façades et les monuments s‘illuminent.


Les échoppes du marché de Noël s’animent ….


Le tout dans une ambiance bien sympathique!


La balade ne fait que commencer!


À demain pour la suite!



La ville d'Aix-la-Chapelle, située près de la frontière avec la Belgique et les Pays-Bas, est l'ancienne capitale impériale du Saint-Empire Romain Germanique, rendue célèbre par Charlemagne et Frédérique Barberousse.

Cet article servira de récapitulatif à notre balade sur le marché de Noël d'Aix-la-Chapelle!

-Marché de Noël (I) (ici)

-Marché de Noël (II) (voir le lien)

-Marché de Noël gourmand (voir le lien)
 
Vous pouvez voir ou revoir notre balade à Aix-la-Chapelle depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Vous pouvez voir ou revoir d'autres marchés de Noël en cliquant sur ce lien.
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(12 clichés)


Le marché de Noël d'Aix-la-Chapelle a lieu à plusieurs endroits de la ville et notamment sur la place historique, la "Marktplatz"!


L'Hôtel de Ville sur plan arrière forme un charmant décor!


Un peu plus loin nous avons la cathédrale en plan arrière! Le décor change mais reste tout aussi charmant.


Ce marché de Noël est typique et vraiment unique!


Ce stand présente de magnifiques dentelles! Comment ne pas se laisser tenter!


Voilà pour les gourmands un nombre incalculable d'emporte-pièces!


Les cuisinières sont, elles aussi, à la fête.


Les nombreuses décorations nous font rêver!


Le marché de Noël d'Aix-la-Chapelle est connu bien au-delà des frontières.


Et, chaque année.....


.....les rues et places autour de la cathédrale d'Aix-la-Chapelle, premier monument d'Allemagne classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, se transforment en un véritable paradis avec des sonorités de Noël et des odeurs alléchantes....
 
À demain pour la suite de cette balade sur le marché de Noël d'Aix-la-Chapelle!



La pointe du Millier est un cap situé sur la commune de Beuzec-Cap-Sizun, entre le pays de Douarnenez et le Cap-Sizun, situé à l'extrême ouest de la Bretagne, dont les falaises atteignent jusqu'à 70 mètres de hauteur.

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!

Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(6 clichés)


Le phare du Millier a été construit en 1881, sur la côte nord du Cap-Sizun, en baie de Douarnenez, à la pointe du Millier, sur la commune de Beuzec-Cap-Sizun.
Il est en granit enduit et son toit est en ardoises et comprend une lanterne, sur une tour à demi encastrée, à 34 mètres au-dessus de la mer.


Cette pointe forme l'entrée de la baie de Douarnenez avec le cap de la Chèvre. C'est un site aride sur lequel se trouve un petit phare.


La pointe de Dinan est une pointe de Bretagne dans la presqu'île de Crozon, marquant la limite nord-ouest du cap de la Chèvre.
Elle est située au sud de Camaret-sur-Mer, sur le territoire de la commune de Crozon.


Une de ses extrémités forme comme une forteresse naturelle, à l'allure d'une ruine de château, avec son arche telle un pont-levis, c'est pour cela qu'on trouve souvent l'appellation château de Dinan ou château des géants pour cette formation rocheuse, formée de grès armoricain.


Par temps clair, le panorama permet d'embrasser la mer d'Iroise qui fut si fertile en naufrages, toute la côte ouest de la presqu'île jusqu'au sémaphore du cap de la Chèvre, au nord-ouest la pointe de Pen-Hir et ses Tas de Pois.



Camaret-sur-Mer, commune située dans le département du Finistère, fut notre port d'attache tout au long de ce séjour!
 
Ce jour là, après avoir fait cette belle croisière en rade de Brest, nous sommes rentrés sur Camaret.
Puis, l'après-midi, nous avons décidé de suivre notre guide afin de faire une balade à pied et découvrir la pointe de Pen-Hir située non loin de là!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(9 clichés)


Nous suivons la mer.
Au loin, se détachent les falaises de Camaret-sur-Mer.
Très hautes, avec une différence de niveau d'environ 70 mètres avec la mer d'Iroise, elles sont formées de grès armoricain.


C'est à Pen-Hir que l'on peut voir la borne du millième kilomètre du GR.


La pointe correspond à l’une des extrémités occidentales de la presqu’île de Crozon.


Tout au bout de la pointe, face à la mer, la Croix de Pen-Hir!
Le monument aux Bretons de la France libre, dite Croix de Pen-Hir est un monument commémoratif aux Bretons de la France libre, inauguré dans les années 1960 par le général de Gaulle.


Ce monument, construit en granite bleu de Brennilis, il est destiné à porter témoignage de l'existence des Français libres bretons, qui ont notamment fondé l'association Sao Breiz en Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale.
Elle a été créée de 1949 à 1951 par l'architecte Jean-Baptiste Mathon et le sculpteur François Victor Bazin.


Au loin, la pointe du Toulinguet!
Elle se situe, elle aussi, à l'extrémité de la Presqu'île de Crozon sur la commune de Camaret-sur-Mer.


Sur le chemin du retour nous avons une belle vue sur le village de Camaret.


En contrebas de la pointe se trouvent les Tas de Pois:
.....Grand Dahouët, Petit Dahouet, Penn-Glaz (tête verte), Chelott, Bern-Id et Ar Forc'h (la Fourche).....
Cet avancement fut anciennement nommé à cause de leur forme Pézeaux ou Tas de Foin avant d'être rebaptisé au milieu du 19e siècle en Tas de Pois.
 
Ces Tas de Pois à l'extrémité de la pointe de Pen Hir sont sans aucun doute le paysage marin le plus représentatif de Camaret-sur-Mer.



En revenant de notre balade vers la pointe de Pen Hir, nos pas nous ont conduits, non loin de là, vers le Musée Mémorial de la pointe de Pen-Hir!

D'immenses  ancres de marine signalent l’ensemble fortifié du Kerbonn consacré à la bataille de l'Atlantique et qui rend hommage à tous les marins, civils comme militaires, disparus en mer au cours de cet épisode capital de la Seconde Guerre mondiale.

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!

Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(6 clichés)


Sur les ancres sont gravées des poèmes.
 
Océan,
Catastrophe constante,
Agrégat de tourmentes,
Tragédie sans fin,
Oh fais taire tes orgues barbares du large !
Haut sur sa dune aux immortelles d'or
Un poète te parle !
 
Dis, mon grand
Si grand qu'il me semble sombrer dans ta barbe d'écume,
Dis, mon grand si grand que me voici néant,
Vaine fourmi près d'un géant,
Dis, mon grand,
J'ose, moi le veilleur à la proue du vieux monde,
T'implorer pour ceux qui labourent ton onde.
 
Saint-Pol Roux
Extrait de Prière à l'océan-aux pêcheurs de Camaret


Le musée a été aménagé dans un des blockhaus de la falaise de Kerbonn, à 50 m au-dessus de la mer.

L’ensemble fortifié du Kerbonn fait partie des témoignages sur le mur de l’Atlantique, lors des affrontements de la Seconde Guerre mondiale.


