que je partage bien volontiers ! bisous Françoise
Par grainedesucre le 31/08/2014 à 21:02
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Je pense que tu dois être trop dure avec toi même. Tu as en toi une sagesse qui parfois semble t'emmenait dans des colères intérieures. Ton analyse est logique.mais l'arrogance dont ton tu parles est que le temps s'écoule et parfois certaines choses ont besoin d'être mise de côté. Quant au monde contraire est le fait de ne pas être formatée comme beaucoup le sont dans notre société. Reste ce que tu es, . Françoise
Par parfumdebrimbelle le 01/09/2014 à 00:46
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Il est facile de vivre les yeux fermés en interprétant de travers tout ce que l’on voit..." John Lennon S’imaginer, supposer, croire que..., essayez de compter le nombre de fois par jour où vous supposez et où vous prêtez des intentions à ceux qui vous entourent. Alors ? J’ai testé, enfin... j’ai essayé de tester mais j’ai abandonné car le nombre de fois où j’ai oublié de compter était trop important. Il existe un texte de Werber : Entre Ce que je pense Ce que je veux dire Ce que je crois dire Ce que je dis Ce que vous avez envie d'entendre Ce que vous croyez entendre Ce que vous entendez Ce que vous avez envie de comprendre Ce que vous croyez comprendre Ce que vous comprenez Il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même. A mon sens il parle aussi, d’une certaine façon, de nos suppositions qui entravent la communication. En effet, le principal problème des suppositions c’est qu’elles nous empêchent de voir la vérité car croyant connaître les motivations de quelqu’un, je ne vais pas chercher les vraies motivations. A quoi bon demander si je crois avoir deviné ? Remarquez que c’est quand même très orgueilleux de penser que l’on sait. Il vaut mieux partir du principe : je sais que je ne sais rien. Sinon c’est ainsi que naissent les préjugés sur une personne : "On ne se trouve pas confronté à lui (l’autre) mais à l’idée qu’on se fait de lui". Pour résoudre ce problème de communication, en quelque sorte, il suffit parfois de s’adresser directement à l’autre (il faut oser, prendre le risque de parfois déranger, de ne pas entendre la réponse souhaitée, etc.), lui demander les raisons des ses actions et /ou de son comportement (quand on en a la possibilité). Comme c’est plus compliqué qu’il n’y paraît de ne faire aucune supposition et comme on ne peut pas toujours dialoguer, il existe un compromis intermédiaire intéressant. Faire deux suppositions complètement opposées au lieu d’une seule. Continue a faire de ton mieux chère Françoise :-) Sèv.:-)
Par sevecocokett le 05/09/2014 à 13:56
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