La batterie du Kerbonn est construite à proximité de la pointe de Pen-Hir sur la base d’anciennes fortifications édifiées par Vauban.


Avec le système en place sur la pointe du Touliguet que l’on aperçoit au-delà de l’anse et de la plage de Pen Hat, il participe au dispositif de défense du goulet de Brest, d’où son intérêt stratégique depuis longtemps.





Le Cap de la Chèvre est le cap méridional de la presqu'île de Crozon, dans l'ouest de la Bretagne. En tant que pointe avancée sur l'Atlantique ce cap est un lieu stratégique d'observation de la mer.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(5 clichés)


Ce site, isolé du reste de la population de Crozon, contrôle l'entrée de la Baie de Douarnenez, et la présence militaire y est très ancienne.
Un corps de garde et une batterie de canons y étaient implantés sous la Royauté.


Près du sémaphore, un Mémorial de l'Aéronautique Navale, a été édifié dans un des 4 encuvements de la batterie côtière.


Il est dédié aux 646 marins morts en service aérien commandé.


Ce site est aussi classé pour son paysage exceptionnel et fait partie du Parc naturel régional d'Armorique.



Avant de quitter le Cap de la Chèvre, notre guide nous arrête non loin d'un très joli hameau breton, Menesguen!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(10 clichés)


Ce village, aux maisons traditionnelles, nous accueille simplement!


Il suffit de s'imprégner....


.....de cette ambiance rustique!


Les anciennes fermes, avec leurs dépendances, règnent dans un paysage battu aux quatre vents.


À Menesguen, les toits ont été restaurés de manière traditionnelle. Les ardoises sont jointoyées au mortier de chaux et au ciment.


Un dernier arrêt avant la fin de notre cinquième journée dans le finistère! Morgat!


L'anse de Morgat, située en baie de Douarnenez, est limitée par la pointe des Grottes à l'est et la pointe du Kador à l'ouest.

Elle abritait autrefois un port sardinier puis un port thonier.


La villa Ker Ar Bruck est une maison en fer, caractéristique des constructions balnéaires de Morgat édifiées à la fin du 19e siècle.
Elle  a été construite en 1889 selon le procédé de Joseph Danly.


Cet ancien petit village de pêcheurs est, peu à peu, devenu une station balnéaire à partir du 19 siècle, sous l'impulsion d'Armand Peugeot.

Armand Peugeot, né le 18 juin 1849 à Valentigney, dans le Doubs, et mort le 4 février 1915 à Neuilly-sur-Seine, est un membre de la famille Peugeot, qui a lancé Peugeot dans l'ère de l'automobile et de la bicyclette.



Le cap Sizun est l'extrémité occidentale de la Cornouaille, dans le sud-ouest du Finistère en Bretagne, dont la capitale est Pont-Croix.
 
La pointe du Raz, elle, est un promontoire rocheux constituant la partie la plus avancée vers l'ouest du cap Sizun, face à la mer d'Iroise au sud-ouest du Finistère.
 
Vous l'avez deviné! Aujourd'hui, je vous emmène visiter...La Pointe du Raz!
 
Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(10 clichés)


Dans ce décor de hautes falaises couvertes de landes, exposées aux flots et aux vents, la Pointe du Raz est le site naturel le plus connu du Finistère.


Située à la pointe du Raz, Notre-Dame des Naufragés, réalisée en 1904, est une sculpture de Cyprian Godebski.
 
Cyprien Godebski, né en 1835 à Méry-sur-Cher et mort en 1909 à Paris, est un sculpteur français.


Cette sculpture en marbre de Carrare est dressée sur un socle de granit, piédestal dessiné par le chanoine J.M. Abgrall, architecte.
Le groupe, haut de 6 mètres, s'élève sur un piédestal de 4, 50 m.


Tous les ans, le dernier dimanche de juillet, est célébré le pardon de Notre-Dame des Naufragés.


La côte qui s’étire de la Pointe du Van à la Pointe du Millier, offre une succession d’éperons rocheux convertis en sites fortifiés à l’âge du fer.
De nos jours, les oiseaux marins en font leurs univers, ainsi, une partie de cet espace constitue la Réserve ornithologique du Cap Sizun.


Le soleil fait son apparition! J'en profite pour prendre en photo le phare de la Vieille et la tourelle de la Plate, tous les deux situés juste devant la Pointe du Raz!
 
Le phare de la Vieille est un phare maritime construit de 1882 à 1887 sur le rocher de Gorlebella, « la roche la plus éloignée » en breton.
Il éclaire et sécurise fortement le passage dangereux du raz de Sein.
 
La tourelle de la Plate est une balise située dans le raz de Sein.
Encore appelée « Petite Vieille », elle accompagne le phare de la Vieille, face à la pointe du Raz.


La Pointe du Raz est un site exceptionnel pour réunir les amis et prendre quelques photos.


....Eddy, Paul, moi et Clémentine....


Merci Paul pour ces quelques clichés....superbes souvenirs de cette magnifique balade!



Plougastel-Daoulas est une ville du département du Finistère en région Bretagne.
Lors de notre dernier séjour dans cette région nous nous sommes arrêtés à Plougastel afin d'admirer le très beau calvaire de Plougastel situé devant l'église paroissiale Saint-Pierre !

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien !
Nos balades en Bretagne sur ce lien !
(6 clichés)


La tradition et l’histoire font du calvaire de Plougastel-Daoulas un ex-voto marquant en 1598, la fin de l’épidémie de peste qui venait de décimer un tiers de la population de la presqu’île.
Le seigneur de Kererault serait mort le 27 septembre 1598 en faisant le vœu qu’un calvaire soit édifié en ex-voto s’il était le dernier mort de la peste.


Sur ce socle de microdiorite quartzique jaune de Logonna-Daoulas, 182 statues sont sculptées en pierre de Kersanton de couleur bleue.
Elles illustrent, en 28 tableaux, des scènes bibliques de la vie du Christ.


La distribution des figures n’est pas ordonnée linéairement avec exactitude mais semble correspondre à quatre thématiques répondant aux points cardinaux.


Ce sont à l’Est la naissance et l’ensevelissement, au Nord la souffrance, au Sud la Pâque et le chemin de croix, à l’Ouest la mort et la résurrection.


Comme pour les autres calvaires, il faut lire les scènes dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, en commençant par l'Annonciation et faire sept fois le tour du calvaire en suivant les étapes de la vie de Jésus.

À bientôt pour une nouvelle balade !



Poullan-sur-Mer est située à l'entrée nord-est de la presqu'île du Cap Sizun, en bordure sud de la Baie de Douarnenez.

Lors de notre dernier séjour dans cette région, nous nous y sommes arrêtés pour visiter la très jolie chapelle Notre-Dame-de-Kerinec.
Hélas pour nous, elle était fermée.

Faisons, tout de même le tour du propriétaire !

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien !
Nos balades en Bretagne sur ce lien !
(4 clichés)


La chapelle Notre-Dame-de-Kérinec a été construite en 1280 sur une source (devenue une fontaine sacrée) qui, antérieurement, semble avoir été un lieu de culte païen.

Toute l'enveloppe extérieure est reconstruite à l'extrême fin du14e siècle.
C'est alors que le chevet et les croisillons sont percés de grandes fenêtres.
C'est du 15e siècle que date le clocher-mur.


La fontaine et le calvaire-chaire sont du 16e siècle.


La fontaine est restaurée au 17e siècle.

À bientôt pour une autre balade !



Le Faou est une commune du Finistère situé en région Bretagne. Lors de notre dernier voyage dans cette région, nous avons pu visiter la très jolie église Saint-Sauveur du Faou.

Vous pouvez voir ou revoir notre balade au Faou sur ce lien !
(10 clichés)


L'église fut fondée par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
L'édifice fut reconstruit en 1544 et en 1680 avec un fin clocher en dôme du style Renaissance et faisant face au port.


Dans le porche on peut admirer six saints de chaque côté.


Sa courte nef contraste avec un large transept double. 


Retable du rosaire en bois polychrome du 17e siècle !

La statue de la Vierge à l’Enfant, sculptée par Alain Castel en 1682, est flanquée de bas-reliefs dorés datant du début du 17e siècle et représentant la Dormition et le Couronnement de la Vierge. Surmontant cet assemblage, une grande toile, peinte en 1649 par le Morlaisien Jacques Noblet, présente le thème classique de la Vierge donnant le rosaire à saint Dominique, accompagné de sainte Catherine de Sienne et d’un chien tenant un flambeau.

Elle rappelle le vœu de Louis XIII, qui mit le royaume sous la protection de la Vierge afin d’avoir un héritier.


Il faut savoir qu'à marée haute, la mer vient baigner les murs de l’ancien cimetière, qui fut déménagé en 1868.


Cette église possède un riche mobilier, retable et statuaire en bois polychrome.


La chaire !


Cuve baptismale du 16e siècle !

Cette cuve baptismale porte des phylactères sur lesquels sont peints les noms des quatre fleuves du paradis : le Géhon, le Phison, le Tigris et l’Euphrate.
Conservant des traces de polychromie, elle est sculptée sur toutes les faces, à l’exception d’une partie martelée pendant la Révolution pour en effacer des armoiries.
Entourés de feuillages, de serpents et de colombes, un lin, un cerf, un chien, une main et des têtes d’angelots la décorent et symbolisent la renaissance de l’homme par le baptême.


À bientôt pour une nouvelle balade !



Le Faou est une commune du Finistère situé en région Bretagne.

Cet article servira de récapitulatif à notre balade au Faou:

-Un village en forme de rue (ici)
-Église Saint-Sauveur (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien !
(6 clichés)


Église Saint-Sauveur !

L'église Saint-Sauveur est décrite ainsi en 1928 : « Voici la petite église du Faou, Saint-Sauveur, sur son rempart en terrasse !


Un village en forme de rue !

Du port et du faubourg Saint-Joseph au champ de foire, sur la route qui relie le pays de Léon à celui de la Cornouaille, s'étire une longue rue commerçante.


Entre deux rives, un pont sur l'emplacement d'un gué ancien rappelle la notion de « point de passage obligé », à l'origine du développement de la cité, dont la création remonte au 11e siècle.
Le Faou était alors un important relais de poste à cheval.
Foires et marchés y étaient fréquents.


Le Faou possède la plus grande densité de maisons en pan de bois du département.
La rue principale, la rue du Général-de-Gaulle, est bordée de maisons bâties de schiste et de granit, à encorbellement datant du 16e siècle.


Occulté par des parements d'ardoise après la Révolution, le colombage du premier étage et du comble est garni de quenouille, petite pièce de bois maintenant un remplissage en torchis.

Bien que ce mode de construction ait été interdit après 1561 à cause des risques d'incendie, la plupart des maisons de ce type, bâties au Faou, datent de la fin du 16e.

À bientôt pour la suite de cette balade !



Enserrée entre les falaises de la pointe du Raz et la pointe du Van, la baie des trépassés fait partie de la côte d'Iroise.
Son rivage forme une longue plage de sable reliant les deux pointes.

Mais que veut dire "trépassé" ?
Le mot "trépassé" provient de l’ancien français « trespasser » et représente l’action de passer de la vie à la mort, avec une notion de changement.

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien !


Une des nombreuses légendes attribuées à la baie des trépassés !
Cette légende parle des marins trépassés qui revenaient parmi les vivants, chez leurs proches, tous les 2 novembre, le lendemain de la Toussaint.
Les bretons allumaient alors de grands feux dans leurs maisons, pour qu’ils puissent venir s’y réchauffer.

Une tradition celtique !
Une tradition celtique rapporte que cette baie était le lieu d'embarquement des druides morts en partance pour l'île de Sein. 


Terminons par cette dernière croyance bretonne !
Selon une croyance bretonne, durant la nuit de Noël, la baie des Trépassés résonnerait des chants des âmes en peine qui sont ballotées sur le bateau des morts.

À bientôt !



Notre séjour dans le Finistère se termine avec la visite d'une très jolie chapelle située sur la commune de Plomodiern dans le Finistère!
Et là, je dois remercier Bernard, notre guide, pour nous avoir fait découvrir des merveilles tout au long de nos vacances sur la presqu'île de Crozon!
 
Le Ménez Hom est une montagne située sur le territoire des communes de Plomodiern, Saint-Nic, Trégarvan et Dinéault où elle culmine à 330 mètres d'altitude.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(11 clichés)


La chapelle de Sainte-Marie-du-Ménez-Hom est classée au titre des monuments historiques depuis le 28 octobre 1916. En breton on l'appelle Ti ar Werc'hez (la Maison de la Vierge) comme le langage populaire dénommait les chapelles ayant la Vierge Marie pour patronne.


La chapelle fut construite en 1570 sur les ruines d’une chapelle romane. Elle est modifiée au 17e siècle comme en témoigne le clocher, débuté en 1668 et terminé en 1773.


L'existence jusqu'au début du 20e siècle de foires importantes à cet endroit explique les importantes collectes d'argent qui ont permis d'édifier la chapelle.
Les dons affluaient, ce qui explique la beauté de l'édifice et la richesse du mobilier.


À l'intérieur de la chapelle les trois retables baroques du maître-autel et des deux autels latéraux sud et nord, avec leurs boiseries datent du début du 18e siècle.


Le retable central a été fait par Jean Le Séven, maître menuisier et Jean Cévaër, maître sculpteur.
Des colonnes torses, une abondante statuaire, de nombreux bas-reliefs encadrent la maîtresse-vitre.
La partie centrale illustre la Sainte Famille et porte des statues de la Vierge Marie, de saint Joseph, de sainte Anne et de saint Joachim.


Le retable sud est consacré aux saints fondateurs de l'Église, saint Pierre, saint Jacques, saint André, saint Paul.
Le retable nord illustre saint Jean-Baptiste, saint Louis, saint Laurent et sainte Marie-Madeleine.


Des sablières remarquables sont encore en place dont celle évoquant la légende du riche laboureur écrasé par son attelage parce qu'il s'était moqué de la Sainte Famille juchée sur un âne lors de la fuite en Égypte.


En charpente, une panne sablière est une poutre placée horizontalement à la base du versant de toiture, sur le mur de façade.
On la nomme ainsi car on la posait sur un lit de sable, qui en fuyant, permettait à la poutre de prendre sa place lentement.


La chapelle se situe dans un enclos paroissial! Elle fut, en son temps, un lieu de pèlerinage et de foire très fréquenté.


On pénètre, dans cet enclos, par un arc de triomphe daté de 1739 qui porte une statue de saint Hervé aveugle représenté avec son petit compagnon-guide Guic'haran.

N'hésitez pas à vous renseigner. La visite de cette chapelle est incontournable!



Le Moulin de Kériolet est un moulin à eau situé sur la commune de Beuzec-Cap-Sizun.
Le moulin se trouve dans le vallon du Kériolet dans la zone protégée de la pointe du Millier1 gérée par le conservatoire du littoral.

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!


Le moulin de Kériolet a été construit en 1868.
À l'origine il était équipé d'une pirouette (petite roue horizontale). Le site du moulin est établi dans une vallée où il existe historiquement de nombreux moulins.
Il y avait déjà vers 1598, aux environs de l'actuel emplacement du moulin, deux autres moulins appartenant au marquis de Plœuc.


En 1878, pour profiter au mieux de la force de sa chute d'eau, le meunier transforme son moulin en le dotant d'une roue à augets de 8 m de diamètre qui est soutenue par le triple escalier extérieur.


Photos suivantes prises sur le Net !

Le moulin de Kériolet est un édifice de plan rectangulaire, qui s'étend sur 3 niveaux et qui est accolé à une colline.


Le moulin a fonctionné jusqu'en 1958, date à laquelle Yvon Le Brun, petit fils du constructeur d’origine, a décidé de démonter les deux meules afin de les installer dans sa ferme.


L’association Moulin de Keriolet est créée en 1998.
Avec la participation de la commune, de l'Association des Amis des Moulins du Finistère et du Conservatoire, le moulin entre dans une longue phase de travaux de réhabilitation.

Belle balade !



J'ai commencé à vous parler de la Pointe Saint-Mathieu, de sa légende, de son abbaye....sur ce lien!
 
Aujourd'hui, je poursuis ma balade et mes pas m'emmènent vers cette charmante chapelle Notre-Dame-de-Grâce qui fut, jadis, l'église paroissiale de Saint-Mathieu.
 
Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(11 clichés)


Chapelle Notre-Dame-de-Grâce!
Située à la Pointe Saint Mathieu, à l’extrémité sud de la place de l’abbaye, cette chapelle était jadis l'église paroissiale de Saint-Mathieu.

L’église paroissiale Notre Dame du Bout du Monde (an Itron Pen-ar-Bed) était proche de l’abbaye Saint-Mathieu qui attirait les convoitises et qui fut à de nombreuses reprises attaquée, pillée, incendiée puis reconstruite.


La Pointe fut ravagée en 1558 par une expédition anglo-hollandaise. La ville de Saint Mathieu ne s’en relèvera pas.

L’église paroissiale Notre Dame du Bout du Monde (an Itron Pen-ar-Bed) est détruite, son portail monumental du 14e, seul vestige de cette église, donne une idée de sa taille.


Nous avons pu y admirer quelques statues telles que Notre-Dame-de-Grâce (Introun Varia ar C’hras)...


...ou même sainte-Anne.


Un peu plus loin, le Mémorial national des marins morts pour la France!
À l'extrémité ouest du Finistère, sur la Pointe Saint-Mathieu, se dresse, face à la mer d'Iroise, le monument national des marins morts pour la France.


C'est sur ce site que les plus hautes autorités de l'Etat décidèrent en 1923, sur l'initiative de l'Amiral Guepratte, député du Finistère, d'élever le Monument National consacré à la mémoire des marins morts pour la France.


La stèle réalisée par René Quillivic et inaugurée le 12 juin 1927 représente une femme de marin, en coiffe de deuil, incarnation de la tristesse de la mère ou de la veuve du marin.


Les bas-reliefs, présents sur les quatre faces du pylône, symbolisent les actions menées par les marins pour la défense de la patrie.


Escarpée, découpée, tourmentée, la côte rocheuse.....


.....offre un belvédère unique sur la mer d’Iroise.



Pour terminer, en beauté, cette première journée dans le Finistère, nous nous sommes arrêtés au niveau du pont de Térénez!

Le pont de Térénez enjambe l'Aulne entre Argol et Rosnoën sur la route départementale 791 qui relie Crozon au Faou.
Il est considéré comme un élément essentiel de désenclavement pour la presqu'île de Crozon, évitant un détour de 47 kilomètres via Châteaulin afin de rejoindre le Nord-Finistère.

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!
 
Cliquez sur les photos pour les agrandir!
(5 clichés)


Avant la construction du pont, la traversée de l'Aulne se faisait par bacs afin d'assurer la continuité de la route nationale.
Les accidents étaient très nombreux, notamment les jours de foire en raison d'un bac à fond plat et peu manœuvrable qui était emporté par le courant des marées et chavirait.
L'Aulne engloutissait les hommes, les chevaux et les marchandises.


Pont de 1925!
Le premier pont de Térénez a été construit entre 1913 et 1925.
C'était un pont suspendu qui fut, à l'époque, le plus grand pont suspendu d'Europe.


Pont de 1952!
Ce nouveau pont, basé sur ses piles d'origine est un pont suspendu, comme le précédent, qui reprend les mêmes mensurations.
Malheureusement, la pénurie de matériaux de qualité à l'époque entraîne l'utilisation de ciment de mauvaise qualité.
Le pont contracte alors le "cancer du béton"!


Pont de 2011!
Le projet retenu pour le pont actuel s'est orienté vers une reconstruction du pont de Térénez à proximité du pont actuel.
L'option majeure est d'offrir des accès en courbe pour fluidifier la circulation.
 
L'ouvrage est récompensé en 2013 par le World Infrastructure Award et en 2014 par le prix du plus bel ouvrage d’art remis par la Fédération internationale du béton.
Il détient le record du monde de portance en courbe et sans support.



À Plougonvelin la pointe de Saint-Mathieu est depuis des siècles un lieu de départ pour le pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle, en Espagne.

Cette stèle en marque le point de départ !

Vous pouvez voir ou revoir notre séjour "Terre et mer en Finistère" depuis le début en cliquant sur ce lien!



La Scala de Milan, ou simplement la Scala est un théâtre d'opéra situé à Milan, en Italie. Il a été inauguré le 3 août 1778.

Avec le Teatro San Carlo de Naples, qui date de la même époque, et la Fenice de Venise, bâti quatre ans plus tard, la Scala fait partie des salles d'opéra italiennes de renommée internationale.

Vous pouvez voir la balade de Nicolas à Milan depuis le début sur ce lien !

(11 clichés)


Lorsqu’un incendie a détruit l’ancien Teatro Ducale en 1776, l’archiduc Fernand d’Autriche a donné l’ordre d’en construire un nouveau. Le théâtre a été construit sur le lieu où se trouvait l’Eglise Santa Maria alla Scala qui donnera son nom au nouveau théâtre de la ville.


Le parcours inclut la visite du grand vestibule du théâtre.


L’immense enceinte de l’auditorium a été réalisée en bois revêtu de velours rouge et est décorée avec des stucs dorés.


Au-dessus de la scène se trouve un énorme lustre en cristal de Bohême composé de 383 ampoules.


Les petites loges revêtues de velours rouge, du haut desquelles la haute société contemplait les œuvres. Aujourd’hui encore, il s’agit des places les plus chères.


Le théâtre possède un musée abritant une grande collection de tableaux, bustes, costumes et différents éléments en lien avec l’univers de l’opéra.


Le piano-forte offert à Giuseppe Verdi et visible au musée de la Scala.


L'établissement dispose de salles de répétition, d'une scène et de milliers de costumes différents....


......tous plus beaux les uns que les autres !


À bientôt pour une nouvelle balade !



Le château des Sforza, situé dans le centre-ville de Milan en Italie, est une forteresse construite au 15e siècle par Francesco Sforza, duc de Milan, sur les ruines d'une citadelle édifiée au même endroit par Galéas II Visconti.
Il est aujourd'hui transformé en musée.

Vous pouvez voir la balade de Nicolas à Milan depuis le début sur ce lien !

(13 clichés)


Au fil des siècles, le Château a eu de nombreux maîtres, autant que les gouvernements qui se sont succédé dans l'histoire de Milan, avant l'unification de l'Italie. 


La Piétà Rondanini de Michel-Ange !

La Pietà Rondanini est une sculpture non finito en marbre de Michel-Ange représentant Marie (mère de Jésus), debout, soutenant le corps du Christ, sculptée en 1552-1553 (première version) et remaniée de 1555 à 1564 environ.

Le nom Rondanini fait référence au fait que la sculpture se tenait pendant des siècles dans la cour du palazzo Rondanini à Rome2.

Il s'agit du dernier ouvrage de l'auteur qui, selon des sources, y aurait travaillé jusqu'à quelques jours avant sa mort.



Après une nouvelle restauration après les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, le Château devint le siège de la Galerie d'art moderne (jusqu'en 1920) et de l'École supérieure d'art appliqué à l'ingénierie (jusqu'en 1999).


Le château est l'une des plus belles structures fortifiées d'Italie et l'une des plus grandes d'Europe. 


Initialement utilisée comme citadelle militaire, elle a évolué au fil du temps pour s'adapter à l'époque pour devenir l'un des espaces artistiques et culturels les plus importants de Milan.


Sépulture romaine découvert en 1905.


Monument funéraire de Barnabé Visconti !


Monument funéraire de Beatrice Reine della Scala !


Le gonfalon, ou bannière d'églie, de la ville de Milan appartient au type d’enseignes de la ville décorées des deux côtés afin d’être clairement visibles par tous pendant les processions.

Créé par Scipione Delfinone et Guiseppe Posterla, entre 1565 et 1567, il a été dessiné pour être le principal gonfalon de la ville et est resté en usage comme tel jusqu’à ce qu’il devienne une exposition muséale dans les années 1870.


Empereur Marc Aurel !


Armoiries de la famille Visconti !


Gisant du monument funéraire de Gaston de Foix !



Milan est une ville d'Italie située au nord du pays, à proximité des Alpes.

Fondée vers 590 av. J.-C. par une tribu celtique appartenant au groupe des Insubres et appartenant à la culture de Golasecca, elle a été conquise par les Romains en 222 av. J.-C. et sera la capitale de l'Empire romain d'Occident pendant un siècle, de 286 à 402.
Elle devient durant les siècles suivants un lieu majeur du christianisme,

Milan est considérée, aujourd'hui, comme le cœur industriel, commercial, financier et universitaire de l'Italie.

Cet article servira de récapitulatif à cette balade:

-Balade en ville (ici)
-Musée du château des Sforza (voir le lien)
-La scala (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir les aventures de Nicolas en Italie depuis le début sur ce lien !

(12 clichés)
(Sur cette photo, La Scala)


Piazzia Corduso !

La piazza Cordusio est une place du centre de Milan, en Italie. La place tire son nom du Cors Ducis qui était situé sur la place à l'époque lombarde. Il est bien connu pour ses nombreux bâtiments néoclassiques, éclectiques et Art nouveau du début du XIXe siècle, ses banques et ses bureaux de poste.


Galleria Vittorio Emanuele II !

La Galleria Vittorio Emanuele II est une galerie commerçante historique de prestige de style néo-classique à tendance baroque du xixe siècle du centre de Milan. Surnommée le « salon de Milan », elle constitue un passage entre la place du dôme de Milan et la Scala. Elle a été baptisée du nom du roi Victor-Emmanuel II d'Italie.


Piazza del Duomo !

La piazza del Duomo ou place de la Cathédrale, est la place principale de Milan, capitale de la Lombardie en Italie. Elle constitue le véritable cœur urbain et commercial de la ville depuis plus de sept siècles, où les Milanais se retrouvent pour célébrer les événements importants.


Place de la cathédrale vue de la cathédrale !


Vue panoramique de la ville de Milan !


La cathédrale de Milan, officiellement la cathédrale métropolitaine de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge-Marie, est une cathédrale située sur la piazza del Duomo de Milan, en Italie.
Dédiée à la Nativité de Marie, elle est le siège de l'archevêché de Milan.
Le début de la construction de la cathédrale date de 1386, cinq siècles et demi ayant été nécessaires pour l'achever, en 1932.

C'est la troisième plus grande église du monde après la basilique Saint-Pierre et la cathédrale Notre-Dame-du-Siège de Séville.


Pinacoteca Ambrosiana de Milan !

Pièce maîtresse de la Pinacoteca Ambrosiana de Milan, ce dessin à la pierre noire par Raphaël est le plus grand de la Renaissance qui ait été conservé jusqu’à nos jours.
Il s’agit d’un dessin préparatoire pour « L’École d’Athènes », l’une des fresques commandées en 1508 par le pape Jules II pour décorer la Chambre de la Signature au Vatican.


Entrée du Codex Atlanticus de Léonard de Vinci !

La Pinacoteca Ambrosiana, à Milan, contient la plus grande collection de notes et dessins personnels de Léonard de Vinci.


Carnets de notes de Léonard de Vinci !


Statue de Federico Borromeo !

Federico Borromeo, francisé en Frédéric Borromée, né le 16 août 1564 à Milan et mort le 21 septembre 1631, est un prélat italien, qui fut cardinal archevêque de Milan de 1595 à 1631. Il fonda dans cette ville vers 1600 la célèbre bibliothèque Ambrosienne. Il était le cousin de saint Charles Borromée, qui le précéda sur le siège épiscopal de la capitale lombarde.


Statue de Léonard de Vinci !

Léonard de Vinci, né le 14 avril 1452 du calendrier actuel à Vinci (Toscane) et mort le 2 mai 1519 à Amboise (Touraine), est un peintre polymathe.....simultanément.....

.....artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, peintre, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, philosophe et écrivain.



Vérone est une ville située dans la région de la Vénétie au nord de l'Italie.

La ville historique de Vérone fut fondée au 1er siècle av. J.-C.. Elle connut des périodes d'expansion sous le règne de la famille Scaliger aux 13e et 14e siècles et sous la République de Venise, du 15e au 18e siècle.
Exemple exceptionnel de place forte, Vérone a préservé un nombre remarquable de monuments de l'Antiquité, de l'époque médiévale et de la Renaissance.

Les arènes de Vérone sont un amphithéâtre romain situé à Vérone.
Construites en 30 apr. J.-C., elles pouvaient accueillir environ 30 000 spectateurs.


Vous pouvez voir ou revoir les aventures de Nicolas en Italie depuis le début sur ce lien !

(15 clichés)


Balcon de la maison de Juliette à Vérone.
Roméo et Juliette est une tragédie de William Shakespeare. Écrite vers le début de sa carrière, elle raconte l'histoire de deux jeunes gens, Roméo Montaigu et Juliette Capulet, qui s'aiment malgré la haine que se vouent leurs familles et connaissent un destin funeste.


La Tour des Lamberti est une tour médiévale faisant partie du palazzo della Ragione située sur la Piazza delle Erbe dans le centre historique de Vérone.
À l’exception des deux tours de Telecom Italia, la Tour des Lamberti est aujourd’hui la plus haute de Vérone et l’un des monuments les plus visités de la ville.


La piazza delle Erbe est la plus ancienne place de Vérone en Vénétie.
Elle est située à l'emplacement de l'ancien forum romain et constitue le cœur historique et architectural de la ville.


Depuis le 15e siècle, le Palazzo Maffei, occupe l'espace le plus important de la Vérone romaine et médiévale, celui où se trouvait le temple dédié à Jupiter.


Piazza dei Signori ou place Dante.
La place est créée au Moyen Âge lors de la construction des palais scaliger, et assume depuis le rôle de centre politique et administrative de la cité.
Elle est bordée par quelques édifices monumentaux, liés entre eux par des galeries d'arcades et de loggia.


Statue de Dante Alighieri sur la place dei Signori !
Dante Alighieri, poète, écrivain et homme politique italien, est considéré comme le père de la langue italienne.
Né à Florence entre le 22 mai et le 13 juin 1265 et mort à Ravenne le 14 septembre 1321, il représente une figure centrale de la littérature médiévale italienne.


Palais des juges !


Les tombeaux des Scaligeri ou des della Scala, situés dans le centre historique de Vérone, sont un ensemble funéraire monumental de la famille des Scaligeri destiné à contenir les tombeaux de quelques représentants illustres de cette famille, dont celui du plus grand seigneur de Vérone, Cangrande della Scala, à qui Dante dédia son Paradis.


Castel San Pietro !
La caserne d'État de Castel San Pietro ou plus simplement Castel San Pietro, à l'origine appelée Aerarialcasernen Castel San Pietro, est un bâtiment militaire situé sur la colline San Pietro à Vérone, sur une hauteur et bénéficiant ainsi d'une large vue panoramique sur la ville.


Verone le long du fleuve Adige avec au fond l'église Saint-Georges.


L'église Sainte-Anastasie est une église gothique dominicaine.
Elle se situe dans le centre historique de Vérone à proximité de la cathédrale et de l’Adige près du pont de pierre.


Autel de saint Vincent Ferrier.


Autel de Bevilacqua-Lazise.


L'église actuelle, construite entre 1280 et 1400, a été dessinée par les frères dominicains Fra' Benvenuto da Imola et Fra' Nicola da Imola. Son plan est similaire à celui de la basilique San Zanipolo de Venise.

Consacrée seulement en 1471, elle fut la possession des dominicains jusqu'en 1808. 



Petite ville de la région de Vénétie située à une quarantaine de kilomètres de Venise, Padoue possède une riche histoire et a toujours été une cité importante depuis le Moyen-Âge.

Vous pouvez voir ou revoir les aventures de Nicolas en Italie depuis le début sur ce lien !

(10 clichés)


Basilique Saint-Antoine !
Située au cœur du centre historique, cette basilique à dômes est le bâtiment le plus somptueux et le plus emblématique à voir à Padoue. Elle fut construite au 13ème siècle pour accueillir les reliques saintes du prêtre portugais Saint-Antoine de Padoue, qui vécut et mourut à Padoue.


La Basilique est composée de styles architecturaux différents. Ainsi, son extérieur présente à la fois une façade romane, huit dômes byzantins et des campanaires gothiques.


Le tout forme un ensemble somptueux et impressionnant.


Le tombeau d’Antenor, également appelé le sépulcre d’Antenore, est un monument du 13ème siècle créé pour honorer un ancien sarcophage mis au jour, prétendu être celui du guerrier troyen et conseiller Antenor, le fondateur légendaire de Padoue.
Il est situé sur la Piazza Antenore.


Le palais Bo héberge le siège de l'université de Padoue depuis 1493. Il abrite un théâtre anatomique permanent longtemps considéré comme le premier de son genre, le théâtre anatomique de Padoue.


L’Ancienne Cour du palais fait partie des plus beaux édifices de la Renaissance.


L'un des aspects caractéristiques du palais, qui frappe immédiatement le visiteur, est le nombre incroyable d'armoiries peintes et en relief qui décorent non seulement l'atrium et les loggias, mais aussi de nombreuses salles et autres pièces.


Ce sont les armoiries des recteurs et des procureurs des deux universités de droit et des arts.


Palazzo della Ragione ou Palais de la Raison de Padoue !
Le palais de la Raison est l'ancien siège de l'administration et des tribunaux de la ville.
Il fut construit en 1218, puis surélevé en 1306 par Giovanni degli Eremitani qui lui donna sa couverture caractéristique en forme de toit en carène.

Belle balade !



La petite île de Torcello est connue pour la basilique de Santa Maria Assunta, avec ses mosaïques vénéto-byzantines et son clocher qui offre une vue sur l'île voisine de Burano, ou pour le Ponte del Diavolo, un pont sans parapets, ou encore le fauteuil en pierre connu sous le nom de Trono di Attila.

Vous pouvez voir ou revoir la balade de Nicolas à Venise depuis le début sur ce lien !


Le trône d'Attila !
La croyance populaire veut que ce trône en marbre du 5e siècle ait appartenu à Attila, roi des Huns, quand ses troupes menaçaient la cité romaine d’Altinum.
En réalité, les Huns ne mirent jamais les pieds à Torcello.
Ce trône était celui du magister militum, le gouverneur militaire de l’île, qui l’utilisait pour rendre la justice.


Non loin de la ville trépidante de Venise, le charme ancien et historique de Torcello offre beaucoup de détente et de tranquillité au milieu de la nature.


Le pont du diable !
Il a les caractéristiques des anciens ponts vénitiens sans parapet.
L'origine du nom du pont est encore inexpliquée. Certains disent que Diavoli était le surnom d'une famille locale, d'autres font remonter ses origines à une légende.
Il est possible, cependant, de noter que ses fondations se trouvent sur des fondements préexistantes, datant du 13e  siècle, appartenant à un pont précédent.


Église Santa Fosca !
Cette église, en croix grecque, fut érigée entre le 11e et 12e siècle. 
À l’origine, il s’agissait probablement d’un martyrium, sanctuaire abritant les restes des martyrs.

À bientôt pour la suite de cette balade !



Burano est l'une des îles de l'archipel de la lagune vénitienne.
Elle est située au nord de Venise. Elle est connue pour la production de dentelle et ses canaux bordés de maisons vivement colorées.

Vous pouvez voir ou revoir la balade de Nicolas à Venise depuis le début sur ce lien !


Baldassare Galuppi (Burano 1706, Venise 1785) connu sous le nom de « buranello », était l'un des compositeurs les plus originaux d'Italie dans le genre comique.
On raconte que les premiers rudiments de la musique lui furent enseignés par son père qui, bien qu'étant barbier de profession, jouait du violon au théâtre de comédie.


Restaurant Galuppi à Burano !


L'île de Burano, l'île de la dentelle est un petit joyau multicolore.
C'est une Venise en miniature, avec son campanile qui penche, ses canaux et ses ponts.

Burano est réputée pour ses petites maisons peintes de couleurs vives. À l'origine, les pêcheurs peignaient leur maison de différentes couleurs pour se repérer et reconnaître leur maison en cas de brume.


Originalité !


Église San Martino de Burano !

Le campanile Renaissance, construit au 17ème siècle en même temps que l'église, mesure 53 mètres de haut et fut restauré par Tirali en 1703, et son impressionnante inclinaison due à un affaissement de terrain, ne date pas d'hier.
L'ange posé au sommet tomba en 1867 et fut remplacé par une croix de fer.


Vue générale de l'église San Martino de Burano !


Statue de bronze du pape Jean-Paul II.


L'intérieur est en croix latine, à trois nefs, et en style baroque lombard.
Le pavement est fait de pierres carrées rouges et blanches. Le plafond de la nef est en tonneau.


Les fonts baptismaux !


Vierge de douleur !


Chapelle de la Vierge à l'enfant !

À bientôt pour la suite de cette balade !



Le palais des Doges ou palais Ducal est un palais vénitien de styles gothique et Renaissance situé sur la place Saint-Marc.
Ce bâtiment fut la résidence officielle des doges de la république de Venise, ainsi que le lieu de représentation de ses institutions majeures.

Vous pouvez voir ou revoir la balade de Nicolas à Venise depuis le début sur ce lien !


Cour du palais des Doges, avec au fond la basilique Saint-Marc ! 


Ce palais représente la plus grande œuvre d’imagination de Venise. Il est une réussite du mariage de l'art gothique et de l'art de la Renaissance.


Pendant une longue série d’années, les meilleurs architectes dirigèrent sa construction, les meilleurs peintres sa décoration.


Les appartements du doge sont situés contre l'abside de la basilique Saint-Marc.
La proximité des salles institutionnelles accordait peu de place à la vie privée du doge.


Peinture de Titien !


Salle du collège !

Le Collegio était le cœur du gouvernement de la République de Venise.
Il était constitué du Doge et de six conseillers auxquels s'ajoutaient les trois chefs du Conseil des Dix ainsi que le Grand Chancelier.


Salle du sénat !

La salle du Sénat était située juste à côté de celle du Collegio, au deuxième étage noble.


Cette salle possède un plafond monumental, on ne voit que lui tellement il est massif et présent, réalisé en style précurseur du baroque par Cristoforo Sorte.


Salle du grand conseil !

Le Grand Conseil est ce qu'il convient d'appeler le parlement vénitien. Il est la structure politique qui aura le plus d'impact sur l'évolution architecturale du Palais Ducal au cours des siècles.


Salle du scrutinio !

C'est la salle la plus grande du palais. Elles est décorée de toiles de Véronèse représentant les “Vertus de Venise”.


Vue de l'intérieur du pont des soupirs !


Couloir de la prison !


Escalier géant du palais des doges !



La Basilique Cathédrale Saint-Marc est la plus importante basilique de Venise. Construite en 828, reconstruite après l'incendie qui ravagea le palais des Doges en 976, elle est, depuis 1807, la cathédrale du patriarche de Venise.
Elle est située sur la place Saint-Marc, dans le quartier de San Marco qui lui doivent leur nom.

Vous pouvez voir ou revoir la balade de Nicolas à Venise depuis le début sur ce lien !


L'intérieur de la basilique Saint-Marc est un haut lieu de la mosaïque occidentale.
Les mosaïques sur fond d'or ont valu à l'église le surnom de « basilique d'Or ».


Les mosaïques de la basilique Saint Marc sont uniques au monde et participent à la célébrité de l’édifice.


La majorité des mosaïques, cependant, ont été réalisées au cours du 13e siècle.


Le programme iconographique des mosaïques de Saint-Marc couvre toute l'histoire de la chrétienté, imprégnée des événements et des sensibilités politiques de la République Sérénissime.


Le chœur, surélevé, est séparé de la nef par une iconostase à colonnes, d'aspect byzantin. 14 statues de la Vierge et des apôtres et une croix la surplombent, chef d'œuvre du gothique.

Nous pouvons y admirer le sarcophage de Saint-Marc.


Le narthex est décoré de mosaïques du 13e siècle, qui représentent des scènes de l'Ancien Testament, de la Création à l'Exode.


L'intérieur de la basilique est le fruit de l'accumulation de richesses au fil des siècles.....4000 m² de mosaïques à fond d'or !


Mosaïque de la vie de Saint-Joseph dans l'ancien testament.


Mosaïques des petits dômes du narthex (galerie située à l'entrée).


Mosaïque Saint-Marc dans l'abside.


Mosaïque de la Création, dans le narthex.


Mosaïque des animaux !



Le café Florian est le plus ancien café de la place Saint-Marc de Venise, en Italie, fondé en 1720 par Floriano Francesconi.
Il est situé à côté du campanile de Saint-Marc.

Vous pouvez voir ou revoir la balade de Nicolas à Venise depuis le début sur ce lien !


Le café Florian est le plus célèbre des cafés vénitiens, symbole du luxe et du raffinement du 18e siècle.


Riche histoire de ce café qui accueillait tous les plus grands notables de Venise et qui est désormais un lieu incontournable lors de votre visite de Venise.


La décoration est somptueuse et son célèbre chocolat est un véritable délice !



Voilà Nicolas à Venise !

Ici, Nicolas devant le pont des Soupirs !

Le pont des Soupirs construit au début du 17e siècle est un pont-passerelle couvert qui comporte deux couloirs parallèles passe au-dessus du Rio de Palazzo o de Canonica.
Il relie les anciennes prisons aux cellules d'interrogatoires du palais des Doges.

Le nom pont des Soupirs suggère le soupir exprimé par les prisonniers conduits devant les juges, lors de leur dernier regard porté sur Venise. C'était donc la dernière image de la liberté pour ceux qui allaient finir leurs jours en prison.

Cet article servira de récapitulatif à cette balade à Venise:

-La Sérénissime (ici)
-Basilique Saint-Marc (voir le lien)
-Le Palais des Doges (voir le lien)
-Le café Florian (voir le lien)
-Burano (voir le lien)
-Torcello (voir le lien)

Vous pouvez voir ou revoir les aventures de Nicolas en Italie depuis le début sur ce lien ! 

(14 clichés)


Mais pourquoi dit-on Venise, la Sérénissime ?

La Sérénissime était un titre honorifique généralement utilisé envers les princes et souverains, mais également pour les doges de Venise.
Cette figure de style fut alors utilisée pour la Sérénissime République de Venise, puis tout simplement Sérénissime.
Ce surnom est resté lorsque Venise est devenue une ville.


Fondée peu après 568 par des réfugiés fuyant l'invasion lombarde, elle fut la capitale pendant onze siècles, de 697 à 1797, de la république de Venise.

Son nom provient du peuple qui habitait la région avant le 10e siècle, les Vénètes.
Dénommée Venetiae en latin, elle est parfois surnommée la « Cité des Doges », la « Sérénissime », la « Reine de l'Adriatique », la « Cité des Eaux », la « Cité des Masques », la « Cité des Ponts » ou encore la « Cité flottante ». 


Place Saint-Marc !

La place Saint-Marc, )du nom de l'évangéliste,  protecteur chrétien de Venise, saint-Marc), se situe au bord du Grand Canal et constitue le cœur de la ville de Venise.
On y trouve la basilique Saint-Marc, le campanile de Saint-Marc et le palais des Doges. .


Palais des Doges !

Le palais des Doges ou palais Ducal est un palais vénitien de styles gothique et Renaissance situé sur la place Saint-Marc.
Ce bâtiment fut la résidence officielle des doges de la république de Venise, ainsi que le lieu de représentation de ses institutions majeures.


Le pont tron !


Les Tron est une famille patricienne de Venise. Ils sont connus à partir du milieu du 12e siècle avec un Marco Truno, qui resta au Maggior Consiglio, grand conseil vénicien, jusqu'à sa clôture en 1297.



Rio del Fontego dei Tedeschi (cours d'eau) !

Le rio del Fontego dei Tedeschi (canal de l'entrepôt des allemands) est un canal de Venise formant la limite entre le sestiere de Cannaregio et de San Marco.
Le nom ancien de ce rio est rio de l'Olio ou de l'Ogio (canal de l'huile (alimentaire).


Église San Giorgio dei Greci !

L'église San Giorgio dei Greci est un église orthodoxe de Venise. Le patron de l'église est Georges de Lydda. 


Église San Giovanni in Bragora !


Arsenal de Venise !

L'arsenal de Venise, aussi appelé arsenal de la république sérénissime, est construit en 1104 sur l'initiative du doge Ordelafo Faliero.
Ce chantier naval joue un rôle déterminant dans la construction de l'empire vénitien, permettant la production rapide de nombreux navires.


Depuis 1999, une partie des installations de l'Arsenal est dévolue à la Biennale de Venise et accueille des expositions d'art contemporain.


Église San Lorenzo !

 En 854, l'église San Lorenzo fut érigée par la famille Participazio, de même que le monastère bénédictin annexe avec quelques habitations pour moines dirigeant les sœurs.


Basilica dei Santi Giovanni e Paolo !

La basilique des Saints-Jean-et-Paul (connue sous le nom de San Zanipolo, contraction en vénitien de Santi Giovanni e Paolo) est l'un des édifices médiévaux religieux les plus imposants de Venise.
Il fait figure de Panthéon de la Sérénissime en raison du grand nombre de doges et d’autres personnages importants qui y furent enterrés à partir du 13e siècle.


Scuola Grande di San Marco !

La Scuola Grande di San Marco est un monument de la ville de Venise, en Italie, qui abritait autrefois l'une des six grandes sodalités (association romaine), ou Scuole Grandi, de Venise. 

Entre modernité et traditions, aujourd'hui, ce bâtiment abrite l'hôpital !


Pont du Rialto !

Le pont du Rialto est l'un des quatre ponts qui traversent le Grand Canal de Venise, avec le pont de l'Académie, le pont des Déchaussés, et le tout nouveau pont de la Constitution.

Le pont du Rialto est cependant le plus ancien et certainement le plus célèbre d'entre eux, ainsi que l'un des monuments les plus visités de la cité.


Le Grand Canal !

Le Grand Canal est le plus grand et le plus large des canaux de Venise.
Débutant au sud devant le bassin de Saint-Marc, il se termine au nord-ouest de la ville, près du pont de la Liberté.
l mesure au total 3,8 km de long pour 50 à 70 m de largeur et 5 à 10 m de profondeur.

Le Grand Canal est la principale artère maritime qui traverse Venise.


La campanile Saint-Marc !

Le Campanile est situé sur la Place Saint-Marc ; elle est la tour campanaire de la Basilique Saint-Marc. Du haut de ses 98,5 mètres, le campanile est l’édifice le plus élevé de la ville et offre des vues imprenables sur tout Venise.

À l’origine, la tour servait à la fois de phare pour les navigateurs et de tour campanaire. Après avoir subi plusieurs restaurations, elle a finalement acquis sa forme actuelle en 1515.


Enfin je terminerai cette balade par la statue du chef d'armée mercanaire, Colleone !

La Statue du Colleone est une statue équestre en bronze représentant le condottiere Bartolomeo Colleoni.
Elle se dresse sur le campo dei Santi Giovanni e Paolo à Venise, face à la basilique de San Zanipolo.
Elle est l’œuvre du sculpteur florentin Andrea Del Verrochio qui y travailla de 1483 à 1488, et d'Alessandro Leopardi, qui l'a fondue après son décès.



La cathédrale de Parme, Dôme en italien, est la cathédrale du diocèse de Parme, en Italie. 
Il s'agit d'une importante cathédrale romane italienne dont la coupole, en particulier, est décorée par une fresque du Corrège, un des grands peintres de la Renaissance de l'école de Parme.

Vous pouvez voir ou revoir la visite de Parme depuis le début sur ce lien !


La cathédrale présente une façade à cabane avec des logettes et ornée par une triple série de petits arcs dont la supérieure suit la pente du toit, et par un protiro surmonté d'un édicule.

Le protiro est un terme italien qui définit un petit édicule architecturé construit devant l'entrée principale d'une église.


L'ensemble se compose de trois structures, la cathédrale, le campanile et le baptistère et se situe Piazza del Duomo, où se trouve, sur la partie sud de la place, l'ancien évêché, le Palais épiscopal.


La construction de l'édifice a commencé en 1059 à l'initiative de l'évêque Cadalo, qui sera par la suite antipape sous le nom d'Honorius II et a été consacrée par Pascal II en 11161.

La nouvelle église a été lourdement endommagée par un tremblement de terre en 1117 et a dû être restaurée.


L'intérieur possède un plan en croix latine, avec une nef et deux bas-côtés, séparés par des pilastres.
Le presbytère et le transept sont surélevés, pour permettre l'espace pour la crypte sous-jacente.
La coupole est posée sur un tambour octogonal.

Les fragments d'anciennes mosaïques témoignent d'une présence antérieure d'un temple de culte au IIIe siècle.


Le cycle de fresques sur les murs de la nef et l'abside sont de Lattanzio Gambara et Bernardino Gatti.


Mais la principale caractéristique de l'intérieur est la fresque de l'Assomption  de la Vierge décorant la coupole du dôme, exécutée par le Corrège entre 1526 et 1530.